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Structure isotopique de la raie Raman du chlore liquide et effet de solvant du chlore sur le chlorure d'arsenic

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00236457

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00236457

Submitted on 1 Jan 1961

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Structure isotopique de la raie Raman du chlore liquide et effet de solvant du chlore sur le chlorure d’arsenic

M. L. Delwaulle, Francis Wallart

To cite this version:

M. L. Delwaulle, Francis Wallart. Structure isotopique de la raie Raman du chlore liquide et effet de

solvant du chlore sur le chlorure d’arsenic. J. Phys. Radium, 1961, 22 (5), pp.327-328. �10.1051/jphys-

rad:01961002205032701�. �jpa-00236457�

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327 et À == M, masse du nucléon, on trouve, pour le

proton

Pour le méson p. et l’électron dont les masses sont

beaucoup plus petites que le paramètre de coupure

Dans tous les cas la courbe coulombienne

se

trouve

«

coupée » aux environs de la longueur d’onde Compton

du nucléon ainsi que le montre par exemple la courbe

relative au méson {.L et à l’électron. (On a pris pour unité Mc2/2 x 137

=

1.)

FIG. 1.

Lettre reçue le 2 mai 1961.

STRUCTURE ISOTOPIQUE

DE LA RAIE RAMAN DU CHLORE LIQUIDE

ET EFFET DE SOLVANT DU CHLORE SUR LE CHLORURE D’ARSENIC

Par Mlle M. L. DELWAULLE et M. Francis WALLART,

Laboratoire de Chimie Minérale de la Faculté des Sciences de Lille.

Nous avons déjà constaté [1] que le spectre Raman du mélange AsCl3 et Cl2 à la température ordinaire

ne

présentait pas d’autres fréquences que celles du chlore

liquide et du chlorure d’arsenic. Une étude d’ensemble faite au laboratoire

sur

l’effet de solvant

sur

les spectres

Raman des molécules AX, nous a amenés à reprendre

l’étude de

ce

liquide.

La figure 1 donne l’enregistrement au microphoto-

mètre d’un spectre de AsCl3 pur et du spectre d’un mélange de chlorure d’arsenic et de chlore. On s’est

arrangé, en faisant toute une gamme de spectres de AsCl3, pour que la raie a12 de AsCl3 soit la même

dans les deux spectres..

FIG. 2.

On constate que le doubler constitué par les fré-

quences de déformation de AsCl3 n’a subi aucune alté-

ration : les fréquences sont restées les mêmes. La lar- geur des raies n’a pas varié. Les intensités relatives des deux raies n’ont pas été modifiées. Par contre le dou-

blet constitué par les fréquences de valence de AsCl3

est assez modifié. On constate un léger déplacement

des raies. On avait V13

=

378 cm--’, VI = 411 pour le corps pur, on trouve v23

==

384 et vi

=

412 dans le

mélange. Les raies observées pour le mélange sont net-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:01961002205032701

(3)

328

tement plus fines que pour le corps pur. On constate

également une intensification du doublet de valence

quand AsCl3 se trouve en solution. Ces deux modifi- cations sont surtout importantes pour v,. Nous avons

fait, d’autre part, des mesures par enregistrement pho- toélectrique direct. Comme le photomultiplicateur n’est

pas à son maximum de sensibilité pour la région de

5 460 Á, nous ne donnons qu’à titre indicatif les varia- tions suivantes : le rapport vl J$3 augmente de 47 %

celui de VlIV2, augmente de 38 % (largeur de fente

12 cm-1).

La fréquence de vibration du chlore n’est pas modifiée par la présence de AsCl3. On a observé l’effet

isotopique du chlore sur cette fréquence. Les trois raies sont fines. La première qui correspond à la molé-

cule 37Cl2 est faiblp comme il fallait s’y attendre. La plus intense est celle qui correspond à la molécule 35Cl2.

Les trois fréquences sont 533 cm-1, 541 cm-1, 547,5 cmw à 1 cm-l près. Nous espérons pouvoir

bientôt faire les mesures de fréquences avec plus de précision, et mesurer les intensités. La figure 2 est un enregistrement du spectre du chlore pur. La vitesse de déroulement du papier n’est pas la même que pour la

figure 1.

Lettre reçue le 9 mai 1961.

BIBLIOGRAPHIE

[1] DELWAULLE (Mlle M. L.) et DELHAYE (M.), Bull. Soc.

Chim., 1953, 22.

REVUE DES LIVRES DELCROIX (J. L.), Introduction à la théorie des gaz ionisés.

(1 vol., 11 X 16 cm, 170 p., Monographies Dunod, Paris, 1.959, prix : 16 NF).

L’ouvrage Introductzon à la théorie des gaz ionisés de J. L. Delcroix donne

une

très bonne

vue

d’ensemble

sur

les

propriétés des gaz ionisés, domaine particulièrement impor-

tant pour l’étude et la compréhension du comportement des plasmas et toutes autres questions

connexes.

Le sujet

est traité d’une manière complète, l’approche micros- copique aussi bien que l’approche macroscopique

se

trou-

vent exposées, toutefois l’auteur préfère la première,

pour

en

déduire les propriétés macroscopiques ; §

ce

livre

s’adresse plus particulièrement

aux

physiciens et ingénieurs qui s’occupent, ou qui s’occuperont, des plasmas et de la physique de la haute atmosphère,

aux

astrophysiciens et

aux

étudiants du troisième cycle.

Douze chapitres et trois appendices composent ce petit volume ; les cinq premiers traitent des problèmes fonda-

mentaux généraux : collisions élastiques entre deux parti- cules, sections efficaces de collision élastique, rappels de la

théorie cinétique des gaz, notions générales

sur

les gaz

ionisés, théorie,des gaz d’électrons libres. Les chapitres VI

à IX exposent les propriétés des gaz faiblement ionisés :

:

fonction de distribution des vitesses et grandeurs macro- scopiques, théorie des gaz faiblement ionisés, étude micro-

scopique et macroscopique, équations macroscopiques rela-

tives à

une

composante d’un fluide multiple. Avec les cha- pitres X à XII, nous abordons la théorie des gaz fortement

ionisés, celle des phénomènes collectifs,

son

approche micro- scopique et

son

approche macroscopique. Les trois appen- dices terminent l’ouvrage par

un

rappel de quelques ques- tions annexes importantes : tenseur de conductivité d’un gaz d’électrons libres, calcul de la conductivité d’un gaz fortement ionisé selon le modèle de Lorentz, formules usuelles du calcul vectoriel et tensoriel.

Yu Liang-Tsé.

BISHOP nucléaire. (A. S.), (1 vol. 15 Vers la X maîtrise 24 cm, 199 de la p., fusion Dunod, Paris, thermo- 1960, prix : 39 NF).

La fusion thermonucléaire est

un

problème d’actualité, qui préoccupe et mobilise beaucoup de chercheurs dans de nombreux pays, et excite la curiosité de chacun. Vers la maîtrise de la fusion thermonucléaire de A. S. Bishop peut

satisfaire cette curiosité. C’est

en

effet

une

brève descrip-

tion et

une

mise

au

point des différentes études, consti- tuant le projet Sherwood, faites par les chercheurs Améri- cains

au cours

de la dernière décade.

En fait, le but de

ce

livre est de donner

au

lecteur

un

aperçu

sur

l’origine des programmes de recherches et les

problèmes fondamentaux qui ont surgi

au

cours de ces

dernières années ; il s’adresse à tous

ceux

qui sont peu

ou

pas familiers avec le sujet et qui veulent avoir

une

bonne Vue d’ensemble sur la fusion thermonucléaire ; le langage mathématique est réduit

au

strict minimum, et

on

peut ignorer les quelques formules qui s’y trouvent tout en comprenant parfaitement le texte.

L’ouvrage est composé d’une vingtaine de chapitre. Les

deux premiers traitent des problèmes généraux et communs

à toutes les méthodes d’approche : principes fondamentaux

.

de la fusion contrôlée, le’ problème du confinement. Dans les chapitres III à VII sont exposés des développements des

diverses tentatives : programmes de striction, du stella- rator, du miroir magnétique et divers autres projets. Les

deux chapitres suivants

nous

présentent les propriétés des plasmas : diagnostics et stabilité des plasmas.

La seconde partie comprend les chapitres X à XVII :

elle précise les programmes de striction, du stellarator, du

miroir magnétique, d’ignition par ions moléculaires, de la géométrie à points de rebroussement, de l’astron et divers autres. Enfin la dernière partie, qui comprend les cha- pitres XVIII à XX, expose les développements récents et

se

termine par

un

résumé et des perspectives d’avenir.

Huit appendices et

un

index alphabétique complètent et terminent l’ouvrage

en

donnant un aperçu sur des sujets

voisins et diverses données sur les modèles expérimentaux :

fusion à basse température, réactions thermonucléaires dans les étoiles, modes d’approche

non

prometteurs, glos- saire, références bibliographiques...

Yu Liang-Tsé.

Yu Liang-Tsé.

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