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Traitement de l'épithélioma superficiel par le Radium

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HAL Id: jpa-00242145

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00242145

Submitted on 1 Jan 1905

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Traitement de l’épithélioma superficiel par le Radium

A. Darier

To cite this version:

A. Darier. Traitement de l’épithélioma superficiel par le Radium. Radium (Paris), 1905, 2 (9), pp.292- 294. �10.1051/radium:0190500209029200�. �jpa-00242145�

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Traitement de l’épithélioma superficiel par le Radium

J’AI présenté a la société d’ophtalmologie de Paris1

une malade âgée de 52 ans, qui affirnle

n’avoir jamais connu chez aucun de ses parents la moindre prédisposition auxnéoplasies d’aucune sorte.

11 y a huit ans, en 1897, il lui lllt sur le bord de l’aile du nez un petit bouton dur qu’elle traita par la teinture d’iode; mais il ne fit que grandir.

En 1899, un chirurgien fit aui bistouri une éradi-

cation complète de la tumeur qui, des ce moment, prit

des proportions alarmantes, envahit l’angle interne de

l’ 0153il et s’étendit tout le long du bord inférieur de l’or- bite. Une amélioration assez notable fut observées à la suite d applications longtemps prolongées de com-

presses de chlorate de potasse.

Enfin, en février 1904, je v is la malade pour la

première fois; elle présentait le type dc ces épithu-

lionles superficiels à forme serpigincuse, envahissant,

avec bourrelet et petites nodosités périphériques, ca- ractéristiques, sans surface ulcérée, mais avec cica-

trices croùteuscs.

La lésion s’étendait de l’aile du nez à l’angle interneB

de l’0153il pour se prolonger cn forme de croissant le

long du sillon orbito-palpéhral inférieur.

Je traitai toutes les nodosités envahissantes par des

pointes de galvano-cautère, puis, dans le cratère ainsi formé, je faisais un attouchement avec un peu d’acide

chronique et par dessus je mettais un peu de

poudre de bleu de méthyle.

En quatre ou cinq mois toute la surface était à peu près cicatrisée et la malade retournait dans son

pays.

En mai 1905 Mme M... revint me voir avec un en-

vahissement nouveau et considérable de son lnal du cùté de la paupière supérieure, a l’angle interne de laquelle s était développée une tumeur prollnlinente, trilobée, de la grosseur de trois pois juxtaposés.

Cette néoplasie, jusque-la bénigne, paraissait vouloir prendre une malignité particulière; c’est du reste ainsi

que se terminent souvent ces épithéliomes dits super- ficiels. Pendant des années ils érodent la peau de l’aile du nez fit de la joue, puis tont d’un coup ils en- vahissent la caroncule et lu ·nc lacrvmal pour former

un ulcère térébrant qui finit par évider l’orbite, les fosses nasales, etc... J’ai, pour 11la part, ühserBé de nombreux cas de ce genre pour ne pas parler du

malheureux collègue que nous avons perdu l’année

dernière et qui aBait toujours prétendu que son affec-

tion ne présentait aucun danger.

Méfiez-vous df)nc toujours des classifications en épi-

1. Société d’oplatalmologie. Seance du 4 juillet 1905.

théliomas bénins et malins. Pour moi la malignité

n’est qu’un épiphénomènedont le déterminisme dépend

bien souvent d’un traitement intempestif.

Il ne ’s’agissait plus, dans notre cas, de faire des cautérisations ignées ou chimiques ; une large exérèse

avec autoplastie bénéreuse, prise en peau bien saine,

me parut tout d’abord le seul parti â prendre, quoique l’expérience m’ait montré que souvent la récidive se fait au bout d’un temps plus ou moins long sur un des

bords de l’autoplastie.

Mais la malade s’opposant à toute opération, je pen- sai au radium sans trop de confiance, je dois l’avouer,

à cause de la rapidité de l’évolution et du volume de la dernière néoplasic et surtout à cause du voisinage du

sac lacrymal. Bref, j’appliquai sur chacun des trois lobes de la tumeur 5 milligralnmes de sulfate rle ra-

diiini à 500000 U., collé avec un vernis émail (pro-

cédé de Danne) sur une plaque de cuire de 25 milli-

mètres carrés. L’application dura environ une heurte et

demie (trente minutes sur chaque lobe). Une deuxième application semblable cut lieu trois jours après.

Au bout de huit ou dix jours la tumeur avait fondu,

il ne restait plus qu’une surface très rouge, érodée

légèrement en deux points.

Les applications de radium furent continuées tous les huit jours sur toute la surface cicatricielle et aussi

sur l’aile du nez et la joue ov de nombreuses petites

nodosités se montraient en divers points entourées de

leur bourrelet d’envahissement.

Voici un mois que l’on peut considérer la maladc

comme guérie : cctc niveau de la tumeur de la pau-

pière supérieure et dit canthus interne, illle reste plus qu’une légère dépression causée par la dispa-

rition d’une partie rlu cartilage tarse, la peau en-

core un peu rouge paraît normale, il pccrt une petite tacite de xanthélasma; eu haut et en bas il manque les premiers cils dont les racines paraissent

avoir été détruites.

Quant a la joue et à l’aile du nez, on y wit de nombreuses cicatrice blanches causées soit par lc bis-

touri, soit par le galvano, dont quelques-unes autres - fois dures et infiltrées chéloïdes, sont, depuis les ap- (le radium, souples et lisses. Toutes les nodosités soignées par le radium ont cltshctntr scnts

laisser’ aucune trace. aucune cicatrice . nu peut voir en deul points encorL’ une légère infiltration

qui nie fait penser que le processus morbide n’est pas

encore complètement éteint : ck’· nodosités sont du

reste encore soumises 11nl’ fois par semaine au radium ainsi que la surface conjonctivale et les points lacri-

maux qui nie naraisbent encore suspects.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/radium:0190500209029200

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Ce qui m’a surtout frappe dans ce cas. c’est la fonte

rapide de la tumeur (dix jours environ) et sa dispari-

tion complète sans aucun tissu cicatriciel avec perte seulement d’une parcelle de cartilage tarse et due quelques cils; il semblerait que l’action destructive dis radium, dont on nous a tant fait peur, porte exclusi-

vement sur les cellules épithéliomateuscs, alors que

les tissus sains, stimulés dans leur développement ré- parent rapidenlent la perte de substance produite par le processus morbide.

Cette absence relative de tissu cicatriciel dalla les

cas de guérison de cancers superficiels par la radio-

thérapie a du reste frappé tous les auteurs c’est la un avantage incommensurable sur toutes les interB’en- tions chirurgicales par le fer ou par le feu qui, pas

plus que le radiunl, ne lnettent li l’abri des récidives et qui souvent, comme dans notre cas, sont la cause

de complications dont nous ne pouvons prévoir la llla- lignité. Le noli lne tangere des anciens a du vrai pour toutes les interventions violentes.

On nous apportera certainnlent des cas oil le ra-

dium n’aura pas donné la guérison que nous en atte-

dions, mais nous avouons que son application est ell-

core dans l’enfance et que les quantités que nous pos- sédons ne nous permettent pas toujours d’agir cito et

tuto; - et puis l’infaillibilité n’existe pas en thérapeu- tique. Les résultats obtenus par les rayons X ne nous montrent-ils pas, après le scepticisme et les dénéga-

tions du début, que nous possédons dans ces radia-

tions nouvelles un agent thérapeutique, d’une valeur incontestable qui en très peu d’années, malgré les

difficultés sans nonlbrc du début, donne aujourd’hui

dans le traitement des cancers superficiels des résul- tats supérieurs a tout ce que nous avait appris l’an-

cienne chirurgie.

J’ai moi-même essayé d’employer les rayons B en

oculistique, mais j’y ai renoncé en faveur du radium infiniment plus maniable et bien moins dangereux qu’on a voulu le faire croire; car, depuis deux ans

que je 1 emploie journellement, je n’ai observé encore aucune complication sérieuse, à peine quelque léger

l’rB thème.

La première fois que je sis appliquer le radium n

l’épithélioma 4w, paupière (ulcus rodons), c’est en jltillk’t 1903, pJJ’ le 1)’ Makensie Daiidson au London

Ophtalmic Hospital.

Quelques observations ont été publiées dans diffé- rents journaux anglais.

Personnellement, j’ai eu l’occasion de Il’"ikt’ mi

épithéliome térébrant de 1 orbite uhke lequrt je n’ob-

tiiis pas d’amélioration de l’état local probablement parce que. il ce moment je n’étais en possession que

de sels due radium tri-, faible et en t[’"p p tite qn Hi- tité : 0.30 de bromure de radium d 20 000 U. Mais

j’observai ce fait bien intéressant qui Il’ a B ai été relevé

encore par personne avant moi, l’action analsésiante

remarquable des raBons de Becquerel, tait qui il été

confirmé dans nombre de cas

Chez une autre malade que j’avais guerie il B a

dix ans d’un épitheliome de la racine du It’

galvano-cautere et le bleu de methyle j’ai en l’occa- sion de guérir une récidive par une douzaine d’appli-

cations de radium (bromure de radium 9.30 a

20.000 U.) pendant deux heures chaque fois : mais

n’ayant pas revu la malade depuis un an , je ne sais si

cette guérison s’est maintenue

Dans le numéro du 20 mai de l’Ophtalmologist Klinik, le Dr H. Kirchner insiste sur les avantages esthé- tiques de la guerison de l’épithelionna des paupières par le radium . Il cite un cas d’épithéliumo de l’angle interne de l’oeil de la grandeur d’une times qu’ils arriva à guérir en deux mois et demi d’une

façon complète et sans cicatrice appréciable Il se servit de milligramme de bromure de radium

pur indus dans un petit appareil en plomb et laiton dans dequel était ménagée une petite fenètre de lllit’a.

Vingt applications de quinte ;1 vingt minutes chacune aminèrent en six semaines la cicatrisation de toute la surface ulcérée: mais il restait toujours le bourrelet

périphérique qui finit également par se résorber an

bout d’un certain nombre d’applications journalières

de Bill;!t il vingt-cinq minites

Dans le numéro dll 1er juillet du British Medical

Journal, Sir Reeve Manby publie trois cas de guérison d’épithélioma superficiels (rodent uleurs) guéris, par le radium . Je les résumer en peu de lignes pour

montrer par quels tâtonnements il ;1 faIlli passer pnnr arriver à une application rapidement efficace

1. Le premier cas était 1111 ulcère rongeant Ot’(’l1- pant une surface de 2 pouces de hauteur sur o de

pouce de large , le long du bord externe de l’orbite

d’un liomme de 76 ans. Les applications turent faites

avec 3 milligrammes de bromure de radium contenus

dans un tube de verre dont on ne dit pas l’épaisseur Vingt-six applications de vingt minutes réparties sur

tous les points de la surface ulcérée amenèrent en deux mois une cicatrisation complète: mais tout autour persistai) un bourrelet induré, chéloide ,qu’on parvint à faire presque complètement disparaitre en

quatorze autres séances d’une heure. L’auteur redoute du reste pour ce cas de prochaines récidives qu’il se promet de traiter l’ par le même procède.

Il. Le deuxième cas est un succès complet, Un ulcus

rodens de LI grandeur d’un franc 1111 complètement

guéri en dix-neuf séances de cinquante minutes. La cicatrisation était si partant qu’il était difficile de retrouver le place du mal antérieur

III. Dans la troisième observation

épithélioma du septum du nez qui fut gueri en huit applications de cinquante minutes du même lIIÎtt’ de radium.

Il est il remarquer que dans ces cas. on le radium

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était contenu dans un tube de verre. les séances ont du être fait(’s beaucoup plus longues que dans les cas ou le radium est appliqué avec ltll enveloppage de

mica on sous vernis inaltérable.

Mode d’application. - L’application du radiull1

aux maladies cutanées demande une connaissance

assez approfondie des propriétés physiques est biolo- giques des rayons de Becquerel, Nous les aBons lon-

guement étudiées avec le bienveillant concours de MM. Curie, Becquerel, fit Danvsz, dans une série d’ar- ticles parus dans la

Clinique

ophtalmologique en

1903 et 1904.

Les premières tentatives thérapeutiques furent

faites par le Dr Danlos avec des activités relativemllt faibles 20 000 LT, mais en assez grandes quantités et en applications prolongées. Aujourd’hui due l’on connaît mieux l’action du radium sur les tissus sains et patho- logiques, on recherche les hautes intensités, et la

plupart des applications sont faites avec du bromure de radium, dit pnr ; mais cette pureté est très relative

et très diflicileiiient vérifiable par le praticien. La

lulinosité n’a aucune importancc ; seule la mensura-

tion a l’électroscope est un moyen de contrôle sur, mais â la portée des seuls phyciciens.

Le moyen le plus sur pour nous de connaître l’acti- vité du produit que nous devons employer est d’en faire, dans l’enveloppage qui doit nous servir, des applications de cinq, dix, quinze, puis vingt minutes

de durée sur la peau de notre avant-bras et d’observer

au bout de conlbien de jours viendra la rougeur carac-

téristique de l’action du radiunl. Ces petites taches

rosées, puis rouges, puis brunes, se montrent au bout

de huit, quinze ou vingt jours, suivant que le radium

est moins actif et en moins grande quantité. Quand le

radium est très pur et qu’il est séparé de la peau par

lul simple vernis, la brûlure peut apparaitre de suite après l’application. Dans un tllbc de verre la perte de

radiation peut aller jusqu’à 90 pour 100 de sa valeur totale, suivant l’épaisseur du verre. Le lnica et le cel-

luloïd ou le caoutchouc absorbent beaucoup moins,

mais s’altèrent assez facllelllent; aussi M. Danne a-t-il cherché à employer des sels de radium insolubles (sul- fate) qu’il suspend dans un Bcrnis qui s applique sur

les métaux t’t qui. porté a une température de 500°, acquiert la solidité due l’émail.

Ces appareils radioactifs t sels tmlltes sont appl’lés

a simplifier beaucoup les applications du radium est

sur la peau et sur les muqueuses.

Le premier me sert dans le traitement des épithé-

lionas, du chalazion, des verrues. etc.

Le second niv :--er dans le trachome, les tubercu- loses conjonctivales et certaines kératite parenchy-

mats ases I ne observation nécessaire à l’emploi de ces ces

sels collés est que ces appareils ne peuvent donner leur action maxima que un mois après qu’ils ont été faits:

car, le radium porte à 500° perd m1mentanément toute sa radioactivité qu il ne récupère complètement qu’au

bout de trente jours 1.

Les appareils que je Nous présen tc contiennent cha- cun 5 milligrammes de sulfatc de radium à 500 000 F.

Si je les applique pendant quinze minutes sur la peau dorsale de Illa main il se produit au bout de huit jours

une plaque rouge et qui va mettre deux mois a dispa-

raître. Tous les sujets ne réagissent pas la même

intensité ; les enfants sont plus vite et plus profondé-

ment brùlés : il ne faut donc pas faire chez eux des séances de plus de six minutes (avec cet appareil). Les

femmes réagissent aussi plus rapidement.

Chose intéressante, la pose peut ètre plus longue

sur les surfaces ulcérées, épithéliomateuses.

Néanmoins, dans ces cas je ne fais pas les séances du

plus de vingt à trente minutes pour chaque surface

rccouvcrte par l’appareil et je ne les répète que tous

les deux ou trois jours, souvent même seulement tous

les huit jours.

L’élnanation du radium est appelée u nous rendre

aussi de très grands services. J’en fais depuis un an

l’essai avec des résultats fort intéressants dans la tuberculose pulmonaire. Le D’’ Rehns, trop tôt perdu

pour la science, a observé des guérisons de der111a-

tose rebelles (psoriasis, eczéma) à la suite d’applica-

tions de pommades saturées d’émanation de radiuln.

Ses recherches ont besoin d’être continuées. J’ai moi- ménle employé avec un certain succès de la vaseline radioactive dans quelques blépharites et quelques

kératites 2. Dr A. Darier,

Ancien président de la Société d’ophtalmologie de Paris.

1. Les appareils à sels collés sont prépares à l’usine Armet de Lisle de Nogent-sur-Marne.

2. Dans les paralysies de la sensibilité, quand l’altération du ncrt n’est ni trop profonde ni trop ancienne, l’action du radium est aussi remarquable : dans un cas de blessure du nerf sus-orbi- taire, datant de quatre jours, avec insensibilité de toute la ré-

gion frontale innervée, j’ai réussi à ramener la sensibilité par

une ou deux application de radium.

Ces faits que j’avais rapportes à mon ami le docteur Rehns, le

trouvèrcnt très septique et il ne fut covaincu de leur cxactitlle que le jour il réussit lui-même il ramener. par des applications

radioactives, la sensibilité sur des zones anesthesiques des tabé- tiques.

Comment; expliquer cette action aaussi sérieuse que puissante

des nouvelles radiations sur le système nerveux eux ?

S’il était démontré qUI’ la fonction est assimilable à tlt’· vibrations ou à des radiations on pourrait supposer que les

rayons X oU le radium ::-Ol1t capables d’en canaliser. d’en modi- fier d’en régulariser les ondulations.

EH tout cas il c·t tort- curieux due Noir cette action ·tlmulmltc dans certains ça-, devenir calmante dan- d’autres.

Cette sorte de regularisation nerveuses paraît ne

pas s’adresser seulement aux paralysies et aux nervralgies mais

encore Ù certains états nerveux accompagnant d’attaques con-

vulsives ou épileptitormes.

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