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La place du programmiste dans la démarche de l'urbanisme durable

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Academic year: 2021

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(1)

?

LA PLACE DU

PROGRAMMISTE

D A N S L A

DÉMARCHE DE

L ’ URB A NI S ME

D U R A B L E



 

    

  

  

    

     

  

2017

/

2018

  

  ­€ ‚

(2)
(3)
(4)

4

PARTIE 1 : Quelles concordances entre les démarches de

programmation et d’urbanisme durable ?

... 12

1. Un nouveau métier de la branche aménagement : la programmation ... 13

2. La phase de programmation dans la démarche de projet urbain durable .. 19

3. L’impact d’une démarche de durabilité sur le métier de programmiste .... 34

PARTIE 2 : Quelles sont les modalités d’intégration des

démarches de durabilité par le programmiste ? Analyse de

deux études de cas

... 39

1. Etude de l’intégration de démarches durables dans la phase

programmation ... 40

2. Etude de la démarche de programmation sous le prisme de la grille

(5)
(6)

6

(7)

7

(8)

8

-

-

-

-

(9)

9

Etape 1

Etape 2

-

-

(10)

10

(11)

11

(12)

12

Partie 1 : Quelles concordances entre les démarches de

programmation et d’urbanisme durable ?

(13)

13

PARTIE 1 : Quelles concordances entre les démarches

de programmation et d’urbanisme durable ?

1. Un nouveau métier de la branche aménagement : la programmation

1.1. L’émergence de la programmation

1.1.1. Le programme comme un mode de contrôle dans l’acte de bâtir

(14)

14

1.1.2. L’apparition de la programmation avec l’émergence des villes nouvelles

1.2. Evolution du métier de programmiste au travers des réformes et de la

législation

(15)

15

1.2.2. Une légitimation du métier de programmiste

(16)

16

1.2.3. La perception des programmistes sur l’évolution du métier

1.3. Le champ d’action de la programmation

1.3.1. Une tentative de définition par les programmistes

(17)

17

1.3.2. Distinction entre les deux champs programmatiques

(18)

18

1.3.3. La distinction entre urbaniste, architecte et programmiste

(19)

19

1.3.4. Le programmiste est conseiller et accompagnateur de l’idée de projet

2. La phase de programmation dans la démarche de projet urbain

durable

(20)

20

2.1.1. La programmation, une étape clé du déroulement du projet urbain

15

Pl an if ic at io n Intention du projet & choix du

site Programmation urbaine Conception urbaine Réalisation de l'aménagement Projets de construction Gestion du quartier

(21)

21

2.1.2. Le déroulé d’une mission de programmation

Diagnostic &

Préprogramme

Scénarios

Programme

Concours

maîtrise

d'oeuvre

(22)

22

2.1.3. La programmation : un langage spécifique

2.1.4. Les outils de la programmation

2.1.5. Les méthodes du programmiste

(23)

23

La démarche itérative et participative

2.2. La perception du programmiste dans la démarche de programmation

(24)

24

Le diagnostic

18%

Le dialogue, la

relation avec le

commanditaire

36%

Le document

programme

27 %

La veille sur les

pratiques de

l'innovation

18%

QU'EST-CE QUI EST LE PLUS IMPORTANT DANS LA

PROGRAMMATION ARCHITECTURALE ?

Le diagnostic

33%

Le dialogue, la

relation avec le

commanditaire

29%

Le document

programme

17%

La veille sur les

pratiques de

l'innovation

17%

Autres

4%

QU'EST-CE QUI EST LE PLUS IMPORTANT DANS LA

PROGRAMMATION URBAINE ?

(25)

25

2.3. L’inscription de la programmation dans l’urbanisme durable

2.3.1. Le contexte d’évolution de l’urbanisme durable

Au niveau international

Au niveau européen

(26)

26

Au niveau national

-

-

-

-

-

-

Du Grenelle de l’Environnement à un Plan Ville durable

(27)

27

2.3.2. Les principes de l’urbanisme durable

Tentative de définition de l’urbanisme durable

(28)

28

Le point de vue des programmistes sur l’urbanisme durable :

2.3.3. La programmation est inscrite dans les démarches de labellisation

(29)

29

-

-

La démarche Haute Qualité Environnementale

(30)

30

-

-

-

La démarche HQE est intégrée dans la programmation architecturale où sont exposés les indicateurs

de niveaux minimaux à atteindre dans le programme.

La démarche Bâtiment Durable Méditerranéen

-

-

-

-

-

-

-

(31)

31

La démarche EcoCité

-

-

-

-

-

La démarche EcoQuartier

2000

2005

2008

2009

2010

naissance de la démarche EcoQuartier en Europe du Nord

La démarche s'installe en France avec le projet de la caserne de Bonne à Grenoble

Une vision commune autour de l'Ecoquartier émerge graâce à l'impulsion de l'Etat

en lien avec les collectivités

Premier appel à projets Ecoquartiers et création du

comité scientifique EcoQuartier

Ambition "Ville durable" formalisé par la loi Grenelle II

+ Création du club national EcoQuartier pour diffuser les

bonnes pratiques

2011

2012

2013

2016

2017

Second Appel à Projets EcoQuartiers

Création du label EcoQuartier pour distinguer l'exemplarité des démarches et clarifier les conditions de réussite des interventions

sur les quartiers

1ère campagne de labellisation, 13 labels décernés et 32 diplômes

"Engagé dans la labellisation"

4ème campagne et refonte du label en quatre étapes

avec une démarche plus ambitieuse

5ème campagne : 5 labels étape 4, 14 labels étape 3 et

(32)

32

-

-

-

-

-

-

-

-

-

-

-

-

(33)
(34)

34

3. L’impact d’une démarche de durabilité sur le métier de

programmiste

3.1. L’impact des politiques incitatives de durabilité sur leur métier

-

-

-

(35)

35

3.2. Le rôle du programmiste dans la démarche de durabilité

3.2.1. Un rôle de conseiller et d’accompagnateur auprès de la maîtrise d’ouvrage

(36)

36

3.2.2. Le programmiste a un rôle d’ensemblier et d’expert dans le déroulé de la

mission

3.3. Une prise en compte de la durabilité plus floue dans la programmation

urbaine que dans l’architecture

Figure 12 : Graphique représentant le rôle du programmiste

dans une mission de projet durable

Expert; 0%

Ensemblier; 30%

Les deux; 50%

Autres; 20%

QUEL RÔLE A LE PROGRAMMISTE DANS UNE ÉTUDE QUI

FAIT APPEL À UNE DÉMARCHE DE DURABILITÉ ?

(37)

37

Les deux 70% Programmation architecturale 30% Programmation urbaine 0%

PENSEZ-VOUS QUE LA PRISE EN COMPTE DE LA

DURABILITÉ EST PLUS PRÉSENTE DANS LA

PROGRAMMATION URBAINE OU ARCHITECTURALE ?

Figure 13 : Graphique représentant la part de la prise en compte de la

durabilité entre la programmation urbaine et architecturale

(38)

38

3.4. Les limites de la démarche de programmation dans une démarche de

durabilité

-

-

-

-

(39)

39

Partie 2 : Quelles sont les modalités d’intégration des

démarches de durabilité par le programmiste ?

Analyse de deux études de cas.

(40)

40

Partie 2 : Quelles sont les modalités d’intégration des

démarches de durabilité par le programmiste ?

Analyse de deux études de cas.

1. Etude de l’intégration de démarches durables dans la phase

programmation

1.1. Le contexte et les attendus du Maître d’Ouvrage en termes de durabilité

dans une étude de programmation

1.1.1. La programmation de la Plaine Chabrier s’inscrivant dans une démarche

EcoCité nationale

(41)

41

-

-

-

(42)

42

Le CCTP donne l’ambition du projet : la labellisation Ecocité

-

-

(43)

43

-

-

Développement à minima

Développement à maxima

Densité (lgt/ha)

75

125

Logements

15 000

25 000

Equipements

Appui sur l’existant et développement fonctions agglomération

Rythme de production

15 ans

Commerce

Développement d’une nouvelle zone (jonction RN-Ville) et d’une

offre de proximité

Loisirs et Tourisme

Loisirs « pôle aquatique » utilisation de la baie

Développement de la plaine de loisirs autour du Stade

Déplacement

« ville sans stationnement visible » mais accessible à la voiture

pour les résidents (réversibilité), offre en stationnement relais

périphérique (protection). Grande accessibilité Transport en

commun et modes doux

Positionnement

Un pôle urbain

1.1.2. La construction d’un groupe scolaire à Vedène dans une démarche BDM

Le contexte d’étude

(44)

44

Le programmiste guide le maître d’ouvrage vers une dimension de durabilité

1.2. Analyse comparée de la méthodologie mise en place pour traiter la

démarche de durabilité

1.2.1. Comparaison de l’intégration de la démarche durabilité dans la

programmation

(45)

45

1.2.2. Comparaison sur le déroulé des missions de programmation

-

(46)

46

-

(47)

47

-

-

-

1.3. Le positionnement du programmiste dans la démarche de durabilité

1.3.1. Le programmiste est le chef d’orchestre de la mission

(48)

48

1.3.2. Le programmiste est l’accompagnateur du projet dans sa durabilité

(49)

49

1.3.3. Le programmiste se positionne en tant que conseiller de propositions

durables

(50)

50

Les analyses prospectives définissent la programmation du projet

(51)

51

2. Etude de la démarche de programmation sous le prisme de la grille

EcoQuartier

2.1. La méthodologie appliquée

(52)

52

2.2. L’analyse de la programmation de deux études au travers de la grille

EcoQuartier

2.2.1. L’étude de la programmation de la Plaine Chabrier dans une démarche

Ecocité au travers de la Charte Ecoquartier

(53)
(54)

54

(55)

55

-

-

(56)

56

-

(57)

57

(58)

58

(59)
(60)
(61)

61

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(63)

63

(64)

64

(65)

65

(66)

66

(67)

67

(68)

68

-

-

-

(69)

69

Un réseau de transport en commun en site propre desservira la Plaine Chabrier avec le centre-ville

de Saint Paul au Sud via la Plaine des loisirs et la ville du Port au Nord. La carte ci-dessous met en

évidence la desserte optimale de l’axe Nord-Sud TCSP (flèche en violet) en considérant un rayon

d’influence de 400m des stations. (voir carte ci-dessous).

(70)

70

PRESERVATION DES RESSOURCES ET ADAPTATION AU CHANGEMENT CLIMATIQUE

-

-

-

-

-

(71)

71

Le programmiste a étudié la question des eaux usées et comment les valoriser :

(72)
(73)

73

2.2.2. L’analyse de la programmation d’un groupe scolaire de Vedène dans une

démarche BDM au travers de la Charte Ecoquartier

(74)

74

(75)
(76)

76

-

-

-

-

-

-

-

(77)

77

-

-

(78)
(79)

79

.

(80)

80

-

La piscine

La salle de spectacle

Le parc public

Le site d’implantation

de l’école

(81)

81

-

-

Parking mutualisé :

Piscine / école

Parking mutualisé :

salle de spectacle /

école

(82)

82

-

(83)

83

-

-

-

-

-

-

-

-

-

-

:

-

-

-

(84)

84

-

(85)

85

(86)
(87)

87

-

(88)
(89)
(90)
(91)
(92)

92

REMERCIEMENTS ... 3

Sommaire ... 4

Glossaire ... 5

INTRODUCTION ... 6

PARTIE 1 : Quelles concordances entre les démarches de programmation et

d’urbanisme durable ? ... 12

1.

Un nouveau métier de la branche aménagement : la programmation ... 13

1.1.

L’émergence de la programmation ... 13

1.1.1.

Le programme comme un mode de contrôle dans l’acte de bâtir ... 13

1.1.2.

L’apparition de la programmation avec l’émergence des villes nouvelles ... 14

1.2.

Evolution du métier de programmiste au travers des réformes et de la législation .... 14

1.2.1.

Les prémices de son autonomisation ... 14

1.2.2.

Une légitimation du métier de programmiste ... 15

1.2.3.

La perception des programmistes sur l’évolution du métier ... 16

1.3.

Le champ d’action de la programmation ... 16

1.3.1.

Une tentative de définition par les programmistes ... 16

1.3.2.

Distinction entre les deux champs programmatiques ... 17

1.3.3.

La distinction entre urbaniste, architecte et programmiste ... 18

1.3.4.

Le programmiste est conseiller et accompagnateur de l’idée de projet ... 19

2.

La phase de programmation dans la démarche de projet urbain durable ... 19

2.1.

La démarche du programmiste, une démarche stratégique du projet urbain ... 19

2.1.1.

La programmation, une étape clé du déroulement du projet urbain ... 20

2.1.2.

Le déroulé d’une mission de programmation ... 21

2.1.3.

La programmation : un langage spécifique ... 22

2.1.4.

Les outils de la programmation ... 22

2.1.5.

Les méthodes du programmiste ... 22

L’approche multiscalaire ... 22

La démarche itérative et participative ... 23

2.2.

La perception du programmiste dans la démarche de programmation ... 23

2.3.

L’inscription de la programmation dans l’urbanisme durable ... 25

2.3.1.

Le contexte d’évolution de l’urbanisme durable ... 25

Au niveau international ... 25

(93)

93

Au niveau européen ... 25

Au niveau national ... 26

Du Grenelle de l’Environnement à un Plan Ville durable ... 26

2.3.2.

Les principes de l’urbanisme durable ... 27

Tentative de définition de l’urbanisme durable ... 27

Le point de vue des programmistes sur l’urbanisme durable : ... 28

2.3.3.

La programmation est inscrite dans les démarches de labellisation ... 28

La démarche Haute Qualité Environnementale ... 29

La démarche Bâtiment Durable Méditerranéen ... 30

La démarche EcoCité ... 31

La démarche EcoQuartier ... 31

3.

L’impact d’une démarche de durabilité sur le métier de programmiste ... 34

3.1.

L’impact des politiques incitatives de durabilité sur leur métier ... 34

3.2.

Le rôle du programmiste dans la démarche de durabilité ... 35

3.2.1.

Un rôle de conseiller et d’accompagnateur auprès de la maîtrise d’ouvrage ... 35

3.2.2.

Le programmiste a un rôle d’ensemblier et d’expert dans le déroulé de la mission

... 36

3.3.

Une prise en compte de la durabilité plus floue dans la programmation urbaine que

dans l’architecture ... 36

3.4.

Les limites de la démarche de programmation dans une démarche de durabilité ... 38

Partie 2 : Quelles sont les modalités d’intégration des démarches

de durabilité par le programmiste ? Analyse de deux études de

cas. ... 39

1.

Etude de l’intégration de démarches durables dans la phase programmation ... 40

1.1.

Le contexte et les attendus du Maître d’Ouvrage en termes de durabilité dans une

étude de programmation ... 40

1.1.1.

La programmation de la Plaine Chabrier s’inscrivant dans une démarche EcoCité

nationale ... 40

Le contexte d’étude ... 40

Le CCTP donne l’ambition du projet : la labellisation Ecocité ... 42

1.1.2.

La construction d’un groupe scolaire à Vedène dans une démarche BDM ... 43

Le contexte d’étude ... 43

Le programmiste guide le maître d’ouvrage vers une dimension de durabilité ... 44

1.2.

Analyse comparée de la méthodologie mise en place pour traiter la démarche de

durabilité ... 44

1.2.1.

Comparaison de l’intégration de la démarche durabilité dans la programmation44

1.2.2.

Comparaison sur le déroulé des missions de programmation ... 45

(94)

94

1.3.

Le positionnement du programmiste dans la démarche de durabilité ... 47

1.3.1.

Le programmiste est le chef d’orchestre de la mission ... 47

1.3.2.

Le programmiste est l’accompagnateur du projet dans sa durabilité ... 48

1.3.3.

Le programmiste se positionne en tant que conseiller de propositions durables 49

L’insertion urbaine prévaut sur la densité ... 49

Les analyses prospectives définissent la programmation du projet ... 50

2.

Etude de la démarche de programmation sous le prisme de la grille EcoQuartier ... 51

2.1.

La méthodologie appliquée ... 51

2.2.

L’analyse de la programmation de deux études au travers de la grille EcoQuartier .... 52

2.2.1.

L’étude de la programmation de la Plaine Chabrier dans une démarche Ecocité au

travers de la Charte Ecoquartier ... 52

2.2.2.

L’analyse de la programmation d’un groupe scolaire de Vedène dans une

démarche BDM au travers de la Charte Ecoquartier ... 73

2.3.

Critique de l’analyse ... 85

CONCLUSION ... 87

BIBLIOGRAPHIE ... 89

Table des matières ... 92

Tables des illustrations ... 95

ANNEXES ... 97

Résumé ... 124

Abstract ... 124

(95)

95

Figure 1 : Croquis illustrant un aménagement urbain durable ... 12

Figure 1 : Croquis illustrant un aménagement urbain durable ... 12

Figure 2 : Les relations entre acteurs de l'aménagement urbain ... 18

Figure 3 : La démarche théorique classique du projet urbain ... 20

Figure 4 : Schéma méthodologie de la démarche de programmation ... 21

Figure 5 : Graphique représentant le point de vue des programmistes sur ce qu'ils considèrent

comme le plus important dans une programmation architecturale et urbaine ... 24

Figure 6 : Les 14 cibles de la démarche HQE ... 29

Figure 7 : Les étapes dans la démarche d'accompagnement BDM ... 30

Figure 8 : Frise chronologique de l'apparition de la démarche Ecoquartier ... 31

Figure 9 : Les 20 engagements du Label Ecoquartier, 2013 ... 32

Figure 10: Les sous notions des 20 engagements du label Ecoquartier ... 33

Figure 11 : Graphique représentant le rôle du programmiste dans une mission de projet durable .... 36

Figure 12 : Graphique représentant la part de la prise en compte de la durabilité entre la

programmation urbaine et architecturale ... 37

Figure 13: Vue aérienne de la Plaine Chabrier, île de la Réunion ... 39

Figure 14: Les périmètres de l'étude ... 41

Figure 15: Périmètre zoomé de l'étude ... 42

Figure 16 : Tableau récapitulatif des attentes du maître d'ouvrage ... 43

Figure 17: Périmètre d'étude ... 44

Figure 18 : Localisation du site d'implantation du groupe scolaire ... 46

Figure 19 : Test programmatique pour l'hypothèse 1 de 15 000 logements (à gauche) et l’hypothèse

de 25 000 logements (à droite) ... 50

Figure 20 : Un site propice à un urbanisme de proximité ... 52

Figure 21 : Environnement au Nord du Site : une zone industrielle ... 53

Figure 22 : Environnement à l'Ouest du site : un cordon littoral boisé, lieux de promenades, de loisirs

et d’accès à la mer ... 53

Figure 23 : Environnement au Sud du site : Une opération immobilière récente et un pôle de sports et

de loisirs ... 53

Figure 24 : Environnement à l'Est du site : Zone d'activités le long de la RN7... 54

Figure 25 : Trafic automobile du site (image à gauche), carte des lignes du réseau de bus (image à

gauche) et zoom sur la desserte en transport en commun du site (image en dessous) ... 54

Figure 26 : La Plaine Chabrier revêt d'une opportunité en termes de continuité des "itinéraires

privilégiés bus" ... 55

Figure 27 : Plan de prévention des risques d'inondation de la Plaine Chabrier ... 56

Figure 28 : L’inscription du site dans le territoire ... 57

Figure 29 : Tableau récapitulatif des surfaces du programme ... 57

Figure 30 : Carte de propositions d'aménagement du réseau des modes doux ... 60

Figure 31 : Estimation du coût d'investissement ... 62

Figure 32 : Carte des tracés des lignes du réseau de transport en commun ... 69

Figure 33 : Carte d’orientation stratégique de préservation des milieux naturels ... 72

Figure 34 : Graphique des évolutions annuelles des effectifs en maternelle et élémentaire entre 2009

et 2015... 73

Figure 35 : Graphique de l'évolution du nombre de logements prévus à l'horizon 2021 ... 73

(96)

96

Figure 36 : Tableau des besoins en nombre de classes ... 74

Figure 37 : Tableau des effectifs d'élèves ... 74

Figure 38 : Tableau des effectifs du personnel ... 75

Figure 39 : Tableau de synthèse des surfaces du Groupe scolaire ... 75

Figure 40: Schéma de fonctionnement de l'école ... 76

Figure 41 : Carte du site d'implantation de l'école ... 78

Figure 42 : Carte de spatialisation des équipements publics ... 80

Figure 43 : Carte des parkings mutualisés ... 81

Figure 44 : Plan du réseau de transport en commun ... 82

(97)

97

Annexe 1 : Tableau récapitulatif des réponses des 10 programmistes interrogés au travers d’un

questionnaire semi-directifs ... 98

Annexe 2 : Retranscription de l’entretien avec la programmiste chef de projet de l’étude de

programmation de la Plaine Chabrier qui s’inscrit dans la démarche Ecocité ... 101

Annexe 3 : Retranscription de l’entretien avec la programmiste chef de projet de l’étude de

programmation de du groupe scolaire de Vedène qui s’inscrit dans une démarche BDM ... 104

Annexe 4 : La grille de la démarche BDM remplie par la programmiste ... 110

Annexe 5 : Grille de la charte Ecoquartier qui a servi de support pour la partie 2. 2.2. ... 119

Annexe 6 : Tableau des coûts d’investissement... 122

(98)

98

Annexe 1 : Tableau récapitulatif des réponses des 10 programmistes interrogés au

travers d’un questionnaire semi-directifs

numéro du

questionnaire

Quel poste avez-vous au sein de Parvis Menighetti

?

Depuis quand travaillez-vous chez Parvis

Menighetti ?

Depuis quand travaillez-vous dans la programmation ?

Le métier de programmiste a-t-il évolué selon vous depuis

que vous exercez ?

Si oui, quelles en sont les raisons et la nature de

ces évolutions ?

Si non, pourquoi ? Qu'est-ce que pour vous l'urbanisme durable ?

Comment définiriez-vous la programmation ?

1 Chargé d'études Entre 2 à 5 ans Entre 2 à 5 ans

La préservation des ressources, Une prise en compte de la protection de l’environnement, l’équité sociale et l’efficacité économique

Rendre possible la réponse aux besoins des usagers actuels, tout en anticipant les besoins des populations futures

2 Chef de projet Entre 2 à 5 ans Entre 2 à 5 ans

La préservation des ressources, Concilier urbanisme et environnement, Un étalement urbain maîtrisé, Une prise en compte de la protection de l’environnement, l’équité sociale et l’efficacité économique

Une étape préalable et incontournable à tout projet. Une prise n compte globale du projet.

3 Chargé d'études Moins de 2 ans Entre 5 à 10 ans

La préservation des ressources, Concilier urbanisme et environnement, Un étalement urbain maîtrisé, Une prise en compte de la protection de l’environnement, l’équité sociale et l’efficacité économique

Une pratique pour déterminer la vocation et les usages d'un quartier / territoire à plus ou moins long terme,

4 Chargé d'études Plus de 10 ans Plus de 10 ans Oui

Ensemble des raisons précédentes, + besoins évolutifs (développement durable, technologie et matériel impactant les fonctionnalités, surfaces projets, systèmes constructifs,...),+ une MOA plus technique que par le passé

Une prise en compte de la protection de l’environnement, l’équité sociale et l’efficacité économique

Conseil et "Urgentiste"

5 Chef de projet Moins de 2 ans Entre 5 à 10 ans

Concilier urbanisme et environnement, Une prise en compte de la protection de l’environnement, l’équité sociale et l’efficacité économique

du contenu; du sens

6 Chef de projet Entre 5 à 10 ans Entre 5 à 10 ans

Une démarche de labellisation (écoquartier, BDM, écocité, HQE), Une prise en compte de la protection de l’environnement, l’équité sociale et l’efficacité économique

La définition du contenant afin d'aider les MOE à dessiner le contenu. Prévoir avant de concevoir. Fiabiliser la démarche de projet.

7 Chargé d'études Moins de 2 ans Moins de 2 ans

Je conçois l'urbanisme durable certes comme une préservation des ressources, mais aussi une préservation de l'humain. Je ne pense pas qu'il existe une dichotomie entre approche prométhéene de notre monde matériel et approche durable, à condition que celle-ci soit prudente et respectueuse --en soit il s'agit d'une forme de rationnalité puisqu'elle prend en compte nos connaissance contemporaine. C'est pourquoi je n'oublierais pas l'importance de la durabilité humaine ou humaniste. Après tout, une approche respectueuse de l'homme (au travail, dans son habitat et dans ses diverses activités) est aussi une approche respectueuse de la nature.

L'aide à la définition des besoins et des prestations nécessaires à la réalisation d'un projet immobilier architectural ou urbain, grâce à des compétences professionnelles, mais surtout au travers du dialogue organisé entre maitrise d'ouvrage et maitrise d'œuvre et dans le meilleur des cas : maitrise d'usage. Ce concept de maitrise d'usage, tel que définit pas Patrick Bouchain, par exemple, interroge d'ailleurs sur le caractère fragmenté d'une activité qui autrefois faisait partie des compétences de l'architecte et de l'urbaniste. A l'heure de la promotion (quasi-doctrinale) du BIM, y compris --souvent de manière incohérente-- dans la programmation, on peut interroger cette émiettement des professions au profit de tâches plus aliénantes. La programmation est-elle durable au sens humaniste ? Je pense qu'il faudra une véritable remise en question de ce type de métier, pour y parvenir.

8 Chef de projet Plus de 10 ans Plus de 10 ans Oui Une plus grande reconnaissance du métier

Une prise en compte de la protection de l’environnement, l’équité sociale et l’efficacité économique

La compréhension des besoins des usagers et la réponse aux usages

9 Chef de projet Entre 5 à 10 ans Plus de 10 ans Oui

exigences des maîtres d'ouvrage et nouveaux contextes socio-économiques

Une prise en compte de la protection de l’environnement, l’équité sociale et l’efficacité économique

démarche: accompagnement du projet du maître d'ouvrage depuis l'idée de départ jusqu'à l'intervention de l'opérateur/ concepteur, et au-delà pour suivre la réalisation champ d'expertise: les fonctions urbaines les services à la collectivité , les usages

10 Chargé d'études Moins de 2 ans Moins de 2 ans

La préservation des ressources, Habitat à faible consommation énergétique, Une prise en compte de la protection de l’environnement, l’équité sociale et l’efficacité économique

C'est la réflexion initiale à tout projet d'urbanisme ou d'architecture permettant l'accompagnement réfléchit et planifié d'un développement urbain.

(99)

99

numéro du questionnaire

Qu’est-ce qui est le plus important pour vous dans la programmation urbaine

?

Qu’est-ce qui est le plus important pour vous dans la programmation architecturale

?

Est-ce que les politiques incitatives de projets labellisés (de type écoquartier, HQE,

BDM, écocité) ont-elles eu un impact sur votre métier ?

Est-ce que dans votre travail d’étude vous intégrez une démarche

de durabilité ?

En quoi vous considérez que vous participez à une démarche de durabilité ?

Pourquoi vous n'intégrez pas une démarche de

durabilité ?

Pensez-vous que la prise en compte de la durabilité est plus présente dans la programmation urbaine ou architecturale ? 1 Le diagnostic, La complémentarité des fonctions du territoire

La relation, les échanges avec le commanditaire : la co-construction de la programmation, La veille sur les pratiques et l’innovation

Oui, une incitation à se former sur le sujet Oui Les 3 à la fois Programmation architecturale

2

La relation, les échanges avec le commanditaire : la co-construction de la programmation, La méthodologie de programmation, Le diagnostic

La relation, les échanges avec le commanditaire : la co-construction de la programmation, Le diagnostic, Le document programme

Oui, une multiplication des études avec une

demande de labellisation Oui

LAd émarche de programmation par essence est une démarche durable...

Les deux

3

La relation, les échanges avec le commanditaire : la co-construction de la programmation, Le diagnostic

La relation, les échanges avec le commanditaire : la co-construction de la programmation, La veille sur les pratiques et l’innovation, Le document programme

Non, pas de multiplication des études avec

une demande de labellisation Oui

Parce que vous y êtes

sensible personnellement Les deux

4

La relation, les échanges avec le commanditaire : la co-construction de la programmation, Le diagnostic, La veille sur les pratiques et l’innovation

La relation, les échanges avec le commanditaire : la co-construction de la programmation, Le diagnostic, Le document programme

Oui, une incitation à se former sur le sujet Oui

L'ensemble des raisons précédentes, + question de bon sens dans le savoir métier

Programmation architecturale

5

La relation, les échanges avec le commanditaire : la co-construction de la programmation, La méthodologie de programmation, La veille sur les pratiques et l’innovation

je ne bosse pas en prog archiNon, pas de multiplication des études avec

une demande de labellisation Non manque de méthode

Programmation architecturale

6

La relation, les échanges avec le commanditaire : la co-construction de la programmation, La veille sur les pratiques et l’innovation

La relation, les échanges avec le commanditaire : la co-construction de la programmation, La méthodologie de programmation, La veille sur les pratiques et l’innovation

Non, pas de multiplication des études avec

une demande de labellisation Oui

Parce que le cadre

législatif vous y oblige Les deux

7 Le diagnostic Le diagnostic Non, pas de multiplication des études avec une demande de labellisation Non

Parce que ce n’est pas spécifié dans l’appel d’offre

Les deux

8

La relation, les échanges avec le commanditaire : la co-construction de la programmation, Le diagnostic

La relation, les échanges avec le commanditaire : la co-construction de la programmation, La méthodologie de programmation

Non, pas de multiplication des études avec

une demande de labellisation Oui

Parce que vous y êtes

sensible personnellement Les deux

9

La relation, les échanges avec le commanditaire : la co-construction de la programmation, La méthodologie de programmation, Le diagnostic, La veille sur les pratiques et l’innovation

La relation, les échanges avec le commanditaire : la co-construction de la programmation, La méthodologie de programmation, Le diagnostic, La veille sur les pratiques et l’innovation, remarque: le document programme , c'est de la méthode

on ne peut pas parler de multiplication d'études car cela induit un jugement négatif , mais des études complémentiares croisées avec la programmation

Oui

parce que cela peut enrichir la réflexion stratégique sur le projet

Les deux

10

La méthodologie de programmation, Le diagnostic

La relation, les échanges avec le commanditaire : la co-construction de la programmation

Non, pas de multiplication des études avec

une demande de labellisation Non

Cela fait partie de la démarche de diagnostic et de PTD, mais cela reste superficielle et plus une démarche de labélisation

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100

numéro du questionnaire

Dans la démarche développement durable, il y a trois dimensions : économique, environnemental et social. Est-ce que dans

votre travail il y a une dimension que vous prenez en compte particulièrement ?

Comment est traité l’aspect durabilité d’une étude de programmation chez Parvis Menighetti?

Quel rôle a le programmiste dans une étude qui fait appel à une démarche de durabilité ?

Pouvez-vous me relater brièvement d’une étude ou plusieurs études où vous avez réalisé/été impliqué dans une démarche de durabilité ? En quoi vous considérez que vous participez à une démarche

durabilité ? Explicitez si vous avez perçu des changements dans votre manière de travailler.

1 Dimension environnementale Ça dépend de son appel d’offre Les deux

Dans une étude où Carine est intervenue, cela nous a permis de réaliser une faisabilité "informée", et d'aider la décision argumentée du maître d'ouvrage (positionnement et orientation du bâtiment, donc parti pris architectural et mise en valeur visuelle de certaines unités du programme).

2 Dimension environnementale En partenariat avec

d’autres bureaux d’étudesLes deux

Comme évoqué précédemment, la démarche de programmation qui consiste à "prévoir avant de faire" est par essence une démarche durable. Elle permet d'avoir une vision globale du projet et ainsi d'orienter celui-ci sur des pistes "durables" et pragmatiques.

En programmation urbaine, il s'agit de stratégies de positionnement/association de grandes fonctions urbaines, habitat-équipements-services sur une logique de densification/mixité, déplacement doux (proximité transports), de circuits courts à partir d'une analyse prospective démographique. Les limites de notre démarche de programmation urbaine résident peut être dans le fait qu'il n'y a pas ou peu de démarche de prise en compte habitante/usagers directs de type macro (concertation, communication,...)

En programmation architecturale, les usagers sont intégrés dès le départ sur la base d'une analyse des besoins. Ces besoins sont ensuite transposés en prescriptions générales et détaillées au sein du programme qui respecte des principes de développement durable.

L'ensemble des études de programmation architecturale sur lesquelles nous intervenons intègrent une démarche qualité environnementale du bâtiment certifié ou non.

3 Les trois dimensions En interne, au sein du

groupe AREP Autres

Pour sur les études sur lesquelles j'ai pu travailler chez Menighetti (principalement programmation architecturale), cela s'est surtout traduit de manière technique et "basique / classique" , et davantage sur l'aspect environnemental et en réponse aux demandes de labels ou certifications (définition des cibles). Mais quelques aspects d'un programme peuvent rentrer dans une démarche de durabilité :

- Si l'on intègre la question du bien-être, un programme rentre complètement dans cette démarche, puisqu'il permet de décrire aux futurs maîtres d'œuvre les conditions "idéales" de travail / vie pour les futurs usagers.

- Une juste définition des besoins, l'incitation à la mutualisation, aux pratiques collaboratives permettent aussi d'éviter la multiplication de surfaces inutiles, et donc de déboucher sur des bâtiments plus réduits ou plus compacts et plus généralement de promouvoir une économie responsable.

- De la même manière, un diagnostic (fonctionnel / architectural) et une faisabilité fine des bâtiments existants permet aux maîtres d'ouvrage de se projeter plus facilement dans une restructuration, parfois la plus légère possible, et d'éviter des démolitions - reconstructions parfois inutiles, pour optimiser le cycle de vie d'un bâtiment.

4 Dimension environnementale, Dimension

économique

En interne, au sein du

groupe AREP Les deux

L'ensemble de nos projets sont concernés, du plus petit des équipements au plus grand. Il s'agit d'une démarche intégrée. Il arrive que certains projets nécessitent une certification ou labellisation, en ce cas, notre travail sera plus poussé sur le sujet.

5 Dimension sociale plutot peu traitée Autres ca n'est pas vraiment arrivé

6 Dimension environnementale, Dimension sociale Ça dépend de son appel d’offre Les deux a

7 Les trois dimensions Ça dépend de son appel d’offre Ensemblier : il aide au

montage du projet

Pas à Menighetti-Parvis, mais dans mon précédent poste de programmiste. J'ai réalisé des programmes pour deux universités américaines, dans lesquelles il y avait une attente beaucoup plus importante en terme de démarche de durabilité. A cette fin j'ai travaillé avec un bureau d'étude spécialisé. Dans ma démarche de programmiste, j'ai insisté sur un panel de matériaux bio-sources, locaux et adaptés au climat local. Par ailleurs, la question de l'utilisation d'énergie pour conserver des températures très basses en été et très chaudes en hiver a été un débat très important. Les américains étant très demandeur de climatisation et chauffage. Nous avons convenu de températures moyennes à obtenir en hiver et en été, avec la prescription donnée aux architectes d'obtenir ces températures tout en visant le LEED Gold. La certification a été une véritable aide dans ce cas. Mais je pense qu'un deuxième élément important a été le choix des matériaux. J'ai pu démontrer que certains de ces matériaux permettaient d'obtenir des avantages environnementaux, mais aussi et surtout en terme de coût de maintenance.

8 Dimension environnementale

Antilles-Guyane = soit en interne, soit avec un BE local

Ensemblier : il aide au montage du projet

De manière générale aujourd'hui, la démarche est présente dans tous les projets, même si la demande est plus ou moins explicite de la part des MOA.

La participation à la démarche, elle est continue je dirai, elle commence dès qu'on aborde le pourquoi du projet, pour qui, et sa dimension prospective, l'objectif étant d'essayer d'anticiper le plus possible pour le projet soit durable fonctionnellement dans ses composantes en lui permettant d'évoluer, de s'adapter en lien bien sûr avec le niveau technique et environnemental par les réponses qui peuvent être apportées pour que le bâtiment vieillisse bien par exemple (structure évolutive, qualité matériaux...). En programmation urbaine, ce sera plus les nouvelles pratiques autour de la mobilité qui pour moi permettent d'entrer dans ce côté durabilité et conserver aussi des espaces pour des évolutions ultérieures, qui puissent muter facilement au fil du temps.

Les MOA sont plus sensibles aujourd'hui et la démarche mieux connue.

9 Dimension sociale, Dimension économique Ça dépend de son appel

d’offre Les deux

en prog archi, plutôt vécu comme démarches parallèles qui se conjuguent au stade des prescriptions techniques et des exigences d'exploitation. .

En prog urbaine, l'apport de la démarche durable peut impacter le programme

10 Dimension sociale, Dimension économique Ça dépend de son appel d’offre Ensemblier : il aide au

montage du projet

Des projets ayant comme objectif de développer des bâtiments bdm : Vitrolles Cosec/SMAVD (extension de bureaux/bâtiment labélisé)... Pas de bon exemples...

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Annexe 2 : Retranscription de l’entretien avec la programmiste chef de projet de l’étude

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Annexe 4 : La grille de la démarche BDM remplie par la programmiste

C o d e C ri re N b d e p o in ts P o in ts p ro je t Ju st ifi ca ti o n s 1 .1 O p ti m is at io n d u c h o ix d u s it e 1 .1 .2 1 .1 .2 .1 Le p ro jet p er m et d e rev alo ris er u n e fr ic h e o u u n q u ar tier e n d és u ét u d e (o u d és er tif ié) 0 ,4 2 x Si te co n st ru ct ib le d éj à o cc u p é p ar d es u sa ges va ri és 1 .1 .2 .4 Le p ro jet p er m et u n a m én ag em en t d u t er rit o ir e 0 ,4 2 x Il p er met l' amén ag eme n t d e l'es p ac e arri èr e d e la p is ci n e So u s-to ta l d e s p o in ts 0 ,8 4 1 .1 .4 1 .1 .4 .1 Les t ra n sp o rt s e n c o m m u n s o n t à m o in s d e 5 m in u tes à p ied s d u s it e 0 ,1 2 x Tra n sp o rt s su r l'a ven u e P ier re d e C o u b er ti n à 2 0 0 m d u s it e 1 .1 .4 .2 Il ex is te d es v o ies p iét o n n es s éc u ris ée s q u i r eli en t le s it e au r es te d u q u ar tier , o u d es a m én ag em en ts s o n t p rév u s d an s le c ad re d u p ro jet 0 ,1 2 x A mén ag eme n ts p iét o n s p o u r ac cès p ark in g et s éc u ri sa ti o n f ra n ch is seme n t R D d an s le ca d re d u p ro jet 1 .1 .4 .3 l ex is te d es p is tes c yc la b les q u i r eli en t le s it e au r es te d u q u ar tier / la f aib le d en sit é d e cir cu la tio n e st c o m p at ib le a ve c la p ra tiq u e d u v élo 0 ,1 2 A véri fi er 1 .1 .4 .8 L e n o m b re d e p la ce s d e p a rk in g p ré vu su r le si te e st li m it é se lo n le P L U 0 ,1 2 x P as d e p la ces d e st at io n n eme n t p ré vu es d an s l'o p ér at io n . S ta ti o n n eme n t mu tu al is é Es p la n ad e B ard i 1 .1 .4 .9 U n co n ta ct a é té p ri s a ve c la m a ir ie p o u r o rg a n ise r la ci rcu la ti o n ju sq u 'à l' é ta b lisse m e n t 0 ,1 2 D an s la p h as e o p ér at io n n el le 1 .1 .4 .1 3 U n p ar ki n g à 2 r o u es m o to ris é es t p rév u ( m o to s e t s co o ter s) 0 ,1 2 x O u i à p ro xi mi té d e l'a cc ès p iét o n 1 .1 .4 .1 4 Le p ro jet e st p en sé p o u r f avo ris er l' u sa ge d u v élo ( p ar ki n g à v élo s. .. ) 0 ,1 2 x O u i à p ro xi mi té d u p arvi s d e l'éc o le So u s-to ta l d e s p o in ts 0 ,8 4 1 .1 .5 1 .1 .5 .1 D es v u es r em ar q u ab les s o n t d is p o n ib les d ep u is le t er ra in e t s o n t m is es e n v aleu r o u il n 'y p as d e vu es r em ar q u ab les 0 ,2 1 x P as d e vu es re ma rq u ab les 1 .1 .5 .2 P o ss ib ilit és d e ca p ter l' én er gie s o la ir e 0 ,2 1 x O u i 1 .1 .5 .3 P ro tec tio n c o n tr e les n u is an ces a co u st iq u es 0 ,2 1 L' av P ier re d e C o u b er ti n es t cl as sé en c at . 4 a vec u n e la rg eu r imp ac tée p ar le b ru it d e 3 0 m. Le si te d u p ro j es t à 7 0 m 1 .1 .5 .4 P o ss ib ilit és d 'u til is er l' ea u d u t er ra in 0 ,2 1 x R éc u p ér at io n d es ea u x d e p lu ies p o u r les es p ac es vert s So u s-to ta l d e s p o in ts 0 ,8 4 1 .1 .6 A m é lio re r la s é c u ri à l 'e n tr é e d e l ta b lis s e m e n t 1 .1 .6 .2 Le p ro jet e st l' o cc as io n d e vé rif ier la d if fér en cia tio n d es f lu x e t d es a cc ès à l' ét ab lis sem en t ( p iét o n s, 2 r o u es , v éh ic u les e t li vr ais o n s) 0 ,4 2 x A cc ès d if fér en ci és p o u r les p iét o n s, les V L et les li vra is o n s 1 .1 .6 .3 Le p ro jet e st l' o cc as io n d e s' in ter ro ger s u r la d im en sio n d u p ar vis 0 ,4 2 x D imen si o n d u p arvi s ad ap tée a u x u sa ges So u s-to ta l d e s p o in ts 0 ,8 4 1 .1 .7 1 .1 .7 .1 Le p ro jet c o n tr ib u e à f avo ris er les c h em in em en ts p iét o n s. 0 ,2 1 x A mén ag eme n t d e l'es p ac e B ard i, lia is o n s p iét o n n es a vec l' éc o le d ep u is le p ark in g 1 .1 .7 .2 Le p ro jet e st l' o cc as io n d e s' in tér ro ger s u r la q u ali té (es th ét iq u e et f o n ct io n n ell e) d es e sp ac es e xt ér ieu rs 0 ,2 1 x Es p ac es p u b lic s tra it és d an s le ca d re d e l'a mén ag eme n t d e l'es p ac e B ard i. P ro lo n geme n t d u tra it eme n t 1 .1 .7 .3 Le p ro jet c o n tr ib u e à li m it er le s ta tio n n em en t a n ar ch iq u e et la c ir cu la tio n d es v éh ic u les m o to ris és 0 ,2 1 x O u i c ar au cu n s ta ti o n n eme n t V L n 'es t p ré vu s u r le ter ra in d 'a ss iet te So u s-to ta l d e s p o in ts 0 ,8 4 1 .2 A d ap ta ti o n d u b ât im e n t a u s it e et a u c lim at 1 .2 .1 1 .2 .1 .1 Le b ât im en t a tt ein t u n BB IO in fér ieu r à R T 2 0 1 2 m o in s 5 % 0 ,1 7 5 x 1 .2 .1 .2 Le b ât im en t a tt ein t u n BB IO in fér ieu r à R T 2 0 1 2 m o in s 1 0 % 0 ,1 7 5 1 .2 .1 .3 Le b ât im en t a tt ein t u n BB IO in fér ieu r à R T 2 0 1 2 m o in s 1 5 % 0 ,1 7 5 TE R R IT O IR E E T S IT E O p ti m is e r l e s a va n ta ge s d e la p ar ce lle Ge st io n d e s f lu x et s ta ti o n n e m e n ts R e sp e ct e r l e s r è gl e s d e l' ar ch it e ct u re b io cl im at iq u e P ar ti ci p e r a u r e n o u ve lle m e n t u rb ai n Fa vo ri se r l 'u ti lis at io n d e s t ra n sp o rt s a lt e rn at ifs à la v o it u re in d iv id u e lle

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111

1 .2 .1 .5 Le b at im en t f ait u n c o m p ro m is e n tr e co m p ac it é (t h er m iq u e) e t f aib le ép ais seu r d u b ât i ( éc la ir ag e et v en til at io n n at u rell e fa vo ris és ) 0 ,1 7 5 A tt en ti o n p o rt ée s u r u n b ât imen t co mp ac t 1 .2 .1 .7 Le b ât im en t p o ss èd e u n e in er tie m o ye n n e et p eu t ê tr e n at u rell em en t r af ra îc h i l a n u it e n p ér io d e ch au d e o u , s 'il e st à f aib le in er tie, e st c o n çu p o u r ga ra n tir le c o n fo rt t h er m iq u e, n o ta m m en t e n p ér io d e ch au d e (m o is h o rs é té o ù l' ét ab lis sem en t a p lu s d 'a p p 0 ,1 7 5 x 1 .2 .1 .9 Le b ât im en t u til is e la v en til at io n n at u rell e en é té 0 ,1 7 5 Fre ec o o lin g 1 .2 .1 .1 0 Le b ât im en t e st p ro tég é d es v en ts e n h iver 0 ,1 7 5 x P ro tég é d u M is tra l 1 .2 .1 .1 2 Le b ât im en t s e d o te d 'u n é lém en t s o la ir e p as sif ( m u r c ap teu r, v ér an d a, c ap teu r à a ir , …) 0 ,1 7 5 Jeu x d e tra n sp are n ces et d e verre s en vi sa gea b le. So u s-to ta l d e s p o in ts 1 ,4 1 .2 .2 1 .2 .2 .3 L' o rien ta tio n d es lo ca u x e st r éa lis ée e n f o n ct io n d e l'u sa ge (b u rea u x, c la ss es ) e t s elo n les a p p o rt s s o la ir es e t lu m in eu x 0 ,3 5 x D es s as a u n ivea u d es en tré es s er o n t p ré vu s. U n mu r d o u b le p ea u p eu t êt re p ro p o sé. Imp o rt an ce d u p o si ti o n n eme n t d es lo ca u x à u sa ges p ri n ci p al n éc es si ta n t lu mi èr e, so lei l et les 1 .2 .2 .4 L' ef fic ac it é d es lo ca u x d an s l' es p ac e es t r ec h er ch ée : m eil leu r r ap p o rt s p /s u , p o sit io n lo ca l c o n cier ge, o p tim is at io n s u rf ac e d es c la ss es , lo gem en ts co llec tif s, et c… 0 ,3 5 x R at io n al is at io n a vec p ô le ad u lt e co mmu n et a tel ier s mu tu al is és 1 .2 .2 .5 L 'e ff ica ci té d e s lo ca u x d a n s le t e m p s e st r e ch e rch é : t a u x d 'o ccu p a ti o n h e b d o m a d a ir e d e 3 2 à 3 6 h , m u tu a lisa ti o n d e p a rk in g s, g ym n a se s, sa lle s p o lyva le n te s, r e st a u ra n ts, i n te rn a ts. .( e n f o n ct io n d e la co n ce rt a ti o n ) 0 ,3 5 x U ti lis at io n d es lo ca u x p ar p ér i et ex tra sc o la ire , p o u r d es a ct ivi tés mu n ic ip al es , et c en tre a ér é p en d an t les va ca n ces 1 .2 .2 .7 Les lo ca u x e t les c ir cu it s d es d éc h et s d 'a ct ivit és s o n t p rév u s a in si q u 'u n e p rév is io n d es c o n ten eu rs e t a cc es so ir es d e tr an sp o rt 0 ,3 5 x P ré vu s d an s le p ro jet a vec a cc ès d ire ct a ire d e ma n œu vre So u s-to ta l d e s p o in ts 1 ,4 1 .2 .3 1 .2 .3 .1 Le p ro jet n e cr ée p as d e m as q u e so la ir e su r les f aç ad es s u d d es b ât im en ts v o is in s 0 ,4 7 x Id éa leme n t. A véri fi er p ar ra p p o rt à l' h ab it at io n a u n o rd d e la p arc el le 1 .2 .3 .2 Le p ro jet s 'in tèg re d an s le p ays ag e sa n s c o u p er les v u es à d im en sio n p at rim o n ia le d u t er rit o ir e 0 ,4 7 x O u i 1 .2 .3 .3 U n e ét u d e ac o u st iq u e m o n tr e q u e le b ât im en t r es p ec ter a la r ég lem en ta tio n , a ve c u n e ém er gen ce so n o re <3 d B ( A ) d e n u it , e t 5 d N ( A ) d e jo u r. U n co n tr ô le es t p rév u à la li vr ais o n 0 ,4 7 en p h as e … … … . So u s-to ta l d e s p o in ts 1 ,4 1 .3 P se rv at io n / c at io n d 'e sp ac e s ex ri e u rs a d ap s 1 .3 .1 1 .3 .1 .2 Le p ro jet p er m et d e réh ab ilit er u n s o l p o llu é (o u u n e an alys e d e so l p er m et d e d ém o n tr er q u e le s o l n 'es t p as p o llu é) 1 ,4 N o tre s it e n 'es t p as c o n cer n é So u s-to ta l d e s p o in ts 1 ,4 1 .3 .2 1 .3 .2 .1 D es e sp ac es à v ivr e ex tér ieu rs s o n t a m én ag és /p rés er vé s 0 ,7 0 x C o u rs d e ré cré at io n , es p ac e EP S 1 .3 .2 .5 D es d is p o sit io n s s o n t p ris es p o u r lu tt er c o n tr e l'ef fet d 'îl o t d e ch aleu r 0 ,7 0 Es p ac e p ro ch e d u c an al d e la s o rg u e amen an t fra îc h eu r So u s-to ta l d e s p o in ts 1 ,4 1 .3 .3 1 .3 .3 .1 la v ég ét at io n e xis ta n te es t p rés er vé e et d es e sp èc es lo ca les s o n t r ep la n tée s 0 ,2 3 x A re p o si ti o n n er ju d ic ieu seme n t p ar ra p p o rt a u x amén ag eme n ts d es c o u rs 1 .3 .3 .2 Les e sp ec es ( co m m u n es , r em ar q u ab les e t p ro tég ée s) p o ten tiel lem en t p rés en tes s u r le s it e et a len to u rs s o n t id en tif iées e t p ris es e n c o m p te d an s le p ro jet 0 ,2 3 x O u i ré gl eme n ta ti o n P LU a p p liq u ée 1 .3 .3 .3 D es c o n tin u it és é co lo giq u es s o n t m ain ten u es o u r ec réé es a ve c les e sp ac es n o n b ât is a len to u rs 0 ,2 3 Tra me vert e le lo n g d e la s o rg u e / re cu l d e cl o tu re o b lig at o ire p ré ser va n t la ri p is yl ve en p la ce 1 .3 .3 .4 D es m ilieu x d iver sif iés s o n t m ain ten u s o u r ec rée s f avo ris an t u n e d iver sit é d 'es p èc es a n im ales e t v ég ét ales 0 ,2 3 P ro jet s an s imp ac t su r le co rri d o r vert d e la s o rg u e 1 .3 .3 .5 La p o llu tio n lu m in eu se es t li m it ée p ar d es é cla ir ag es a d ap tés a u s tr ic t n éc es sa ir e : r es p ec t d e la t ra m e n o ir e 0 ,2 3 x eff et s n éfa st es s u r les éc o -s ys tème s d es éc la ira ges n o ct u rn es / P as d e lu mi èr e la n u it 1 .3 .3 .6 A u m o in s 2 0 % d e la s u rf ac e n o n b ât ie es t v ég ét ali sée e t a rb o rée 0 ,2 3 Le si te n e p eu t p as re sp ec ter c es d is p o si ti o n s So u s-to ta l d e s p o in ts 1 ,4 0 ,5 3 (s an s les o p ti o n s o ra n ges ) To ta l d e s p o in ts d an s T e rr it o ir e et S it e 1 2 ,6 9 ,4 2 .1 .1 2 .1 .1 .1 P la n ch er e t d all e 1 ,4 3 Ré u til is at io n d 'éc o m at ér ia u x o u d e b io so u rc és q u an tit é n o ta b le o u e n q u as i-to ta lit é, re r l e s s o ls C e r d e s es p ac e s d e t ra n si ti o n en tr e in ri e u r et ex ri e u r P vo ir le s es p ac e s en f o n ct io n d e s u sa ge s et d e s b e so in s N e p as c e r d e g ê n e s s u r l e v o is in ag e et l' e n vi ro n n e m e n t i m m é d ia t Fa vo ri se r l e m ai n ti e n et le d é ve lo p p e m e n t d e la b io d iv e rs it é M A TE R IA U X U ti lis e r d e s éc o -m at é ri au x en q u an ti n o ta b le

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