Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France
Comptes rendus
hebdomadaires des séances
de l'Académie des sciences /
publiés... par MM. les
secrétaires perpétuels
Académie des sciences (France). Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des sciences / publiés... par MM. les secrétaires perpétuels. 1835-1965.
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v y"-1 i
de
iut,84
parseconde, soit
de i58mo,976par
vingt-quatre heures.
Lahau-teur d'élévation atteinte par la roue étant
de 3m, 70,l'effet
jitile
était de:588 190
kilogrammètrespar vingt-quatre heures, soit
6k«m,80par
seconde.
Cettequantité
estinférieure au travail
que
peut
produire
un homni.éagis-sant
par
son poidssur
une roue
àcheville.
» La disposition des godets et de
l'ensemble
del'appareil permet
d'egti-.mer
à 41",875 la capacitéutile,
oule rendement
de chacund'eux.
Ilssont
au
nombre
devingt-cinq
sur
1unecirconférence
de 20m,7j.
Parconsé-quent^
chaque
mètre decirconférence
correspond
à
un
débit
&s 5Ut,82.D'où
il résulteque,
pour
produire
iUt,84par
seconde,
ta
vitesse
démarchedevait être
deo^r
par
seconde.» La mine
ayant
étéremise
enexploitation
par l'auteur
de cette Note,
sans
qu'aucune
trace
detravaux
postérieure à laruine
del'empire romain
aitpu être découverte,
laroue
offertedate
au moins del'année
4i2
avant
Jésus-Christ elle adonc i45o
ansd'existence.
Ce serale
doyeji desappa-reils
d'épuisement figurant dans une collection.
y>
ANALYSE
mathématique.
–
Remarquessurune Note de M.LeBesgue;
par
M.E.
Catalan.
« En lisant le Compte rendu de
la dernière séance,
ilm'a
semblé que
M. Le Besgue suppose nouvelles de&
formules et
desdémonstrations déjà
connues.
Jedemande
à l'Académiela
permission dejustifier,
en
peu demots, mon
assertion.
» 1 Les
relations
2B,+
--01 2B, -4- 1 = 0, 3B? +3B,
4-ï
=o,
(p. 853), ouplutôt
celles-ci
3BS = 5B4 +ioB2=?=|5
2~•
•(p.856),
ne diffèrent
que
par
lanotation
de cellesqu'on trouve
à Japage84
du
grand
Traité deLacroix
(t.III)
(*).» 2. De
l'équation
-1"
M. Le Besgue
tire
lesdéveloppements
deycoty,
de ytangy,
dey
coséc ypuis
il ajoute « Cesformules
bienconnues sont,
comme on voit,bien
» faciles à
démontrer.
u» M. Le Besgue
peut consulter
le tome LIV des Comptes rendus,il
recon-naîtra que
j'ai
démontré, précisément
comme il le fait, les formules enquestion.
» 3. M. Le Besgue semble
douter
que l'on
puisseétablir,
d'une
manière
simple, «
l'élégante formule
puis de
développer,
suivant les puissances dey,
le secondmembre
de ladernière équation.
» 4. Dans
une
Note inséréeaux
Annali di Malematicapura ed applicata(juillet-août
185g),j'ai
indiqué
lamanière
laplus
simple,quant
àprésent,
de
calculer
lesnombres
deBernoulli.
»«
A lasuite
decette communication,
M. CHASLESdit qu'il
a reçuune
Lettre
de M. Le Besguequi lui annonçait
qu'il
venait des'apercevoir que
p. 106o). La Note de M.Le Besgue exige également un erratam. A la page 855, au lieu de
B1
=
-i
=
B3 = Bi=
B, =lisez
B, = – B5 = B6 = B,
=.=
o.
2(*) On pourrait, à l'exemple de M. Serret, la prendre pour point de départ. (Calcul
i
les formules avaient été
démontrées
par
Bernoulli,
et lepriait
deretirer
saNote. Le Compte rendu
était composé; et
M. Chaslesn'a pu
faireconnaître,
qu'à
la séance de cejour,
kdéclaration-
dô M. Le-Besgue, ainsi conçue« Je
m'aperçois,
enconsultant
l'Ars conjectandi de Bernoulli,que
mafor-» mule ne diffère pas de
la
sienne;
veuillez doncn'en point
faire usage.»
–Bordeaux,
n mai
1864. »CHIMIE ORGANIQUE.
–
Recherches surles
combinaisonsdiallyliqites;
par
Si.
Aj>.Wdrtz.
(Deuxièmepartie.)
«
J'ai,
démontrérécemment
quel'allyle
libre
ou
diallyle(&3lF)a
se
comporte comme un
hydrocarbure
€6H10appartenant à
la
série
nonsaturée
GnWn^qu'il
secorftbine avecdeux
moléculesd'acideiodhydrique,
et qu'au
diiodhydrate ainsi
-formécorrespondent
un
diacélaïe et un
dihy-drate.
J'ai
faitremarquer, en
même tempsâqu'indépendamment
decette
sériediatomique
decombinaisonsdiallyliques,
il enexiste
uneautre
monoa-tomique.
Je vaisdécrire cette
secondesérie.
>
»
I.
Lorsqu'on
distille
dansiteTvidejusqu'à^
3o degrésle
produit
dela
réaction
del'acide iodhydrique
sur
le diallyle,
le
diiodhydrate reste, et
ilpasse
dans
lerécipient
du diallyle^non cfimbiiié etun
monoiodhydrate de
diallyle.
Onpeut
lesséparer
facilement =paFdistillationfractionnée,
ceder-nier
nebouillant
sous la pressionordinaire que
de L64à
166 degrés.» C'est
un liquide
incolore
d'unedensité de
1,497 odegré.
Sascom-position
est
expriméeparla
formule €6HriI.
`;"
.y» Le même composéseforme
lorsquron traite
lediiodhydrate
de diallyleparla
potassealcoolique.
Le mélange s'échauffeet
ilconvient
dele
refroidirpour
éviterune réaction
trop
énergique.
Il- seprécipite de
l'iodure
depotassium.