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ARTheque - STEF - ENS Cachan | La commission Lagarrigue (suite)

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Academic year: 2021

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LA COMMISSION

(Suite)

(Suite et fin d'un article dont la preml ere p a rti e est parue s u r le bulletin nO 30 à la pa ge 43).

B. SECOND CYCLE

Au sein de la Commission se sont cre es , d ès la

rentrée 1971, d e ux g r o upe s de t r ava il , l'un p our la phy s ique , l'autre pour la chimie. Ces gro upes ont é l a boré des a v ant -orojets de pro grammes pour les trois classes du secona---c ysecona---cle : secona---ceux de Sesecona---conde é t a i e nt p r ê t s p our l a rentrée 1972 , ceux de Termina le po ur la rentrée 1974 , accomoa gnés , dans tous les cas , des commentaires nécessaires , c e c i dans le cadre des gr i l l e s h oraires de l a r éforme F on t a n e t .

Innovation essentielle : ces avant- pro jets on t fa i t l' objet d'une expérimentati on en deu x p h a s e s , d'abord d a ns une demi - douzaine d' établissements de Par is e t du Nord

(déma r rage en seconde en 1 972 7 3 )., puis dans 14 é t a b l i s -s ement-s de l'Académi e de Grenoble (depui-s 197 3 -74). Au total, environ 100 professeurs et 2 500 élèves ont ét é associés à ce tte opération . Des ép r e u v e s s pé ciales du baccalauréat ont, naturellement, é té organisées l 'an d er nier et le seront d e nouveau c e t t e ann ée. Cette e xpéri men -tation a a pporté des i n f o rm a t i on s e xtrêmement utiles. Mai s elle n'a, toutefois, pas f a i t l 'obje t d'une évalua-tion s ystématique, et l e diffusion des ob s e rvat i on s

tuées n'a guè r e d ébordé le cadre des g roupe s de Physique et Chimie, en tout cas celui de la Cowmission.

Depuis· le début, d e 1976, les deux g r o upe s ont dû reprendre les a vant-projets pour q ue , a pr ès redécoupa qe , ils puissent cadrer a vec les c on train tes nouvelles imposées p a r la présente ré forme (e xis tence d e benc c ommun , di o ptions, nouveaux . hora ires). Apr ès a pprob ation par la Commis -si on, les projets de programme de s e conde on t pu être trans-mis aux autor ités c ompétentes e n mai 1976 . Des a

vant-projets de programme de 1ère et l'ébauche de s programmes de t ermi nale ont é té adopt és pa r la Commission et transmis

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La lenteur relati ve de cette pro g re s si on s'ex pli que pa r l es c ond ition s à l a f ois a s t re ignan t es et fluctu an tes qui on t é té i mposées à n otre travail. Durant une cert aine période , d eva nt des c han gemen t s très f réq ue n t s de gr i l l e h o r a i r e , n ous a v ons dû sans ce s s e p rocéde r à de n ouv e aux d écoupage s d es programme s , n e trouv ant p a s le temp s d' une r é fl e xi on préalable d'e nsembl e s ur les contenus, les mé -thodes et l e s obj ec t i fs de no t re à ce nive a u .

Pour l e secon d cyc le e n effet , p a r opposit ion a u p re mi e r cyc l e , d es con t r a in te s i mp ératives d e ca lendrier ont été don née s d è s les d ébuts de la Commiss ion : de s p ro -po s i t ion s de pro gramme -pour la Seconde devai ent ê tre f our-nie s d ès P âq ues 1 97 2. Ai nsi, l e tra vai l d e ré no v a t i on de l'Ens ei gn ement de s Scie nces Phy s i q u e s , qu i aurait d û porter avan t tout sur la r éno v ation p éda g o oi q ue, l a d idac t i que , la docimol o gie, est d even u un e v é r i t a b le "c ou rse a ux pro-gr a rnme s " .

L'exemple des programmes des c lasses l ittéraire s ill u s t r e bien les c ont r a int e s q u e nous o nt i mposé le s p r o -j et s de r éforme s uc ce s s i f s . Dè s 1972, con f ormément au x direct ive s du Mini st re, une r é fl exion s éri eu s e s ' é t a i t a mor -c é e au s ein de la Commission p o u r élabore r un p ro 0 ramme sc ien t i f iq u e pour l es classes a u n i veau d e

1 è re e t Terminal e. Le pro gr a mme, l oin d ' êt re (c omme il l'e st a c tuel l e ment) un d é coupage arbitraire d e ce l u i de s c la s s e s sc ient i fiq ues , a v ai t s o n ori g inali t é prop re et l ' ambi ti on d 'amene r les é lèves à s'int é r e s s er à l e ur environn ement n a t u r e l e t t e chn i q u e en le d é my sti f ian t . Il pré s ent a it , à

côté d 'un programme l é ge r de conna i s sances f ondame nta le s , une s érie d e th èmes d 'é t ude la i s s a nt une orande l iberté péda gog iq ue a ux profes s e u r s e t un e c hoix a u x é lève s . Or , l a nouve lle structure de l a cl asse de Terminale aura pou r c o ns é que nc e un ôrr ê t . d e l 'e n seigne -men t de s sciences p hys ique s en fin d e 1è r e pour la grande ma jor i té de s é lève s à vo c a t ion litt é r a i r e. Les p ro j e t s

élabo r é s alors, e t q u i a vai en t re n c o n t r é une g r a nde audie n ce, n' ont donc plus d' obj et.

Il est évi de n t q ue le projet d e r éforme d u s ystème édu c a ti f a profondément remi s en une g r a nde pa r t i e d u trav ail d e la Commission e t q ue la st ruc ture des progr a m-mes élaborés depuis 1 97 2 a dû subir de p ro f o nd s c h a ngemen ts . Né a n moin s , et malgré toutes l es co n tra i n t e s de ca l end r i e r , une r éfl exion approfondie a p u être men ée sur l es méthodes d 'en se igneme n t de l a chimi e, de la méc ani que, d es p hé nomè -n es é -n e rgé t iqu e s , de l ' él ec tro ma g-n ét isme et de la p hys iq ue atomiqu e , ré fl e xi on q u i ne manquera pas d 'amél io re r l a q ua li té d e l'en s ei gnement di s pen s é d a ns l e secon d

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4. CE QU'IL RESTAIT A FAIRE

Nous voudrions maintenant présenter un certain nombre de questions ou de tâches restant à faire qui sont apparues grâce aux réflexions de la Commission et qui n'ont pu être résolues ou menées à bien.

al

La rédaction de procrrammes et de ne suffit pas

L'évolution très rapide des sciences physiques se traduit non seulement par un renouvellement des connais-sances (en particulier de celles qui ont trait à leur champ sans cesse croissant d'applications), mais aussi par une évolution profonde des modes de pensée et des méthodes d'investigation qu'elles emploient. Elle impose une trans-formation de leur enseignement.

Pour incompl ète et imparfaite qu 'elle ait été, l'expérimentation a été l'occasion de mettre à l'épreuve un certain nombre de méthodes nouvelles d'enseignement, en même temps que les programmes eux-mêmes. Toutefois, bien qu'elle ait rédigé ses propositions de programmes de manière à ce qu'on puisse s'appuyer sur l'expérimentation, la Commis -sion a eu le souci constant de permettre une mise en appli-cation prudente de la réforme, de laisser une certaine liberté pédagoaique aux professeurs et, enfin, de permet-tre une recherche et une évolution permanente. Cette non-directivité était nécessaire, et elle a été voulue. Il en résulte, en contrepartie, que les programmes (et même---les commentaires) ne traduisent gue de mani ère très impar-faite les intentions de la Commission.

S'ils ne disposent que des programmes et commentai-res, les professeurs et les auteurs de manuels risquent de n'y voir, par comparaison avec les programmes actuels, qu'un ordre arbitrairement bouleversé et quelques retraits et ajouts qu'ils jugeront également arbitraires. Ils per-cevront mal les raisons de ces modifications, ne conce-vront pas les intentions qui les sous-tendent et risqueront fort de retomber dans la routine initiale.

bl

La rédaction d'un livre du maître était indispensable Parfaitement conscients de ces problèmes, les membres de la Commission avaient formé le projet d'un recueil de documents exposant les travaux de la Commission, la r ei sort ù'el:re de ses orientations pédagogiques et les diverses démarches qui, en respectant celles-ci, permettent l'introduction des notions fondamentales; pour certains

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points particu lièrement dél icats , des exposés tr è s détai l -l é s auraient été nécessai res.

Des expér ie nces de cou rs et de travaux pratiques , des matér ie ls d idact iques et a udiovis uels a uraient été décrits , une bibli ograp h ie é tabl ie.

La d isso lut ion de l a Commiss ion a mi s f in à ce pro je t, et l 'on peut c raind re de voir se pe rdre ainsi l e s rés u l -ta ts les p lus i mp o r -ta n t s d'u n long t r a v ai l.

cl

Un effo r t d ' informa t ion de s profe sseurs , d 'une man ière p lus généra le, é tait abso lument indisnensab le.

La Commiss ion a demandé que l e s professeurs de phys ique dans le ur en semble , soien t assoc iés au travail de la Commission . Ba l he ureusement, fa ute de moyens adéq uats , en r é alit é la majori té d 'entre eux a été , le p lus souvent , l a i s s é e e n dehors .

Sans les b u lletins de l eur s assoc iations : l' Un i on des Physic iens e t l 'Assoc iat ion de s Professeurs d' In itia-tion à la Te c hn o l o g i e, et l e s informations don nées par l ' I n s pe ct i o n Généra le , il s ignoreraient quasime nt to ut des travaux accompl is ,même les avan t -proje ts de programmes .

dl

Il aura it fal lu tirer de l 'expé rimentation un surc ro î t

d'informa tions

Pou r les mêmes raisons , l' e xn é r i me n t a ti on n 'a pas été exploi tée à f o n d . La Commis sion a souvent dû s e con -tenter d'en extra ire, en vue de réajustement de dernière heu r e de ses projets de p rog rammes, ce qu i "passa it" bien ou mal aux é lève s. Elle s 'en est également servi pour mieux éva lue r les horaires nécessa i res à l' e n s e i gn e me n t des di f férents chapitres. C 'est un résul tat non néql iaea-b le . Hais i l n e semiaea-ble pas qu ' il épuise l' i n f o r ma ti on qu 'on pe u t tire r de cette tentat ive o r igina le. L' e f f o r t

été consenti à cette occasion mérita it q u'on en tirât b ien davantage .

el

Les l i a i s on s avec les autres devaient être approfondies

Le prob lème géné ral des r e lations in terdiscip linai -res n' a p u ê tre qu'eff leuré , i l con viendrait qu'i l soit réeami né de manière approfond ie. La Commission était , dans ce domaine, un agent potentiel ne sera it -ce qUE parce qu ' y sié geaient depuis ses d ébuts, des r e p r é s e n-tants des autres d iscip l ines sc i ent ifiques .

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Les a s p e c ts docimolo gi q ues s e posent a v ec une ac u it é t oute particuli ère à une s cien ce exp éri menta le : il eût é t é n écessaire de leur con s a c rer un e é t u de s p é c ia le .

Par un l égitime souci d e l'inté rêt immédi at de l eurs él èves, les p r o f e s s e u r s consa cre nt une part c o n s i d é -r able d e leu-r ensei gnement à l es ent-raîne-r à -rés oud-re l e s probl èmes de b acc a l a u r é at. La trés olution d e ce s p r o b lème s traditionnel s, trop so uve n t r é duit q à un e xercice d'ap-plicati on des formul es d u cours e t à une petite manipul a-tion mat h é ma t iqu e , e s t fr é que mment bien él oi qnée d'une mise e n oe uv r e effective d es attitudes d e pe nsée du physi-ci en. Il en résultera un e inefficaphysi-cité e t un e distorsi on d e la r éforme si l'on ne met p as au point des méthodes de contrôle ori ginales, et v rai me n t adaptées a u x o b ject i f s que s'assignera l'ense i gnement.

gl

La mise en pla c e de l a r éf orme n éce ssitera une p h a se transitoire de quatre ans, p e n d a n t laquell e l e s nouveau x programmes e t les n ouvelles structure s s'installeront, année par ann é e, et en p arall èle, dans le premier e t dans le second c y cl es. Cette phase transitoire de vr ait être mi s e à p ro f i t p o u r suivre les progr ès d e l a r énovation de l' enseign ement d e nos disci plines et prol onger, sur l'ensemble de s points é voqués plus haut, l'e ff ort e n t r ep r i s , en l'infléchissant au besoin a u v u de l'expérien ce a cqu i se . Durant cette pé t i ode , qui serait celle d'une é d if i c a t i o n e n "vraie grandeur" e t en "temp s réel" d'un nouveau s ystème é d u c a t i f , l'Inspecti on Géné r a le (qui d' ailleurs a é t é int i-meme n t a s soc iée , dès le d ébut, au tr a vail de la Commission) conservera les pr ér o gatives correspondant à son a u t o -rité staturaire. Hai s la Commission semblait naturellement dési gnée pour p o u r s uiv r e un tr a v ail de réfle xi on e t appor-ter son aide à une mise en pl ace t oujours difficile.

Il serait éminemment s ouhaitable que ce travail essentiel soit e ntre pris par une assemblée r éunissant

t outes l es compétences qu' on a vait pu réunir dans la Commis-sion.

hl

Les r e c h e r c h e s pédagogiques effe ctuées, en particulier dans le premie r cycle, on t montré qu'il s'a sissait là d'un domaine e x t r ê me n t riche et diffiCile. Il est absolument impératif, a ux yeux de la Commi s s i o n , q u e la structure de recherche qu'elle a mise en place se maintienne après elle. Il faut que le group e permanent puisse p o u r s u i v r e ses travaux de recherche, totalement en liaison é t r o i t e avec l'en sei gnement secondaire et q u ' i l p u i s s e c ontinuer à opérer dan s certaines cl asses . La t ransformation e n c ou rs d e l'ens eignement e t son é valuation ne rendent que plus i mportan t ce gen r e d e re che rches.

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i l En fi n , il fa u t voi r p lus l oi n enco r e . Une t â che imme n se se pos e à la pédagogie : c ommuni q uer à l ' en semble de s

d 'un e man ière si mple, c o mpréhensi bl e e t c orre cte , l es pro gr ès ess enti els de la sc ien c e . No t r e visi on d e l'univers e t de s es l oi s a é té b oul e v e rsée, a u c our s de ce sièc l e, pa r des d é c ouvertes maj eures q u i ont de p ro fo n d s r etenti ssements phil o sophi ques e t hum ai ns . Il faut q u e l es h o mmes s ac h en t c e q ue s a it l ' h u ma n i té , et n on q u ' i l s s 'en r e me tte nt t o t a l e ment à u ne c l a s se de s p é ci ali ste s de p lu s en p l u s fer mé e s ur e l l e -même .

Fa i re c o nn a î t r e (en se res t re ignant i ci au seu l doma ine des sc i e n c e s p hysiques) ce qu 'e st le monde au n i v e a u de l ' a tome et de l 'un i v e r s, l a natu re sur p r e n a n te e t p ro fo nde de s e s l ois , es t l e déf i l e p l us a c t uel q u e la pédagog ie do it r eleve r . C 'est e n fa it un p ro b lème ma-jeur pour l 'huma ni t é tout e nt i è re .

Sa r éso lution ne peu t êt re l ' affaire d 'une r é fo rm e f a i t e pa r de simple s p r o g r a mmes . Elle doit fa i re l' obj et de r é fl e xi ons tr è s sé r ieuses ve n a n t d e p l u s ie ur s hori z on s, d ' un e expérimentation iné vi t a b l eme nt l on gue et , s ur to u t , d 'une p ri se de c ons c i e n ce de la soc iété e t du c orp s e n se i -gn an t qu i do i t p asser p a r un e très la r g e in f ormat i o n .

La Commi ssi o n é ta i t consc i en te d e ces p robl è mes à l ong terme . Ell e n 'a pu l es a b ord er r é el l e me n t au cours d e sa v ie h e u r t é e . So ucie use , c omme e l le l ' éta i t , de fa ire de s propo sitions conc rè t e s , e l le a . co u r u au n l u s pressé, au plus immédiat e ment import ant. Il es t c epen d a n t ess e n ti e l q ue , d è s ma i n t e n a n t , un; n ouv eau g ro upe d 'hommes , fon c -tio nnant s u r l es mêmes princi p e s , p u i sse sai sir , dan s t oute s a ha uteur, l e v r a i p r o b l è me d e l a p é d a go gi e .

Pour c onclure, nous n e saur ion s mi e ux fair e q Ue de citer un ext r a i t d ' un rap p ort p r ésent é pa r l 'Uni on des Phys i cien s :

" (d ans l a Commis si o n ) le s pa rt i cipants d' o r i gin e différente ont appris à s e c onn aî tre e t on t nr i s con s -cience de s p rob lème s c o ncrets de l;en s ei gne me n t d u s econd d e gr é . Sur plan de la compr é h e n si on mutue l l e e t de l 'ouverture d 'un vé r i t a b le d i alog u e e n tre l es d ive rs o r -dres d 'ens eignement , le bil an de la Commission es t tr ès l argement pos iti f , e t tout d e v ra être mis e n oeuvre po u r q ue l e climat ain si c réé ne s oi t p a s d étruit . ..

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Si les esp o i r s qui sont 'nés des travaux de la Commission devaien t d emain être r éduits à n éant, les con sé -q ue n c e s d u d écou ragement -q u i e n résulterait sera i ent

immenses: i l ne faudrait p lus , d e l o n g t e mp s, parler de r énovation de l 'en seignement de s scien ces physiques " .

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