HAL Id: hal-02319379
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Les nouvelles générations d’agriculteurs
Guenhaël Jegouzo, . Confédération Nationale de la Mutualité, de la
Coopération Et Du Crédit Agricoles
To cite this version:
Guenhaël Jegouzo, . Confédération Nationale de la Mutualité, de la Coopération Et Du Crédit Agricoles. Les nouvelles générations d’agriculteurs. Congrès de la Confédération nationale de la mutualité, de la coopération et du crédit agricoles, Confédération nationale de la mutualité, de la coopération et du crédit agricoles., Feb 1978, Paris, France. 8 p. �hal-02319379�
1 I i i I.N.H.A.
-
RENNES ËCO.NOMIE RURAI-E BtBLlorHÊQUELES
NOUVEI-LES GENERATIONS D'AGRICULTEURSe,xposé
fait
I e 22 fêvrien
l9?8à
la
C.N.M.C.C.A.
pan Guenhaêl Jégouzo
Les
jeunes agniculteurs sont de moins en moins nombreLlx; pounquoi ?ll
Les
nouveaux agniculteut'ssont-ils
de plus enplus
ou de moins einmoins
instnuits
?DOCt.llllEllTATOtl ÉCOtlOt\]lIE RURALE REt,lllES
a $ a p I an \\' $ r
illltllll|lllluilll
ulll lfll lllllll
2
Q.uand on examine comment
la
population active agnicole fnançaise a évolué au couns destrois
pnemiens quants du20è,
une pnemière constatationstimpose:
le déclin est
de plus enplus rapide
(exceptionfaite
bien sûn despéniodes de
guerne).
Entne l968et
1975, date des deux denniens necensements depopulation, la
diminution srestfaite
à unevitesse
quintavait
jamais étéatteinte jusque
là: - 5rl
a/o par'an pounles actifs
agnicolesmasculins,
contne-
3rB
?o entne 1962et
1968et
-
3 s/s entne 1954et
1962.Ltaccélénation de
la
d6cnoissanceincite
à se dernarider jusqutoùva
allen la chute.
Cnaignant un tanissement tnop impontant dela
populationagi'icole,
les pouvoinspublics et
les onganisations pnofessionnelles agnicoles se déclanent donénavant favonables au maintienà la
tenne dtun nombne maximumde jeunes
Lrattention se
tnouveainsi
concentnée sunltattitude
des jeunes àlrégand du choix
du
métiendragriculteun,
sun lrévolution numénique desnou-velles
génénations de paysans.5i
lron se soucie dravoin des entnées dansItagnicultune qui ne soient pas tnop
néduites,
on se pnéoccupe beaucoup, panailleuns,
dtaccnoltnele
niveau de fonmationet
dequalification
des nouveauxagniculteuns.
On, quelle est la situation
à ce double point devue,
au
icounsde
la
péniode nécente?
NouÊ allons dtabond examinenla
question dela
quan-tité.
Puis
nous pnésentenonscelle
dela
fonmation. Ces deux pnoblèmes ne sont pas totalement indépendants comme onle
venna. Dans chaquecas,
onessaiena de
décrine
mais aussi drexpliquen.ê.uel que
soit
le problème agnicole examiné,il
faudnaittenir
comptede
la
grarrdedivensité
des situations négionaleset
locales.
Maisceci
ne senapas'possible dans
le
cadne de ce bnef exposé.Denniène nemanque intnoductive
:
on ne panlena que deltagnicul-tune exet-cée à
titne exclusif
oupnincipalrun
autne exposé étant consacné aucumul de
ltactivité
agnicoleet
dtuneactivité
nonagnicole.
Notne champ est uniquementcelui
dela
catégoniesociale
des vnais paysans.Enf
in,
lron ne tnaitena pas des pnoblèmes spécif iques des salaniésdes expl
oitations
agnicol es.lène
partie:
les jeunes agniculteuns sont de moins en moins nombneux ;pounquoi ?
Pan
jeunes,
on entend ceuxqui
ont moins de 35 ans; ils
sont nésapnès 194O, entne envinon
l9/,0et
t955. Les effectifs
de ces jeunes génénationsdragniculteuns sont devenus tnès
faibles.
Un moyen de bien mettne en lumiènece phénomène
est
cJe considénen la pant desactifs
agnicoles dansles actils
totaux aux divens
âges.
Lons de chaque recensement, cette pant est drautantplus faible
que ltâgeest
plusbas. Mais,
et
crest cela quiest
très
impontant,la
tendance se nenfonce drune péniodeà la
suivante :22 To desFrançais
âgés de 25 à 3/+ ans avaient un emploi dansltagniculture
en1954;
le
tauxnrest
quede
5,5
% en 19?5(soit la
moitié moins quren moyenne tous âges confondus :Llexode a été encone
plus
impontant pounles
filles
que poun lesgançons. Un centain nombne de jeunes ont dû
ainsi
nenoncenà
nestenà
tatenre,
fautede pouvoir
tnouven une femme, Tous ntont pasfait
cechoix
:centains on1 ttpréfét'érr nesten à
la
tenneet
rerroncer au maniage. Donc,les
nouvelles génénations dtagniculteuns ont des pnoblèmes matnimoniaûx(t),
Ctest là
une pnemiène cause immédiate dela faiblesse
du nomhrnedrinstllla-tions
àla
tenne. Cettecause
immédiate nenvole à des causes pnofondesquipounnont êtne évoquées au couns de
la
discussion qui suivnacet
exposé..
Si
ces pnoblèmes matnimoniaux ontatteint
une gnande ampleun,dans
ld
plupant des négionsfnançaises,
il
y a une dizaine drannées,la
siiua-tion est-elle
enconela
même aujoundthui ?Les
jeunes de lragniculfunene
panviennent-ils
pas maintenant à se marienplus
facilement ? Regandons quels sontles faits.
Les
nésultats du necensement démognaphique de 1975 indiquent qutà lrâge de 40-49ans, la
pnopontion dragniculteuns célibataines est enconeun peu
plus
élevée qurenl968
(1gr? 0/s contnelg,3
0lol.rar
contne,
à 30_39ans
et 20-29 ans, les
taux decélibat
agnicole ont diminué(Z). t-a
nuptfal ité agnicole neste cependantplus faible
quela nuptialité
génénale.ll
ne fautdonc pas conclune tnop
vite
à une amélionation dela situation
;
il
existe
encone beaucoup decélibat
foncéà la
campagne.Le
nombne même de pensonnes con-cernéesest
élevé:
ltagniculture
fnançaisede
1975 a envinonl30
OOO chefsdtexploitation
masculins de 3O ans ou ptusquinront
pas pu se manien ou, en toutcas,
qui ne sont pas encone maniés.Pounquoi
le
céliba.t paysana-t-il
diminué au-dessous de 4Oans
?Est-ce
pance que llexode fémininstest
nalenti ou pance que ltexode masculin a aqgmenté, ou encone poun ltuneet
lrautne naison ? G.uelle estla
bonne'
hypothèse?
Nous sommes en mesune de pnouven guele
fait
nouveau de lapéniode l968-1975 nrest
pas
queles
filles
fuient
moinslragnicultune.
Crestplutôt
_qu9 les gançons en
font pnesque'autant. En
tot.rt..=f
alons que lanuptial
ité
agnicolestest
accnue, !e nombne de maniages dragniculteuns alui
décliné
sun pnesque toutesles
années dela
péniodeet
nra jàmais été aussifaible
que maintenant (envinonl4
OOO enl968-1969,
envinon II
0OOen
1gZ4_r s75)
Un autne
fait
nouveauest
appanu nécemment qui ménite sans doutedtêtne fontement souligné can
il
est
à lronigine du développement drunenou-velle
catégoniedtagt'icultnices
ou de femmes dragniculteuns. Depuis lg?2,plus
dela
moitié des agniculteuns qui se manient épousent unefille
qui,
"u
moment clu maniage, déclanent exencen un emploi non
agnicole.
Actuellâment,près
de 60 % des jeunes de lragnicultune se manient avec des employéesde
' buneau, des ouvniènesdlusine,
desinfinmiènes,
des enseignantes. Cesfilles
sont cependant poun une gnande pant oniginaines dumilieu agnicole.
Réalisent-elles
un netoun àla
tenne ?Oui
dans un centain nombne de cas can centainesabandonnent leun métien poun venin aiden leun époux dans
ltexploitation.
Dtautnes consenvent leun pnofession non
agnicole, lrobjectif
étant souvent dta-voin un salaine disponible pounla
consommation.ÏJJ-ôes
pnoblèmesnrexistaient
pasil
y
a cinquante ans.(Zl
C.
Jégouzorr[-tévolution ducélibat
paysan entne l968et
lg?51t, anticle4
Ces nouvelles conditions de mariage ont des conséquences écono-miques
et/ou.cultunelles.
Economiquescar
des salaines non agnicolesvien-nent slaiouten aux ressounces des familles p.aysannes. Cultunelles can ces
jeunes femmes qui ont
tnavaillé
hons de ltagÈicultune,et
qui viennent même panfois dela
ville,
aunont sans doute des compontements de type unbain. On peutainsi
stattendne à sevoin
génénalisen dansles
campagnes denou-velles attitudes à
ltégand dela farnille (fécondité,
éducation des enfants),mais
aussi
à lrégand dutnavail et
desloisins.
Bien
que les jeunes de lragnicultune se manientplus
souvent ou autnement, leuns pnoblèmes matnimoniaux ntont pas toujouns dispanu. Maisla
néductiotrdes installations à
la
tenne,
qui srestproduite
au moins jusque1975, ne srexpliclue pas seulement pan
la difficulté
qutont centains à tnouven une femme.Elle
nésr-rlte aussi dela
difficulté
de tnouven rrunerr tenre àexploi-ten
(il
faudnaitdine
rrune quantité suffisamment élevée derr).En
effet,
desieunes pantent qui souhaitanaient nesten mais ne lepeuvent pas can
ttoifne
de tenneest
insuffisante pounsatisfaine
toutela
demande,suntout qutà
la
demande agnicole stajoute une demande nonagricole.
Onsait
que
la
demande detenre
émanant des agniculteuns a augmenté dans la plupant desnégions.
Pout'quoî ? Beaucoup dtexploitants ont pensé (on leun afait
pensen) que poun vivne mieux (entendu génénalement dans
le
sens de consommepplus), il fatlait
produineplus,
donc avoinplus
de tenne(le
honssol
étant tnèssouvent
lié
ausol,
contnainement à une opinion fnéquente).4
peu pnès pantout,la
concunnenceslest
accnuesur
le
manché desexploitations.
Qui sont leséliminés ? Les
enfants depetits
paysans -et
ceux defamilles
nombneuses. Les enquêtes sun ltexode agnicoleltétablissent:
tousles
fils
de paysans nront pasles
mêmes chances. On pounna dansla
discussion en développenles
naisons.La
conséquence decette
situatîonest
queles
jeunes qui peuventstinstallen
-
qui
ontla
chance de pouvoinlefaine-occupent,
en moyenne, dessunfaces
plus
élevées queles
sunfaces moyennes exploitéespar
lrensembledes
agniculteuns.
P.f
exemple, en Bnetagnela
supenficie
moyenne desexploitations
stélève à envinon 35 ha chez les moins de 35 ans alons que la moyennestétablit
à 25 ha poun ltensemble desvnais exploitant.s dela
négion.Mais
il
existe
encone des jeunesqui srinstallent
sun depetites
supenficieset
nront pas dtespoin dtatteindnela S.M.
l.
ou sonéquivalent.
Ce sont cesjeunes
qui
sont. les plus exposés aucélibat forcé.
Au
total,
les
pnoblèmes fonciens comme les pnoblèmes matnimoniauxsont suntout
le
fait
desfils
depetits
ou moyens-
petits
agniculteuns. Onest là
au centne des pnocessus dela
diminution desinstallations
àla
terne,et plus
génénalement dela dispanition
de ltanciennepetite
paysannenie fran-" çaise.En
conclusion,
il
appanaît quesi
les
onganisations professionnelles agnicoles souhaitent que davantage de jeunesstinstallent à la
terre, il
faut accepten de leun faine de laplace.
Enest-il
ainsi
aujoundthui ? On peut en douten.agnicole
? Est-ce qutil
nra d-éjà diminué depuis Itéconomie génénale est encnise ?
Onest
tnès tenté dele
supposen puisquetout donne à cnoine
qutil
existe
unlien
tnèsétnoit
entnele
nythme des dépantshors
de lragnicultuneet la
vaniatiorr dela
demande de main-dloeuvne de lasociété industnielle.
Si
les
filles
ne tnouventplus dtemploi,
la pénunie defemmes ne
va
t-elle
pasdiminuer
àla
carnpagne? La
pénunie de tenne,elle
ne diminue pas poun
autant.
EIle
pounnait même augmentensi
les candidats deviennent plus nombneuxl
mais quand les penspectives dtemplois nonagni-coles
sont mauvaises, les jeunes dtonigine agnicole nesont-ils
pas contnaints dtaccepten à nouveau desrinstallen
sun depetites
sunfaces ? Gr.rels sont lesfaits ? lls
ne sont pas connus pounle
moment.Par
contne, onsait
quele
potentiel de necnutement de ltagniculturnediminue de manière considénable depuis 195O.
Traditionnellement
ltagricul-tune necnute à peu pnèsla
totalité
de sesactifs
non salaniés panmi les enfants dtagniculteuns ou de salaniésagnicoles. On, les
nirîssances dans les familles agnicoles ont connu une chutetr'ès
impontante depuisvingt cinq ans. La
baissea été de 74 % entne 1952
et
1974.Les
naissances agnicoles nepnésentaient22 qls du
total
des naissancesen
1952I
elles
nren constituentplus
que6
7oen 1974.
OF,
les entnées dansla
pnofession agnicole qui vont se néalisenentne 1975
et
lran2
OO0 senontle
fait
de ces jeunes nés entne 1950et
1975,2ème pantie :
les
nouveauxagniculteuns'sont-ils
deplus
enplus
ou de moins.en moins
instnuits
?I
I
ne sena considéré à cetitne
quela
fonmationscolaine.
On pounnaêtne assez bnef can ces questions ont
fait
ltobjet
de développements dans unepub.l icat ion nécente ( I ).
Lrexamen des
faits
conduit à quatne constatations pnincipales.len
fait
: lesfils
quistinstallent
sont génénalementplus instnuits
que leuns pënes.Les
anciennes génénations dtagniculteurs ntont génénalement connuque
ltécole primaine.
Jusquràil
y
a envinonl0
ans,
ltâge defin
dtétudes desagniculteuns
était
panticuliènement bas puisquten moyenneil
était
le mêmeque poun
les
O.S.
et
les manoeuvnes.La
néfonme cle ltenseignement agnicole secondaine des années 196Ovisait
à mettnefin
àla
tnaditionnellesous-instnuc-tion
des paysans.Le
taux de possession dlune fonmation agnicole aeffective-ment augeffective-menté de façon impontante depuis
peu. Alons que,
sous ses diffénentesf onmes, llenseignement agnicole
nlavait
touché qutI
slo.du contingent annuel
des jeunes agriculteuns en
.l913,
que3
To en l93Bet
15 tlo en 1958,il
atteintenvinon 5A alo maintenant.
Le
pnognès est considénable mais uncertain
nombnede jeunes agniculteuns ntont pas encone neçu une pnépanation scolaine complète
à
leunmétien-TîJ
";*=
paysanset
lrécolerléd.
Cujas,
1976.I
6
2ème
fait :
la fonnration scolaine est souvent plusfaible
chezles
enfantsdtagniculteuns qui nestent
à la
tenne que chez ceux qui pa.ntent.Ceci a été
étaUlide
maniène tnès pnécise lons drenquêtes faites en Bneteigne en 197O-1971. Mais le phénomène ntest pas seulement bneton ;on lrobsenve poun
la
Fnanceentiène.
ll
semblequril sragit là
drune tendancemondiale:
elle existe
dansles
pays développéset
dansles
payssous-cléve-loppés,
dans les payssocialistes
et dans les pays capital istes.Dans
le
cas dela
Fnance,les
faits
montnent nettement que lesnouveaux agniculteuns
se
necnutent poun une gnande pant panmi les moinsinstnuits
dtune population quiest
en moyenne peuinstnuite. Les
enfantsdtagniculteurs sont,
eneffet,
sous-scolanisés en moyenne;ils
le
sont enconeplus.souvent quanci
ils
nestentà la
tenne can lrexocie agnicole estsélectif
de ce
point
de vue.Ctest lrenseignement agnicole secondaine,
et
plus panticulièrementle
cycle count,
qui jusqurà ces denniènes années netênaitle pius
les jeunesà
ltagnicultune.
Dtoù ltimpontance du nôle ducycle
count agnicole dans lenenouvellement de
la
population agnicole.Faisant
cette constatation,
il
faut
examinenle
type de necnutementde
cette
filiène scolaine.
Depuis une'dizaine drannées ce recnutement a unegnande
canacténistique: celle
dtêtne souventlié
à une mauvaise néussitescolaine.
dtoù
le
3èmefait
:ltonientation
vens lragnicultuneest
souvent connélée avec une médiocne néussite scolaine.On tnouve
ici
une gnande diffénence avec ce qui se passaitautne-fois. Si
autnefois cléjàles
diplômes détounnaient génénalement delragnicul-tune,
beaucoup de bons élèves deltécole
pnimaine ne pounsuivaient pasdtétudes et poun
cette
naison nestaient àla
tenne, Maintenantrcette catégoniedtélèves
aplus
de chances de nestenplus
longtemps à lrécole et donc de ne pas nesten àla tenne.
Ctest pouncette
naison que nous avonsdit
que lemilieu
agnicole connaissait une centaine paupénisationcultunelle
(en tenmesde
culture
scolaine).4ème
fait :
ce qui estvnai
en moyenne neltest
pas poun toutesles
catégonies Déjà autnefoisla
fonmation scolaine des exploitants étaitd tagnicultune.
meilleune quand
la
taifle
deltexploitation était plus élevée.
La
tendance estla
même maintenant.Plus la
sunface deltexploitation
des panents est élevée (dans un système donné de pnoduction) :-
plus les
enfants fnéquentent ttenseignement agnicole,-
plus la
fonmation agnicolesuivie est
élevée,-
plus le
maintienà
l" t"nn.
est
fnéquent, '
,-
plus
on ne$e avec une fonmation haute.Conséquence: dans
la
mesuneoù
il
y a paup6risationcultunelle, elle
concenneI
et la
taille
delrexploitation ?
On peut lrexpliquen pan ltéconomie. Poun un'diplôme donné, le manque à gagnen
lié
auchoix
du maintien àla terne
diminue quandla
tailte
OeIexplohation
augmenter pout- devenin négatif à pantin de dimensions élevées.Finalement, que pensen de
la situation
nésultant dufait
que,
dansla
nouvellepetite
et moyenneagnicultune,
les
jeunes agniculteuns nrontsouvent qurun
faîble
niveau cultunel ou bien nront pas neçu un minimum deformation pnofessionnette agnicole ?
Plusieuns
thèses sont en pnésence. On a bien des naisons de pensenquril
existe un énonme besoin de fonmation post-scolaine dansles
nouvelles génénations dragniculteuns aussi bien que dansles plus
aàciennes.Les
moyens de fonmationexistant bénéficient-ils
enpni-onité
à ceux qui en ontle plus
besoin?
,a
,' ; l i I I I o
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ofrset,'l
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Le
netounà ltagricultune
est-il
un phénomènestatîstiquement manginal
Poun, no52,
nov_déc.lgZ?,
oô.S+-+gf'
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