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Approche sémiotique de la cartographie linguistique: La représentation symbolique des types

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(1)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Approche sémiotique

de la cartographie linguistique:

La représentation symbolique des types

Nicolas Mazziotta (Universités de Liège et de Stuttgart)

Des dialectes galloromans aux français régionaux Cartographier et interpréter les données

(2)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Introduction

Technique et contingences

« Au début de notre projet, nous avons simplement distingué les différentes formes sur la carte par des pastilles de différentes couleurs. Jusqu’au jour où un de nos étudiants nous a rendus attentifs au problème des daltoniens. À ce moment-là, nous avons refait toutes nos cartes en doublant l’information “couleur” par la forme des symboles » (Diémoz-Kristol 2012 : §4)

Des considérations pratiques

I La construction des cartes est unetechnique

I Elle suit des conventions implicites et le « bon sens »

I L’approche sémiotique de la science cartographique (not. Bertin) vise avant tout l’efficacité

I La théorisation ne passe pas au niveau d’abstraction supérieur ⇒ Quid de lastructure sémiotiquevisuelle des cartes ?

(3)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Introduction

Technique et contingences

« Au début de notre projet, nous avons simplement distingué les différentes formes sur la carte par des pastilles de différentes couleurs. Jusqu’au jour où un de nos étudiants nous a rendus attentifs au problème des daltoniens. À ce moment-là, nous avons refait toutes nos cartes en doublant l’information “couleur” par la forme des symboles » (Diémoz-Kristol 2012 : §4)

Des considérations pratiques

I La construction des cartes est unetechnique

I Elle suit des conventions implicites et le « bon sens »

I L’approche sémiotique de la science cartographique (not. Bertin) vise avant tout l’efficacité

I La théorisation ne passe pas au niveau d’abstraction supérieur ⇒ Quid de lastructure sémiotiquevisuelle des cartes ?

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Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Introduction

Technique et contingences

« Au début de notre projet, nous avons simplement distingué les différentes formes sur la carte par des pastilles de différentes couleurs. Jusqu’au jour où un de nos étudiants nous a rendus attentifs au problème des daltoniens. À ce moment-là, nous avons refait toutes nos cartes en doublant l’information “couleur” par la forme des symboles » (Diémoz-Kristol 2012 : §4)

Des considérations pratiques

I La construction des cartes est unetechnique

I Elle suit des conventions implicites et le « bon sens »

I L’approche sémiotique de la science cartographique (not. Bertin) vise avant tout l’efficacité

I La théorisation ne passe pas au niveau d’abstraction supérieur

(5)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Introduction

Technique et contingences

« Au début de notre projet, nous avons simplement distingué les différentes formes sur la carte par des pastilles de différentes couleurs. Jusqu’au jour où un de nos étudiants nous a rendus attentifs au problème des daltoniens. À ce moment-là, nous avons refait toutes nos cartes en doublant l’information “couleur” par la forme des symboles » (Diémoz-Kristol 2012 : §4)

Des considérations pratiques

I La construction des cartes est unetechnique

I Elle suit des conventions implicites et le « bon sens »

I L’approche sémiotique de la science cartographique (not. Bertin) vise avant tout l’efficacité

I La théorisation ne passe pas au niveau d’abstraction supérieur ⇒ Quid de lastructure sémiotiquevisuelle des cartes ?

(6)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Introduction

Objectif

I Théoriser au travers d’exemples

I Pour structurer la discussion sur la structure visuelle I Pour ouvrir la porte à uneapproche cumulativeraisonnée I Parce que la carte est une inscription particulière de connaissances

(Bachimont 2009)

Angle d’approche

I Pas une approche technique de conception de carte

I Pas une approche directement focalisée sur l’efficacité (approchée indirectement)

(7)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Introduction

Objectif

I Théoriser au travers d’exemples

I Pour structurer la discussion sur la structure visuelle I Pour ouvrir la porte à uneapproche cumulativeraisonnée I Parce que la carte est une inscription particulière de connaissances

(Bachimont 2009)

Angle d’approche

I Pas une approche technique de conception de carte

I Pas une approche directement focalisée sur l’efficacité (approchée indirectement)

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Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Introduction

Objectif

I Théoriser au travers d’exemples

I Pour structurer la discussion sur la structure visuelle I Pour ouvrir la porte à uneapproche cumulativeraisonnée I Parce que la carte est une inscription particulière de connaissances

(Bachimont 2009)

Angle d’approche

I Pas une approche technique de conception de carte

I Pas une approche directement focalisée sur l’efficacité (approchée indirectement)

(9)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

(10)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Introduction

Cadre

Typisation des données

La carte linguistique comme un diagramme Le signifiant graphique

Typisation symbolique

Constitution du signe graphique Liste Hiérarchie Contraintes d’implantation Accumulation disjonctive Accumulation conjonctive Réification de la relation Conclusion

(11)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Typisation des données

Groupement/discrimination

La typisation est le résultat d’une démarche inductive de classement par :

I groupementde formes sous un même type

I discriminationpar association à des types différents

(12)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Typisation des données

Groupement/discrimination

La typisation est le résultat d’une démarche inductive de classement par :

I groupementde formes sous un même type

I discriminationpar association à des types différents

(13)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

La carte linguistique comme un diagramme

« Cartography is a technique, just as scientific writing or the language of mathematics, by which intellectual concepts are displayed for consumption. » (Robinson 1952)

Carte/icone/diagramme

I La carte représente des concepts construits, ouconnaissances« Cn. » (Bachimont 2009) :

I Ces Cn. sont structurées relationnellement

I Ces Cn. sont représentées visuellement

I La structure visuelle esticonique de la structure conceptuelle(similarité organisationnelle)

I La carte est l’espace de réification des relations conceptuelles ⇒ La carte est undiagramme(Peirce)

(14)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

La carte linguistique comme un diagramme

« Cartography is a technique, just as scientific writing or the language of mathematics, by which intellectual concepts are displayed for consumption. » (Robinson 1952)

Carte/icone/diagramme

I La carte représente des concepts construits, ouconnaissances« Cn. » (Bachimont 2009) :

I Ces Cn. sont structurées relationnellement

I Ces Cn. sont représentées visuellement

I La structure visuelle esticonique de la structure conceptuelle(similarité organisationnelle)

I La carte est l’espace de réification des relations conceptuelles ⇒ La carte est undiagramme(Peirce)

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Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

La carte linguistique comme un diagramme

« Cartography is a technique, just as scientific writing or the language of mathematics, by which intellectual concepts are displayed for consumption. » (Robinson 1952)

Carte/icone/diagramme

I La carte représente des concepts construits, ouconnaissances« Cn. » (Bachimont 2009) :

I Ces Cn. sont structurées relationnellement

I Ces Cn. sont représentées visuellement

I La structure visuelle esticonique de la structure conceptuelle(similarité organisationnelle)

I La carte est l’espace de réification des relations conceptuelles ⇒ La carte est undiagramme(Peirce)

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Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

La carte linguistique comme un diagramme

« Cartography is a technique, just as scientific writing or the language of mathematics, by which intellectual concepts are displayed for consumption. » (Robinson 1952)

Carte/icone/diagramme

I La carte représente des concepts construits, ouconnaissances« Cn. » (Bachimont 2009) :

I Ces Cn. sont structurées relationnellement

I Ces Cn. sont représentées visuellement

I La structure visuelle esticonique de la structure conceptuelle(similarité organisationnelle)

I La carte est l’espace de réification des relations conceptuelles ⇒ La carte est undiagramme(Peirce)

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Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

La carte linguistique comme un diagramme

« Cartography is a technique, just as scientific writing or the language of mathematics, by which intellectual concepts are displayed for consumption. » (Robinson 1952)

Carte/icone/diagramme

I La carte représente des concepts construits, ouconnaissances« Cn. » (Bachimont 2009) :

I Ces Cn. sont structurées relationnellement

I Ces Cn. sont représentées visuellement

I La structure visuelle esticonique de la structure conceptuelle(similarité organisationnelle)

I La carte est l’espace de réification des relations conceptuelles ⇒ La carte est undiagramme(Peirce)

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Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

La carte linguistique comme un diagramme

« Cartography is a technique, just as scientific writing or the language of mathematics, by which intellectual concepts are displayed for consumption. » (Robinson 1952)

Carte/icone/diagramme

I La carte représente des concepts construits, ouconnaissances« Cn. » (Bachimont 2009) :

I Ces Cn. sont structurées relationnellement

I Ces Cn. sont représentées visuellement

I La structure visuelle esticonique de la structure conceptuelle(similarité organisationnelle)

I La carte est l’espace de réification des relations conceptuelles

(19)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

La carte linguistique comme un diagramme

« Cartography is a technique, just as scientific writing or the language of mathematics, by which intellectual concepts are displayed for consumption. » (Robinson 1952)

Carte/icone/diagramme

I La carte représente des concepts construits, ouconnaissances« Cn. » (Bachimont 2009) :

I Ces Cn. sont structurées relationnellement

I Ces Cn. sont représentées visuellement

I La structure visuelle esticonique de la structure conceptuelle(similarité organisationnelle)

I La carte est l’espace de réification des relations conceptuelles ⇒ La carte est undiagramme(Peirce)

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Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

La carte linguistique comme un diagramme

L’icone comme édition

I L’inscription iconique des Cn. dans un diagramme les « donne à lire »

I Les Cn. sont construites sur les données et les organisent I Une inscription de données organisées est uneédition

⇒ Les considérations présentes sont philologiques

Raisonnement diagrammatique

Les cartes sont au cœur de démarches qui en font desobjets dynamiques

I Construction (support de la construction des Cn.)

I Monstration/démonstration (support de la transmission des Cn.) I Raisonnement diagrammatique (construction de nouvelles Cn.) ⇒ Dialectique : la carte représente la Cn. et permet d’engénérerd’autres

(21)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

La carte linguistique comme un diagramme

L’icone comme édition

I L’inscription iconique des Cn. dans un diagramme les « donne à lire » I Les Cn. sont construites sur les données et les organisent

I Une inscription de données organisées est uneédition

⇒ Les considérations présentes sont philologiques

Raisonnement diagrammatique

Les cartes sont au cœur de démarches qui en font desobjets dynamiques

I Construction (support de la construction des Cn.)

I Monstration/démonstration (support de la transmission des Cn.) I Raisonnement diagrammatique (construction de nouvelles Cn.) ⇒ Dialectique : la carte représente la Cn. et permet d’engénérerd’autres

(22)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

La carte linguistique comme un diagramme

L’icone comme édition

I L’inscription iconique des Cn. dans un diagramme les « donne à lire » I Les Cn. sont construites sur les données et les organisent

I Une inscription de données organisées est uneédition

⇒ Les considérations présentes sont philologiques

Raisonnement diagrammatique

Les cartes sont au cœur de démarches qui en font desobjets dynamiques

I Construction (support de la construction des Cn.)

I Monstration/démonstration (support de la transmission des Cn.) I Raisonnement diagrammatique (construction de nouvelles Cn.) ⇒ Dialectique : la carte représente la Cn. et permet d’engénérerd’autres

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Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

La carte linguistique comme un diagramme

L’icone comme édition

I L’inscription iconique des Cn. dans un diagramme les « donne à lire » I Les Cn. sont construites sur les données et les organisent

I Une inscription de données organisées est uneédition

⇒ Les considérations présentes sont philologiques

Raisonnement diagrammatique

Les cartes sont au cœur de démarches qui en font desobjets dynamiques

I Construction (support de la construction des Cn.)

I Monstration/démonstration (support de la transmission des Cn.) I Raisonnement diagrammatique (construction de nouvelles Cn.) ⇒ Dialectique : la carte représente la Cn. et permet d’engénérerd’autres

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Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

La carte linguistique comme un diagramme

L’icone comme édition

I L’inscription iconique des Cn. dans un diagramme les « donne à lire » I Les Cn. sont construites sur les données et les organisent

I Une inscription de données organisées est uneédition

⇒ Les considérations présentes sont philologiques

Raisonnement diagrammatique

Les cartes sont au cœur de démarches qui en font desobjets dynamiques

I Construction (support de la construction des Cn.)

I Monstration/démonstration (support de la transmission des Cn.) I Raisonnement diagrammatique (construction de nouvelles Cn.)

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Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

La carte linguistique comme un diagramme

L’icone comme édition

I L’inscription iconique des Cn. dans un diagramme les « donne à lire » I Les Cn. sont construites sur les données et les organisent

I Une inscription de données organisées est uneédition

⇒ Les considérations présentes sont philologiques

Raisonnement diagrammatique

Les cartes sont au cœur de démarches qui en font desobjets dynamiques

I Construction (support de la construction des Cn.)

I Monstration/démonstration (support de la transmission des Cn.) I Raisonnement diagrammatique (construction de nouvelles Cn.) ⇒ Dialectique : la carte représente la Cn. et permet d’engénérerd’autres

(26)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

Trois repères fondamentaux

1. Terminologiepour décrire les composantes du signifiant graphique

2. Statut deszones et des limites

(27)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

1. Terminologie pour décrire le signifiant graphique

Des entités sémiotisées constituées de sous-entités (Groupe µ, 1992).

I (Sur/sous-)entités :VISAGE=NEZ+BOUCHE+ YEUX. . .

I Marques, non sémiotisées (ibid.) :TRAIT,COURBURE, etc.

I Variables « rétiniennes », non discrètes (Bertin 2005)

I teinte :ROUGE,VERT

I valeur :CLAIR,NOIR

I grain :SERRÉ,LÂCHE

I orientation :OBLIQUE,HORIZONTAL

I forme :TRIANGULAIRE,PICTOGRAMME

(28)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

1. Terminologie pour décrire le signifiant graphique

Des entités sémiotisées constituées de sous-entités (Groupe µ, 1992).

I (Sur/sous-)entités :VISAGE=NEZ+BOUCHE+ YEUX. . .

I Marques, non sémiotisées (ibid.) :TRAIT,COURBURE, etc.

I Variables « rétiniennes », non discrètes (Bertin 2005)

I teinte :ROUGE,VERT

I valeur :CLAIR,NOIR

I grain :SERRÉ,LÂCHE

I orientation :OBLIQUE,HORIZONTAL

I forme :TRIANGULAIRE,PICTOGRAMME

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Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

1. Terminologie pour décrire le signifiant graphique

Des entités sémiotisées constituées de sous-entités (Groupe µ, 1992). I (Sur/sous-)entités :VISAGE=NEZ+BOUCHE+

YEUX. . .

I Marques, non sémiotisées (ibid.) :TRAIT,COURBURE, etc.

I Variables « rétiniennes », non discrètes (Bertin 2005)

I teinte :ROUGE,VERT

I valeur :CLAIR,NOIR

I grain :SERRÉ,LÂCHE

I orientation :OBLIQUE,HORIZONTAL

I forme :TRIANGULAIRE,PICTOGRAMME

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Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

1. Terminologie pour décrire le signifiant graphique

Des entités sémiotisées constituées de sous-entités (Groupe µ, 1992). I (Sur/sous-)entités :VISAGE=NEZ+BOUCHE+

YEUX. . .

I Marques, non sémiotisées (ibid.) :TRAIT,COURBURE, etc.

I Variables « rétiniennes », non discrètes (Bertin 2005)

I teinte :ROUGE,VERT

I valeur :CLAIR,NOIR

I grain :SERRÉ,LÂCHE

I orientation :OBLIQUE,HORIZONTAL

I forme :TRIANGULAIRE,PICTOGRAMME

(31)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

1. Terminologie pour décrire le signifiant graphique

Des entités sémiotisées constituées de sous-entités (Groupe µ, 1992). I (Sur/sous-)entités :VISAGE=NEZ+BOUCHE+

YEUX. . .

I Marques, non sémiotisées (ibid.) :TRAIT,COURBURE, etc.

I Variables « rétiniennes », non discrètes (Bertin 2005)

I teinte :ROUGE,VERT

I valeur :CLAIR,NOIR

I grain :SERRÉ,LÂCHE

I orientation :OBLIQUE,HORIZONTAL

I forme :TRIANGULAIRE,PICTOGRAMME

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Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

1. Terminologie pour décrire le signifiant graphique

Des entités sémiotisées constituées de sous-entités (Groupe µ, 1992). I (Sur/sous-)entités :VISAGE=NEZ+BOUCHE+

YEUX. . .

I Marques, non sémiotisées (ibid.) :TRAIT,COURBURE, etc.

I Variables « rétiniennes », non discrètes (Bertin 2005)

I teinte :ROUGE,VERT

I valeur :CLAIR,NOIR

I grain :SERRÉ,LÂCHE

I orientation :OBLIQUE,HORIZONTAL

I forme :TRIANGULAIRE,PICTOGRAMME

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Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

1. Terminologie pour décrire le signifiant graphique

Des entités sémiotisées constituées de sous-entités (Groupe µ, 1992). I (Sur/sous-)entités :VISAGE=NEZ+BOUCHE+

YEUX. . .

I Marques, non sémiotisées (ibid.) :TRAIT,COURBURE, etc.

I Variables « rétiniennes », non discrètes (Bertin 2005)

I teinte :ROUGE,VERT

I valeur :CLAIR,NOIR

I grain :SERRÉ,LÂCHE

I orientation :OBLIQUE,HORIZONTAL

I forme :TRIANGULAIRE,PICTOGRAMME

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Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

1. Terminologie pour décrire le signifiant graphique

Des entités sémiotisées constituées de sous-entités (Groupe µ, 1992). I (Sur/sous-)entités :VISAGE=NEZ+BOUCHE+

YEUX. . .

I Marques, non sémiotisées (ibid.) :TRAIT,COURBURE, etc.

I Variables « rétiniennes », non discrètes (Bertin 2005)

I teinte :ROUGE,VERT

I valeur :CLAIR,NOIR

I grain :SERRÉ,LÂCHE

I orientation :OBLIQUE,HORIZONTAL

I forme :TRIANGULAIRE,PICTOGRAMME

(35)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

1. Terminologie pour décrire le signifiant graphique

Des entités sémiotisées constituées de sous-entités (Groupe µ, 1992). I (Sur/sous-)entités :VISAGE=NEZ+BOUCHE+

YEUX. . .

I Marques, non sémiotisées (ibid.) :TRAIT,COURBURE, etc.

I Variables « rétiniennes », non discrètes (Bertin 2005)

I teinte :ROUGE,VERT

I valeur :CLAIR,NOIR

I grain :SERRÉ,LÂCHE

I orientation :OBLIQUE,HORIZONTAL

I forme :TRIANGULAIRE,PICTOGRAMME

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Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

1. Terminologie pour décrire le signifiant graphique

Des entités sémiotisées constituées de sous-entités (Groupe µ, 1992). I (Sur/sous-)entités :VISAGE=NEZ+BOUCHE+

YEUX. . .

I Marques, non sémiotisées (ibid.) :TRAIT,COURBURE, etc.

I Variables « rétiniennes », non discrètes (Bertin 2005)

I teinte :ROUGE,VERT

I valeur :CLAIR,NOIR

I grain :SERRÉ,LÂCHE

I orientation :OBLIQUE,HORIZONTAL

I forme :TRIANGULAIRE,PICTOGRAMME

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Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

1. Terminologie pour décrire le signifiant graphique

Des entités sémiotisées constituées de sous-entités (Groupe µ, 1992). I (Sur/sous-)entités :VISAGE=NEZ+BOUCHE+

YEUX. . .

I Marques, non sémiotisées (ibid.) :TRAIT,COURBURE, etc.

I Variables « rétiniennes », non discrètes (Bertin 2005)

I teinte :ROUGE,VERT

I valeur :CLAIR,NOIR I grain :SERRÉ,LÂCHE

I orientation :OBLIQUE,HORIZONTAL

I forme :TRIANGULAIRE,PICTOGRAMME

(38)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

1. Terminologie pour décrire le signifiant graphique

Des entités sémiotisées constituées de sous-entités (Groupe µ, 1992). I (Sur/sous-)entités :VISAGE=NEZ+BOUCHE+

YEUX. . .

I Marques, non sémiotisées (ibid.) :TRAIT,COURBURE, etc.

I Variables « rétiniennes », non discrètes (Bertin 2005)

I teinte :ROUGE,VERT

I valeur :CLAIR,NOIR I grain :SERRÉ,LÂCHE

I orientation :OBLIQUE,HORIZONTAL

I forme :TRIANGULAIRE,PICTOGRAMME

(39)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

1. Terminologie pour décrire le signifiant graphique

Des entités sémiotisées constituées de sous-entités (Groupe µ, 1992). I (Sur/sous-)entités :VISAGE=NEZ+BOUCHE+

YEUX. . .

I Marques, non sémiotisées (ibid.) :TRAIT,COURBURE, etc.

I Variables « rétiniennes », non discrètes (Bertin 2005)

I teinte :ROUGE,VERT

I valeur :CLAIR,NOIR I grain :SERRÉ,LÂCHE

I orientation :OBLIQUE,HORIZONTAL

I forme :TRIANGULAIRE,PICTOGRAMME

(40)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

1. Terminologie pour décrire le signifiant graphique

Des entités sémiotisées constituées de sous-entités (Groupe µ, 1992). I (Sur/sous-)entités :VISAGE=NEZ+BOUCHE+

YEUX. . .

I Marques, non sémiotisées (ibid.) :TRAIT,COURBURE, etc.

I Variables « rétiniennes », non discrètes (Bertin 2005)

I teinte :ROUGE,VERT

I valeur :CLAIR,NOIR I grain :SERRÉ,LÂCHE

I orientation :OBLIQUE,HORIZONTAL

I forme :TRIANGULAIRE,PICTOGRAMME

(41)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

Zones et limites

I Les zones et les limites sont construites a priori par le système cognitif (Groupe µ 1992)

⇒ Ce sont desprimitives

La sémiotisation des entités-zones se fait postérieurement à leur repérage

3. Superposition des signes qui renvoient à des codes différents

La componentialité du signe graphique permet l’hybridicité des codes (not. Edeline 2012)

I LeFOND DE CARTE: sur-entité constituée notamment deFRONTIÈRES, ZONESet jeu deCODES NUMÉRIQUESetÉTIQUETTES

TOPOGRAPHIQUESqui représente un espace géographique. I Les données linguistiques : entités superposées auFOND DE CARTE

pour former la sur-entitéCARTE LINGUISTIQUE

⇒ LeFOND DE CARTEcontraintl’actualisation des entités représentant l’analyse

(42)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

Zones et limites

I Les zones et les limites sont construites a priori par le système cognitif (Groupe µ 1992)

⇒ Ce sont desprimitives

La sémiotisation des entités-zones se fait postérieurement à leur repérage

3. Superposition des signes qui renvoient à des codes différents

La componentialité du signe graphique permet l’hybridicité des codes (not. Edeline 2012)

I LeFOND DE CARTE: sur-entité constituée notamment deFRONTIÈRES, ZONESet jeu deCODES NUMÉRIQUESetÉTIQUETTES

TOPOGRAPHIQUESqui représente un espace géographique. I Les données linguistiques : entités superposées auFOND DE CARTE

pour former la sur-entitéCARTE LINGUISTIQUE

⇒ LeFOND DE CARTEcontraintl’actualisation des entités représentant l’analyse

(43)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

Zones et limites

I Les zones et les limites sont construites a priori par le système cognitif (Groupe µ 1992)

⇒ Ce sont desprimitives

La sémiotisation des entités-zones se fait postérieurement à leur repérage

3. Superposition des signes qui renvoient à des codes différents

La componentialité du signe graphique permet l’hybridicité des codes (not. Edeline 2012)

I LeFOND DE CARTE: sur-entité constituée notamment deFRONTIÈRES, ZONESet jeu deCODES NUMÉRIQUESetÉTIQUETTES

TOPOGRAPHIQUESqui représente un espace géographique. I Les données linguistiques : entités superposées auFOND DE CARTE

pour former la sur-entitéCARTE LINGUISTIQUE

⇒ LeFOND DE CARTEcontraintl’actualisation des entités représentant l’analyse

(44)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

Zones et limites

I Les zones et les limites sont construites a priori par le système cognitif (Groupe µ 1992)

⇒ Ce sont desprimitives

La sémiotisation des entités-zones se fait postérieurement à leur repérage

3. Superposition des signes qui renvoient à des codes différents

La componentialité du signe graphique permet l’hybridicité des codes (not. Edeline 2012)

I LeFOND DE CARTE: sur-entité constituée notamment deFRONTIÈRES, ZONESet jeu deCODES NUMÉRIQUESetÉTIQUETTES

TOPOGRAPHIQUESqui représente un espace géographique. I Les données linguistiques : entités superposées auFOND DE CARTE

pour former la sur-entitéCARTE LINGUISTIQUE

⇒ LeFOND DE CARTEcontraintl’actualisation des entités représentant l’analyse

(45)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Le signifiant graphique

Zones et limites

I Les zones et les limites sont construites a priori par le système cognitif (Groupe µ 1992)

⇒ Ce sont desprimitives

La sémiotisation des entités-zones se fait postérieurement à leur repérage

3. Superposition des signes qui renvoient à des codes différents

La componentialité du signe graphique permet l’hybridicité des codes (not. Edeline 2012)

I LeFOND DE CARTE: sur-entité constituée notamment deFRONTIÈRES, ZONESet jeu deCODES NUMÉRIQUESetÉTIQUETTES

TOPOGRAPHIQUESqui représente un espace géographique. I Les données linguistiques : entités superposées auFOND DE CARTE

pour former la sur-entitéCARTE LINGUISTIQUE

⇒ LeFOND DE CARTEcontraintl’actualisation des entités représentant l’analyse

(46)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Introduction Cadre

Typisation des données

La carte linguistique comme un diagramme Le signifiant graphique

Typisation symbolique

Constitution du signe graphique Liste Hiérarchie Contraintes d’implantation Accumulation disjonctive Accumulation conjonctive Réification de la relation Conclusion

(47)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Typisation symbolique

La structure graphique des entités est iconique de la typisation

L’iconification de la typisation explicite ce classement à différentsniveaux de complexité hiérarchique:

1. Niveau « liste » : identité/différence des entités

2. Niveau « arborescence » : identité/différence de sous-entités ou marques

(48)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Constitution du signe graphique

La forme linguistique est représentée par un

SYMBOLE

I LeSYMBOLEest associé à un type (« identification externe », Bertin 2005)

I LeSYMBOLEest implanté sur leFOND DE CARTE

I LeSYMBOLEentretient des rapports de proximité et de distance avec :

I LeFOND DE CARTE

I Les autresSYMBOLES

La typisation iconique crée une sur-entité qui délimite une zone

I ChaqueSYMBOLEpeutconserver son identité

I L’ensemble formé par desSYMBOLESpeutconstruire uneZONEet en constituer :

I leGRAIN

I laTEINTE

(49)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Constitution du signe graphique

La forme linguistique est représentée par un

SYMBOLE

I LeSYMBOLEest associé à un type (« identification externe », Bertin 2005)

I LeSYMBOLEest implanté sur leFOND DE CARTE

I LeSYMBOLEentretient des rapports de proximité et de distance avec :

I LeFOND DE CARTE

I Les autresSYMBOLES

La typisation iconique crée une sur-entité qui délimite une zone

I ChaqueSYMBOLEpeutconserver son identité

I L’ensemble formé par desSYMBOLESpeutconstruire uneZONEet en constituer :

I leGRAIN

I laTEINTE

(50)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Constitution du signe graphique

La forme linguistique est représentée par un

SYMBOLE

I LeSYMBOLEest associé à un type (« identification externe », Bertin 2005)

I LeSYMBOLEest implanté sur leFOND DE CARTE

I LeSYMBOLEentretient des rapports de proximité et de distance avec :

I LeFOND DE CARTE

I Les autresSYMBOLES

La typisation iconique crée une sur-entité qui délimite une zone

I ChaqueSYMBOLEpeutconserver son identité

I L’ensemble formé par desSYMBOLESpeutconstruire uneZONEet en constituer :

I leGRAIN

I laTEINTE

(51)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Constitution du signe graphique

La forme linguistique est représentée par un

SYMBOLE

I LeSYMBOLEest associé à un type (« identification externe », Bertin 2005)

I LeSYMBOLEest implanté sur leFOND DE CARTE

I LeSYMBOLEentretient des rapports de proximité et de distance avec :

I LeFOND DE CARTE

I Les autresSYMBOLES

La typisation iconique crée une sur-entité qui délimite une zone

I ChaqueSYMBOLEpeutconserver son identité

I L’ensemble formé par desSYMBOLESpeutconstruire uneZONEet en constituer :

I leGRAIN

I laTEINTE

(52)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Constitution du signe graphique

La forme linguistique est représentée par un

SYMBOLE

I LeSYMBOLEest associé à un type (« identification externe », Bertin 2005)

I LeSYMBOLEest implanté sur leFOND DE CARTE

I LeSYMBOLEentretient des rapports de proximité et de distance avec :

I LeFOND DE CARTE

I Les autresSYMBOLES

La typisation iconique crée une sur-entité qui délimite une zone

I ChaqueSYMBOLEpeutconserver son identité

I L’ensemble formé par desSYMBOLESpeutconstruire uneZONEet en constituer :

I leGRAIN

I laTEINTE

(53)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Constitution du signe graphique

La forme linguistique est représentée par un

SYMBOLE

I LeSYMBOLEest associé à un type (« identification externe », Bertin 2005)

I LeSYMBOLEest implanté sur leFOND DE CARTE

I LeSYMBOLEentretient des rapports de proximité et de distance avec :

I LeFOND DE CARTE

I Les autresSYMBOLES

La typisation iconique crée une sur-entité qui délimite une zone

I ChaqueSYMBOLEpeutconserver son identité

I L’ensemble formé par desSYMBOLESpeutconstruire uneZONEet en constituer :

I leGRAIN

I laTEINTE

(54)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Liste

(ALF, 14, « aiguille », détail)

Pas de typisation :

I entitéMOT(autonymique)

(55)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Liste

(ALF, 14, « aiguille », détail)

Pas de typisation :

I entitéMOT(autonymique)

(56)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Liste

(Enquête Europe 1, Avanzi 2015)

(ALPA II, 478, « avare » ; détail)

Liste de types lexicaux :

I entitéDISQUE COLORÉ

I variableTAILLEnon liée au type I variableCOULEURexprimant le type ⇒Discrimination simple

(57)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Liste

(Enquête Europe 1, Avanzi 2015)

(ALPA II, 478, « avare » ; détail)

Liste de types lexicaux :

I entitéDISQUE COLORÉ

I variableTAILLEnon liée au type I variableCOULEURexprimant le type

(58)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Liste

(Enquête Europe 1, Avanzi 2015)

(ALPA II, 478, « avare » ; détail)

Liste de types lexicaux :

I entitéDISQUE COLORÉ

I variableTAILLEnon liée au type I variableCOULEURexprimant le type ⇒Discrimination simple

(59)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Liste

(Enquête Europe 1, Avanzi 2015 ; détail)

(ALPA II, 478, « avare » ; détail)

Construction de

ZONES

et individualité des sous-entités

LesZONESsont discriminées par laCOULEUR(dissociation, Bertin 2005) I La carte « Europe 1 » fusionne les entités parproximité et

recouvrement

I La carte ALPA fusionne les entités pareffacementd’une partie de la marqueCONTOUR NOIR

⇒ Notre « encyclopédie » reconstitue les sous-entités (conçues comme des Gestalt), même si elles ne sont pas perçues

(60)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Liste

(Enquête Europe 1, Avanzi 2015 ; détail)

(ALPA II, 478, « avare » ; détail)

Construction de

ZONES

et individualité des sous-entités

LesZONESsont discriminées par laCOULEUR(dissociation, Bertin 2005)

I La carte « Europe 1 » fusionne les entités parproximité et recouvrement

I La carte ALPA fusionne les entités pareffacementd’une partie de la marqueCONTOUR NOIR

⇒ Notre « encyclopédie » reconstitue les sous-entités (conçues comme des Gestalt), même si elles ne sont pas perçues

(61)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Liste

(Enquête Europe 1, Avanzi 2015 ; détail)

(ALPA II, 478, « avare » ; détail)

Construction de

ZONES

et individualité des sous-entités

LesZONESsont discriminées par laCOULEUR(dissociation, Bertin 2005) I La carte « Europe 1 » fusionne les entités parproximité et

recouvrement

I La carte ALPA fusionne les entités pareffacementd’une partie de la marqueCONTOUR NOIR

⇒ Notre « encyclopédie » reconstitue les sous-entités (conçues comme des Gestalt), même si elles ne sont pas perçues

(62)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Liste

(Enquête Europe 1, Avanzi 2015 ; détail)

(ALPA II, 478, « avare » ; détail)

Construction de

ZONES

et individualité des sous-entités

LesZONESsont discriminées par laCOULEUR(dissociation, Bertin 2005) I La carte « Europe 1 » fusionne les entités parproximité et

recouvrement

I La carte ALPA fusionne les entités pareffacementd’une partie de la marqueCONTOUR NOIR

⇒ Notre « encyclopédie » reconstitue les sous-entités (conçues comme des Gestalt), même si elles ne sont pas perçues

(63)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Liste

(Enquête Europe 1, Avanzi 2015 ; détail)

(ALPA II, 478, « avare » ; détail)

Construction de

ZONES

et individualité des sous-entités

LesZONESsont discriminées par laCOULEUR(dissociation, Bertin 2005) I La carte « Europe 1 » fusionne les entités parproximité et

recouvrement

I La carte ALPA fusionne les entités pareffacementd’une partie de la marqueCONTOUR NOIR

⇒ Notre « encyclopédie » reconstitue les sous-entités (conçues comme des Gestalt), même si elles ne sont pas perçues

(64)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Hiérarchie

(ALAVAL, -are) (ALW 17, c. 62, flatter)

Construction de

ZONES

et individualité des sous-entités

LesZONESsont discriminées I Par laCOULEURdans ALAVAL

I Par leGRAINcréé par lesSYMBOLESdans ALW MAIS les formes ne sontpas sélectives

(65)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Hiérarchie

(ALAVAL, -are) (ALW 17, c. 62, flatter)

Construction de

ZONES

et individualité des sous-entités

LesZONESsont discriminées I Par laCOULEURdans ALAVAL

I Par leGRAINcréé par lesSYMBOLESdans ALW

MAIS les formes ne sontpas sélectives

(66)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Hiérarchie

(ALAVAL, -are) (ALW 17, c. 62, flatter)

Construction de

ZONES

et individualité des sous-entités

LesZONESsont discriminées I Par laCOULEURdans ALAVAL

I Par leGRAINcréé par lesSYMBOLESdans ALW MAIS les formes ne sontpas sélectives

(67)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Hiérarchie

(ALAVAL, -are) (ALW 17, c. 62, flatter)

Construction de

ZONES

et individualité des sous-entités

LesZONESsont discriminées I Par laCOULEURdans ALAVAL

I Par leGRAINcréé par lesSYMBOLESdans ALW MAIS les formes ne sontpas sélectives

(68)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Typisation symbolique

Hiérarchie de types lexicaux :

I entitéSYMBOLE

I marqueFORME PRINCIPALE I marqueVALEURouGRAIN I ou composition ?

Maispas de systématique au-delàde l’entité FORME PRINCIPALE:

(69)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Typisation symbolique

Hiérarchie de types lexicaux :

I entitéSYMBOLE

I marqueFORME PRINCIPALE I marqueVALEURouGRAIN I ou composition ?

Maispas de systématique au-delàde l’entité FORME PRINCIPALE:

(70)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Hiérarchie

Hiérarchie de types lexicaux :

I entitéFORME(groupement de formes conçues comme similaires)

I marqueORIENTATION

I marqueCOULEUR(vue comme redondante) I marqueORIENTATION, iconique du point

d’articulation (spécifique à la carte) La légende donne une hiérarchie, mais

I la marqueORIENTATIONpropose une

(71)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Hiérarchie

Hiérarchie de types lexicaux :

I entitéFORME(groupement de formes conçues comme similaires)

I marqueORIENTATION

I marqueCOULEUR(vue comme redondante) I marqueORIENTATION, iconique du point

d’articulation (spécifique à la carte)

La légende donne une hiérarchie, mais I la marqueORIENTATIONpropose une

(72)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Hiérarchie

Hiérarchie de types lexicaux :

I entitéFORME(groupement de formes conçues comme similaires)

I marqueORIENTATION

I marqueCOULEUR(vue comme redondante) I marqueORIENTATION, iconique du point

d’articulation (spécifique à la carte) La légende donne une hiérarchie, mais

I la marqueORIENTATIONpropose une

(73)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Introduction Cadre

Typisation des données

La carte linguistique comme un diagramme Le signifiant graphique

Typisation symbolique

Constitution du signe graphique Liste Hiérarchie Contraintes d’implantation Accumulation disjonctive Accumulation conjonctive Réification de la relation Conclusion

(74)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Contraintes d’implantation

L’entité

FOND DE CARTE

contraint l’implantation

I LesRÉGIONSduFOND DE CARTEne sont pas à géométrie variable I La relation entre les types et les localités sont représentées par la

proximité entre leSYMBOLEet l’entité représentant la localité

⇒ Problème majeur dupolymorphisme(plusieurs types sur un point)

Stratégies

1. Accumulation disjonctive

2. Accumulation conjonctive

(75)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Contraintes d’implantation

L’entité

FOND DE CARTE

contraint l’implantation

I LesRÉGIONSduFOND DE CARTEne sont pas à géométrie variable I La relation entre les types et les localités sont représentées par la

proximité entre leSYMBOLEet l’entité représentant la localité ⇒ Problème majeur dupolymorphisme(plusieurs types sur un point)

Stratégies

1. Accumulation disjonctive

2. Accumulation conjonctive

(76)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Contraintes d’implantation

L’entité

FOND DE CARTE

contraint l’implantation

I LesRÉGIONSduFOND DE CARTEne sont pas à géométrie variable I La relation entre les types et les localités sont représentées par la

proximité entre leSYMBOLEet l’entité représentant la localité ⇒ Problème majeur dupolymorphisme(plusieurs types sur un point)

Stratégies

1. Accumulation disjonctive

2. Accumulation conjonctive

(77)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Accumulation disjonctive

(ALAVAL, art. déf. pl.)

(ALW 17, c. 26, type briber, bribeur)

I « Une variation rétinienne non ordonnée ne peut se voir en une image » (Bertin 2005 : 156) I L’agencement linéaire est

obligatoireet automatique dans le plan (ALW)

⇒ Rupture de la constitution de la sur-entitéZONE

(78)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Accumulation disjonctive

(ALAVAL, art. déf. pl.)

(ALW 17, c. 26, type briber, bribeur)

I « Une variation rétinienne non ordonnée ne peut se voir en une image » (Bertin 2005 : 156) I L’agencement linéaire est

obligatoireet automatique dans le plan (ALW)

⇒ Rupture de la constitution de la sur-entitéZONE

(79)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Accumulation disjonctive

(ALAVAL, art. déf. pl.)

(ALW 17, c. 26, type briber, bribeur)

I « Une variation rétinienne non ordonnée ne peut se voir en une image » (Bertin 2005 : 156)

I L’agencement linéaire est obligatoireet automatique dans le plan (ALW)

⇒ Rupture de la constitution de la sur-entitéZONE

(80)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Accumulation disjonctive

(ALAVAL, art. déf. pl.)

(ALW 17, c. 26, type briber, bribeur)

I « Une variation rétinienne non ordonnée ne peut se voir en une image » (Bertin 2005 : 156) I L’agencement linéaire est

obligatoireet automatique dans le plan (ALW)

⇒ Rupture de la constitution de la sur-entitéZONE

(81)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Accumulation disjonctive

(ALAVAL, art. déf. pl.)

(ALW 17, c. 26, type briber, bribeur)

I « Une variation rétinienne non ordonnée ne peut se voir en une image » (Bertin 2005 : 156) I L’agencement linéaire est

obligatoireet automatique dans le plan (ALW)

⇒ Rupture de la constitution de la sur-entitéZONE

(82)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Accumulation conjonctive

(Scherrer 2015)

Combinaison de types lexicaux :

I sur-entitéCAMEMBERT

I sous-entitéSUBDIVISION COLORÉE Intégration d’unevariable quantitative

supplémentaire

I Conservation de la continuité spatiale I Conservation de la discrimination/du

groupement (TEINTE)

⇒ La construction de la sur-entitéZONE fonctionne

(83)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Accumulation conjonctive

(Scherrer 2015)

Combinaison de types lexicaux :

I sur-entitéCAMEMBERT

I sous-entitéSUBDIVISION COLORÉE

Intégration d’unevariable quantitative

supplémentaire

I Conservation de la continuité spatiale I Conservation de la discrimination/du

groupement (TEINTE)

⇒ La construction de la sur-entitéZONE fonctionne

(84)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Accumulation conjonctive

(Scherrer 2015)

Combinaison de types lexicaux :

I sur-entitéCAMEMBERT

I sous-entitéSUBDIVISION COLORÉE Intégration d’unevariable quantitative

supplémentaire

I Conservation de la continuité spatiale I Conservation de la discrimination/du

groupement (TEINTE)

⇒ La construction de la sur-entitéZONE fonctionne

(85)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Accumulation conjonctive

(Scherrer 2015)

Combinaison de types lexicaux :

I sur-entitéCAMEMBERT

I sous-entitéSUBDIVISION COLORÉE Intégration d’unevariable quantitative

supplémentaire

I Conservation de la continuité spatiale I Conservation de la discrimination/du

groupement (TEINTE)

⇒ La construction de la sur-entitéZONE fonctionne

(86)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Réification de la relation

(ALPA II, 478, « avare » ; détail)

(ALAVAL, art. déf. pl.)

La relation de localisation est

représentée par un

TRAIT

I Rupture de la continuité spatiale I Rupture de la constitution de la

sur-entitéZONE

⇒ La réification des relations de localisationrompt la logique de la carte

(87)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Réification de la relation

(ALPA II, 478, « avare » ; détail)

(ALAVAL, art. déf. pl.)

La relation de localisation est

représentée par un

TRAIT

I Rupture de la continuité spatiale I Rupture de la constitution de la

sur-entitéZONE

⇒ La réification des relations de localisationrompt la logique de la carte

(88)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Introduction Cadre

Typisation des données

La carte linguistique comme un diagramme Le signifiant graphique

Typisation symbolique

Constitution du signe graphique Liste Hiérarchie Contraintes d’implantation Accumulation disjonctive Accumulation conjonctive Réification de la relation Conclusion

(89)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Conclusion

La typisation graphique est contrainte

I par les propriétés naturelles des signifiants graphiques ; notamment :

I Constitution de sur-entitésZONESpar similarité et proximité

I Non-sélectivité des formes

I Agencement linéaire obligatoire

I par leFOND DE CARTE

I Zones a priori

I Agencement a priori

(90)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Conclusion

La typisation graphique est contrainte

I par les propriétés naturelles des signifiants graphiques ; notamment :

I Constitution de sur-entitésZONESpar similarité et proximité

I Non-sélectivité des formes

I Agencement linéaire obligatoire

I par leFOND DE CARTE

I Zones a priori

I Agencement a priori

(91)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Conclusion

La typisation graphique est contrainte

I par les propriétés naturelles des signifiants graphiques ; notamment :

I Constitution de sur-entitésZONESpar similarité et proximité

I Non-sélectivité des formes

I Agencement linéaire obligatoire

I par leFOND DE CARTE

I Zones a priori

I Agencement a priori

(92)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Conclusion

La typisation graphique est contrainte

I par les propriétés naturelles des signifiants graphiques ; notamment :

I Constitution de sur-entitésZONESpar similarité et proximité

I Non-sélectivité des formes

I Agencement linéaire obligatoire

I par leFOND DE CARTE

I Zones a priori

I Agencement a priori

(93)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Conclusion

Théoriser la démarche pour comprendre les contraintes

I c’est-à-dire de sortir de l’intuition (souvent bonne)

I . . . pourpartagerdes pratiques

La typisation graphique interagit avec d’autres entités

L’arsenal du linguiste-cartographe est loin d’être épuisé I Isoglosses

I Hachures

I Emplois indexicaux d’autres codes

To be continued. . .

(94)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Conclusion

Théoriser la démarche pour comprendre les contraintes

I c’est-à-dire de sortir de l’intuition (souvent bonne)

I . . . pourpartagerdes pratiques

La typisation graphique interagit avec d’autres entités

L’arsenal du linguiste-cartographe est loin d’être épuisé I Isoglosses

I Hachures

I Emplois indexicaux d’autres codes

To be continued. . .

(95)

Introduction Cadre Typisation symbolique Contraintes d’implantation Conclusion

Conclusion

Théoriser la démarche pour comprendre les contraintes

I c’est-à-dire de sortir de l’intuition (souvent bonne)

I . . . pourpartagerdes pratiques

La typisation graphique interagit avec d’autres entités

L’arsenal du linguiste-cartographe est loin d’être épuisé I Isoglosses

I Hachures

I Emplois indexicaux d’autres codes

To be continued. . .

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