ARTheque - STEF - ENS Cachan | Bulletin d'information - no 01

AVERTISSEMENT

Ce bulletin a été publié par une association et reste la propriété intellectuelle de l’association et de ses auteurs.

Il a été numérisé avec l'autorisation du président de l'association.

L'ensemble des documents du site ARThèque constitue une base de données, dont le laboratoire STEF est producteur. Cette base est protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle.

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ASSOCIATION DES PROFESSEURS

D'INITIATION

TECHNOLOGIQUE

ÉCOLE NORMALE D'INSTITUTEURS

S, AVENUE JULES -ISAAC . AIX, EN' PROVENCE

BULLETIN

D'INFORMATION

Editorial

L'enseignement de la technologie tend peu à peu à se sube stituer à celui de la physique et de la chimie dans les classes de 4° et 3°. Il s'agit là d'une véritable réforme rendue nécessaire par l'évolution des techniques et de la pédagogie. "Discipline scientifique autonome et complète •.. la technologie développe chez les enfants les facultés d'observation raisonnée, l'esprit de per-sévérance, elle pousse au respect du travail manuel et de l'outil" (Instruction du 1er Juin 1966). C'est pourquoi, nous devons nous réjouir d'une telle mesure qui apporte à notre enseignement scien-tifique un élément important : la motivation. Faisant appel le ples souvent à l'imagination créatrice de l'enfant, lui apprenant un langage nouveau, la technologie a reçu d~s sa cr~ation l'adh~sion,

souvent enthousiaste, du plus grand nombre de nos él~ves.

Mais comme toute réforme, celle-ci ne va pas sans soulever certaines difficultés, et en particulier, le probl~me des profess-eurs. Ceux ci pour la plupart ont dû se recycler ou se reconvertir L'esprit nouveau animant notre enseignement fait davantage

ress-entir un certain isolement. Aussi, afin de permettre des échanges de vue, de collaborer à l'édification de cette pédagogie moderne et par là mème de la mieux comprendre, le regroupement, au sein d'une association des professeurs enseignant la technologie en 4° et 3° devenait une nécessité.

Certains ont pu croire un instant à la naissance d~un syn-dicalisme inavoué, à l'état latent, ou tout au moins d'un neo-cor-poratisme. L'article premier de nos statuts vient dissiper le dou-te et enlever tout malendou-tendu: Art. 1er "L'Association didou-te Asso-ciation des Professeurs d'Iniation Technologique fondée en 1967, a pour but de mettre en relation les professeurs d'origines diver-ses, enseignant la technologie dans les classes de 4° et 3°, afin de favoriser les échanges de vue, de permettre la mise en commun d'expériences pédagogiques, et de diffuser des informations parmi

ses membr'i's".

Le terme "Amicale" eût certainement mieux convenu; car c'est en ce sens que nous entendons développer notre Association. D'ailleurs n'existe-t-il pas déjà des Associations ou Unions de Mathématiciens, physiciens, naturalistes, etc •.. fonctionnant dans cet esprit?

L'article premier donne ainsi un aperçu sonmaire de ce que peut apporter l'Association à ses membres.

L'article second en donne les moyens d'action: Art.2

"Les moyens d'action de l'Association sont des réunions périodiques de ses membres, et de la publication d'un bulletin".

Ce dernier pourra comporter les rubriques suivantes : - Documents d'information technique, ou scientifique, ou

pédago-giques.

Idées sur une leçon. Idées sur un montage. - Idées sur un dessin~

- Equipemente

- Les examens : sujets de B.E.P.C. aved corrigés et commentaires - Les textes officiels.

- J'aimerai savoir". (Question posée ~ tous, la réponse la plus

intéressante sera donnée au bulletin suivant). - Tribune libre.

Cette liste n'est pas limitative. Nous accueillerons avec plaisir vos remarques et suggestions. D'autres sujets vous pré-occupent certainement, vous désirez obtenir des précisions sur

certains points, peut-~tre avez-vous des idées susceptibles

d'in-téresser l'ensemble des adhérents. Adressez votre courrier sur feuille format 2lx27 de préférence, au secrétaire général.

C'est grâce ~ l'aide et à la participation de tous, que

nous parviendrons ~ un rayonnement et une efficacité plus grande

de l'Association, et ceci dans l'intérêt général.

Le Secrétaire Général O. FLEuKOT.

Réunion du 7 mars 1968.

Le jeudi 7 mars une réunion des membres de notre Association s'est

te-nue à l'Ecole Normale d'Institutevxs d'Aix. Parmi les ~uestions débattues

nous retenons celles ~ui ont fait l'objet d'un voeu unanime.

Horaires et programmes. Il apparait clairement ~ue dans la pres~ue

totali-té des Etablissements l'horaire recommandé depuis plusieurs années aux journées de Sèvres par l'Inspection Générale, c'est à dire 3 heures

hebdo-madaires par 1/2 groupe est appli~ué. Ce~endant ~uelques Etablissements

continuent-d'appliquer l'ancien horaire (2h + 2h en olasse entière) qui ne

permet pas de travailler dans l'esprit des Instructior~ Offioielles. Il est

sovnaité vivement que le texte qui rendra officielles les dispositions nou-velles soit paru pour la rentrée prochaine.

B.E.P.C. Il a été signalé ~ue dans certains centres les examinatevxs

char-gés de corriger ou d'interroger en Technologie n'enseignaient quelquefois

pas dar~ cette discipline. Ce fait est ir~dmissible et ne devrait plus se

reproduire.

L'assemblée exprime le voeu que cha~ue élève présente à l'oral Une fiche

sur laquelle serait oonsigné le programme réalisé dans l'année par le pro-fesseur. Ce procédé déjà appliqué en langues pour oertains examens, laisse toutes ses chanoes au oandidat.

Enfin ~uelques collègues (le 'mettant déjà en pratique) recom~~ndent de

se mVIUr pour l'interrogation d'oral des documents qui permettront de ren-dre leur épreuve plus signifioative. (Petit matériel tel que palmer, peson,

interrupteur, douille •.• Sohémas de montages. Dessir~).

Bulletin. Après l'exposé des difficultés rencontrées pour l'impression du premier bulletin il a été déoidé de commencer par éditer quelque chose de très modeste étant persuadé que la qualité ira en s'améliorant. Or, en ce domaine la "qualité" exige la "quantité" •..

Nous lançons donc un appel à tous les collègues intéressés par notre

Assooiation. Le droit d'adhésion a été fixé à lOF pour l'année scolaire.

- Effectuez votre versement au: C.C.P. 50.66.37 Marseille

Assoc. des Prof. d'Init. Techn.

- et faites parvenir le bulletin d'adhésion suivant à notre trésorier:

COUTTON Arflré 211, Boulevard de la Libération 13 - lhrseille (4°).

---~

BULLETIN D'ADHESION

A

L'ASSOCIATION des PROFESSE1nS d'INITL;TION TEChITOLOGIQ1~

1:Jam (1)

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Prénom •••••...•.•••••••• " . F'onction " ~ ...•. 0 • • • 0 • • • • • • ~ • • • • • • • • • • • , • • " " • • • • •

Etablis seG18nt " " .. "& • • ~ ~ • ~ • ~ • • • • • • • • • • • " • • • " ~ q.

Ja désire T6~evoir bulletin à l'adresse suivante: (1)

n.I3UNE L

Pour ce premier numéro₉ CLOUS avions pensé insérer à cette place un erticle treitê:nt de "l'Ad ation de notre techno-logie aux cl.asses pratiques". Ce sujet avait ~tj ChOISI a la

de-mande de quelques collègues, Deux articles nous sont même parvenas. Cette initiative ne semble pas rencontrer l'approbation générale, Certains pensent en effet, que notre technologie n'a rmen de commun avec celle des classes pratiques, et que le but de notre Association n'est pas de nous occuper d'activités ~ifférentes de celles des professeurs d'Initiation Technologique,

Le débat est donc ouvert. Peut-on adapter notre tech-nologie aux classes pratiques ? Cela est-il souhaitable ?

problème entre t~il dans le cadre de notre Association? Envoyez vos réponses au Secrétaire Général ~

1<, FLEUROT Olivic:r Le Pré aux Clercs

8ât~ 4

Rue de Lu Fourane 13 ~ AIX

Les arguments pour ou contre ne manquent c2rtainememt pas et leur confrontation serù bon2fique pour tous~ duns 12 mesure où elle définira clairement notre position sur ce problème~

1 - Un appareil de pesage est réalisé au moyen

du montage ci-contre. Ce montage se compose

d'un fléau AB mobile autour Jiun axe 0 ; on suspend en A un plateau sur lequel seron~ po-sées des poids marqués~ le ressort étant placé

en n. 12 points a points Question l : fi II: Barême de correction PREMIER SUJET Liai "

r+~r777~r777~.~rrïl77~f7~,Pour un poids marqué de l kgp le fléau est

LJa~on horizontal; dans cette position on constate que le ressort a subi un allongement de 100 mm.

(le poids du pleteau est négligeable).

le On demande quelle est alors la force

exer-c&e pa~ le levier sur le ressort sachant que

OB = 2 OA

2° L'allongement de ce ressort étant

propor-tionnel aux forces qui lui sont appliquées,

quelle est la constante de ce ressort? (coefficient de

pro-portionnalité). On précisera l'unité.

3° Quel est le poids rnàrqué qui, mis dans le plateau, provoque

un allongement du ressort àe 80 mm ?

1

3

4° Sanchan~ que l'on ne peut repérer la longueur du ressort

qu'à l mm pr~St quelle est l'incertitude absolue qui en rfsulte

sur le poids mis dans le plateau ?

a) Représenter la fourche seule

au crayon) échelle 5,. suiv~­

la vue donn~e et coup&e par le plan de symétrie vertical con-tenant l'axe géométrique de rotation (cette repr~sentation

Se~a faite sur la copie).

II - Etude de l'articulation:

El!e compreIld : la fourche (1) le levier (2)

l'axe (3)

b) Repasser à l'ener.! les

su~faces fonctionnelles.

c) Que pensez-vous de ce

montage en ce qui ccncerne

la fidélité et la seLslbilité àe_l! aEP_are il ?

6 SCIENOES "TEOHNOLOGIE" - B.E.P.C. 1967

lOREMIER SUJET

l L'appareil de pesage est un levier droit soumis à deux forces

paral-lèles 2

1°) Appelons P la force exercée par le poids mis sur le plateau et P

la force Gxercée sur le re88ort~

De~, forces appliquées de part et d'autre de l'axe de rotation 0

d'une tige rectiligne se font équilibre quarill:

P x OA == F x OB

1000 x OA -. P x OB

or OB == 2 OA

d'où 1000 x OA

=

P x 2 OA

La foroe exeroée sur le ressort est:

1? - 1000 - )-00

- - --2--- -

gp pro-un P - ---l l'allongement. 1?' K == _::...:.-l '

P'

=

K.l'

== 5 x' 80 == 400 gp

Le poids nB~qué miR sur le plateau pera:

pl x OA == FI x 2 OA

pl

=

2 F' == 400 x 2 == 800 gp

h) Puisque le poids marqué de 1000 gp placé sur le plateau

voque VIL allor0ement de 100 mm, le poids Qui provoquera

allor0ement de 80 mm sera

De l'étude de l'allongement d'lUl ressort déooule la relation

suivante:

coefficient de proportloYill~lité

=

K

P : intelhsité su poids qui pr0voque

l : allor~eQent du ressort.

Pour urx ir~ensité P == 500 gp , 1 == 100 mm

500

d'où

K

=

-ïÜÜ-

=

5

gp/mm

3°) Cette question peut être traitée de deux façons différentes:

a) En utilisant le rép~ltat trouvé à la 2° question (ccnstante

du ressort)

L'allor~ement du ressort étant de 80 mm, la force exercée

sur le ressort sera~

1000 x 80

'" 800 gp lCO

) Corw.oissant la oonstante du ressort: K '" 5 gp/mm et ne pouvant

repérer la lor~uelIT du ressort qu'à l mm près, l'incertitude

absolue sV.r la foroe exercée sur le re ssort sera de

±

5 gp.

L'ince~titude absolus résultant sur le poids mis sur le plateau

7

Coupe de la fourche

Echelle 5

c) L'axe 3 est monté avec serrage sur la fou~che 1.

Le levier 2 peut tourner librement autour de l'axe 3. Un· jeu est petr conséquent nécessaire pour permettre la rotation du levier autour de l'axe.

Malgré un jeu fonction~el, les froitements peuvent être

importants.

L'axe de l'articulation est mal défini et la lOD~eur

des bras du fléau peut varier'.

Jl:l)'(l St,; [ SUJET

Observez légende

~e sch~ma ci-dessous; recopiez-le, ajoutez

expliquez le fonctionnement de la lampe.

Une

Repr~sen ·Z \In circuit ~quivalent obtenu avec des filo

con-ducteurs.

II - L'étude

seul co du phar

du nhar

'U circu{t &lectrioue d'une bicyclette montre qu'un

iuc~eur isolé joint la borne de~la dynamo à ceile

et qu ~n seul conducteur isolé joint la borne

à cell~ dll feu arri~re.

1° Sachant qlle le sy~bole vepr~sent& par la figure 1 sch~mati­

se le g'n~~ateur tjurnant7 faites le sch~ma du montage.

2° Schémati;: ; un cl.'cuit équivalent qui serait obtenu en

n'uti-lisant q~ des fi 5 conducteurs.

30 Comment 0 ,elle-t-an un tel montage de deux lampes ?

III - On fa! tourner la roue entrainant la dynamo A vitesse

const~ e et on mesure à l'aide d'un voltm~tre la t0nsii)D'

aux bl 1es de. L~ dynamo.

1° Placez ce~ appareil dans le schéma p~écédent.

2° Où faut-i placer un ampèremètre pour mesurer l'intensit~

"ans la lampe du phare ?

ans la lampe du feu a~rière ?

3° Ces mesures ont donné :

ension aux bornes de la dynamo : GV

ntensité dans la lampe du phare : O,3A

~'it o_~~'"" r~·'I"IS la lampe du feu arriètl"e : OjlA

Calculez la puissance de chqque larnp~.

qO Calculez l'intensité qui travevse la dynamo~

5° Indiqu~z pet'm-~t"tra ~r le schéma la position de t de vérifier ce résultat. lfampèremètr~ qui Barime d~ correcti n :

----_.

'--'---question r

_"

po nts

"

I I 6 po nts " I I I le po ntG

OORRECTIOJ

PROPOSEEI

à la.

usse

LllJ!!pe à mclindeacenoe Conducteur \

\

+

~--{X~-_-<r

iIlw't

--/-'41

1

r---4

Interrupteur / ' Elément de pile

":,,ipolai:re ou aocumulateur

Lcrsqu'liIl1 absiBee l'i:ll:l;e:r:rupteur, le circuit est fermé par la IIL"&lilll!l!;) o@~uctriGl!l st la lampe li!'Iil,lluma ,

!Qut ~ Clil><lI'iJIiS

ai

ôn avait le oircuit suivant1

[

0

::

~~

₁

II.

Feu arrière ;1'

III~

1.

~attra de l'inte~ité dans la lampe du FEU A~~rERE:

du feu Ili.rriè1'8

3. PuiaaP~e da la lam~a du phare: F '"

ur

=

1,8 W

11

CQJ,I1iIE1"'TAffiES.

Les deux épreuves de Tech~ologie dont nous dorlllons le compte-rer~u

cnt été proposés à la session de 1967 du B.E.P.C. dans l'Académie

d'Aix-;~rseille. Un troisième sujet, de Sciences-PhysiQues pures, sur le nou-veau programme de 1963, était offert au choix du candidat pour ne pas

désavantager les élèves issus de ~uelques Etablissements Qui n'avaient

~as encore adopté la nouvelle formule: Physique - Technologie ir,tégrées.

Ces deux sujets dans leur ellsemble ont été jugés satisfaisants en ce

qui concerr,e les cormaissances exigées, la lOXl@,ueur du travail demar~é

et la formulation des questior~. Sans doute peut-on estimer Que la

phy-sique l'emporte sur la technologie proprement dite. Il faut en chercher raison dans la durée de l'épreuve qui limite les possibilités aussi

bien da~~ la réalisation du dessin Que dans la lecture et l'exploitation

du doc~ment a~sez complet ~ans l~Qup;l les Questions de Technologie ne -JOtœr?~lent fS.lre 2~ppel qu 1a l:lemO:LJ:-F.

L'excGs contraire a pu être observé dans les su1ets d'autres acadé-sies dont nous dorlllerons le compte-rendu dans un prochain bulletin.

Es-pe:cons que l'on parviendra à trouver une juste mesure.

Tercinor~ par un témoignage relatif au cfmtre d'Avignon où. 90% des ~2ndidsts ont choisi le sujet d'électricité. On a co~qtaté:

(Quef'tion 1). La notion de meS88 n'est pas t::mjours bien corm.ue; dans

l~c re~resen' ta lon dU ClrCUlt· - . .t '3qulva en , cer alrili e eves. 1 t t ' 'l' re~' 1 'lsent le

schéill8. Buivant:

Ph

•

---(Question II - 1°). 70% des candidats n'ont pas su représenter le

8(\,1"'.:.8[;13 dl i montage.

(Il aurait fallu présiser quP. dyrGmo 2t~it reliép. à 12 musse).

:'Juestion III -1.2.5.). Un fort pourcentage d'ôlèves :placent

l'Ampé-remètre et le Voltmètre d'ur~ manière incorrecte; ils semblent mal

con.nf~ître ces ap:P2"reils et 1813 confondent.

~2ue8tiJn III - 4~3). L8 calcul de

:alcul d:: l'~nt~nsitG ,~ui traverse

cement do.~q -,"lus de 801' des Cos.

J?uissance de chaQue lampe, le

12

il. PROPOS DE SCHEliIATISP~TION ••.

Beauooup d'élèves ont des ~iffioultés à oonoevoir un sohéma; ils

reoo-pient oe qu'on leur montre au tableau, sans trop oomprendre et traoent de mémoire oertains signes qui plaisent au professêur.

-Il est important que les élèves assimilent cette schématisation qui doit

apparaitre oomw~ 'QUe simplifioation de la réalité, une simplifioation

natu-relle,

Le premie~ appareil étudié doit être aussi simple que possible et

ra

'itargette de maltre" Vaohette est peut-être préférable àla targette ~ex­

position. Les élèves disposent de l'appareilet des 3 photographies oi-jointes. La sohéw2tisation sera obtenue par le prooessus suivant:

TARGETTE PHOTO --".. CALQUE SCHElfLA

Etude de la première photo:

, On se propose d'en faire un dessin aussi simple que possible à l'aide d'un oalque superposé.

Le pêne: traoez le oontour, oomme s'il était entièrement visible. Le

bou-iQg; repassez le ressort, la plaque de fixation.

Restent les .avaliers: ils empêohent de bien voir le pêr~ et le ressort.

Quelle est leur fonotion? Guidage du pêne, sur 3 plans; arrêt du bouton; Convenons de ne pas représenter la partie qui oaohe le pêne, mais seule-ment la partie supérieure.

On obtient ai~qi la figŒre 1: la relation pêne/bouton est représentée

o?~me la,re~ation iêne/oa~a~~er. ~st~oe,ainsi,en ré~lité?\co~veno~que 2

pleoes dlstlnotes \o'est a Qlre r~ Vlssees, nl soudees •.. / meme Sl elles se

touohent, seront légèrement séparées sur le dessin.

De plus, pour simplifier nous ne représentero~9 pas l'épaisseur réelle

du pêne ou du oavalier: nous traoeror~ un trait d'épaisseur appropriée (1'

in-térgt de cette 'oonvention est beauooup plus évident sur la 2ème photo). On obtient ainsi la figvxe 4.

Etude de la deuxièm~ photo: (le bouton a été soié pour que l'on voit mieux

le pline).

Le procédé est le même. On obtient airuÜ la figure 2 dont l'intérêt

reSl-de darB l'arrêt en translation

=

Le bouton vient buter oontre la partie du

cavalier que l,Ion ne représente paS. Il faut imaginer une modification de la

réalité, modifiG~tionqui est suggérée par la photographie. On obtient la

figure fi't

Etude de la troisième photo:

Ceci Deut faire

" h

tion du pene dans l ' ' .

t d t ' d + hl t l " t

oOJe un exerOloe e oonvro e concernan a pene

Fig- 1

•

Fig- 2

1 . :s H - -ç

L

ETTE

Schématisation

d'après

o'togra

ies

Fig. 4

-Fig. 5