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Technologies numériques et mutation des métiers audiovisuels

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Academic year: 2021

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HAL Id: hal-01968403

https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01968403

Submitted on 2 Jan 2019

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Technologies numériques et mutation des métiers

audiovisuels

Shadia Ramsahye, Pascal Souclier, Pierre-Michel Riccio

To cite this version:

Shadia Ramsahye, Pascal Souclier, Pierre-Michel Riccio. Technologies numériques et mutation des métiers audiovisuels. Management des technologies organisationnelles, Presses des Mines, 2015, Réseaux numériques et performance des entreprises. �hal-01968403�

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Shadia RAMSAHYE, Pascal SOUCLIER et Pierre-Michel RICCIO Shadia Ramsahye est élève chercheur au centre de recherche LGI2P de l’École des mines d’Alès. Pascal Souclier est dirigeant de l’IIFA, société de conseil et de formation dans les médias. Pierre-Michel Riccio est ingénieur du conservatoire national des arts & métiers, diplômé en gestion et docteur en sciences de l’information et de la communication de l’Université de Montpellier, HDR de l’Université Aix-Marseille. Après dix années en entreprises et plus de vingt années en centres de recherche, il est aujourd’hui Maître de recherche / Responsable opérationnel du centre de recherche LGI2P de l’Ecole des mines d’Alès.

Technologies numériques et mutation des métiers de l’audiovisuel

Dans le domaine de l’audiovisuel, la dématérialisation modifie en profondeur les façons de travailler. Elle a un impact sur l’ensemble des processus de la production à la diffusion des images et implique une maîtrise des nouveaux processus de création et de gestion de fichiers médias. Il devient donc indispensable que les acteurs disposent des compétences et connaissances opérationnelles relevant de la convergence informatique/broadcast.

Il apparaît de nombreuses disparités quant aux compétences des acteurs de ce domaine. La formation continue représente le moyen d’homogénéiser les compétences afin d’optimiser l’adéquation entre les usages (utilisation prescrite) et les pratiques (utilisation effective). Toutefois, le domaine de l’audiovisuel ne bénéficie pas d’un référentiel métiers et compétences à jour sur lequel viendraient s’adosser les différents plans de formation. Cet article pose les jalons d’un tel référentiel.

Mots clés : formation, référentiel, usages, pratiques, dématérialisation

Digital technology and changes in audiovisual professions

In the audiovisual sector, dematerialisation is fundamentally changing ways of operating. It has an impact on all processes from the acquisition to the broadcasting of recordings, which implies a good command on the new processes of creating and managing media. It is therefore necessary that all stakeholders possess skills and knowledge pertaining to a convergence between the broadcast and IT worlds.

Several disparities have been noticed in the skill levels of stakeholders. Continuous training is a way of homogenising varying skill levels in order to maximise adequacy between uses (prescribed use) and practices (effective use). However, the audiovisual sector lacks an up-to-date competency framework which could be the backbone of training plans. This paper proposes such a framework.

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Technologies numériques et mutation des

métiers de l’audiovisuel

Shadia RAMSAHYE, Pascal SOUCLIER et Pierre-Michel RICCIO IIFA, Centre de recherche LGI2P - Ecole Nationale Supérieure des Mines d’Alès Le domaine de l’audiovisuel connaît depuis quelques années de profonds changements liés aux technologies de l’information et de la communication. Le développement de ces technologies s’accompagne de ruptures dans les habitudes de consommation des contenus médiatiques, impulsées par la délinéarisation de la télévision, l’abondance de contenus audiovisuels disponibles sur les plateformes de diffusion classiques ou en ligne, la multiplication des écrans et l’accès généralisé à internet.

Ainsi, dans une optique de maximisation et de fidélisation de leur audience, les chaînes de télévision proposent en ligne leurs contenus, qui sont mis à disposition selon plusieurs modes : en direct sur une web TV (diffusion en streaming), en replay (télévision de rattrapage) ou en VOD (vidéo à la demande). On assiste donc à l’émergence d’une télévision sans téléviseur, non soumise aux contraintes horaires, et de plus en plus individualisée puisque se faisant à la demande.

Ces modes de consommation émergents s’accompagnent de mutations au niveau de la production des contenus audiovisuels. Les entreprises médiatiques doivent décliner leur offre sur toutes les plateformes (TNT, internet et mobile) en assurant une interopérabilité. On assiste donc à une convergence entre les fonctions traditionnelles de la vidéo/broadcast et les nouvelles possibilités du numérique et de l’informatique/réseaux.

Le changement le plus prégnant est la dématérialisation qui s’est généralisée avec l’avènement des réseaux numériques et l’introduction des fichiers. Ces évolutions modifient en profondeur les façons de travailler. Elles ont un impact sur l’ensemble des processus, de la production à la diffusion des images et impliquent une maîtrise de nouveaux processus de production, de gestion de fichiers médias et de diffusion.

Or les acteurs ne disposent pas, ou peu, de compétences en adéquation avec ces évolutions, ce qui est au détriment des entreprises qui doivent rester compétitives dans un contexte économique peu favorable et un climat d’incertitude général avec l’avènement de nouveaux entrants. Cette compétitivité exige des entreprises qu’elles se maintiennent à jour sur les

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Technologies numériques et mutation des métiers de l’audiovisuel 3 évolutions de l’industrie : abandon des équipements analogiques et numériques de montage au profit de logiciels, travail en réseaux sur des outils informatiques uniquement, multiplication des formats en vue d’une diffusion multi-écrans des contenus, centralisation des données et nouveaux workflows pour le traitement de ces données. Ces nouvelles fonctions résultent d’une convergence entre les domaines de la vidéo/broadcast et de l’informatique/réseaux.

Face à cette mutation des métiers, les entreprises doivent équilibrer la masse salariale. Les opérations de recrutement et de licenciement étant coûteuses et potentiellement perturbatrices pour la culture d’entreprise, la formation continue constitue la solution la plus efficiente de préserver et optimiser l’opérationalité des ressources internes disponibles.

La conduite du changement exige que l’on s’intéresse aux dispositifs mis en place et pour lesquels des plans de formation sont élaborés non seulement d’un point de vue technique ou technologique mais également au sens foucaldien, et donc comme « un ensemble résolument hétérogène, comportant des discours, des institutions, des aménagements architecturaux, des décisions réglementaires, des lois, des mesures administratives, des énoncés scientifiques, des propositions philosophiques, morales, philanthropiques, bref : du dit, aussi bien que du non-dit » (Foucault, 1977).

Il faut donc prendre en considération les éléments intangibles qui entourent les systèmes et relèvent de la gestion des ressources humaines. Ainsi, les concepteurs de dispositifs doivent tenir compte de l’implicite et du contexte dans l’élaboration des outils et fonctions à destination des acteurs-utilisateurs. Deux autres notions deviennent centrales dans cette démarche : les usages et les pratiques (Riccio, 2013). Les usages sont ici entendus comme l’ensemble des fonctions mises à disposition des acteurs et dont l’utilisation est prescrite ; les pratiques sont alors représentées par les compétences et motivations des acteurs qui font une utilisation effective de ces fonctions.

Les concepteurs construisent donc des dispositifs dont les usages sont imaginés et prescrits à l’intention des utilisateurs. L’utilisation de ceux-ci va en revanche dépendre des pratiques des acteurs. Les pratiques peuvent être envisagées comme l’agrégation des compétences personnelles et professionnelles propres à chaque acteur et aux éléments de motivation qui l’animent.

C’est l’adéquation entre les usages et les pratiques qui garantit l’efficience des acteurs face aux outils et fonctions mis à disposition. La mise en place de nouveaux dispositifs entraîne une mutation des métiers, et il est primordial de cibler autant les connaissances et compétences techniques à acquérir que le système de valeurs et les attitudes cognitives à adopter. Les plans de formation s’insèrent dans cette démarche de conduite du changement qui vise à augmenter l’efficience.

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Toutefois, il apparaît de nombreuses disparités quant aux acteurs de ce domaine. La population de techniciens supérieurs de l’audiovisuel auxquels nous nous sommes intéressés présentait des profils variés pour les mêmes fonctions, s’agissant soit de spécialistes de l’audiovisuel peu rompus aux technologies de l’information, soit de spécialistes des technologies de l’information ayant peu de connaissances dans l’audiovisuel.

Ces disparités dans les profils des acteurs engendrent un décalage entre les usages, donc l’utilisation prescrite ou attendue, et les pratiques, l’utilisation effective. Il s’agit dès lors d’homogénéiser les compétences afin d’arriver à une adéquation usages/pratiques.

Cependant, le domaine de l’audiovisuel ne bénéficie pas d’un référentiel métiers et compétences à jour sur lequel viendraient s’adosser les différents plans de formation. La présence d’un tel référentiel rassurerait les directions techniques et ressources humaines qui pourront s’appuyer sur ce document pour préciser les fiches de poste et champs d’activité des acteurs. Dans le cadre de la formation continue, les acteurs peuvent se mesurer à ce référentiel de sorte à faire valoriser leurs acquis d’expérience et identifier les points à enrichir. Un référentiel permet ainsi à tous les acteurs – employeurs et employés – de tirer des gains de la formation continue et contribue à accroître le niveau de confiance au sein de l’entreprise.

Bien que tous les métiers de l’audiovisuel, des exploitants aux journalistes, soient concernés par la dématérialisation, le segment pour lequel il est le plus crucial de s’adapter rapidement sous peine de devenir obsolète ou péricliter est celui des techniciens de l’audiovisuel.

Les techniciens se situent à un niveau intermédiaire entre les exploitants et les ingénieurs et cette position exige qu’ils possèdent une bonne culture de l’audiovisuel et de l’informatique. Ils sont en charge de l’exploitation des images et sons et de la gestion des flux de données en réseaux. Il n’est donc plus possible de cloisonner les techniciens d’exploitation et les techniciens de maintenance, dont les fonctions actuelles sont à cheval entre les métiers traditionnels.

Notre choix de nous concentrer d’abord sur les techniciens pour l’élaboration d’un premier référentiel est motivé par l’urgence de faire évoluer ces métiers en priorité.

Le référentiel que nous proposons dans l'ouvrage « Entre usages et pratiques : la mutation des métiers audiovisuels » se base sur un ensemble d’éléments implicites et explicites : référentiels existants, programmes de formation initiale et continue, analyses situationnelles, entretiens avec les parties prenantes, études de marché et rapports d’observatoire de tendances. Une synthèse des éléments rassemblés contribue à la proposition d’un référentiel métier pour une nouvelle

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Technologies numériques et mutation des métiers de l’audiovisuel 5 fonction qui se profile, celle de « Technicien Système IT/Broadcast ». Ce référentiel est conçu comme un document de travail auquel les acteurs de l’industrie sont appelés à contribuer de façon libre et ouverte. Notre méthodologie s’est donc articulée en quatre points :

- Travail prospectif de repérage des utilisations actuelles (2014) et futures (2025) dans l’audiovisuel numérique

- Au niveau des usages : identification des services et fonctions proposés par les différents opérateurs pour élaborer in fine un référentiel « métiers »,

- Au niveau des pratiques : identification des différents types d’acteurs pour repérer les compétences (professionnelles et/ou personnelles) qui peuvent être mobilisées pour construire in fine un référentiel « compétences »,

- Identification des contraintes opérationnelles pour mettre en œuvre une ou des stratégies d’optimisation de l’adéquation usages/pratiques à travers la création de nouveaux services (Usages) ou la formation des acteurs (Pratiques)

Le référentiel de « Technicien système IT/Broadcast » que nous avons établi amène une évolution en proposant une fusion entre les métiers de technicien d’exploitation et technicien de maintenance. Ce nouveau métier intègre les activités suivantes :

Le Technicien Système IT/Broadcast opère sur des missions d’exploitation, de supervision, de maintenance et de support. Il travaille sur des systèmes informatisés et des infrastructures audiovisuelles dématérialisées en réseau. Il récupère, traite et met à disposition des fichiers audio et vidéo pour les rendre utilisables pour la diffusion. Il sait se positionner dans le workflow et gérer les flux et transferts de fichiers sur les réseaux. Il communique également avec les équipes qui l’entourent pour exploiter et dépanner les équipements broadcast, informatiques et réseaux.

Cette fusion est nécessaire dans un contexte de dématérialisation, de délinéarisation, et de convergence entre l’informatique et le broadcast : le technicien Système IT/Broadcast intègre une forte évolution technologique vers le numérique, ce qui en fait un réel changement de métier dans un contexte d’évolution des technologies et de consommation des médias.

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Le référentiel synthétise les compétences du « Technicien Système IT/Broadcast » dont les domaines d’activités comprennent l’exploitation, la maintenance et le support. Cinq activités dominantes se dégagent :

1. Exploiter les équipements et assurer l'installation et la maintenance au quotidien des systèmes audiovisuels.

2. Assurer l'installation, l'exploitation et la maintenance au quotidien des équipements informatiques et réseaux de production audiovisuels. 3. Intervenir sur les infrastructures dématérialisées.

4. Exploiter et transcoder les fichiers pour le broadcast et le web.

5. Travailler en équipe et en mode projet et appliquer la réglementation de sécurité.

Nous avons préféré une présentation linéaire et non tabulaire de ce référentiel par souci de lisibilité. Il est ainsi décliné en Activités Principales puis en sous-activités : Actions à Conduire, Qualités et Attitudes Cognitives, Savoirs de référence.

Nous incluons un extrait de deux activités dominantes du « Technicien Système IT/Broadcast » qui rendent compte de la convergence du broadcast et de l'IT, où les fonctions et la culture de l'image traditionnellement associées à la vidéo/broadcast doivent être alliées aux nouvelles connaissances et compétences en informatique/réseaux. Les savoirs de référence des deux domaines sont aujourd'hui nécessaires dans l'exercice du métier de technicien de l'audiovisuel.

ACTIVITE 1 : EXPLOITER LES EQUIPEMENTS ET ASSURER L'INSTALLATION ET LA MAINTENANCE AU QUOTIDIEN DES SYSTEMES AUDIOVISUELS

Objectif 1.2 : L’exploitation des images et sons

Actions à conduire :

1.2.1. Paramétrer et exploiter les équipements audiovisuels (enregistreurs, lecteurs, voies caméra, mélangeur vidéo)

1.2.2. Paramétrer la numérisation des images et sons Qualités et attitudes cognitives :

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Technologies numériques et mutation des métiers de l’audiovisuel 7 - Etre curieux

- Avoir une capacité de déduction Savoirs de référence :

- Maîtrise de la vidéo broadcast analogique : formats, fonctionnement de la vidéo (colorimétrie, PAL/SECAM, signaux analogiques et SD) et TC, données auxiliaires

- Connaissances des fonctionnalités des équipements de tournage et réglages d’exploitation des caméras

- Caractéristiques des équipements de mixage

- Caractéristiques des logiciels de montage et du traitement graphique

- Options des logiciels de montage et compositing (« Plug-ins », paramétrage, modèles)

- Caractéristiques des logiciels d’étalonnage et de correction colorimétrique - Techniques d’authoring DVD et Blu-Ray, finalisation

- Chaîne de traitement, de production et de diffusion - Procédures et contraintes d’exploitation

- Dispositifs de trucage et d’effets de direct (mélangeur, DVE…) - Techniques et méthodologies de trucages de direct

- Caractérisation du signal analogique (bande passante et rapport signal sur bruit)

- Paramètres de la chaine d’acquisition du signal, échantillonnage, quantification, etc.

- Principe de caractérisation du signal numérique (diagramme de l’oeil, « Jitter » ...)

- Canal de transmission (capacité, débit) - Multiplexage temporel et fréquentiel - Normes d’exploitation des signaux

- Transmission du signal en bande de base et en bande transposée

- Supports et moyens de transmission et de réception (filaire, hertzien, optique) et connectique associée

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- Principaux systèmes en HD et formats d'enregistrement en HD, qualité, compression, débits…

- Signaux audio en HD et du Dolby E - Technologies 4K et UHD

- Matériels de lecture et d’enregistrement (SD et HD : sur bande, sur disque optique, sur cartes mémoire, sur disque dur)

Objectif 1.3 : Le contrôle qualité des PAD Masters (Prêts à diffuser)

Actions à conduire :

1.3.1. Effectuer la mesure du signal 1.3.2. Effectuer le contrôle qualité PAD

1.3.4. Effectuer les traitements logiciels adaptés sur l'image selon la demande Qualités et attitudes cognitives :

- Avoir une culture de l'image

- Etre autonome dans la prise de décision Savoirs de référence :

- Signal analogique et numérique SD et HD - Colorimétrie (analyseur de spectre)

- Dispositifs (appareils et logiciels) de contrôles, surveillance, mesures et réglages (vidéo, couleurs interdites, lumière...).

- Appareils de mesure audio (vecteur scope audio, phasemètre, Peak program meter, loudness meter, True peak meter, sonomètre, analyseur de spectre) - Etalonnage

ACTIVITE 4 : EXPLOITER ET TRANSCODER LES FICHIERS POUR LE BROADCAST ET LE WEB

Objectif 4.1 : La gestion des fichiers médias (mediaflow) dans la chaîne de production, de la captation à la diffusion

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Technologies numériques et mutation des métiers de l’audiovisuel 9 Actions à conduire :

4.1.1. Exploiter les formats de fichiers images fixe, audio, vidéos et broadcast 4.1.2. Définir les possibilités d'exploitation d'un fichier

4.1.3. Optimiser le ratio : qualité/rapidité de mise à l’antenne

4.1.4. Configurer les métadonnées dans les unités de tournage (connaissance des logiciels d'indexation, connaissance des formats)

4.1.5. Echanger des médias dans la chaîne de production 4.1.6. Analyser le workflow

4.1.7. Utiliser des formats d’échange Qualités et attitudes cognitives :

- Etre en veille sur les innovations et nouvelles normes dans l'industrie Savoirs de référence :

- Stratégie de dématérialisation des entreprises et de l'évolution des médias - Caractéristiques techniques d'un fichier média : image fixe, audio, vidéo constructeurs

- Terminologie technique et commerciale des fichiers - Les différents formats d'échange : AAF, MXF… - Evolution des formats d'échange

- Compressions vidéo et codecs associés

- Formats pivots utilisés dans les systèmes broadcast - Problématiques d'échanges de fichiers

- Méthodologies d’échange par FTP

- Outils de tournage et des supports de captation - Paramètres fondamentaux d'import/export - Les enveloppes et de leur compatibilité

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BIBLIOGRAPHIE

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RAMSAHYE S., SOUCLIER P., RICCIO P.-M., Entre usages et pratiques : la mutation des métiers

audiovisuels, Paris, Presses des Mines, 2014.

RICCIO P.-M., Technologie et Organisations, Paris, Presse des Mines, 2013.

RICCIO P.-M., « Vers un modèle d’efficience des collectifs », Communication et Organisation, n° 43, 2013, p. 37-46

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