• Aucun résultat trouvé

ARTheque - STEF - ENS Cachan | Circulaire n° 72-455 du 23 novembre 1972

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2021

Partager "ARTheque - STEF - ENS Cachan | Circulaire n° 72-455 du 23 novembre 1972"

Copied!
18
0
0

Texte intégral

(1)

N° 45

JEUDI30 NOVEMBRE 1972

bulletin

oHiciel

"

de

l'éducation

nationale

Sommaire

1-

Lois - Règlements- Instructions

DISPOSITIONS D'ORDRE GENERAL Administration centrale : Organisation de l'administration

centrale du ministère de l'Education nationale. A. 2-11-1972 OFRATEME : Renouvellement partiel du Conseil d'adminis-tra ti on de l'OFRATEME ,...•~.... A. 21-11-1972 Taxe d'apprentissage : Dispositions nouvelles réglementant la taxe d'apprentissage ...•.u • • • • • •0•~• •'.,• •' C. 24-10-1972

3857 3858 3858"

STATUTS, REMUNER~TIONSET AVANTAGES SOCIAUX

Pensions civiles : Modification des articles R.20 et R.64 du Code des pensions civiles et militaires de retraite ....

..'...-.. . ... . . .. . . . • . • .. . ... : •..•• .•• D. 23-10-1972 3863 J>ersonnels médico-sociaux : Modification du décret no 65-693

du 10 août 1965 relatif au statut des infirmiers et infir-mières des services d'assistance sociale et médicale occu-pant un emploi permanent,dans les administrations cen-trales de l'Etat, les services extérieurs qui en dépendent ou les établissements publics de l'Etat"o.,hOD. 16-11-1972 3864 Echelonnement indiciaire des infirmiers et infirmières

titu-laire des services d'assistance sociale et médicale des admin ist ra tions de l'Etat, des services extérieurs qui en dépendent ou des établissements de l'Etat " A. 16-11-1972 3865

'R .T.S. : Programme des émissionsde radio et de télévision scolair es pour la semaine du 11 au 20 décembre 1972 Encart

(2)

ANNEXE II

Baccalauréat de technicien Mus iq ue Cla sse terminale : Progr amm e de français

Auteurs. - Sous la for me de lectur es suivies ou delectures exp li-quées, on étudiera des textes littéraires de large culture en donna n t une place prépondér a nt e aux auteurs contempor a ins. On fera natu rel-lement une place parti culière aux auteurs qui tr a itent de la musique (h ist oire. critiqu e, est héti que).

Exercices pratiques. - On don nera une place prépondérante à l'entrainement à l'expression orale. sous la for me d'exposés suivis de débat.

Lesexposés pourrontêtre des com pt es rendusde lecture, en liaison avec l'étude des auteu rs. ou êt re consacrés à quelques problèmes moraux, socia ux, artistiques. de la vie moderne.

Les exer cices oraux donneront lieu à quelques exercices écr its (pr ise de notes, rédaction deprocès-verbal ou de synthèses perso nn elles à la suite d'un exposé ou d'un débat , résumé d'un ar ticle de critique, etc.) dans une vue plus pratique que scola ire . On s'efforcera par ces exercices d'entraïner les élèves à un e rédacti on conc ise. pré cise et

cor-~~ .

Circulaire nO 72-455 du 23 novembre 1972

(Etablissements d'enseignement élément aire et secondaire

bureau DESCO 3) aux Recteurs

Objet: Epreuves écrites du baccalauréat de l'enseignement du second degré.à partir de H!73. - Choix dessu j e ts . Je vous prie de trouver ci-join t des instructions concernant l'éla-boration des sujets du bac calaur éat de l'enseignement du second degré à partir de la session de 1973. Ces instructions devront êt re transm ise s, en ce qui le con cer ne, à chacun des auteurs de sujets . quevous aur ez solli cités.

La présente circula ir e remplace la circulaire no IV/69-525 du 24 décembre 1969 modifiée par les circulai res nv 70-416 du 29 octo-. bre 1970, no 71-401 du 3 décembre 1971 et n- 72-179 du 24 avr il 1972.

.

.

.

Les programmesdes ép reuves du ba ccalauréat série D' - scien ces agr on omiques et technique peuven t être dem an dés pal' écrit au minis-tère de l'Agriculture et du Développemen t rural, direct ton générale _de l'Enseignem en t, des Etudes et de la Reche rche, servic e de l'Ens ei-gnemen t technique agricoleet de laFor mation professionn elle, burea u des FOl:ma t iolls scolaires, 1 ter, avenue Lowendal, 75007 Paris.

1. - Pnilosophie

Durée de l'épreuve,: 4 heures. Coefficient : 4 pour la série A, 2 pour les séri esB,C etD

A. - Choix des sujets pour les séries·A, B, C et D.

Trois sujets ser ont prop osés aux cand.d ats parmi lesquels ils en

(3)

traiteront un . Les sujets pourront porter sur des parties quelconques du programme.

B. - En on cé des sujets pour les séries A, B,C et D.

1" Evit er lesrédactions qui, empruntant litt éralement les formules du programme, paraissent in viter les candidats a reproduir e un cours . 4" Eviter dans le libellé du sujet l'emploi dr. ter m es techniques ou de term es exigea nt la con n aissa n ce d'une doctrine philosophique déterm inée.

3" Eviter les su jets exigeant des connaissances trop spéc ia lisées. 4" Ne pas abuse r des sujets constitués par une citation. En tout éta t de.cause, la cita t ion sera courte. De façon générale,on préférera des.énoncés ayant forme de ques ti on,

C. - Ch oix des suje ts pour la série A.

L'un des trois sujets dela série A est constit ué par un tex~phi -losophique. Cetexte est emprunté à un auteur quifigure dans la liste du programme ma is il n'est pas nécessairement ext rait d'u n e œuvre faisant part.ie de ce program me. .

La nat u re de l'épr eu ve incite, d'a ut re part, à évite r les texte s·les plus fréqu em men t expliqués en classe.

Il est souhaitable queletext e ait une lon gueur de10a 20 lignes; un texte trop court,revien t,à une citation ;·un texte trop long déco u-ra ge les candida ts.

. Le text e choisi concerne un problème essen t iel. Les candidats doivent être explicitement invités a en dégager l'intérêt philo so-phi que'a par tir de son étud e ordonnée, c'est-a-dire a montrer com-ment la comp ré h ension précise du texte permet de poser, éven t ue l-lement de résoudre , un problème philosophique qu'il s'agit de saisir en lui-même , Le texte doit êtr e choisi de telle sor te que le candidat ne soit.pas nécessairement tenu de sé réfé rer a la doctrinede l'auteur ni à l'histoire de la philosophie.

D. - Choix des sujets pour les sèries B, C et D.

L'un des trois su jets, dans les sér ies B, C et D, est constitu é par un texte de 10 a 20 lignes; ce texte sera ext ra it de l'œuvre d'un philosophe.

Le texte choisi concerne un problème essentiel en lia ison avec le program me de la série concern ée, Les candidats auront a en dégager l'intérêt phllosop hi que à partir de son étude ord on n ée.

E. - Cho ix des sujets dan s les différentes séries.

1n Les sujets sero n t diff éren ts dans la sérieA et dans la série B. 20.Les mêmes sujets seront proposés pour les séries C et D.

.

.

Les programmes de phiIosopbie ont été allégés'pa r une cir culaire n- IV/68·395 du 9 octob re 1968 publiée au BulIetin officiel no 36 du 17 oc tobre 1968, p. 2733 et prorogée par un e circulaire n>72-207 du 17 mai1972 publiée au Bulletin officielns 21 du 25 mai 1972, p. 1450. Aucun des su jetsproposés ne pourra être centr é exclusivement sur les pa ltres des programmes figuran t en annexe de cette circulaire.

(4)

n. -

Français : séries A, B, C,'D , D'et E

(Epr euve écr ite anticipée ou épr euve subie par dér ogat ion en mërne temps que les autres épre uves )

Durée de l'épreu ve : 4 heure s Coeff icien ts :pour la série A : 3

pour la sér ie B : 2

pour lesséries C, D,D'e t E : 1pour l'ép r eu ve prise en compte en 1973, 2 pour l'épreuve prise en compte à partir de 1974

Dans chaque série, le cand idat a le choix entre tr ois sujets en com position française :

- lm résum é ou une analyse, puis une discussion; - un commentair e de texte;

- un essa i littérair e.

. ,es deu x premi ers sujets repo sent SlU" l'étude d'un texte qui, appa r tenan t ou non au progr a mme, a son un ité et son caract èr e. Le tr oisième suj et permet au candidat d'évoqu er librement les text es de

son choix. .

A/Prem.ier suje t : rêsumè ou analyse, puis discussion

Le prem ie r sujet por t e sur lm text e de deux pages environ qui présente des idées ou des se ntiments.

On évit er a, notamment pour l'épre uve an t icipée, un texte qui pose de manière abstra ite de vastes prob lèmes philosop h iq ues, mult iplie les allusions sa va ntes, use indiscrèt em en t d'un jargon spéciali sé. S'il .'agit d'un passage d'une œuvr e, sa comp ré hens ion ne devra pas exiger la connaissance de cette œuvre.

On retiendra un texte qui éveille l'int ér êt des jeunes gens ét réponde aux besoins de lem' formation,dont lacom position soit claire et for m e - autant que possible san s coupu re s - un tout cohéren t , don t la langue et le style soient aisément accessibles . Sur les points délica ts, des notes pourront introduire des èclairciss ements.

L'épreuve com prend deux part ies : dans la première, le candidat doit f:aire, selon sa préféren ce, un résumé ou une an a lyse du tex te; dans la secon de , il doit tirer du texte la matière d'une discussion.

A/Premièr e ptirt ie : résumé ou analyse

Le résumé et l'an a lyse ont des traits com m uns, dans la mesure où l'un et l'aut re cond ense nt le text e, requi èrent un effor t souten u d'a t tenti on et d'object ivit é, font serv ir la rigueur de l'expr ess ion à la fidélité de l'interprét a ti on .

Ils se dis tinguent par des caractè res essentiels.

Le résumé vise à donner; en suivant le fil du développemen t, une Image directe du texte. Le can di dat prend en ch arge les asser ti ons de l'aute u r,pour dire en plus court ce que celui -ci dit en plus long. II s'abstien t donc cI'employer des fo rmul es comme « L'au t eur déclar e que...,ajouteque..., conclut que...».Il s'interdit tou t jugem ent de va le ur 'et tout com mentaire personnel.

L'analyse vise à dégager la struct ure logiqu e du tex t e. Elle met en évidence l'idée princip ale. Elle identi fie les id ées seconda ires et mon t re avec précision les rappo rts que celtes-ci entret ien nent avec l'idée pr incipale ou entre elles (a r gu me n ta tio n . illustration , atténua -tion , réfutation de thèses adverses, etc.i . Contra ire me nt au rés umé ellen'h ésitepas à s'écar ter de l'ordre linéaire des énon cés pour recons

(5)

tit uer l'org anisa tion int erne de IR pensee. S'il en est bescin . le candi -dat évoq ue à la trotsi èrn e pe rsonn e le.:.; C:(~qtu'Ch es dl' I'nutcur (~O ~lt 11 éc laire les intentio ns .

PU!!: le résumé com me pour I'ana tyse. la qucstion s'est parfois posee cie sa voir s'il convena it de préciser l'im por ta n ce de la reuuc

-tian dc m a udcc nombre cie mots. nom br e de lignes, pro po rt ion du

VJl~ J ;:>\ du texte exp ruuée sous Iorme de Iract icn..

,\LI niveau du baccala uré at, il u'a p p a ra i t pas que de te lles stipu -Iaticns "r~':"!1 t e nt , pour le cand ida t et pour le co rr ecte ur, des avan -tag es sup érieur s à ceux que ména ge la libre es t im a t ion de l'équil ibre que ren den t souh aitab le, selon les circ ons t a nces. la na ture du text e, son etendue.sa densité.L'esprit de l'épreuve, qui tait ap pel nvant tout au discern e ment, incite à recommander aux don n eurs de sujets cle-ne fixer en ce dom aine aucune presc ript ion.

Da ns le résumé comm e dans l'analyse , le candida t pe ut, en des occasions limitéeset à des fins précises, utiliser des exp res s ions carac -téristi ques de l'a uteu r.Ilne sa urait être aut or isé à élaborer unsimple mon ta ge de cit a ti ons. Cet te partie de l'épre uve implique autant que

la sui vunl.e un eff or t person nel de rédaction ,

Au rés umé ou à l'a n alyse, il ne s'impose pas d'a jouter un e nit ro-duction et une con clusion ,

BIDeÛxième parti e disc ussion

Dans le seco nd temps de l'épreuve, le cand idat est invité à choisir dans le texte un problèm e auquel il atta che un .n t ërèt partic ulier.'à en préci ser les données et à 'exp oser, en les just ifiant, ses propres v'.es sur ln question,Ce choix, qui est entièrem ent libr e, peut por te r sur un thè me évoquéil tit re accessoire par l'aut eur. Il conv ient se ule-ment depréciser,à la lumi ère de l'expérience,que ce thème doit offrir dans le texte une réell e consistance et ne pas Icurrur abus ivement l'occasion de développements généraux et tout fait s.

Les deux par t ies de l'é preu ve sont dist inctes. Il serait mal fondé

de t',dr c gr ief au can d id a t de ne pas les lier dans la conception et dans la présentation ,

Cepend an t. il n'y a pas lieu d'assigne r à chac une d'elle une p ro-poruou déterm in éede la longueur dela copi e ni un pource n tagedc t.e r-mmécie la not a tion. Toute liberté doit être lai ssée au candidat d'ex er-cer sa responsab ilité en usant à son gré du temps global qui lui est imparti. Toute liber té doit êt re laissée au correcteu r d'apprécie: ~ co nscien ce la qualité du tra vail glob a l qui lui es t pre sente.

B:O<>ux;èmesu jet : Com mentair e de te xte.

Le deux ièm e sujet por te sur un texte qui ne dépasse pas une vingta in e de lignes ou de vers et dont la teneu r et la tonalité app el-lent un exam en min utieux. Le candidat doit en faire un comm e n t a ire qui éclairera et pré cisera le sens de la pa ge.Aladifï éren ce de l'exp li-cation or ale, qui rend compte d'un texte dans son déro ulement , le com mentair e écr it doit être construit de manière à faire apparaitre mét u od iqu cm ent les élémen ts d'intér êt que le can did at découvre dans la page proposée. Le libellé aid era le ca ndid a t dans cette rec herche sans lui imposer nécessairement le choix de ces élémen ts d'int ér êt ou l'ordre d'exposition,

Sous bén éfice d'une ori ent ation app ropr iée donn ée par le libell é, le commen tair e peut confronter deux textes brefs. du même auteur ou d'a uteur s différents, qui tra it ent de thèmes voisins.

(6)

C/T r oisièm e,sujet : essai Iittèraire.

Le tr oisièm e su jet ouv re , dans le domaine littéraire, une la rge

plac e à l'initiat ive.Sans viser de manière exclusive un ouvrage ou un

auteu rdéte rminé, sans avoir pour obj e t un contrôlest r ict des conn ats -sa n ces, il pren d app ui sur les grand es œuvr es que les can didats

con n aissen t pal' leurs études ou par le urs propres lectures. Loin de fa ir e ser vir ces œuvres à l'illust r a t ion de « questions de cours » ou d'ambitieux déba t s critiques, il fait appe l, à propos dune quest.on sim pl e,aux réactions authenti ques que les ca n didats ont éprouvées au contact de pages don t ils ont gardé un vif sou venir et sur lesq uelles

ils sont in vités à moti ver à leur gré un sen t iment sincère, révélat eur

de leur persorma l.te. de leur cultu re, de leur juge ment. de leu r goût .

..

.

Quel que soit le sujet de leur choix, les candida ts devr on t montr er

leu r aptitu de à présenter leurs idées avec ordre et à s'exprim er clans une langue claire et correcte.

Les sujets seron tdistincts en classe ter m inale et en pr emi ère. A ch a que niveau , des sujets id entiq ues seront proposés aux ca ndid a ts des séries A,B, C, D, et E; ; ils seront differents des sujets

proposés aux candidats de la série D'.

Ill. - Lan g ues ancrermes

Pour permettre à tou t candida t de fa ir e la preu ve des qualit és Que révèl e la traduction du gr ec ou du latin, les textes de versions.

seront courts.Ils présenteront un sen s aisémentaccessible. Vocabulaire et synta xe ne de vr on t pas su rp ren dre. Le passa ge ser a précéd é dun

titreet pourra être accompagn é de not es expli ca tives.

IV.- Langues vivan t es étra ngèr es - :Sél'ie A - Options A2, A4 et AS Durée de l'épreuve : 3 heur es

Coefficien t : 3

L'épreuve écr ite de langue vivant e com porte, à pa r tir d'i_1 text e, des questions à traiter dans la la ngue étra ngère et un exer cice de tr aduction .

Sujet commun aux trois options : com mentaire dir igé dun texte

suivi de la traduction d'un passa ge parüculièremen t significatif du

text e (10 à 12 lignes).

Répartiti on cie la not e : Commen taire dirigé sur 14 poin ts.

Version su r 6 points.

La nécessité d'ac cor de r aux candidat s un temps suffisa nt pour

l'exer cice pri nc ip al , qui est le com ment a ire dir igé, a conduit ft la

su pp re ssi on du thèm e gram matical. Mais il va de soi que la plus grande impor tance sem accor dé e à la cor rection gram m a t ica le du

commenta ire.

Con sider a tions gén érales

al Choi x destextes.

L'aute ur du sujet est invité à relir e les instructions gènèra tes »our renseignement des lan gu es vivantes du 1er décembre 1956qui,

disposen t nota m m ent de ne proposer aux élèv es que des « texte s empruntés... à des écrivains de qua lité, immédia tem ent clairs pour

leurs lecteurs contemporains de même langue, pleinem en t intelligibles

par eux-mêmes sans le secour s d'un e documentation spéciale. »

(7)

TIs'assu rera égalemen t, dans tout e la mesure du possible, que lu tex tes cho isis nefigurent pas dans un manuel.

Il con vien t que chacun de ces tex tes présen te une unité rée lle et un intérêt bien apparent. Tout texte doit être exclu qui risqu erait de heur ter la con science ou la sensibili t é des candida ts.

Les text es proposés ne devront pas avoir moin s de 20

r

.;nes ni excéder la trentaine.

Les mot s rares et les expr essions difficiles devront être expliqués ou trad uit s en notes.

b) C?rn ment aire dir igé.

Des quest ions simpl es, bien méditées, guideront, « diriger ont }) l'eff ort des cand ida ts .Elles les aider ont à dégager lesens génér al du texte ou ses aspects les plus importants, à découvr ir la suite et I'ench ain em ent des idées, àexposer unesitua ti on , à analyser un cara c-tèr e. etc.

Il ne semble pas qu'Il soit de l'intér êt des cand id ats d'en réduire le nombre à l'excès. L'auteur du suje t éva luera ce nom bre d'après ra longu eur des développemen ts aux quels elles pourraient don ner lieu. sans alle r, en principe, au-delà de cinq ou six. Il serait évidemment heureux qu 'il y eût en tre elles un lien organique perm et tant aux candidats de répondre sous forme d'un développemen t suivi.

On évitera soigne usement toute quest ion-ne se rapp orta n t pas directem en t au texte. L'absence d'un programme obligatoire de lit té-rature et de civilis ation exclut de toute évidence les quest ions qui sup posent des con na issances précises que l'on n'est pas en droit d'exiger des cand ida ts, et que le passage ne fournit pas implic ite-men t. Les questions du type

«

Que sav ez-vous sur...ï » seront donc rem placées pa r des questio ns du type «Que vou s appr end le texte sur....?».On s'In ter dira égal em en t dedemander aux candida ts l'expli -ca t ion pur ement séman tique d'un mot ou d'un e expression.

e) Ver sion.

Elle devra it port er les cand ida ts à ne pas négliger le prec ie ux exercicequi consis te à faire pass er un text e delan gue étrangèredans la la ngue ma ternellesous forme idiomatique,précise et nu ancée .

V. - Mathé matiques - Toutes sér ies

Ex ercices et problèmes.

Les épreuves consistent en exercices et en problèmes, don t la dis tinct ion se fonde sur le cr itère moyen su ivant :

Un exer cice es t une application directe du cours, 11. se réfère à des connaissances qui s'inscrivent ordinair ement dans le cad r e d'un se ul chapitre du programme que la-lecture de l'énoncé doit per mettre d'iden tifier fa cilem ent et immédiat em en t.

Selon les sér ies, l'exercice peu t dépa sser plus ou moin s lar gement la simple app lication d'une formule; il peut compor ter, dans cet esprit enc ore, une question ou pl usieurs brèves questions liées; en tout cas, le suj et doit êtr enettement délimité, et le développem en t à. don ner à lasoluti on doit être précisé avec soin.

Le pr oblème doi t normalemen t fair e appel à divers chap itres du programme. soit da ns une mêm e rubriqu e, soit de pr éf érence dam' des rubriques variées; il demande un e ini t ia ti ve dans la reconnais-sance de ces chapitres, dans l'en ch aîn emen t des démarches et dans le choix des méth odes.

(8)

L'énoncé en sera compos é et ordon né avec soin; il ser a 11,13sez explicitepour lever tout doute sur lesens de certains mots techniques, et pour guider, à chaque étape et surtout au début, vers un e solu -tion raisonnable.

stru ctur e desépreuves.

Dans toutes les sér ies, les aut eu rs des suj ets n'oublier ont pa s oue les nouveaux programmes sont app lica bles dans leur totalité à

la

session de 1973. .

Les auteurs de suj ets des séries A, B, C, D et E devr on t avoir à leur disposition, non seulement le texte des progr ammes:

arrêté du 3-7-1969 pour la classe de secon de : arrêté du 19-3-1970 pourTa classe de prem ière; arrêt é du 14-5-1971 pour la classe termin ale, mais auss i Je texte des commentaires su r ces programmes:

- instruct ions du 6-2-1970 pour la clas se de seconde;

- instruct ion s du 4-1-1971 pour la classe de prem ière ; - circulairedu 26-7-1971 pour la classe term in ale.

La circulair e précédent e, en par ti cu lier, fixe avec grand win ce qui pen t, ou non, être exigé au bacca la uréat.

Pour chacune dcs séries, le barème, fixé par les mem bres de,la com miss ion académique. indique ra le nom br e de points at.trrbuès à

chaq ue exercice et au pro blè me en fonction de l'im porta n ce relative des diverses quest ions. Ce barème figurera sur l'épreuve rem ise au cand id at,

Sé rie A - Option A,3 Durée: 3.h eu res - Coeffi cient 3

Le sujet por te r a sur la partie obligatoire du progra nuuc de la classe tel' minaleA.La partiecomplémentaire (calcul des probahilrt és)

fa it l'objet d'un enseigneme n t facult a ti f, elle est en deh or s du pro -gramme du ba cca lauréat. Bien que le programm e de premi ère A comporte une rubri que «Statistiques et probabilités», cette rubri -que - qui n'est pas rep rise dans le programme obligatoire de termi -nal e A - ne peut faire l'objet d'une question quelconq ue, soit à

l'écrit, soit il l'or a l du baccalauréat.

On observera que la part ie obligatoir e ne com po rte plus a).les génér a lités sur les applica t ion s et sur les lois de comp o-sition internes (groupe, annea u, cor ps , corps des com plexes),

b) le raisonnement par récurren ce,

c) les fon ction s primitives et leur applic ation au calcul d'aires aucun exerc ice ne peut porter sur ces questi ons.

On remarquera que les locutions «gr ou pe conunut.at.if ». « espa ce vector iel )} ont été introdu it es en secon de A,et les adjectifs «injectif, surj ec ti f, biject if » en première A; les éno n cés pourront employer Incidem ment ces locutions et ces ad jectifs sans que ces notions puis -sen t con stit uer le resso rt prin cipal d'un exercice.

On ra ppelle aussi que la résolution de l'équati on cO!llplète du second degré l.ax2 .L bx + c

=

0, abc

'*'

0) ne figure dans aucu ne ,des classes de lasérie A,

L'épreuve comp ort e tro:s exercices indépendants, tous obliga -toires, l'un d'eux au moins doit proposer une application uu mérique.

(9)

L'épreuve revêt lin cara ctère pratiqu e, elle cont rôle l'acqu isition des conn aissa nces indispensables pour l'étude des scien ces humaines.

Sér i e B

Dur ée : 3 heures - Coeffi cien t 3

Le programme de la classe ter mi n ale B ne comporte plus les

rubriques con sac rées à l'arithmét ique et aux mathématiqu es a

ppli-quées (ann uités. amor tissements) , Mais l'usage des tables numér i-ques et de la règle à cal cul figure aux programmes de première

et termin ale B et le commen ta ire du 26 juillet 1971 ipsiste sur l 'im-portan ce des tech n iques dan s la science mathématique, même dans la section B; il faut en conclure que les candidats à la série B d e-vront êt re invités à faire un ca lcul nu mér iq ue lors d'un exercice ou au cours d' un problème. .

L'étude de l'équa tion numérique du second degr é figure au pr

o-gramme complément aire de seco n de A,pr ogramme indispensable pour

suivre utilement lesclasses de prem ièreB et terminale B (cf. co mmen-taire par t iculier du programme de secon de A,instruct ion du 6-2-1970).

La résolution d'une telle équation pourra être proposée incidemment aux candidats à la'série B.

Le fait que le titre IV « St atist ique et probabilités » comporte

« Révision du pr ogr a mme de première B » entraîne que le tit re III

«Statist ique et probab ilité »du pr ogr amme de pre mière B est exigi ble àla sér ieB du baccala ur éa t ,On observe r a qu e,bien queceprogra mme .comporte « dist ri bu ti on binomiale », la for mul e du binôme a; été

supprimée du programme de la série B.

L'épr euve comporte un ou deux exer cices ind épe nd a n ts et un

problème, tou s obligat oires.

Le problème doit rester simple et court; il com portera un bref calcul numérique .

Séries scie n tif iques C, D, D' et E Dur ée : 4 he ures Coefficient 5'pour les séries C et E,

4 pour la série D,

3 pour la sér ie D'.

Pour les sér ies C, D, D'et E, l'épreuve compor te deux exe rc ices in dépendan ts et un probl ème, tous obligat oires, et a un e durée de

quatre heu res.On veillera à maintenir dans une ampleur modérée les

sujets proposés; il n'y a pas d'in con vénien t à ce qu'un bon élève

puisse traiter l'épreuve en trois heures; l'essen t iel est qu'un élève moyen , rédigeant posément après avoir réfléchi posément, puisse

l'ach ever en quat re heures.

Lesexercices consistent en des applications immédiate s du cours (sans rédu ct ion à la simple application d'une formule) et choisis dans

des domaines différen ts; l'on n'y de mande que des justi fica t ion s à

par t ir des théor èmes don t la conn aiss ance est exigée par le

pro-gramm e, et non des dém onstr ations de ces théo rèmes.

Le problè me comportera plusieurs questi on s très gr aduées, la première devant être facil e et la secon de sans difficultés part

icu-lières; on évitera les problème s impliquant un changement brutal

d'orien tati on de pensée au milieu de l'épreu ve ainsi que ceux dont le suj et se situe aux fr ontières du.programme.

Da n s toute la mesure du possible,l'éno ncé du problème devra êtr e tel que le cand idat puisse contrôler au fur et à mesure de son travail

(10)

l'exactit ud e de ses résultats, en particulier de ceux dont dèp rnden t 'évent uellement les questi ons suivantes,

Les gén ér alit és sur les ap plications ct les lois de com positi on qui figura ient en tête des anciens programmes des sér ies, scientifiques n'ont pas été rep ri ses par les- nouveaux progr ammes pa rce qu'elles ont été-rencontrées dans res classes de secon de et de prem iè re : c'est dire que les notions corr espon d ante s ne pourron t ser vir de res -sort principal à un,exercice ou,à un problèm e, mai s elles pourront intervenir éventuelle me n t au cours de l'étuded'une question,

Série C.

Le-para graphe VIII du pro gramme (Proba bilités sur un ensem ble fini) figure pour la premièr e fois au programm e du bacc al aurea t C: il'est souhaitable que ce chap it re ne so.t utilisé, en 1973. que pour un exercice et non pour un problème, Les exem ples ét ud iés Ù ce sujet dans le progr amm e de premi ère C peuvent ser vir au cour s d'un ex er-cice de baccal auré at. '

La réd action des pa ra graphes VI et VII ne met pas obstacle à la construction de'fig ur es parles candidats (cf. Introduction à la géom é-triedans le'com men taire du progr ammede pr emi èr e,à laquelle renvoie le comm en taire pour le programme de ter m inale C')'

L'en semble de l'é preuv e recouvrira,aussi largement que possible, l'ensemble du programm e, en particulier le problème lui-m ême ne se laissera pas cantonn er 'd a ns une spécia lisa ti on ét r oit e.

Série D,

Des'exer cices de statistiqu eévoqua n t le programme de premi ère D peuvent'être posés au ba ccalauréa t Q, le paragraphe VI, 4, fai sant -explicitement men tion d'une révision du programme de prem iè re' D.-Les exem ples d'esp a ces probabilisés finis signalés en prem ièr e D (VII, 2) pourront servrr au cours d'exercices propos és au ba ccal a u-réat D:

Les sujet s de la sèr.e D seron t .d isttn cts des sujets des séries C et E; ils exp rim er on t le caract èr e de la secti on D ou les ma t h ém a-tiques associent à leu r val eur cult u re lle le souci d'un em ploi da n s des domain esvari és :mathéma ti quesappliquées ,physique,chim ie, sicences naturell-es et biologiqu es ,

Séri e D' .'

Les sujets proposés aux candidats de la ser ie D' seron t d.stincts des sujets pro posés aux candida ts des autres sér ies: ils évoq ue ront le caractère de la sér ie D' où les ma th ém atiques ne sont pas étud iées pour elles-mêmes, mai s à tit re d'outil indisp ens a ble pour l'étude des sciences expé ri mentales (physique, chim ie, biologie, ctc.).

La présen ce, en 1973, de red ou blan ts dans la sér ie D' don t le pr ogra mm e vient d'ê tre modifié, risque de pro voqu er quelques diff i-culté s.:De même qu'en 1972 il n'a pas été'inst it ué de session spccrale pour les red oublants des sér ies A, B, C, D, E, il n'est pas, cnv.sagé

d'inst it uer une sess ion spéciale en 1973 pour les redo ub lants de la série D', Par suite, il est ind ispensabl e que,pour cette année de tra n-sition, la forme des tex tes des exercices et despr oblèmes de la sér ie D' ne puisse traum a t iser les redoubla n ts et que ceux -ci reconnaissen t ais ém ent dans les sujets qui leur seron t proposés les êtres math é ma-tiques qui leur ètairnt familiers:

- '

Les commenta tres relat ifs aux programmes de'la section D sont applica bles il. la section D' en ce qui con cerne celles des ques t ion s pr évu es pour D ct qui subsis ten t pour D', En pa rticuher. quoique le pr ogr a m me de erminale D' comporte une_rév.s.on du Litre IV de

,

.

.

.

(11)

la cla sse de premièreD',auc un e question de cours ne pou rra êt r e posée sur cett e par ti e du pr ogra m me. La révi sion prévue a pour objet de véri fier que les résult ats en sont connus et peuvent être ut ilisés dans

d'a utr es parties du'cours, mais un problème d'examen ne'pourra pas avoir comme ressort princ ipa l l'un e des questi on s ains i révisées. En outre, comm e les ca ndidats de la session de 1973 'n'ont pas étud ié, quand ils étaie n t dans la classe de prem ière D',les alinéas 4, 5 et 6 du titre IV du progr amme actuel de première D', ces aliné as sont exclus du programm e de la session de 1973.

Des exercicesde statistiq ue évoquantle program me de pre m ière D' peu ven t être posés au bacca lauréat D' puisque le ch apitre VI, 4, fait explicitement men ti on d'une révision du programme de statis tiqu e

de première D'.

L'importan t progr amme de proba bilités contenu dans le c ha-pitre VI, 1, 2. 3 figurera pour la prem ière fois au baccalauréa t D" à

la sess ion 1973: il convient, à cette session. et compte tenu de la prés en ce des redoublants, de n'évoqu er les questions correspondantes qu' à propos dun exercice, et non d'un problème .

Sér ie E.

Le chap itre VIn du prog ra m me (prob ab ilrtès sur un ense m ble fini )

figurc pour la prem ière fois au progra m me du bacca lauréat E; il est 's ouhaitableque cechapit re ne soit utilisé, en 1973.que pour.unexercice et non pour un problèm e.Les exemp les ét udiés dans.le pro gramme de

prem ière E peuventser vir au cours d'unexerc ~E de ba ccalauréat. Le comment aire du progr a m me de prem ière, da ns son

«

Int roduc -tion à la géomé t rie », ins iste SUI' le caractère indispensable dans la sect ion E des.dessin s exécutés à l'aide des ins truments usuels pou r l'ét ud e d'obje ts usuels.Il demande mëme que schéma s etfigures ut iles"

qu an d il s'agit d'êtres mathéma tiques qui ne rep résenten t.pas J'espa ce physique,soientdessinés,quandils'agit de la sect.ionE,aveclesmctu

o-desde la gé ométrie descr iptiv edansun espace affinede dlmension A :

c'est dire qu'une question de géomé tr ie dans la série E ne peut se

concevoir sans la const ructi on ou I'utihsatim d'une figure.

Les auteurs des éno ncés de la série E ne per dron t pas de vue la

speciüctté du baccalaur éa t E,des tinéà formel'des ingénieurs,des ph y-siciens, des tech n iciens, des mécan iciens. Les exer cices et problèmes

don nés dans la série E ne doivent pas avoir le nième ca ra ctère theo -riqu e ou abstra it que peuvent présenter certa ins sujets de la sér ie C. Il en résult e que les sujet sde la série E ne se ront ja maisidentiques à ceux de lasérieC.Les sujets dela série E doivent recouvrir aussila r ge-ment que poss ible l'en semb le du programme : ils pourront avoir une partie com mune avec les sujets de la série C, ma is il impo rte qu'ils évoq uent ce ux des carac tèr es de la série E qui la distmguent de la série C, c'est-à-dire non seuleme nt la géométrte descri pti ve - comme il vient d'êt re ra p pelé ci-dessus - mais aussi l'importance du calcul numérique (com me n t aire du 2G-7-1!J711..

~n outr e, les auteur, des én on cés de la serie E n'oublieron t pas qu 'en raison des ensei gnemen ts technologtques propres à la sér ie E, les élèves de cett eserie on t.pal'sema. ne, une heure de mathèmatrques

de moins que leurs camarad es de la séri e C.

..

..

..

R.~fé rell ces des tex te s cités A.du 3 juillet1969 B.a.no30 du 24 juillet 1969, p. 2560 B.O.E.N . nO45 (30- 11- 72) 3899

(12)

A. du Hl mars 1970

B.O:-no17GU23avri.l 1970, p. 14,61; Reet . au B.O.no48 du 17d"

cembre 1970, p. 3310; Reet. au B.O. no 2 du 14 janvier 1971, p. Ut_ A.du 14ma i 1971

BéO.no25 du24juin 1971,p.1586; Ree t . auB.O.n')38du14 oe te-ore 1971,p 2432.

Ocmmentatres :

Inst ru ct ions du 6 févri er 1970 ; B.O .no8 du 19 février 1970,p. 710. Instructionsdu 14 jan vier 1971 ; B.O.no4du 28janvier 1971,p.25'3. Circulaire du 26. juillet 1-971; B.Q. no3Ddt~29 juillet1971,p.187'3.

VI - Sciences physiq ues - Senes C,D, U'et E.

Séries C, D et E

Durée de l'épreuv e : 3 he m-es .

.Coeff ic ie nt 5 pou r la série C, 4 pour les séries D et E.

L'épr euve consis te en deux questions de cours et un problème ;

celui -ci por t er a uni qu ement sur la physique, une desquesti ons de cour s

au moins por t ant su r la chim ie.

Les progr a m mes et les hor aires dans les sect ions C.et E étant;

les mêm es, les suj et s des séries C et E pourront être comm uns.

Les auteursde su jets auron t int ér êt à disp oser pour accom plirleur tâche de la br och ur e éditée pal' l'I.N.R.D.P . no63 Pg qui contien t à la

fois les progr ammes fixés pa r J'arrêté du13 juin1966 etles ins truct ions

n" IV-67-169 du 31 ma r s 1967 rela t ives auxdits program mes.

Les programmes de sciences physiqu es ont été allé gés par une cir

-culaire no IV/'68-393 du 9 octobr e 1968 publiée au Bulle ti n oUidel

n.· 36 du 17 octobre 1968 page 2730 et prorogée pa r une circulaire

Il" 72-207 du 17'mai 197:' publiée au Bulleti n offi ciel du 25 mai 1972 page 1450. Lesparties du pr ogr a m me figur a n t en annexedecet te circu

-laire ne peuvent faire J'objet d'une épreuve écrite.

Les paragr a phes du pr ogramme marqués d'un ast érisque mais

ne figu rant pas dans les allégements ci-dessus ne doivent pas faire

l'obje t de ques tions de cour s mais ils peuven t êtr e utilisés pour "le

problème.

Aucune question ne peut êtreposée su r le programme d'as t r on om ie

des classes C et E fixé par l'arrêtédu 28 mar s 1962.

SérieD'.

Dur ée de l'ép r euve : 3 heures.

Coeffic ient : 2.

L'épreuve con siste en une ques tion de cours et un probl èm e; la '

questi on de cours por t e sur la chi mie, le problème porte unique ment

sur la physiq ue :

10La' question de cours de chim le comporte une app lica tion ; 20 Le problème de physique contient plusieurs ques t ions de diffi -culté cr oiss a n te.

Sér ies C, D, D' et E.

\ .

La résolution et la rédacti on du problème devront correspondre ,au total, à deux heures de tra vail au maxim um,pour le candidat moyen, sur les trois heures attribuées à l'ensemble de l'épreuve.

On indiquera sur le texte rem is au ca ndidat les coffi cie n ts at tri

-bués à chaque que stion de cou rs età. l'ensemble du pro blème.

(13)

Vil - S~ir nrr s nat u re lles - Se ries D - :\la(,;ll'matiq u,es et .S r-ienc-r-s de la nature.

Duree de l'épre uve : 2 h 3@ Coeffic ient 4,

Deux suje ts , empru ntes à deux pa rties différentes du progra m me.

sont proposés au choix du ca n didat,

L'intenti on de cette épreuv e est bien moins de mesmer I'amp.eur d'un savoir que d'apprécier des qu a li t és , d'an a lyse . l'aptitude'a la réflexion, l'esprit de syn thèse, la manifes tation d'une pen sée lcgtque ct

lc-.u rcsaioncorrecte de cett e pensée.

Lr-s sujets proposés feront donc appel moins il la mém oire qu'à l'intelli gen ce, A cette fin, ils pre n d ront la forme de problème s ~', résou -dre, Comme il est fait au cours d'exerci ces pratiques , une docurnen -tation sera remis e au candidat, Cet t e documenta ti on pourra pre nd re

.le s aspec ts les plus diver s : tablea ux de mesures ou grapnss co

r-respondants, tracés d'enregistremen ts graphiq ues. dessins. phot cg:' n

-phies compt es ren d us d'expériences, tex tes, etc. Il leur sera dem a ndé

de « manipule r » cette documen t a tion, de l'exploiter, s'il est po s-sible il la rO!~ de racou qu a lit a t ive et quan ti t a ti ve, d'exprimer, clans une cou r t e rédaction ,la démar che de la pensée, au terme,de Iorrnuler

des r-uuclusions.

Une telle épreuve ne peut surprend re les candidats, Elle est CO~)­

for m e il,l'orientation donnée aux pro gramm es, il, l'im p or t a n ce accordee

au x tr a va ux pr ati qu es, au x méthodes util is ées dan s renseignement des

sciences natu re lles et aux in te nt ions majeu resde cet enseigne m en t

.

..

Les pro gram m es de sciences nat urelles de la sér ie Dontété aJlegés

par une circu lair e no IV/68-394 du 9 octobre 1968 publiée au Bu lleti n off ici el n: 36 du 17 octobre 1968, pa g e 2732 et prorogée par un e circu-, laire no 72-207 du 17 mai 1972 publiée au Bullct!n ot'fk iel n- :!l du 25 mai U'72, pa ge 1450, Les parties du prog ramme f:gur<;:]t en ann exe

de cette circulaire ne peuven t fair e l'objet d'une epreuve ecr it e,

VIII - Sciences biologiques - Série D' - Sciences agruno rntqucs Cl techniqu e

Dur ée de l'épre uv e : 3 heu re s,

Coefficie nt : 2. Rem arQue prealable.

Deu x sujets sont pr oposés au choix du candidat,

Les ques tion s posées dans ces deu x suj et s doiven t porter sur le pr ogr am me de la classe tcrrninale, mais lorsq u'elles portent su r un même titre de ce prog ramme tsoit biologie genéral c,soit écologie ) el.cs ne doiven t pas être empru n t ées à la même partie de ce titre,

1,'r sujet

Ce su jet comporte deux qu est ion s, l'u n e d'écologie (n oté e sur 13) l'aut re de-biologie géné r a le (notée su r 7), Il doit faire appel il Ir lois au raisonnem en t et à la, mémo ire,

2' sujet

Ce sujet porte soit sur l'undestitres, soit sur l'en semble des trtres du progra m m e de scien cesbiologiques.cest-à-dirc :

- soit sur l'écolog ie

- soit sur la biologiegéné ra le

- soit sur l'écol ogie et la biologie générale,

(14)

Il consiste en un pr oblè m e à résoudre à partir des doc umenta

[o in ts et présen t és de manière à être d'exploitation aisée.

Ii doit faire appel beaucoup plus à la compr éh ens ion et au raiso n-nemr-ut qu'à la mémoire.Il ne doit pas présenter un caractèr e ponct uel

Ou restreint,

Il doit pouvoir, enf in , être tra ité par les candidats de toute s les

ré c;ions de France; à par t ir de don n ées précises , qui pourront corre

s-pon d re à une région don n ée,lescand idat s seront ame nés à com men ter

les interactions ou interréacti ons géné rales entre les divers facteurs

écolog iques,concer nés.Les questions devr ont guider les can didats dans le ur recherche.

IX . - Scien ces écono m iqu es et sociales

(Série B - Economique et social )

et sciences écono m iqu es

(Série D' - Scien ces agron omi ques et techn ique)

Scie nces économ iques et sociales - Sér ie B.

Durée de l'épre uve : 4 he ur es.

Coeff icient : 4.

Le pr ogr a m me de l'ép reuve de sciences économiques et sociales

est celu i de la classe terminale , défini par la circ ulair e no IV-68-345

du 6 septem br e 1968 (Bu lle tin off ici el no 31 du 12 septembre 1968,

p. 2-Hi6) , auquel il con vien t seulemen t d'apporter les allégem ents

pré vus par la cir cu laire no IV-69/400 du 26 sep te m bre 1969 (Bulletin ojiiciel no37 du 2 oct obre 1969, page 3059) et reconduits par la cir

cu-.la~re n- 72-207du 17 mai 1972(B.O.no21 du 25 mai 1972, pa ge 1450).

Deux suje ts seront offerts au cho ix des candidats. Sans mèco n-naitre les liens qui unissent inévit abl ement entre ell es les diffé r e ntes questions insc ri t es au programme, ils ser on t libellés de telle façon

que l'un d'eux porte principalement sur la premièr e par t ie de celui-cl

(niveaux de développement et systèm es écon om iques et sociaux),

l'au tre sur la secon de , la troisièm e ou la quatrième partie [cette d

er-nièr e réd uit e, par allég em ent,à son point 1, paragr aphes a) et b)] ou

sur des pro blèmes communs à ces trois parties.

Sciences économiques - Série D'.

Durée de l'épreuve : 3 heures - Coefficient : 2 In st ructio n s val ables pour lesdeux séries

Les deux suj ets sero nt de même nature. L'épr euv e che r chera à.

com biner les qualités prob antes d'une dissertation et celles d'un corn

-mentaire de document s.De la dissertation ,on reti endra les exigences

dr construc tion, de mise en ordre et de rédaction : il s'a gira non

pas de répon dre à une séri e de questions isolées, mais de traiter un

problème (d ont la form ul ati on,sim ple,mais autant que possible,ori

gi-nale , ne coïnc ide r a pas avec celle d'une « question de cours »r: il

conv iend r a de manifester , d'abor d qu'on l'a compris, en le posa nt

d'un e façon claire et réfl éch ie, puis d'en articul er le dével op pement

selon un plan, non pas conform e à telle ou telle tr adition rhétorique de la division des devoirs en deux, trois ou x par ti es, mais ne t,

adéq uat au sujet, logiquement organ isé ; il conviendra en fi n de tëmoi, gner, tout au long de cet exercice, d'un man iem en t correc t de la

la ng ue et des moyens d'expres sion dont le baccalauré a t a,en t r e autres.

pour but de vérifier l'acquisit ion . Pour aider les cand idats, lim it er

l'effort de mémoire (indispensable, dans un e mesure raisonn able )

qui leur est tout de même demandé , éviter, autant que possibl e, que

leurs facultés de raisonnem ent ne s'exercent dans le vide ou da n s la

(15)

va gu e,on leur fournirad'au t re part un e docume n t ation dont la forme et lanature pourront varier (text es, statis t.iques,cartes, diagr amme",..) dont le contenu ne recouvrira pas nécessairement la totalité du sujet pr oposé, et dont ils devront se ser vir id[\I1S le corps même dt:

devoir, et non pas en an nexe) comme d'un ensemble de références destinées à nourrir le u r réflexion et à asseoir leur travai l su;' des bases posit ives, sa ns y chercher un pr étexte à paraphrase ou à corn

-mentarre systé ma tiq ue et' dét aill é,

Cette formule est donc celle d'une composition appuyée sur un dossier, Elle parai t concilier au mieux le respect de la pers on nalité des candidats, laissés libres d'en fournir la preuve en choisissan t eux -mêmes leur argumentation et leur méth ode d'exposition, et la ni-ces -sité de con t rôler leurs connaissan ces et leurs aptitudes,

x -

Cons t r uc ti on mécaniq ue-Série E-M athema.tiques et lechn iq u2 Durée total e de l'épreuve ; 4 heures; Coeffi cient : 4,

L'épreuve doit permettre de juge r l'apt it ude du candidat à ,: - lire un docu m en t techniqu e: analvser une solu tio n, en faire la critique et proposer des modifications; justifier les formes don nées aux pièces et précise r les moyens d'obtention;

- don ner , sous for me graphique correcte, les solu tions à des pro blèm es de constr uction don nés,

Cette épr eu ve unique comportera deux aspec ts :

une ét ude technologiqued'u ne durée maxim a le d'une neure - un dessin te chnique,

A. - Et u de technologiqu e.

L' étude technologique peut être présentée sous la form e d'une

cou r t e notice technique illust ré e de graph es, schénra s, dessins sil':pli -fiés, croquis', table au x ... ou sous la forme d'un ta blea u ou question -nair e préimprim éet à compl éter portant su r

- Je foncti onnement d'un mécan ism e; l'analy se fon ction ne lle ;

la cotation fonctionnelle; les procédés de fabrication ;

la recherche de solution s constructives , etc ..,

B. - Dessin technique.

Le dess in techn ique pourr a compor ter ; - un dessin d'ensemble d'un mécanisme;

- un dessin de défin iti on d'une pièc e extr aite d'un ensemble avec

étude com plète ou par tie lle de la cotation,

Le dessin est exécu té sur calque et de préférence au cravo» avec

les inst r ume nts habituels du dessinate ur. Trace-lettres, lei tres à

décalquer, appa reil à dessiner son t autorisés,

Il sera pr écisé dans le texte si l'aide-mé moire, le guide ou autres documents du dessin a teur son t ou non aut orisés sans précision de nom d'a uteur

XI -Ep re uve de technique pr a t.ique -Série ma t.h èmatfques et tech rn que Durée totale de l'épreu ve : 4 heur es ; Coefficient : 3 heures

(16)

L'é preuve comporte deux parti es :

1. Une ana lyse de fabrica tion d'u ne du rée approxim a t ive de 30 .ninu tes el co m m un e à tous les candidats;

~. Une manipulation à l'a t elier conduisa nt à a réal isa tton (rune opèra tion,de fabr icat ion sur ma chine-outils.

1. L'arialvse de fa br ica t ion est limitée à une phase. parfaitement d .fin ie dans le processus de fa brication. Elle est conduite il 'partir dun dess in de défin iUon complet d' une pièce simple de mécanique. Cette pièce doit être suscept ible d'être usinée au moyen des mach i-nes courant es .

Le cand idat doit savoir me ttre en place le système de re pérage ct' la pièce sur le monta ge ou la machi ne et. da n s des cas simples, le d.sp osi tif d'immobilisa tion . Il doit savoir ch oisir les outi ls ou indi quer 1('" cotes réalisées (cotes mach ines. cote outils. etc.). Il doit pouvoir etïcct uer un calcul simple de trans fert de cote.

2. Les man ip ulations sur machines cutils por ten t sur toutes res activité s pratiques prévues'au programme de la classe terminal e E (Arrêté du 25 août 1966).

Les mach ines-outils spécia les (mach ines équipées de but ées. de lect eu rs op t iques, d'appareils à copier ou à fileter, etc.) et au tomatisées son t au progra m me.

Cha que centre d'examen organ ise des pos tes de tr a vail en Ionc-tion de ses moyens. Les postes sont attr ibuésaux candida ts par tirage au sor t.

Ch a que candidat doit pouvoir présenter aux membres du jury la lis tet rès précise des ma chines spéciales (type, marque , équ ipemen ts) utilisées en cours d'a n née scolaire.

Le candi dat qui ne dispose pas le jour de l'examen d'une ma chine Iden tique à celle utilisée en cours de scolarité reçoit les inïorru a t ions utiles à la pr ise en main du poste en dehors du temps alloué pour l'épreuve.

Au cours de la manipula tion. le candidat peu t être appelé à répond re aux quest ions des membres du jury. Ces questions porteront sur les parties du program m e de technologie des fabrications Corr es-pondan t au travail de ma ndé au ca nd id a t.

Si. en raison de.lem nombre, les candidats ne subissen t pas tous l'épre uve dans la même dem i-jou rnée, les suj ets prév us pour les différents postes de travai l ne devr on t pas être les mêmes d'u ne demi-journée à l'a utre, éta nt entend u que de toute façon I'analyse de fabricati on ser a subie simu lta n'ment par tous les ca nd ida ts.

XII - Opti on A6 - Education musicale - Epreu ve écr ite Durée totale de l'ép reuve : 3 he ur es.

- Coefficient : 2. - Barème de notatio n

Com mentaire d'une œuvr e musica le .. sur 10points . Analyse harmon ique sur 10'points.

L'épreuve consi ste en un commentai re d'une œuvre musi cale et une analyse harmonique dun court fragm ent mus ical.

al Com me n t a ire d'une œuvre musical e.

L'œuvre ou un fragmen t d'œ uvre. soit inst r ume nt a le, soit vocale. moisie dans le progr a m m e d'hist oire de la musique de la classe 39 0 4 B.O.E.N. nO45 (30-11-72)

(17)

tel1min ale,dev r a être assez brève (d'un e dur ée maxima de 4 à 5 mln

n-tes). Il convi en dra de dis tr ibuer une part iti on à chaque candidat, qui, apr ès audition de l'œuvre à l'a ide d'lm élec trophone ou d'un magn étoph on e, devra rép ondre, en une trentaine de lignes, à un e

question gén érale - ou il, une sér ie de questi ons brèves - se rappor -tant à l'œuvre (époq ue, genre, forme. sty le), Une seconde audi tion ser a donnée un quart d'heure en vir on après le com mencemen t de J'épre uve . L'œu vre ou le fra gm ent d'œuvre proposé sera identifi é

et situé sans ambigu ït é, de manière à en leve r à cette épreu ve tou t.

car a ct èr e d'én igme.

La nature des question s posées fera moins appel à la mém oir e

qu'à l'intelligence et à la sensib ilit é. Il ne s'agit pas de reprod uir e

UDJcours ou une pa ge de manuel , mais de taire preuve de réflexion

/et de sens mus ical. Il importe natur elle m ent que,ces rép on ses soient rédi gées da ns.une langu e correcte.

b) Analyse harmonique d'un court fra~ftl~nt musical.

Un texte musical d'une trent aine de mesu res,simple d'écritu re et

présenté sur deux portées (clé de Sol et clé de Fa ) sera remis à cha quecandida t.En accordavec le programme de la classe,termin ale,

les questions - très élémentaires - porteront sur l'écriture harm

o-nique de l'œuvre (tona li té , modulations. cadences, accords, etc.).

XIII - Option AG' - Education musicale - Travaux pratiques Coeffi cient : 2 - Barème de notation :

- première pa r tie de l'épreuve : sur Hl points ;

- de uxiè me par tie de l'épreuve : sur 10 points.

L'épreuve de tra va ux pratiques d' éducatio n musicale se divise en

deux par tie s :

1) Iriterrog ation por t a n t sur la culture musicale du candidat après audition d'W1fr ag ment d'œuvre.

2) Au choix du candid a t :

:... déchi ffra ge d'un exe rci ce de solfège écrit en clés de sol et de fa .

cand idat devr a faire pre uve non seulement d'Un certain ent

raine-ment à la lecture voca le, mais aussi - et surtou t - de qua lités m usi-cales.Il sera,accompagné au pian o: le che f de cent re devra o

bliga-toireme n t prévoir un accompagnateur pour cette ép re uve ;

- ou exécut ion d'une œuvr e instrumen tale pr ésen t ée pa r le c

andi-datet éventuellement acco m pag n ée au pia n o,soit par 1.111accompagn

a-teur de son choix. soit par l'accompagnateur choisi par le chef de

cen t r e. Le [ury apprécier a le choix du morceau et tien dra compte

moins de la virt uos ité tech nique que du goût et des qua lit és de sens ibili té du candidat. '

..

.

Pou r la seco nde pa r t ie de l'épre uve. les élèves fer ont con n aître leu r choix au moment de leu r tns cr tpti on .

XIV - Option A7 - Arts plastiques - Epreuv e ècrit e On s'inspire ra des règles en usage pour les sujets c'e com pos lti on française, en admettan t, ce qui est pleinement just ifié :

--'-qu'unta bleau. unesculpt ure.un bât im ent,peuven t êt re con

sidé-rés comme l'équivalent d'un texte ;

(18)

- qu'un problème con cernant les ar ts plastiques à une époque

déter min ée est compara ble à une question li ttéraire ;

- qu'un appelà des idées sur l'a rt sans contexte historiqued

éter-miné cor respon d à un suje t général,

L'épre uve écrite comportera donc trois suje ts au choix :

l) Comm entaire écri t d'un document pho tog raphique représen

-tant un bât imentou une œuvre d'a rt,On pourra associer deux photo

-graphies, l'une de l'ensemble, l'autre d'un détail , pal' exemple, Le

documen t sera accompagné d'un titre le définissant et le situa ntsans

ambiguï té, de manière à enlever à cet te épreuve tout caractère

d'énigme,

2) Devoir sur une question d'art, présen té comme un suje t litté

-raire, etnon comme un contrôle de connaissances ,

Par exemple :

« Commen t, à vot re avis, s'est exprimée, en peinture, la frénésie

des romantiques? »

ou

« L'humour et la poésie dans l'art non figu ratif d'aujourd'hui. »

3) Devoir général qui, s'il peut être considéré comme de l'esth é

-tique ,devra l'ester proch e des manifestati ons concrètes,

'Pa r exemple :

Commen t interprétez-vous cette for mule de Baudelaire (mort en

1867) :

«Qu'est-ce'que l'art pur suivant la conce ption moderne?

C'est créer une magie suggest ive conte n a n t à la fois l'obj et et le

suje t, le monde extérieur à l'a rtis te et l'a rt iste lui-même, »

Es t-elle encore d'actualité?

xv -

Opti on A7 - Tra va ux pra tiques

Deux sujets cor respondant chacun à l'un des aspects du pr

o-gramme, seront proposés au choix du candida t,

1. Et ude de la forme,

Cette défini tion peut s'a ppliquer au dessin d'observa ti on, qu'on

exécute à partir d'un ou plusie urs modèles,

Deux possibilités sont à envisager :

1) le modèle collectif (m oulage ou nature mor te, etc.) ;

2) le modèle in dividue l : a) à trois dimensions (du type étude documentaire) ; bl à deux di mensions : document photographique,

Quel qu'il soit le modèle ne doit pas être envisagé comme un

objet de copie, mais comme le support d'une analyse (re che r che de

tout ce qui peut mettre en évidence les structures, les mati ères, les

couleurs et les moyens de les exprimer) qui doit aboutir. après urie

réflexion, une simplifi cation ou une transp osition, à une syn t hèse.

On se gardera autant de l'im ita ti on ser vile ,et, totalement impe

r-sonnelle, que de la gratuité qui se signalera it par un e in a déquati on,

volonta ire ou non, à la propositio n init iale.

Dans tous les cas, le but à attein dre demeurel'expression perso n-nelle.

Z. Composition, rech erche de formes et de couleu rs .

Con trairement au précéden t , ce suje t ne comp ortera aucun docu -ment ,ma is seulement un énoncé précis (lhème,ca ractértst tques, desti

-nati on du projet).

Références

Documents relatifs

la nécessité d’une réflexion pluridisciplinaire, dans le contexte de l’urgence, sur le choix des techniques réellement utilisables dans des conditions normales de

 Les patients obèses ont plus de chance que les patients minces de développer des complications respiratoires.  La genèse des complications

À l'inverse, lorsqu'une péridurale était déjà utilisée pour le travail et qu'une césarienne en semi- urgence (délai prévu décision-extraction &gt; 5-10 minutes) est

Les polynucléaires activés libèrent de nombreux intermédiaires (prostaglandines, leucotriènes, histamine et PAF), de même que les plaquettes (prostaglandines,..

La greffe pulmonaire est souvent double pour toutes les pathologies à risque infectieux, mais il existe des transplantations monopulmonaires qui sont caractérisées par des

Élèves du secondaire occupant un emploi (rémunéré ou non) et ayant reçu des consignes ou une formation sur la sécurité avant de commencer leur travail , selon le sexe et

Source : ISQ, Enquête québécoise sur la santé des jeunes du secondaire, 2010-2011, traitement des données réalisé par l'Infocentre de santé publique du Québec. De plus, il n’y

• h-index = 36 (155 publications) dans Web of Science All Databases : Web of Science Core Collection 1975-2016 (multidisciplinaire, analyse de citations, articles de revues