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ARTheque - STEF - ENS Cachan | La télé à la découverte de la science

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Academic year: 2021

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LA TÉLÉ

À

LA DÉCOUVERTE DE LA SCIENCE

Josette UEBERSCHLAG

Centre national de documentation pédagogique, Paris

MOTS-CLÉS: TÉLÉVISION - SPECTACLE - VULGARISATION SCIENTIFIQUE-DIDACTIQUE - LANGAGE CINÉMATOGRAPHIQUE

RÉSUMÉ: La télévision, en diffusant des émissions sur les sciences et les techniques, conquien un nouveau public qui, avec d'autres médiations, n'accéderait pas, aussi rapidement, àce type d'information. Ses avantages ne doivent pas masquer les limites de son intervention. Quand on a recoursàce mode d'éclairage pour initierilune rétlexion scientifique et technique, il convient de prendre garde aux dérives possibles. La mise en spectacle de phénomènes peut faire obstacleà une observation critique, en privilégiant le sensationnel au détriment de l'analyse objective.

SUMMARY : Television, by broadcasting programmes on science et technology, is reaching a wider audience which Illight not have been exposed50rapidly to that kind of information through other media. This defil1ite edge should Ilot l'loud the limits of ilS power. When using that channel to introduce people to science and technology, one should keep a delicate balance between didacticism and showmanship. Packaging scientific phenomena for television may blur critical observation, by emphasizing the spectacular at the expense of objective analysis.

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1. INTRODUCTION

Nous nous sommes appuyés pour conduire le débat sur différents documents écrits ou audiovisuels, afin de mettre en évidence plusieurs aspects de la conception télévisuelle ou cinématographique du documentaire scientifique et technique. L'atelier a réuni une quarantaine de personnes. Il a principalement consisté en un échange sur des événements médiatiques connus.

2. UN ÉVÉNEME'\lT TÉLÉVISUEL SANS PRÉCÉDENT Film visionné : nLes premiers pas de l'homme sur la Lune"

L'émission de télévision des Américains débarquant sur la Lune, retransmise en direct a eu un impact phénoménal sur la population mondiak. Pourquoi ') Tous les participantsàl'atelier avaient encore en mémoire celte soirée dll 20 juillet1969Oll, pOlir la première fois, hommes et femmes du monde entier découvraient sur leur petit écran deux hommes sautillant sur la Lune. En Europe, on était au tout début de la télévision couleur. Aussi, beaucoup d'Européens devraient-ils garder le souvenir d'images surprenantes certes, mais en noiretblanc (d'aprèsL'Histoire générale de la radio et de la télévisionde Christian Brochard, les statistiques sur les premiers postes de télévision couleur datent, en France, de 1(67).La pIUP,U1 des téléspectateurs ont oublié ce détail. Quand ils revoient les images de l'homme sur la Lune, en couleur celte fois-ci, ils éprouvent une émotion semblable, un sentiment de liberté ou de légèreté intacte. Cet événement eut umJfet médiatique inouï. Les ondes de choc de cet alunissage se sont propagés sur la Terre entière. Pourquoi? Comment? Tentons d'analyser les raisons de cet impact. Était-ce spect~lculaire ') Oui, très certainement. Ces hommes revêtus de scaphandres blancs se délacl1ant sur lin fonds de ciel noir, on ne pouvait rêver d'un plus grandiose décor. Le blanc, du moins pour les nations occidentales, représente symboliquement la pureté et la virginité.

Jacques Deferne, directeur du Muséum de Genève, était au Zaïre en1969 :"L'homme marchant sur la Lune provoqua une impression colossale sur lès Za"irois. Ce fut presque une affaire politique. Les journaux titraient à la Une, "Les Américains sur la Lune, dix ans après Tintin". Cette diffusion télévisée fut d'abord reçu comme un événement politique soulignant le prestige des États-Unis et comme un prétexte pour les pousser sur le élevant de la scène, l'avancée technologique étant mise au second plan.

Georges Sabourdy "L'événement fut exceptionnel pour l'humanité. Jusque-là, les Soviétiques avaient marqué une cenaine avance dans la conquête de l'Espace. D'un seul coup, la suprématie changeait de camp. L'axe d'équilibre du monde basculait. Autre fait marquant, la possibilité d'avoir un autre regard sur le globe terrestre: nous n'étions plus assujettis, rivésàla planète Terre. POUf la première fois, nous pouvions nous éloigner d'èlle pour la contempler de loin. La Terre elle-même prenait sa place clans le cortège des planètès clu système solaire, elle devenait un objet de l'Univers comme les autres corps célestes. Auparavant,cI~lnsles représentations que nous faisions d'elle, nous avions trop souvent oublié de faire figurer l'atmosphère. Après, ce ne fut plus possible".

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André Lavarde : "C'est à partir de ce moment aussi que, dans la conscience collective, la Terre a eu une couleur. Elle devient la planète bleue. En 1969, on està la fin d'une ère scientiste. La science détient un pouvoir omniprésent comme le pouvoir politique ou économique car ses progrès devaient permettre le bonheur des hommes. 1969 est une date charnière: les premiers mouvements écologiques font leur apparition mais en même temps, les limites du possible sont reculées. C'està cette époque que Michel Siffres enfermé dans les profondeurs d'un gouffre, privé du rythme diurne, bat le record de survie. Plusieurs expériences humaines hors du commun sont d'une certaine manière ritualisées, elles appartiendront désOImais au patrimoine de l'humanité qui chercheàfaire reculer ses limites et ses frontières. On s'intéresse également à la façon dont ces hommes peuvent se réinstaller dans la vie quotidienne, comment leur organisme se réadapte. Nos limites sont-elles infinies ou simplement plus modestes?

Jacqueline Pochon "Le débarquement des hommes sur la Lune a été vécu par tous de manière intense, d'autant plus que la Lune était, aux yeux des hommes, un objet de rêve. Elle avait favorisé, depuis des millénaires, les envolées lyriques et poétiques mais nourrissait également les croyances populaires. D'un seul coup, en une soirée de télévision, elle était détrônée dans l'imagination des hommes. "Des hommes sur la Lune" était une émission qui, en montrant une aventure en train de se vivre, a interpellé les gens. Y-a-t-il eu par la suite d'autres films du même type qui ont provoqué le même émoi? L'exploit aurait-il été aussi marq uant s'il n'avait été vu en direct? Le direct d'un événement télévisé joue-t-il un rôle sur sa place ul térieure dans l'Histoire7"

Ugo Venturella, spécialiste d'environnementàAoste en Italie: "On n'a parlé jusqu'à présent que des images et pas du son. Le son en direct est très important pour convaincre de la réalité d'un événement et souvent on n'y accorde pas d'importance, on l'analyse mal. Dans la retransmission "des premiers pas de l'homme sur la Lune", le son a plongé l'auditeur-téléspectateur dans l'action.Illui a permis de s'identifier aux techniciens qui pilotaientle module lunaire. Et ainsi de participer en immersion à l'exploit". N'est-ce pasàla bande-son que revient le "rendu de réalité" du documentaire? En un mot, son rôle n'est-il pas détenninant pour quelespectateur croit àb.vérité du document?Lechronomètre "bipé", l'échange en duplex avec les techniciens de la NASA étaient autant d'indicateurs signifiants. Ces derniers apportaient la preuve que nous tenions là un enregistrement technique de première main non biaisé par une fiction. Plusieurs indices nous confortaient dans l'idée que nous étions dansle réel et que nous n'étions pas abusés. Davantage, nous pouvions nous imaginer acteurs de cette prouesse technologique. Celle-ci était:l notre portée.

3. RETOMBÉES SClENTIFIQLES DE CET EXPLOIT

Visionnement d'un extrait des" Arpenkurs du ciel"

Nous avons regardé j'extrait du "laser-Lune"c1u film C.N.D.P., Les Arpenteurs du ciel. De la station astronomique du CERGA pr2:s cie Grasse, on envoie un rayon laser sur la Lune qui est réfléchi par le réflecteur déposé surle sol lunaire par la mission Apollo XV. L'enregistrement du retour du rayon au CERGA permet de mesurerladistance Terre-Lune et c1'apprécier de petites variations de

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l'ordre du centimètre. Des mesures journalières, si le temps est favorable, sont effectuées dans trois stations réparties sur le globe terrestre. Ces mesures permettent donc également d'évaluer par triangulation, l'écartement oule rapprochement des plaques tectoniques.

André Lav,lrde : "Le document vidéo a ici pour rôle de valider les mesures faites et par voie de conséquence, la recherche elle-même. Comment ') En affichant la précision des mesures. Dans un second temps, on se prend à douter de l'intérêt d'un tel résultat. Cette précision affichée, n'est-elle pas de la poudre jetée aux yeux des téléspectateurs 7 Elle apparaît un peu comme un argument publicitaire qui voudrait favoriser l'adhésion du public et qui joue en défaveur des objectifs poursuivis par l'auteur. C'est là un des effets pervers liés à la télévision de vulgarisation. Bien évidemment, l'activité de mesures et celle des calculs d'erreur sont essentiels en physique. Elles débouchent sur l'étude et la compréhension des phénomènes. Mais on ne peut pas préjuger du résultat. Difficile aussi d'être aussi affirmatif sur la précision. quand on sait que l'écorce terrestre se déforme sans cesse, que les lieux terrestres d'oit s'effectuent les tirs-laser ne sont donc jamais à la même place par npport aux rétlecteurs d'Apollo XVet que la distance Terre-Lune subit aussi des variations non négligeables .

.t.

OBSERVATION DU PASSAGE DE VÉNUS DEVANT LE SOLEIL, PAR

JAI\SSEN. INVENTION DU REVOLVER PHOTOGRAPHIQUE

Nous sommes panis du rappel d'un événement, le passage de b planète Vénus devant le disque solaire. Les connaissances au XIXe siècle permett:lient de prévoir et d'observer de tels phénomènes.

.t.I.

Le cinéma avant le cinéma

Pierre-J ules-César Janssen(1824-1907),astronomefran~'ais,réussitàphotographier, en1874,avec un revolver de son invention, le passage rarissime de Vénus devant le Soleil. Vénus, lors d'une conjonction inférieure si les conditions d'alignement sont remplies, passe devantledisque solaire en apparaÎssant comme une petite tache noire, parfaitement ronde. Son mouvement est uniforme, d'Ouest en Est.

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Ce qu'il faut mesurer avec la plus grande précision, c'est l'instant où Vénus commence sa traversée devant le Soleil et le moment où celle-ci se termine. Pour montrer la rareté de ce phénomène, nous avons relevé dans les éphémérides, les d'lIeS de passage sur trois siècles.:

au XVIIIe: le 5 juin 1761 et le 3 juin 1769, au X1Xe: le 9 décembre 1874 et le 6 décembre 1882, au XXe : aucun passage de Vénus devant le Soleil,leprochain aura lieu en 2004. En 1874, ilyeut pas moins de six expéditions françaises pour observer le passage de Vénus devant le Soleil, en des lieux terrestres différents.

4.2 Le revolver photographique

Ilest constitué d'une lunette asrronomique servant d'objectif, d'une plaque daguerréotype circulaire placée dans le plap focal de la lunette. La plaque pouvait recueillir en sa périphérie une série de 48 images. L'instrument est automoteur: il tourne de lui-même sans aucune intervention de l'opérateur et îournit une série d'images prisesil interv:iIlès réguliers. Ce revolver inoîîensif est dérivé du phénakistiscope de Joseph Plateau.

Disque de phénakistiscope de Joseph Plaleau.

Les recherches scientifiques ont nécessité très tôt des instruments restituant des images animées. C'est pourquoi certains prétendent que la véritable im'ention du cinéma n'est pas l'œuvre des frères Lumière mais celle de scientifiques. Si on suit cette idée, alors le cinéma aurait été détourné de sa fonction première, l'investigation scientifique.

5. JEAN ROUCH: LES CHASSEURS D'HIPPOPOTA'\ŒS

Ou la gr'ande leçon de cinéma

Afin de rendre compte de la diîficulté de compréhension du langage cinématographique qui s'étudieà partir des données d'une culture, nous avons lu un texte de Jean Rouch: "Quand le groupe [électrogène] s'est misiltourner, tout le monde s'est resserré autour de la lampe du projecteur. Puis, une image est apparue sur le drap. [Les villageois] se sont retournés, et, en vingt secondes pas plus, ils ont compris le langage du cinéma. Ils ont reconnu leur village, Ayorou, ils se sont reconnus. Tout d'un coup, sont apparus sur l'écran, des gens qui étaient morts depuis le tournage, alors tous les

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gens du village se sont misàpleurer. Après la première projection, les villageois ont demandéàle voir une deuxième fois et ils se sont remis ~I pleurer... puis, une troisième fois, et alors ils ont commencé à voir le film. Et là, soudain, ils ont compris ce que je faisais: je travaillais à Ayorou depuis douze ans, j'avais écrit des articles sur eux, un livre, ma thèse, je les leur avais donnés. Ils les avaient pris gentiment, mais pour eux ces textes écrits restaient lettres mortes, même quand le maître d'école les lisait à haute voix.[ ... ) Le plus merveilleux dialogue que j'ai euà ce moment-là, c'est quand les pêcheurs ont commencé~lme critiquer - "Comment? Où as-tu entendu de la musique pendant une chasse à l'hippopotame ')" Suivant la vieille tradition des westerns, au moment le plus dramatique, j'avais monté une musique. Mais les pêcheurs ont dit: "Oui, c'est vrai, mais l'hippopotame qui est sous l'eau, il a de très bonnes oreilles, et si on joue de la musique, il fiche le camp! À la chasse, il faut du silence, sans cela il n'y a pas de chasse". Pour moi, c'était une très grandele~'on.Ces gens-là avaient raison. Ils raisonnaient dans leur système de pensée et moi, qui faisais un film sur eux, il n'y avait aucune raison que je leur impose notre système."

André Lavarde : Un film ne montre pas le réel mais plutôt le regard d'un cinéaste sur ce réel.Je ne sais plus qui a dit cela: Jean Rouch a commencé par faire des films oÙ les commentaires étaient impersonnels. Il utilisait le "il". Puis, il a utilisé "tu", pour terminer par "je". Comment rendre compte du réel ') Tout média n'est-il pas un codage ') Mais alors se pose la question du décodage indispensable qui nécessite peut-être un apprcntissage.

6. EXEMPLE DE "LA VIEÀ L'I\IPIWV1STE" DE VERTOV

Saisir "la vie~l l'improviste" est une locution employée très souvent par Dziga Vertov en vue d'expliciter sa théorie cinématographique. Venov, au début de ce siècle, juste après la révolution soviétique, a été novateur et créateur d'un cinéma documentaire original s'opposant au cnéma de fiction qui, ilses yeux, ne pouvait être le vecteur clu changement auprès du peuple soviétique. Le texte qui suit a été écrit par son frère Mikhaïl Kaufman, cameraman de son frère, à propos de

L'hommeàla caméra:"[Mon frère et moi], nous pensions que les émotions les plus diverses de l'homme pouvaient s'exprimer dansle c!ol'Lunentaire, d'unefa~'onfoncièrement différente de la façon dont elles sont exprimées parlejeu cles acteurs

1... 1.

Une phrase circulait alors paruli nous comme un proverbe "Si dans le film mis en sl'<:ne, il faut savoir jouer, dans le film documentaire, l'important est de ne pas jouer". Malheureusêment, il est difficile de ne pas jouer devant une caméra. lnstinctivemênt un homme qui se sent filmé se metJjouer. Il fallait trouver de nouveaux moyens techniques [...1pour réaliser ce que nous voulions [...j. Nous avions aménagé sur un boulevard de

Moscou, un petit bâtiment qui ressemblait~lune cabine téléphonique et je me suis cachéà l'intérieur. Les passants ne remarquaient pas qu'ils hlient filmés. Mais les résultats ont été médiocres. Un autre moyen était d'utiliser des objectifs Icle cUlléral Lju'en U.R.S.S., on n'employait pas encore [... ) et qui pennettaient cie prendre les vues cie loin [...

1.

Un nouveau moyen fut essayé: utiliser un groupe [de gens] pour provoquer une émution ou une attention telles que nous puissions fixer les réactions, sans qu'on remarque la caméra, ou cie telle manière qu'on oublie sa présence. Ce procédé a

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notamment été utilisé par moi en 1929 pour une séquence deL'homme àla caméra.La présentation d'un prestidigitateur hypnotisait tant une foule d'enfants que j'ai pu saisir sur leurs visages des expressions jamais filmées et qui ont fait grand effet dans le film".

7. CONCLUSION

La télévision en mettant en images des recherches scientifiques et techniques conquiert un nouveau public qui, dans d'autres circonstances, n'accéderait pas aussi rapidementàce type d'informations. La télévision remplit, auprès de ce public. une fonction d'initiation et pour ce faire, elle aborde les sujets sur un ton simple et familier. Elk emploie des artifices: accéléré, ralenti, grossissement, rapprochement etc. Elle aide àla conceptualisation en ayant recours àdes séquences favorisant représentations et modélisations. Les films de vulgarisation scientifique ont tendanceàcourt-circuiter l'espace et le temps. Un exemple: Quand on montreàl'écran des tomates qui rougissent en accéléré, certains élèves jeunes qui n'ont jamais observé le mCirissement des tomates, ne comprennent pas le sens de cette image et sont persuadés que leur rougissement est rapide (exemple cité par A. Lavarde). En cela, le langage du cinéma utilise des codes qu'il faut savoir interpréter. D'où la nécessité en classe de faire un enseignement concernantlalecture de l'image. Les avantages liésàla télévision ne doivent pas masquer les limites de son intervention. Il faut tenir compte des dérives possibles quand on a recoursàce mode d'éclairage pour initieràune réflexion scientifique et technique: La mise en spectacle de phénomènes peut faire obstacle :lune observation critique, en privilégiant le sensationnel au détriment de l'analyse objective. L'utilisation de métaphores paraît faciliter la compréhension mais peut réduire la perception profonde des faits scientifiques. Le recours fréquentàla narration risque de détourner d'une attitude spécifiquement scientifique et technique.

BIBLIOGRAPHIE

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Références

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