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Rapport [sur le mémoire] : Description des fossiles des terrains secondaires de la province de Luxembourg, et indication précise des localités et des systèmes de roches dans lesquels ils se trouvent]

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

(579)

En

résumé, quoiquele

mémoire

dontjeviensde rendre

compte ne

soit pas

exempt

de quelquesdéfauts, auxquels

il seraitd'autantplus faciledeporter

remède

,

que

proba-blementilsne proviennent que del'inexpériencedel'auteur, je n'hésitepas à déclarer

que

cetravail répond d'une

ma-nière très-satisfaisanteà laquestionposée par l'Académie et qu'il mérite d'être

couronné

de lamédailled'or.

Toutefois, je désire

que

l'Académie ymette pour

con-dition

que

l'auteur remplace, dans

un

délaiconvenable, les figures insuffisantes qui

accompagnent

son manuscrit.

Il serait

même

à souhaiter

que

l'Académie voulût

en-gager l'auteur àlui fournirlesfigures detouteslesespèces

faitesd'après les échantillons

mêmes

qui ont servi àleur description.

Ce

serait lemeilleur

moyen

de contrôler son travaildont,entoutcas,ildevra resterresponsable,àcause del'impossibilité

je

me

trouve, fautede matériaux suffi-sants,de m'assurer del'exactitudedesesdéterminations.»

Mtttppoft

de

M.

André

Vit

mon

t.

«

La

question suivante : Faireladescription desfossiles

des terrains secondaires de laprovince de

Luxembourg

, et

donner l'indication précise des localités et dessystèmes de roches dans lesquels ils se trouvent,

que

l'Académie avait depuis longtemps mise au concours, vient enfin d'avoir

une

réponse.

Le

mémoire

présenté,

conformément

au règlement,apour épigraphe: L'espritnepeutpas suppléer

àlaconnaissance desfaits, etlesfaitssont,danslessciences, cequ'estVexpériencedans lavie civile. (Buffon.)

L'auteurdece

mémoire annonce,

danssa préface, qu'il a soigneusement étudié notre terrain jurassique et

(2)

re-(

580

)

cueilli sur les lieux les fossiles

que

ce terrain renferme. Il rappelle ensuite, dans

une

courte introduction, les principaux caractères des divers étages

que

j'ai fait

con-naître, en

4841,

sous les

noms

de grès de Martinsart,

marne

de

Jamoigne,

grès de

Luxembourg

et

marne

de

Strassen,

macigno

d'Aubange,

marne

de Grandcourt,

oo-liteferrugineusede Mont-S'-Martin etcalcaire de

Longwy

(Mémoire

sur les terrains triasiqueetjurassique dela pro-vincede

Luxembourg, Mémoires

de l'Académie,tom.

XV)

, et sansrien changerà leurs limites, ni à leursuccession,

il propose de modifier légèrement, au point de vue pa-léontologique, la

manière dont

j'aicru, en

1849,

devoir

les grouper géologiquement (Rapport sur la carte

géolo-gique de la Belgique, Bulletins de l'Académie, t.

XVI,

n°11).Ildécritensuite

192

espècesfossiles,dont

55

luiont parunouvelles,ettermine son travailpar

une

liste alpha-bétiquedes fossiles de

chaque

étage etpar

un

tableau sy-noptiqueet stratigraphiquedesespèces.

Arrêtons-nous

un

instant sur les modifications pro-posées.

On

peut grouper les étages d'une formation de deux manièresdifférentes, suivantqu'on a exclusivement égard

aux

caractères zoologiques

ou

géologiques.

La

première

méthode

consiste à chercher les analogies et les diffé-rencesplus

ou moins

grandes

que

présentent les faunes

des étages

que

l'on

compare

età placer les lignes de

dé-marcations principales entre lesétages qui ont le

moins

de ressemblancezoologique.

Pour

apprécier

convenable-ment

ces analogies et ces différences,

on

lesévalue

ordi-nairement en °/o.

En

comparant, sousce rapport, nos étages jurassiques

deux

à deux,

on

arrive aux résultats exprimés dans la

(3)

(581

) |-ïf S, 8

S

2. <S ©1 te r^ ©f oT cT ©f

%

S 8 8 S fe.s Espèces iden-tiques. * IC -h » ©1 <N t- SO <o to te t<5 » «* w ©i

Totalité desespèces. ©

»h 00 -«h t- Ci SO *« «0 ©1 ©1 .*«•.* 00 © ~H so so w w ©i «* SO 50 SO ©* t- ©» r-

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O

«

O

2 -O s

»

S -a a a I I ! s I fc

(4)

(

582

)

D'où l'on voit

que

les étages voisins qui ont le

moins

d'analogie se rangent danscet ordre:

1" Macigno d'Aubangeet marnede Grandcourt

1,81°/

2" Marne de Grandcourt et oolite ferrugineuse de

Mont-S'-Marlin 2,94°/

3° Grès de MartinsartetmarnedeJamoigne 5,26°/°

4° Marnede Strassenetmacigno d'Aubange 5,35°/

5° OoliteferrugineusedeMont-Sf-Martinet

calcairedeLongwy. 5,55°/

0° Marnede JamoigneetgrèsdeLuxembourg 5,65°/

7" Grès deLuxembourgetmarnedeStrassen. . . 13,33°/

L'auteur a, par conséquent, raison de placerses

divi-sions paléonlologiques principales entre les étages

signa-lés aux

n

os

1,

2

et

4

(1).

La

première de ces divisions, entre le

macigno d'Aubange

et la

marne

de Grandcourt, correspond précisément à celle

que

j'avaisétablie

moi-même

en

1841

, lorsque j'attribuais plus qu'aujourd'hui

de valeur au caractère paléontologique. Les deux autres coïncident aveccelles

que

j'adopteencore à présent.

Quant

à la réunion de la

marne

de

Jamoigne

et

du

grès de

Luxembourg,

proposée par l'auteur,' elle ne

me

paraît pas suffisamment justifiée au point de vue

pure-ment

paléontologique,et

ne

l'estcertainementpasaupoint

de vue géologique.

En

effet,il n'y aguère plus d'analogie entre la

marne

de

Jamoigne

et le grès de

Luxembourg

qu'entre la

marne

deStrassen et le

macigno

d'Aubange; ladifférence entre les

nombres

5,65°/oet

5,55%,

qui

re-présentent leurs analogies respectives,n'atteint pasV3°/o.

(1) Ondoiticifaireabstractiondesrésultatsexprimés aun°3,lesespèces dugrèsde Martinsart n'ayant puêtredéterminées aveccertitudeàcause de

(5)

(

583)

Si une analogie exprimée par 5,35°/o n'est pas

suffi-sante pour motiverla réunion des deux premiers étages,

je nevois pas dans

une

augmentation d'analogieexprimée

par'/s

/ *

un

motifassez puissant pour réunir les

deux

derniers, surtout en présence des différences

minéralo-giques et stratigraphiquesqu'ils présentent (1).

On

objectera peut-êtrequela

marne

deStrassen,offrant

plus d'analogie avec la

marne

de

Jamoigne que

le grès de

Luxembourg,

et contenant surtout,

comme

la

marne

de

Jamoigne,

de

nombreux

individus tfOslrea arcuata,

co-quille si caractéristique

du

liasinférieur,

on

doit, malgré lesraisonsdonnéesplushaut,lesréuniren

un

seulgroupe.

Maisje ferai observer à cet égard

que

la présencede YOs-trea arcuata

dans

la

marne

de Strassen estpeut-être

un

fait local, car

MM.

Sauvage et Buvignier ne l'ont pas

signalée dans leur

marne

moyenne

du

département des

Ardennes, et

M.

Levallois

ne

paraît pas

non

plus l'avoir

trouvée dans la

marne

inférieure de la division

sûpra-liasique du département de la Meurthe,

marnes

qui

paraissent correspondre stratigraphiquement à celle de

Strassen.

Au

point de vue paléontologique, il y aurait

donc

lieu d'établir,danslasérie liasjquedela Belgique,quatre

divi-(1) L'étagedugrèsde Luxembourgestl'undesplus puissantsdelasérie liasique (sapuissanceatteintef>dépassemême100mètres).Lapartie infé-rieure de cet étageoffre desdifférencestranchéesde natureet de texture

aveclamarnedeJamoignesurlaquelleellerepose.Lapartiesupérieure,au

contraire, selieintimementàlamarnede Strassen quilarecouvre, non-seu-lement par des passages minéralogiques, mais par des analogies paléontolo-giquesassezgrandes. Ces raisonsm'ont conduit àrapprocher lamarnede Strassen du grès deLuxembourg etàséparer ce dernier dela marnede Jamoigne.

(6)

(

584

)

sions principales au lieu detrois, et dans le système

ba-thonien

une

division, à peu près de

même

valeur

que

ces dernières, entre l'oolile ferrugineusede Mont-S'-Martinet le calcaire de Longvvy, qui n'onten

commun

que

5,55 °/o d'espèces fossiles.

La

classification

que

j'ai

donnée,

en

1849,

des étages qui constituent nos systèmesliasique et bathonien, a été

principalement établie d'après des considérations géolo-giques,parce

que

lesrapportspaléontologiques ne

condui-sent pas nécessairement à des résultats conformes àceux

qui sont fournispar l'observation de la superposition des couches.

Pour

s'en convaincre, il suffit d'observer

que

les étages les plus voisins

ne

sont pas toujours ceux qui

renfermententreeux leplus d'espèces identiques (1). Les

marnes

de

Jamoigne

etdeStrassen ont en

commun

15

°/<>

d'espèces, tandis

que

la

marne

de

Jamoigne

et le grès de

Luxembourg

n'enont

que

5,65 °/o.Ainsi,pourles

paléon-tologistes qui déterminentles terrainsdansleur cabinet

,

la

marne

de Strassenest plus voisine dela

marne

de

Ja-moigne que

le grès de

Luxembourg;

tandis

que

pour le

géologiste quivoit les roches en place, legrès de

Luxem-bourgsépareles

deux

marnes.

En

accordanttrop

d'impor-tance aux fossiles,

un

célèbre géologiste a

même

cru, dans ces dernierstemps,

que

la

marne

de

Jamoigne

était

supérieure au grès de

Luxembourg,

quoiquej'eusse,

plu-sieurs années auparavant, fait connaître

que

c'était le

contraire.

(1) On remarqueque, dansuneformation, les couehesde mômenature renferment souvent encommununplusgrandnombredefossilesidentiques

(7)

( )

Le

calcaire de

Longwy

et le grès de

Luxembourg

ont

4,59%

d'espècesidentiques, tandisqu'on n'en trouve

que

5,17°/odanslegrèsde

Luxembourg

et le

macigno

d'Au-bange;

que

1,56

%

dans le

même

grès et la

marne

de Grandcourt,etqu'on n'a trouvé

aucune

espèce

du

grès de

Luxembourg

dansl'oolite ferrugineuse

deMont-SVMartin.

Cependant

le

macigno

d'Aubange, la

marne

de

Grand-court et l'oolite ferrugineuse sontsituées entre le grès de

Luxembourg

etle calcairede

Longwy.

On

observera de

même

que la

marne

de Strassen a plus d'analogiepaléontologiqueaveclecalcairede

Longwy

qu'avecla

marne

deGrandcourt et qu'avec l'oolite ferru-gineusequilesséparent;

que

le

macigno d'Aubange

aplus d'analogieavec le calcairede

Longwy

qu'avecla

marne

de Grandcourt.

On

voit

donc

qu'en n'ayantégard qu'aux caractères pa-léontologiquespourclasserlesétagesliasique etbathonien de la Belgique,

on

arriverait,pour beaucoup d'entreeux,

soit à desconséquences inexactesrelativement à leur âge,

soit à formerdes groupes qui

ne

concorderaient pas avec

lesgroupesgéologiques.

Au

surplus,

on

est loin d'être d'accord sur la classi-fication des étages dont il s'agit.

M.

Levallois, dans

un

aperçusurlaconstitutiongéologique

du

département dela Meurthe, considèrel'ooliteferrugineusede Mont-S'-Martin

comme

représentantleMarly-sandstonedes Anglais,et ap-puie samanière de voir sur des déterminations paléonlo-logiquesfaitespar

M.

Bayle(Noticesur laminière de ferde Florange);déterminationsd'aprèslesquelles les fossilesde l'oolite ferrugineuse serapprocheraient bien plus de ceux

des

marnes

supraliasiques

que

de ceux de l'oolite infé-rieure.L'auteur

du mémoire que

j'examinetrouve, au

(8)

con-(

586

)

traire, queles fossiles del'ooliteferrugineuse ont plus de rapport avec ceux

du

calcairede

Longwy

qu'avecceux des

marnes

de Grandcourt.

D'aprèsdes considérations

du

même

genre,

M.

Levallois réunit la

marne

de

Grandcourt

et le

macigno d'Aubange

dansl'étagedes

marnes

moyennes

supraliasiques, tandis

que

l'auteur

du

mémoire

les range dans

deux

étages dif-férents.

Les résultatsauxquels

MM.

Sauvage et Buvignier sont

parvenus,au

moyen

de la paléontologie, diffèrent encore des précédents, et cependant tous ont observéles roches

en place(1).

Cesdifférencesrésultentenpartiedecequ'on

ne

connaît

pas

complètement

les faunes des étages

que

l'on

compare,

connaissance à laquelle la superposition des couches ue

nous

permettra jamaisdeparvenir, etsans laquelle cepen-dant

on

ne peutobtenirque desrapports paléontologiques variablesd'unecontréeàl'autre,etvariantdans

une

même

contrée à

mesure

qu'on y découvre de

nouveaux

fossiles. Si l'on avait le

moindre

doute à cet égard, il suffiraitde jeter

un coup

d'œil sur la

deuxième

partie

du

tableau

ci-dessus, qui représentelesrapports zoologiques des divers étages observés, dans le département des Ardennes, par

MM.

Sauvage etBuvignier (2).

La

plupart des espèces trouvées dans le département

(1) Je m'abstiensde signaler ici d'autres résultatsauxquels des savants

d'ungrandmérite sontarrivéssanssortir deleur cabinet.

(2) Jen'ai faitentrerdanscette partiedutableau quelesfossiles spécifi-quementdéterminésparMM.SauvageetBuvignier, et j'aimissurlamême ligne les étages qui se correspondent stratigraphiquement en Belgiqueet

(9)

( )

des

Ardennes

diffèrentdecellesrencontréesenBelgique: sur 187 espèces liasiques, il n'y ena

que

18, c'est-à-dire

9,62%,

qui soient

communes

aux

deux

pays.

Et

sur

111 espèces del'ooliteinférieure, il n'y en a

que

8, c'est-à-dire7,21°/o.

Le

calcaire sableux, qui, dans le département des Ar-dennes, doit correspondre à notre grès de

Luxembourg,

renferme de

nombreux

individus de Pecten aequivalvis,

de Plicatula spinosa, û'Ostrea

cymbium

, fossilesqui n'ont été trouvés en Belgique

que

dans l'étage

du

macigno

d'Au bauge.

Les

marnes moyennes du

département des

Ardennes

(ou

marnes

de Strassen) contiennent égalementlePecten aequivalviset,en outre, la

Pholadomiya

decorata, qui

ap-partiennent aussi au

macigno

d'Aubange, et ne

renfer-ment

plus (ÏOstrea arcuata,si

communes

dans nos

marnes

deStrassen.

Les

marnes

supérieures,quicorrespondentànos

marnes

de Grandcourt, conliennent, en France, la Plicatula spi-nosa qui, en Belgique, caractérise si bien le

macigno

d'Aubange.

Enfin,

on

avuquele

macigno d'Aubange

etla

marne

de Grandcourt ne renferment, enBelgique,

que

1,81

%

d'es-pèces identiques; dansledépartementdesArdennes,

on

en

trouve,aucontraire, 16°/o, c'est-à-dire plus

que

n'en

pré-sentent

deux

quelconques de nos étages. D'où l'on doit conclure

que

s'il y a en Belgique des raisons paléontolo-giquespour séparer la

marne

de Grandcourt

du macigno

d'Aubange, ily a, dans le départementdes

Ardennes,

des

raisons

non moins

fortes pour les réuniren

un

seul.

En

présence de cesfaits et de

beaucoup

d'autres qu'il seraitsuperfludeciterici,

on

doitbien reconnaîtrequ'une

(10)

(

588

)

classification d'étages très-rapprochés appartenant à

un

même

système, exclusivement fondéesur des rapports pa-léontologiques, offre peu de chance destabilitélorsqu'elle neconcordepasavec laclassificationgéologique.

Le

grou-pement

des étages au

moyen

de l'ensemble des caractères géologiques a non-seulement l'avantage d'être

en

rapport avec les révolutions

du

globe,

mais

encored'être indépen-dant des innombrables variations

que

présentent sans

cesse les rapports paléontologiques.

Je n'entendspas,parles observations générales qui pré-cèdent,

diminuer

le mérite paléontologique

du

mémoire

soumis au

jugement

de l'Académie,je suis, aucontraire,

d'avis qu'il fautencouragerce premier pasfaitversl'étude des fossiles de nos terrains jurassiques,etquoique ce

mé-moiresoit probablement loin de renfermerladescription

de toutes lesespèces de coquilles et depolypiers quel'on

peut rencontrerdans lapartie méridionale dela province

de

Luxembourg,

je propose à l'Académie d'accorder à

l'auteurlamédailled'or, à lacondition qu'iljoindra à son travail desfigures bien faites de toutes les espèces qui s'y

trouvent décritesetqu'ilremplaceracellesdontl'exécution

laisse à désirer. »

Rapport

de JHT. d'OtnaMius.

« Je

ne

puis, quant à ce qui concerne le but principal

de ce

mémoire,

c'est-à-dire

pour

la partie

paléontolo-gique,

que m'en

référer à l'avisde notre savant confrère

M.

De

Koninck,

qui estsi

compétent

sur la matière. Je

me

joins

donc

à lui,ainsi qu'à

M.

Dumont,

pour proposer

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