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ARTheque - STEF - ENS Cachan | La science, l'art et le citoyen Rousseau

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Academic year: 2021

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LA SCIENCE, L'ART ET LE CITOYEN ROUSSEAU

Frédéric MARTHALER L.D.E.S., Université de Genève

MOTS-CLÉS: ROUSSEAU - CITOYEN - ARTS - SCIENCES - PROGRÈS - MUSIQUE

RÉSUMÉ: Le Citoyen de Genève fut un des hommes non seulement les plus brillants de son temps, mais encore l'un des plus éclectiques: chercheur, écrivain, musicien, philosophe... Outre son approche originale des relations entre l'Homme, la Société et le Pouvoir, son altitude révolutionnaire dans le domaine de l'éducation et son intérêt remarquable pour l'Art et la Musique, il a également abordé le domaine des sciences. Si on connaît bien sa passion de botaniste pour les herbiers, on se souvient peu de ses travaux dans certain cabinet privé de physique et de chimie...

SUMMARY: The Citizen of Geneva was not only one of the most brillant man of his time, but one of the most eclectic : he was a researcher, a writer, a musician, a philosopher too... Beyond his original approach of relationship between Men, Society and Power, his revolutionary altitude in education and his remarquable interest forartand music, he also aboarded the domain of science.If his passion for botanic's grassdryer is wellknown, we have often forgolten his works ioto a certain private physical and chimicallaboratory...

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1. INTRODUCTION

Les Journées de 1997 ont voulu qu'on se penche sur les Sciences et la Citoyenneté. 11 était impossible de ne pas évoquer celui qu'on a appelé le Citoyen de Genève, et qui fut un des hommes les plus brillants et les plus éclectiques de son temps.

LI Le Contrat social

Selon Rousseau, le concept de contrat social est le principe de l'autorité civile, base du droit politique. Mais ce n'est pas aussi simple qu'on l'a dit bien souvent. Dans leDiscours sur l'origine de l'inégalité, Rousseau évoque le conflit naturel entre le droit du plus fan et le droit du premier occupant. Les riches sentaient bien,àl'origine, «combien leur était désavantageuse une guerre perpétuelle dont ils faisaient seuls tous les frais». Ceux-ci conçurent donc «le projet le plus réfléchi qui soit jamais entré dans l'esprit humain» : de leurs adversaires, faire leurs défenseurs et, puisquele droit naturel leur était contraire, inventer des institutions de justice et de paix qui leur fussent favorables. «Unissons-nous», dit le riche au pauvre ; rassemblons nos forces en «un pouvoir suprême qui nous gouverne selon de sages lois, qui protège et défende tous les membres de l'association, repousse les ennuis communs, et nous maintienne dans une concorde éternelle» En l'occurrence, Rousseau ne parle ni de «contrat» ni de «pacte» ; il s'agit plutôt d'unmodus vivendi àla faveur duquel seraient mis en évidence les avantages de la vie politique. Ce «contrat», d'une nature particulière, ne peut en aucun cas être assimilé aux contrats ordinaires conclus dans le commerce. Ce n'est pas non plus un pacte dans le sens traditionnel de l'association.

1.2 Considérations sur le gouvernement de Pologne et sur sa réformation projetée Dans ce texte, écrit àParis entre octobre 1770 et juin 1771, Rousseau chercheà soutenir le gouvernement de Pologne et à inspirer une réforme basée sur une documentation qui lui avait été fournie par Wielhorski. 11 donne quelques détails intéressants sur la nature de la citoyenneté de tout ressortissant d'un état et qui touchent d'ailleursàl'universel. Comme tous les hommes, les Polonais rêvent à la fois de tranquillité et de libené, ce qui est contradictoire, dit Rousseau, car repos et liberté sont incompatibles; en prévoyant d'instituer une nouvelle forme de gouvernement, suggère-t-i1,il faut veiller à conserver tous les avantages de l'ancien système. Il parle aussi d'Éducation. «C'est ici l'article important» précise-t-il ; il faut commencer par donner aux Polonais une connaissance approfondie de leur pays et de leur culture; les maîtres seront Polonais, hommes venueux et publics, rendant à la nation le service de l'éducation avant d'occuper d'autres fonctions; les enfants des familles pauvres doivent pouvoir profiter d'une éducation gratui te en proportion des bons services rendus à la nation par leur famille». Rousseau reprend ensuite quelques idées deL'Émile.Une gmnde nation doit avoir un roi et ce roi doit avoir un pouvoir effectif, certes, mais contrôlé. Rousseau propose de réformer le système de nominations aux charges de l'État. L'administration de l'État doit être régie par trois codes simples et précis: politique, civil et criminel. En ce qui concerne l'exercice de la justice, Rousseau propose que la fonction de juge ne relève pas d'un métier, mais d'une fonction temporaire qui soit service ou palier dans la carrière administrative; Rousseau propose

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également d'abolir les différences liéesà la fortune dans l'atnibution des charges et prérogatives. On pourrait encore en prendre de la graine aujourd'hui! Lecitoyen,pour Jean-Jacques, sera donc le membre conscient d'un groupe clairement identifié dans sa particularité, jouissant de certains droits, bien sûr, mais qui a avant tout des devoirs envers la collectivité. Un homme qui accepte des venus tangibles, comme l'amour de la panie, la simplicité, la probité et qui est prêt à sacrifier au bien commun son intérêt personnel. Voilà le vrai partenaire duContraI social.

2. L'IDÉE DE PROGRÈS, LES SCIENCES ET L'ART

Pour Jean-Jacques Rousseau, l'avenir d'une nation dépend de ses citoyens. Grâce à chacun d'eux, il est possible de progresser dans tous les domaines. L'idée deprogrès n'est donc pas absente chez Rousseau. Assez ambivalente, cette idée le pousse à remettre en question certains aspects fondamentaux de la philosophie des Lumières. Le Discours sur les sciences et les arts débute d'ailleurs par un éloge du progrès: «C'est un grand et beau spectacle de voir l'homme sortir en quelque manière du néant par ses propres efforts». Rousseau estime que la Renaissance a sorti l'Europe de la longue nuit où le Moyen-Âge l'avait plongée.Àses yeux la vraie science vaut mieux que la scolastique. Cependant, le progrès des connaissances s'accompagne toujours pour le philosophe Rousseau d'une sorte de dégradation morale. Le premierDiscoursaboutit à dissocier l'apparence du progrès de sa réalité: si l'intelligence corrompt, le «progrès est le masque dela décadence». Ainsi, pour Rousseau, le progrès est lié davantage au perfectionnement de l'être intérieur, bien plus qu'à mener la conquête du savoir etàdominer la Nature ou même simplement les lois de la nature... L'essentiel et de rester attentif. «L'esprit une fois en effervescence y reste toujours, et quiconque a pensé pensera toute sa vie». Rousseau reconnaît aux arts et aux sciences le mérite de pouvoir «adoucir en quelque sorte la férocité des hommes qu'ils ont corrompus». Les livres et les spectacles sont devenus nécessaires pour «faire quelque diversion à la méchanceté des hommes et les empêcher d'occuper leur oisivetéàdes choses plus dangereuses.» [J. Terrasse]

LeDiscours sur les sciences et les arts, ouvrage composé entre octobre 1749 et mars 1750 et appelé couramment le «premier discours» fut publié sous le titre"Discours qui a remporté le prixà

l'Académie de Dijon, en réponseàla question posée par la même Académie:Sile rétablissement des sciences et des arts a contribuéàépurer les mœurs".Celte paradoxale critique du savoir et du raffinement des manières, rédigée dans un style admirable, a connu succès éclatant. Après une brève introduction dans laquelle Rousseau, sachant qu'il s'adresse à des «savants», affirme que «ce n'est point la science que je maltraite [... ] c'est la vertu que je défends». Iciencore, l'aspect moral est dominant.

La plus dangereuse de toutes les conséquences de nos études, poursuit-il, est «l'inégalité funeste introduite entre les hommes par la distinction des talents. [... ] Les récompenses sont prodiguées au bel esprit, et la vertu reste sans honneurs» !L'étude des sciences est pourtant nécessaire, mais on

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devrait la réserver au petit nombre des grands esprits, capables d'un travail vraiment original, et diriger les autres vers des emplois plus pratiques comme l'agriculture!

Au temps de Rousseau, le mot science désigne couramment l'ensemble des sujets d'érudition, dont on tend de plus en plus, depuis la fin du dix-septième siècle, à distinguer laphilosophieet la philosophie nalUrel/e,qui deviendra plus tard lessciences naturelles.Il n'est pas sûr que Rousseau faisait lui aussi cette distinction dans sa célèbre critique de la civilisation du Discours sur les sciences et les arts. Les sciences, au sens le plus étendu, ont une place légitime dansL'Émile,à condition qu'on les dépouillât de leur prestige d'institution. L'expérience sensible et intellectuelle du pupille est assimilée, ou presque,àla notion d'expérience scientifique. Émile expérimente directement le monde physique qui l'entoure et en tire ses conclusions de façonàcomprendre, sur le fait, l'équilibre et le principe des leviers, par exemple, ou les orientations géographiques et astronomiques, les propriétés de l'aimant el la réfraction de la lumière. Le but suprême de cette éducation est cependant avant tout le bonheur de l'individu ainsi que sa santé morale.

Le rôle de la botanique dans la vie de Rousseau estàcet égard révélateur. Il herborise, il collectionne, il classifie, mais ce n'est pas pour repérer les plantes utilesàla médecine ouàd'autres fins, comme on aurait pu s'y attendre d'après l'éducation d'Émile. C'est principalement pour admirer et même adorer. C'est peut-être son côté "Bernardin de St-Pierre" ? Lorsqu'il est réfugié dans la Principauté, Rousseau rencontre un médecin de Neuchâtel, féru d'histoire naturelle, le docteur Jean-Antoine d'lvernois. Ensemble ils parcouraient les montagnes, emportant la loupe et les brucelles et, bien sûr, l'herbier, couches de papier-buvard entre lesquelles on fait sécher les fleurs pour les conserver. Il est clair que toute observation et tout classement se faisait sur la base de la toute nouvelle théorie de Linné. L'illustre contemporain suédois de Rousseau (qui mourut d'ailleurs comme lui en 1778!) avait émis une théorie basée sur les différents caractères sexuels des plantes. «J'ai voulu quitter les plantes», a écrit Rousseau, «mais j'ai vu que je ne pouvais plus m'en passer: c'est une distraction qui m'est nécessaire absolument, c'est un engouement d'enfant qui durera toute ma vie...»Rousseau a continué de dévorer tous les livres de botanique qu'il trouvait. Dans la suite de ses pérégrinations, l'illustre philosophe a visité le littoral neuchâtelois et même poussé jusqu'à l'île de St-Pierre, où plus tard il devait former le projet d'une "Flora Petrinsularis" qui hélas n'a jamais pu voir le jour. Son travail avail déjà commencé lorsque - alors qu'il croyait pouvoir s'installer sur l'île jusqu'à ses derniers jours - il en fut brusquement chassé par Leurs Excellences de Berne. En janvier 1766, il arrive en Angleterre, où il finit par s'installeràWooton, dans le Derbyshire. Il n'a plus ses amis neuchâtelois ici, mais continue tout de même d'herboriser, regrettant de plus en plus de ne pas trouver vraiment de livres capables d'initier un débutant. Il se faisait pourtant procurer tous les ouvrages existants, même en anglais, mais qui tous s'adressaient à des initiés. Il conviendrait ici de rappeler que Rousseau était aussi copiste de musique pour gagner sa vie. Chaque jour à cette époque - avant d'aller herboriser - il s'astreignaitàplusieurs heures de copie musicale (il note lui-même dans ses registres qu'il a copié plus de 8000 pages musicales en moins de 6 ans) !Il eut alors l'idée de confectionner des herbiers portatifs destinés àfavoriser le goût de la botanique des amateurs qui voudraient bien en faire ('acquisition. Et, accessoirement, à se procurer ainsi plus agréablement qu'avec la musique quelque modeste gain. Ce goût de la vulgarisation scientifique avant l'heure

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illustre, une fois de plus, l'esprit visionnaire extraordinaire que fut Rousseau. Mais son projet était trop en avance sur son temps et ne connut pas le succès escompté.

À un moment antérieur de son existence, le Citoyen de Genève s'est intéressé aussi aux sciences proprement dites. C'est la période de Chambéry, fondamentale dans la vie de Rousseau. Il était l'hôte de Mme de Warens et s'en est souvenu avec tendresse: «Ma vie a été aussi simple que douce, et celte uniformité était précisément celle dont j'avais besoin pour achever de fonner mon caractène, que des troubles continuels empêchaient de se fixer.» Précisons que Rousseau, à ce moment-là, n'était pas encore attiré par la botanique. Il se consacrait à l'étude des livres. C'est lui-même qui écrivait: «J'achetai des livres d'arithmétique et je l'appris bien, car je l'appris seul !»

Dans le LivreVdesConfessions, Rousseau relate un accident de laboratoire (installé pour lui par Mme de Warens) survenu le 27 juin l737,juste avant son dépan pour les Charmettes...

<<Je voyois aussi beaucoup un jacobin, professeur de physique, bonlwmme de moine, dont j'ai oublié le nom, et quifaisoit souvent de petites expériences qui m'amusaient extrêmement. Je voulu à son exemple fairedel'encre de sympathie. Pour cet effet, après avoir rempli une bouteille plus qu'à demi de chaux vive, d'orpiment et d'eau, je la bouchai bien. L'effervescence commença presque à l'instant très violemment. Je courusàla bouteille pour la déboucher, mais je n'y fus pas à tems .. elle me sauta au visage comme une bombe. J'avalai de l'orpiment, de la chaux .. j'ai failli en mourir. Je restai aveugle plus de six semaines, et j'appris ainsi à ne pas me mêler de physique expérimentale sans en avoir les élémens.»

Dans son traité d'éducation, Rousseau trouve une place légitime pour touS les talents humains qui doivent être développés: le bon parler, la chanson, la musique, la danse, l'adresse dans le dessin, l'écriture... Tous, au moment approprié, doivent être des acquis par Émile. En effet, Émile est destiné àhabiter une société civilisée et corrompue, non une république idéale. C'est donc sa vertu morale qui lui permettra de réaliser toute sa personnalité et non les conventions sociales, l'art ou la littérature en soi ! Rousseau parle aussi du théâtre en connaisseur. Ila été spectateur au moins deux fois par semaine pendant ses années de séjour à Paris et n'a-t-il pas fait jouer publiquement sonNarcisse? Concernant le ballet, il veut établir un théâtre où,à la différence de la tragédie lyrique française, la danse soit le seul moyen d'expressionà côté de la musique. «On communique ses besoins par les yeux et ses émotions proprement humaines par l'oreille» suggérait Rousseau, et il s'ensuit que «la musique est plus apte à nous émouvoir que les arts visuels»! Justement, dans le domaine plus précis de la musique, Rousseau peut prétendre à des connaissances assez étendues sinon à un grand talent de créateur. Cependant, il se révèle incapable, au cours de l'amère dispute avec Rameau, d'apprécier précisément la nature et l'importance, par exemple des harmoniques naturels pour expliquer la consonance et le plaisir musical. Plutôt que de critiquer Rameau (comme d'Alembert dans l'Encyclopédie), Rousseau s'enlise dans un effort démesuré cherchantà prouver la prioritéàla fois acoustique et anthropologique de la mélodie sur l'harmonie. Il ne distingue pas clainementles visions différentes - mais non opposées! - de la science des sons et de l'art de la musique. Autrement dit, il ne sépare pas distinctement les procédés scientifiques (sens moderne) de ceux de la philosophie morale. Rousseau fut lui-même non seulement un copiste érudit, mais aussi un créateur.Les muses galantes, le Ballet héroïque de Rousseau (composé entre 1743 et 1745), a été exécuté plusieurs fois

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avec assez de succès. Mais les succès de Rousseau en musique sont dûs surtout à sonDevin du village. "Penser la musique" fut le leitmotiv sans cesse réitéré dansLes Confessionsde Rousseau. Cet art pour lequel il se déclare né, il l'aborde d'emblée en effet dans la dimension que nous appellerions aujourd'hui quotidienne, c'est-à-dire apte à «toucher le cœur». Sa manière de «penser la musique», clairement opposée à celle de son contemporain Rameau, a ouvert d'ailleurs un débat majeur du XVIIIe siècle dont on peut affirmer sans exagération qu'il a son prolongement jusqu'au cœur de notre XXe siècle. Rameau, selon le mot célèbre de d'Alembert, est «le Descartes de la musique». L'auteur duTraitédel'harmonie réduite à ses principes naturels, raisonne en cartésien, en géomètre et en physicien. Il part du phénomène de la résonance et de son action mécanique sur notre sensibilité. Pour Rousseau, en revanche, la musique n'a de justification que lorsqu'elle nous lOuche l'âme. Rousseau a même tenté d'inventer un nouveau système de notation musicale qui a fait beaucoup parler de lui! SonProjet concernantdenouveaux signes pour la musique a été commencé en 1741, et le mémoire est <<lu par l'auteuràl'Académie des sciences le 22 août 1742»! Rousseau pensait qu'il a assez étudié la théorie musicale pour pouvoir être considéré «comme savant en cette partie. En réfléchissant à la peine que j'avais eue d'apprendre à déchiffrer la note, et à celle que j'avais encore à chanter à livre ouvert, je vins

à

penser que celle difficulté pouvait bien venir de la ch'ose autant que de moi, sachant surtout qu'en général apprendre la musique n'était pour personne une chose aisée. En examinant la constitution des signes je les trouvais souvent fort mal inventés. Ily avait longtemps que j'avais penséànoter l'échelle par chiffres pour éviter d'avoir toujoursàtracer des lignes et ponées, lorsqu'il fallait noter le moindre petit air. (...)J'yrêvai avec succès et je parvins à noter quelque musique que ce fût par mes chiffres avec la plus grande exactitude, et je puis dire avec la plus grande simplicité.»

3. CONCLUSION

Même si Rousseau semble s'être lOujours comporté en amateur éclairé, sa pénétration, sa profondeur de réflexion, son talent exceptionnel l'ont toujours poussé à innover dans presque loutes les directions. Est-ce que, pour les pédagogues que nous sommes presque tous, cela n'est pas un exemple dont il est pennis de s'inspirer encore?

BIBLIOGRAPHIE

CHAILLEYJ., Les Notations musicales nOl/velles,Paris, 1950. GREENF.e., Rousseau and the idea of Progress,Oxford, 1957. ROUSSEAU1.-1., Œuvres complètes,Éditions de La Pléiade, 1987.

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