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ARTheque - STEF - ENS Cachan | École-entreprise, à la recherche de stages et d'emplois

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(1)

BULLETIN OFFICIEL

DE L'ÉDUCATION NATIONALE

(SCO&

-~e

À

LA RECHIRCHI

DISTAGIS

11' D'IMPLOIS

...

3üMAI

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entr

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la formation

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t l'emploi des jeunes est un

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JJ

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éoccupation

de l'éducation nationale. Au rectorat d

e

Montpelli

er,

dans l'H

érault,

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e

Banqu

e

de stages sert d'int

ermé-diair

e

entre l

es

entreprises et les étudiants afin de rapproch

er

l'offre

e

t la demande. Au Iyc

ëe

joliot-Curi

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d' Hirson, dans l'Aisn

e,

d

es

étudiants en BTS force d

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locale

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A LA RECHERCHE

DE STAGES

ET D'EMPLOIS

1

geOIE-ENTREPRISE

15781

<

N

~B.O

°n

'

3üMAI 1996

hilippeCros, 24ans, recherchait

unstage désespérém ent.Titul ai-red'unemaîtri sede scienceset

techniques comptabl es et finan cières,il

souhai tait compléter saform ation avant departirauservicenational."Les can di-datures sponta nées n' ayantriendonné,

j' aicontactélaBanquede stagesdontj'ai appris l'existencelorsd'unejournéed

'in-formation àlaFNAC", raconte-t-il. Deux semainesplus tardil intégraitun cabinet d'expertise comptable,AuditConseil Ex-pertise (ACE), oùsa respo nsa blese f éli-cite del'opération. "Onsetrouv eun peu

3üMAI 1

1996

W~.,...

... ... ..._

désarm époursavoir oùs'adresser quand

onveut proposerdes stages,explique

Eli-sabeth Blanc.Le faitdepouvoirexprimer

nosdesiderata àlaBanque,quie lle-mê-me effec tue une étude desoncôté, nou s évite deperdreun tempsfoupourr

echer-cherlestag iaire qui va convenir" . Pe n-dantsixse m aines , Philippeva se voir confierlatenuede comptabilité des so-cié tés. Unetâch eque cefuturexpe rt-comptabl en' avaitjam aisréalisée et qui

lui permetdetravaillerpour lapremi ère foissur logicieltout en recevant une f

(3)

Près de1 000étudiants ont fait appel,aucours dela dernière annéescolaire,àlaBanqu ede

stagesdurectorat de Montpellier quiproposait

à cemom ent-là700 offresde stagesdansplus

de 20secteursd'activité.Lancéeen octob re

1994àl'initiativ edu recteuretenpartenariat aveclaCaissed'Épargn eLanguedoc-Rous

-sillon, le groupe depresseMidi-Libre -L'Ind

é-pendant etlaMNEF,elleapourbutd'opérer unevéritableadéquationentre lesoffres etles

dem andesdestages qu'ellecentra lise."La

Banquefonctionne commeun outilde liaison entrelesentreprise set lesétudia nts, insiste ThierryLaffond,chargédemission . Aujo ur-d'hui,le stageconstitueuneplus-value au CV qui devientincontourn able.C'estle premier maillon versl'emploi".LaBanque proposeun

service gratuit,qu'ils'agisse d'une demande destage obligatoireou pas,àtout étudiant doté d'unniveau minimum bac plus deux.

MNCONmIER

U

S

D

ÉCIDEURS

SUR

U

TERRAIN

Un travailde prospectiondes offres de stage est effectué par voietéléphoniqu e ouparm ai-ling auprès des 4000 entreprises del'académie quicomptentau moins 20salariés,mais aussi enrencontrant lesdécideurs ."Ilsme proposent desrendez-vous lesoir oule samedi matin.À

moi d'adaptermeshorairespour coïncider

avec lesleurs! relèveThierry Laffondquia ni-mela Banqueavecunesecrétaire.Il fautdé -montrer parl' exemplequenous savonsnous

rendredisponibles". A cetteoccasion leursont

fournisle guide"Infosstages" ,desfic hes d'offres de stages et un questionn airequipe r-met

à

la Banqued'êtreplusprochedesattentes

del'entrepri se. Enoutre, depuistrois ans un

"carr efo ur des stages"est organisé,en no

-vembre,aveclamarque Carrefour,le pôle uni-versitaire etlesuniversités,àl' hypermarchéde

Saint-Clément-de-Rivière.Ladernière édition

a rassemblé une cinquantaine d'entrepri seset

apermi sderecevoir 3000étudiantset dedéga

-ger250stages. Radio,presse écriteet télévision

régionale sont fréouemm entnartenairesnour

,./t(;CTUALI TÉ 1Y""B.O.

1'579

N

°n

30MAI

1996

développerlesoffres sur l'académie. Ainsi la

responsabled'ACEa-t-ellepriscontactavecla

Banquesuite àune émissionspécialedetrois jou rs surRadio -Fra nceHéra ult rel ayéepar

France -Inter.

Lesmédiassont tout autant utilisésen d

irec-tion du public étudiant,tell 'encart qui paraîtce mercrediJ5 maidansleMidi-Libre.Réguli

è-rementla paletted'offresdisponiblesestdiffu

-séedansles servicesuniversitaireset centres

d'inform ation etd' orientation,les centres de

documentationet d'informationetauprès des

professeursdes 130 formationsunive rsitaires

identifiées. LaBanquepropose également une aidepourformulerleprojet de stage,sans le-quel aucune demanden'est adresséeauxentre

-prises.Ce soutiensera formaliséàla rentrée prochainegrâce àun bureauspécifiqueprévu à l'accueildurectorat."Je répète auxétudiants: vous ne devezpasvous excuser d'êtrediplômé et de rechercher unstage, insiste ThierryLa f-fond. Ceprojet apour obje t dedéclencherun rendez-vousavecl'en trepriseenrévélant les

pointsattractifsd'uneformation".S'ils n'ont pas fait de stagesauparavant,lesétudiants se-rontamenés par exempleàmettre envaleurdes

compé tencesméthodologiques acquisesentra -vauxpratiques.

À

une étudiantetitulaired'une

licencedelanguesétrangèresappliquées,qui

avoue ne pas comprendrece qu'on lui deman-de,il est suggéré d'évoquersesconnaissances en droit commercialouenéconomie d' entre -prise.Cela perme t d'étofferune expériencer é-sumée àla pratiquedelanguesvivantesouà des activitésd'hôtessed'accuei l.Prochaineme nt, unguided'aideau projetdestage sera àla di s-position despostulants.

LaBanque asus'implanter dansl'en

viron-nementéconomique.Lesentreprisesse trans -mettentparfois ses coordonnées."EDF nous fait re mon terdes candida turesspo ntanées

non satisfaites,soulig neThierry Laffond.

Mêmesicesétud iants nenousconn aissent

(4)

15801

~B.O

Ne22

.

30 MAI 1996

1

A

CW AUTÉ

relationavec d'autresentreprises".C'estle cas deRen audJourdain , 20ans,don tla can -didature atransitépar laBanque avant d' arri-versur le site de Vergè zequi abrite lasource

Perrie retla verrerieduLang uedoc.

UN SUJET DE STAGE

'lRÈSPRÉas

Cet étudian t en2'annéed'IUTdegénie m

é-canique est affecté au bureaudesméthodesde Pe rrier."M onsujet destageco ns is teàdé

-compos erlesmachines afin d'encoder

chaquepièce et de faciliterparlasuite les tra-vaux de maintenance,explique-t-il. Cette missionpeut paraîtrefastidieuse mais elle me permet de découvrir tous les métiers de l'e

n-trepriseen interrogeantles utilisateurs" .La collaboration avec le groupe Perrier prend forme après sa premièreapparitionaucarr e-four des stag es en novembre et au moment où

s'instaure une politique deplanification deses

besoinsenstagiair es."L'offre destages sera considéréecomme unevéritable missionde

l'entrepriseen définissant au préalabl edess u-jets,préciseJacquesDumay ,responsabl ede

formation.De même,nous allo nsbâtirdes

dossier s avec desbilansdestageet des

m

é-moirespourcréer un viv ier. Carsi aujou

r-d'huinous sommesen phasedeplansocial,

j'esp èreque demainnous sero ns en phase

d'embauche".

La Banque destages ne manque pas non plus

de perspectivesde développement,en part

e-nariatavecles collectivités local es ,les entre-prises ou les cha mbres de commerce et d

'in-dustrie.La miseen placed'une antenne dela

Banquedestages est réaliséeà Béziers etenv i -sagée à Nîmes ainsi qu'à l'université Paul Va-léry à Montpellieren langues étrangèresa ppli-quées. Il estprévude créerde s "p o i n ts information"dans certaines agencesde la

Caisse d'Épargne,etun carrefour desstages à

Perpignan.Uneprospectionsur le terrain in-ternationa lva êtrete ntée surInternet et l'an prochain,les offres destages serontcommuni

-quéessur minitel. "Toutrepose sur un long tra-vail relationnel,conclut Thierry Laffond.La

Banque doitêtre perçuecomme un prestataire

deservice performant". MarianneDUCOUT Banquede stages: tél.676642 36 ; fax

6760

76

J5

.

Opératio

n

I l

pour

l

'enlpIoi"

C

hasse à l'em ploi. Du 6 au 10mai,les étudiantsen 1èreannéedeBTS force de

vente au lycéeJoliot-Curi ed'Hirson , dansl' Aisne , sontchar gés parl'ANPE locale

dedém arch er commerçants,artisan s etag

ri-culteurs afin derepérerles emplois potentiels pour lesjeunes dansl'arrondissem entdeV er-vins.Unetâcheoarticulièrement ardue dans ce

1

30 MAI 1 1996

secte ur delaPicardieprochedela frontièrebe

I-ge:lesfilature s,les entreprises demétallurgie, lesfabriquesdeplastiqu eou de perruques et la gare detriaged'Hirson quiontfaitsaprospéri -téont cessétoute activité depui sunevingtaine d'ann ées.Restentlesexploitations deb ette-raves,deblé ou de pommes deterre,.ain sique leoetit commerce.Et un taux de chôm ageQui

(5)

A CTUALITÉ

I

%.BoOo

11581

N°n 30 MAI

1996

LE GUIDE DU STAGE EN ENlREPRISE DE L'ÉtUDIANT

EN FORMAtION INI11ALE

D

ésireux d 'ap-porteruner é-ponseclaire aux dif-férentes questions quepouvait poserle stage, ladirection générale des ensei-gnements supérieurs vient de publier le "Guide du stage en entreprise de l' étu-diant en formation

initiale".Ce docu

-ment concerne les stages dont lesb éné-ficiaires sontsous statut étudiant. Il faitle pointsur la réglementation exi s-tante en matière de statut, de protection sociale, de législa-tion sur les accidents du travail,de durée

et d'indemnisation du stage.Il comporte desr ecommanda-tionsdestinéesaux étudiants,auxéta -blissementsde for-mation et aux entre -prises ainsi que des conseilspratiques pour une recherche destage à l'étranger. En annexefigurent

égalementdes modèles de con ven-tions de stage.Ce guidea étédiffusé dansles rectorats, les services communs universitaires d'in-formation et d' orien-tation des universi-tés,lesécoles d'ingénieurs et de

commerce

-frappe durement lesjeunes."Notre

arrondisse-ment est le plus touché du départearrondisse-ment, sou-ligne Lucien Huvelle, directeur de l'ANPE d'Hirson. Un chômeur sur trois a moins de 26

ans.L'idée de nous associer avec cette section

de BTS a pour objectif de mesurer l'état du

marchédu travailet de collecterdes promesses

d'embauche".

Leur partenariata démarréen 1994par l'

opé-ration"Emploi au boutdu fil". Il s'agissait alors

dejoindre lesentrepriseslocalespar téléphone

et de leur envoyer un courrier de relance.D'où

la participation de France-Télécom et de la

Poste.Cette initiativeaété renouveléel'année

suivante en s'appuyant sur la promotionde

me-suresgouvernementales accompagnantl

'em-ploidesjeunes.Une centained'emploisontété

recenséslorsde chaque intervention.

UNiE AmON DiE

ViEN'fiE

'EN PORtE

.À.PORtE

Pourcette3'édition, l'ANPEet lelycée10

-liot-Curie selancentdansleporte-à-porteà rai

-son d'un e semaineen mars,uneautre en mai.

Afin de faciliterles contacts, l'opération a été

relayéepar lepériod ique "L'agriculteur de

l'Aisne".En outre, chacun des 28 étudiantsest

titulaired'unpasseportsigné dusous-préfet,du

proviseuret du directeurdel'ANPEd'Hirson

oui leur sert d'accréditation.

Tout a commencé par une formation

préa-lable. Avec l'ANPE,ils ont découvert les

pro-duits à promouvoir à savoir les contrats d'orientation,de qualification, d'adaptation, d'apprentissageet d'initiativeemploi. Ils ont

aussi passé une journée à l'agence afin d'en

comprendre lefonctionnement. Des cadres de la Chambre de commerce et d'industrie les ont

initiésaux aides à l'investissement.

Les quatreenseignantsdu secteur"économie

etgestion" qui encadrent le groupe,ont prépa

-ré cette opérationcomme toute action de vente

notammentàpartirdejeux de rôles pour établir

desargumentaires. "Ce type d' activiténous

permetd' appliquerleschéma qui constituele

quotidiend'unvendeur.Lesétudiantssont

ha-bituésà faire de la vente directe et àassumer

touteslesétapesen amont comme la

prépara-tiondefichierset de tournée,laprisede

rendez-vous,ladéfinitiondelacible,préciseClaudine

Girault, professeurdecommunication et de

négociation.Même sil'emploi estun produit

différent,ladémarche estlamême.Ilsvendent

une idée,du rendez-vous, etfontapparaître un

besoin".

(6)

'5841

~B.O.

N°n 3ü MAI

1996

,

ACTUAUTÉ

j)

chaquefois, les étudiants expriment leur fierté de

J(J

participer

à

une opération de solidarité

(suitede la page

1581)

Les étudiants ont pour mission de se partager la visite de 2200 entreprises, de décrocher des entretiens pour les conseillers de l'ANPE et de diffuser une documentation sur les contrats. A tout moment, ils peuvent solliciter les sept conseillers de l'ANPE chargés de les épauler. Après avoir écumé en mars les exploitations agricoles de Wassigny, où elles ont collecté sei-ze promesses d'embauche, Séverine et Danièle sont chargées cette semaine du centre-ville d'Hirson. "Nous sommes en mission pour l' ANPE" répètent-elles après avoir décliné leur identité, chez un bijoutier,une opticienne, une épicière, une coiffeuse et des vendeuses de vê-tements.Puis vient la question fatidique: "Avez-vous l'intention d'embaucher un jeune dans les mois à venir?" Ce matin, les entretiens tournent court. Les commerçants se plaignent du manque d'activité ou avouent s'être lancés dans cette voie pour sortir eux -rnêmesdu chô-mage. "Beaucoup d'entreeux sont en difficul-té et s'ils ont besoin d'aide ils font appel aux membres de leur famille", constate Séverine. Hier, la moisson était meilleure avec trois contrats d'apprentissage et un poste à mi-temps. Àchaque fois, elles évoquent les exonérations de charges sociales dont ils peuvent bénéficier et tentent d'en savoir plus sur l'entreprise, no-tamment le nombre de salariés et son statut, afm de compléter les fichiers de l'ANPE.

UNIE MIEIWU.

S1'RAriGIIE DIE

UJm

CONn"Œ

U

CHÔMAGIE

Pendant ce temps, un groupe reste en poste à l'agence d'Hirson pourtraiter ces informa-tions. Dans leurs tableaux récapitulatifs sont enregistrés le secteur d'activité de chaque en-treprise, son statut, sa probabilité d'embauche

1

3ü MAI 1

1996

-"entreprise à suivre"ou "pas intéressée"- son nombre de salariés, et la mention "cliente" ou

"pas" de l'ANPE. Celle-ci disposera d'un ou-tilprécieux pour mieux cibler le secteur qui gage le plus de promesses d'emploi et pour dé-velopper une meilleure stratégie de lutte contre le chômage.Quant aux étudiants, ils consigne-rontcetteexpériencedansun dossier valorisélors des examens professionnels.Lamanière dont ils l'ont vécue fera l'objet d'une table-ronde. Pour Séverine et Danièle, à l'appréhension du face à face a succédé la satisfaction de renforcer leur formation."Le porte-à-porte, c'est dur surtout quand on se fait mal recevoir, avouent-elles.

Mais cela donne une certaine confiance en soi". Les années précédentes, les étudiants ont été satisfaits de constater que les chefs d' entre-prise les traitaient comme des adultes. "Le fait de décrocher un contrat leur procure une grati-fication sur le plan personnel, souligne Claudi-ne Girault.Àchaque fois, ils expriment leur fierté de participer à une opération de solidari-té car ils ne vendent pas un produit marchand ordinaire".

L'année prochaine,l'opération devrait se poursuivre en ciblant les secteurs porteurs. "Cette initiative commence à faire des émules au lycée Gay-Lussacà Chauny et au lycée Pierre de La Ramée, à Saint-Quentin, explique Jacques Legru, inspecteur d'académie-direc

-teur des services départementaux de l' éduca-tion naéduca-tionale.Les résultats de l'opération se-ront présentés à la presse régionale car on doit savoir que l'éducation nationale s'intéresseà son environnement".

M.D.

Lycée Joliot-Curie:tél. 23584022 ;

Références

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