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Note de lecture sur Une histoire politique du journalisme. XIXe – XXe siècle, dans Les cahiers du journalisme, n°15, hiver 2006.

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Submitted on 30 Nov 2016

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Note de lecture sur Une histoire politique du

journalisme. XIXe – XXe siècle, dans Les cahiers du

journalisme, n°15, hiver 2006.

France Aubin

To cite this version:

France Aubin. Note de lecture sur Une histoire politique du journalisme. XIXe – XXe siècle, dans Les cahiers du journalisme, n°15, hiver 2006.. 2006. �hal-01405447�

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Géraldine Muhlmann

Une histoire politique du journalisme. XIXe – XXe siècle, Le Monde/PUF, Coll.

Partage du savoir, 2004, 250 pages

L’ouvrage tiré de la thèse de doctorat de Géraldine Muhlmann, Une histoire

politique du journalisme XIX – XXe siècle, qui porte sur les contextes européen (France

et Grande-Bretagne) et étasunien, a paru au moment où la campagne présidentielle aux États-Unis montrait une « Amérique divisée en deux ». Ses notions de journalistes « rassembleurs et décentreurs » sont particulièrement utiles pour nous aider à comprendre la contribution des journalistes états-uniens au « nation building » made in USA. L’ouvrage a quelques échos également dans le contexte français, où les intellectuels s’affrontent sur le rôle des médias. Dans les échanges vigoureux qui animent ceux qu’on qualifie parfois de « candidats à la succession de Bourdieu », les Philippe Corcuff et Patrick Champagne par exemple, son ouvrage n’est pas passé inaperçu i. Si l’auteure elle-même ne recense que brièvement la critique (les « inquiétudes ») portée contre le journalisme, son préfacier (et objet de l’un de ses portraits), Marc Kravetz, journaliste pendant 20 ans chez « Libé » (Libération), vise plus explicitement les « énergies dénonciatrices et autres pourfendeurs d’une « pensée unique » censée gouverner la presse à grande diffusion (p.VII).

Récipiendaire du prix Le Monde de la recherche universitaire et publié dans la Collection « Partage du savoir » sous les auspices du quotidien français Le Monde et des Presses Universitaires de France, l’ouvrage a paru en parallèle avec un autre de la même auteure, Du journalisme en démocratie ii, publié chez Payot dans la collection « Critique de la politique » dirigée par le directeur de thèse de Muhlmann, Miguel Abensour. La facture d’Une histoire politique du journalisme rappelle celle de la thèse, avec chapitres et sous-chapitres, mais le style y est nettement moins académique, ce qui convient sans doute au lectorat visé : des journalistes et aspirants journalistes iii.

Comme son titre l’indique, la thèse a été menée en histoire politique, une tradition de recherche faisant la part belle aux « singularités » des parcours individuels. L’ouvrage puise essentiellement dans l’histoire du journalisme, mais on trouve aussi des éléments théoriques empruntés à d’autres disciplines, comme la littérature (Angenot, Genette,

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Benveniste…). Même si l’auteure, agrégée de philosophie, renvoie à son ouvrage paru chez Payot pour les fondements et les enjeux philosophiques de sa démarche, on peut aisément faire le rapprochement entre le geste journalistique de décentrement et le décentrement du sujet post-moderne.

Comme chercheure, nous nous sommes désolée par ailleurs de ne pas y retrouver d’indications relatives aux critères de sélection des portraits retenus et plus encore, d’être renvoyée à l’ouvrage paru chez Payot pour en savoir davantage sur les concepts-clés de journaliste rassembleur et de journaliste décentreur. À cet égard, il est difficile de savoir quelle part relève de l’emprunt à d’autres chercheurs (Tuchmann et Lippmann notamment) et quelle part revient à l’auteure. Autre critique adressée cette fois aux éditeurs, un index des termes journalistiques utilisés de même que des informations plus complètes sur l’expérience de journalisme de l’auteure (évoquée en quart de couverture) auraient été appréciées, le premier par les étudiants en journalisme, les autres par l’ensemble des lecteurs intéressés à mieux saisir d’où parle et d’où voit l’auteure, deux préoccupations qu’elle exprime elle-même à l’endroit des journalistes dont elle analyse le travail.

L’objet de l’ouvrage

L’ouvrage porte sur le journalisme dans les démocraties occidentales à partir de la naissance de la « grande presse » en 1830 jusqu’à aujourd’hui. Elle s’intéresse essentiellement au journalisme moderne (depuis 1880) entendu ici comme le passage de la presse d’opinion (chère à Habermas) à la presse de reportage d’abord centrée sur la production de données factuelles ou informations (« news »). Muhlmann introduit sa recherche en répondant plus particulièrement aux critiques de Bourdieu sur l’uniformisation de l’offre dans laquelle il décelait, comme d’autres, une forme pernicieuse de domination sur les individus, et notamment une neutralisation des conflits qui traversent l’espace social (p.3). Elle écrit :

Il est indéniable, à observer de près le développement du journalisme moderne, qu’existe en lui un souci d’intégrer la communauté de ses lecteurs (qui est potentiellement la communauté politique tout entière) : le reporter rassemble son public derrière lui. Ce geste journalistique du rassemblement, on peut le repérer dans l’histoire, que l’on examine la manière dont le journalisme parle de lui, se présente, se comprend, ou bien sa seule pratique, c'est-à-dire ses « productions ». Rassembler est probablement le grand geste du journalisme moderne.

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Et pourtant, faut-il lui faire dire systématiquement ce qu’on en dit qu’il tue la conflictualité démocratique qu’il lisse les regards ? Est-ce si simple ? Ne doit-on pas lire les différences dans les pratiques journalistiques ? N’y a-t-il pas plusieurs sortes de journalismes « rassembleurs », certains d’entre eux, loin de fuir ce qu’engendre du conflit, faisant reposer le geste de rassembler sur un conflit qu’ils révèlent et activent ? Et si l’on considère, somme toute, ces conflits mis en scène dans les regards des journalismes « rassembleurs » comme trop encadrés, trop bridés, s’est-on demandé si l’histoire du journalisme ne recelait pas d’autres « gestes » ? S’est-on demandé si, face au journalisme « rassembleur » dominant, avait vu le jour un journalisme en quelque sorte de « résistance » ? Existe-t-il, et sous quelles formes, un journalisme soucieux de réinjecter dans la communauté démocratique un conflit plus radical, un journalisme désireux de faire voir ce que là, tous rassemblés, tous agglutinés autour de notre « centre », nous ne voyons pas ou plus – bref, un journalisme de décentrement ? (p.4)

L’organisation de l’ouvrage

D’après les références, on peut penser que la thèse de Muhlmann a emprunté (en les citant) une grande partie de ses analyses relatives au geste de « rassembler » à différents auteurs et que l’originalité de sa démarche consiste essentiellement à mettre au jour les figures de résistance au « journalisme dominant » : les journalistes décentreurs. Aux inquiétudes manifestées à l’égard d’un journalisme qui « lisse les regards », l’auteure souhaite opposer d’une part que le geste de rassembler laisse place au conflit et que d’autre part, il est possible d’aller encore plus loin et d’inscrire le conflit au cœur même de la démarche journalistique. Pour l’un et l’autre geste journalistiques, elle passe en revue les limites et les écueils.

Après avoir introduit dans un premier chapitre les figures de rassembleur et de décentreur, l’auteure consacre trois chapitres au geste de rassemblement et trois autres chapitres au geste de décentrement. Pour chaque geste, l’auteure a choisi de consacrer un chapitre entier à un « archétype ». Pour le geste de rassemblement, elle a retenu la figure du témoin ambassadeur incarnée par Séverine, reporter au procès du capitaine Dreyfus en 1899; pour celui du décentrement, elle a choisi l’écrivain journaliste George Orwell. Au total, la galerie de portraits proposée par ambassadeur compte une dizaine de journalistes de la fin du XIXe siècle à celle de la guerre du Vietnam et deux « grands moments du journalisme » : le mouvement étasunien du New Journalism (les années 60) et les premières années du quotidien français Libération (les années 70).

L’ouvrage suit une démonstration parfaitement chrono-logique, c'est-à-dire qu’on passe de l’archétype du rassembleur (Séverine), à des figures intermédiaires (Nellie Bly,

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Albert Londres, Edward R. Murrow) aux limites de cette figure (Lincoln Steffens), puis à la transition vers le décentrement (New Journalism et Libération) dont l’auteure estime qu’Orwell illustre parfaitement les limites ; et enfin à deux journalistes confrontés à la violence de la guerre du Vietnam (Seymour M. Hersh et Michael Herr), qui renonceront tout à fait à l’illusion de rassembler, convaincus de ne pouvoir ni donner à voir, ni même arriver à voir eux-mêmes. Du geste journalistique rassembleur créant le nous dans l’épreuve, le journalisme moderne en serait donc arrivé au constat de l’altérité indépassable et de l’inévitable solitude du ou de la journaliste.

Les figures singulières servant d’illustration

Les forces de l’auteure sont la lisibilité de son texte (nombreuses articulations logiques et rappels), la connaissance qu’elle a des auteurs retenus (et du corpus critique associé) et - ce qui témoigne peut-être de sa formation en philosophie - sa capacité à établir des liens entre des épistémologies différentes. Le chapitre consacré au « Nouveau journalisme » et aux rapports entre fiction et non-fiction est particulièrement stimulant à cet égard. Si l’objectivité n’existe pas, quelle est la différence entre un journaliste et un écrivain ? Lequel des deux peut le mieux rendre la « réalité »?

Les personnages figures dont Muhlmann a dressé le portrait sont également dignes d’intérêt, d’autant plus qu’elle remet en question certaines des représentations qui leur ont été associées ou encore celles du contexte dans lequel ils ont travaillé.

Avec l’anarchiste Séverine, qui publie dans un quotidien uniquement écrit par des femmes (La Fronde), Muhlmann nous donne à voir une Affaire Dreyfus moins exclusivement masculine que celle des histoires habituelles. Séverine illustre ce que Muhlmann nomme un « sensualisme radical », estimant que ce sont ses sens (la vue, le ressenti) qui lui permettent de comprendre et de juger, par opposition aux « rhéteurs » qui préfèrent discourir.

Avec Nellie Bly, qui avait simulé la maladie mentale pour aller observer les conditions de vie des femmes internées dans un asile psychiatrique (faire voir le « caché »), Muhlmann nous rappelle que les femmes (les « stuntgirls ») ont été plus nombreuses que leurs confrères à prendre le visage de l’Autre pour essayer d’en

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comprendre l’existence (faire voir le « nous »), une tradition encore bien vivante comme nous l’a montré il y a quelques mois la journaliste étasunienne Ehrenreich iv.

Albert Londres, si souvent mythifié dans les programmes de formation en journalisme, se révèle plus distant, moins emphatique qu’on ne l’aurait cru et son regard témoigne d’abord et avant tout d’une étrangeté indépassable : « Là où le stunt journalism dit « Je comprends »- on se souvient que tel est incessamment le présupposé de Nellie Bly – Londres ne cesse de dire qu’il ne comprend pas ce qu’elle voit. » (p.77). Chez Londres, c’est l’épreuve de l’étrangeté qui rassemble le « nous » derrière le témoin ambassadeur; le recentrage de la communauté politique (le « nous ») se fait sans « eux » (les bagnards, les « fous », les « nègres »…) contrairement aux figures d’étrangeté dépeintes par les Séverine et Bly, fusionnées dans un « nous » (Dreyfus, le peuple, les femmes internées sont comme nous, nous sommes comme eux) recentré face à de nouveaux autres (le personnel hospitalier, les anti-dreyfusards).

Avec Edward R. Murrow, l’auteure aborde le journalisme radio puis télé. Défiant le sénateur McCarthy sur son propre terrain, celui de l’identité américaine, Murrow avait opéré, via une série de reportages, un renversement d’accusation au terme duquel le sénateur Mac Carthy avait été jugé un-American. Même si l’auteure n’y fait pas allusion, ce chapitre est particulièrement éclairant pour nous aider à comprendre le rôle (et les contraintes) des journalistes étasuniens ainsi que les stratégies rhétoriques du Président George W. Bush depuis le 11 septembre 2001. Les lecteurs souhaiteront peut-être mettre en parallèle l’extrait suivant avec la célèbre déclaration du Président Bush prononcée le 6 novembre 2001 v ?

Car l’ « américanité » que représente ici Murrow, si elle implique peut-être du clivage, du

un-American, dont le communiste fait partie, implique tout de même un certain rapport à

ce clivage; un rapport qui autorise le dialogue, la confrontation, et interdit le sentiment permanent de la menace, l’installation d’un climat de peur et de haine (G.M. p.98-99). Pour saisir les limites d’un journalisme qui se veut scientifique (sociologique) et surtout les limites du témoin ambassadeur, ambassadeur dresse le portrait du journaliste « fouille-merde » (mudcracker) Lincoln Steffens, célèbre pour ses reportages sur la corruption dans les municipalités étasuniennes vi. Coincé entre son désir de rendre compte des dessous des affaires traitées (mettre à jour « le système ») pour le public, auquel il se

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sent lié par un « contrat tacite », et le peu d’intérêt manifeste de celui-ci (surtout lorsque vient le temps de reconnaître sa part de responsabilités), Steffens incarne pour ambassadeur la crise du journalisme moderne, voire du journalisme dans son ensemble : « Au fond, le noeud de la crise, chez Steffens, c’est le public : c’est lui qui emprisonne le regard de son « ambassadeur » et c’est pourtant lui qu’il ne faut pas perdre si l’on veut rester un journaliste.» (p.116). Les quelques pages qui suivent la section consacrée à Steffens, et qui portent sur Lippmann, l’auteur de The Phantom Public, intéresseront tout particulièrement ceux et celles qui travaillent sur l’espace public.

Muhlmann rapproche les journalistes écrivains (ou est-ce le contraire ?) du New

Journalism étasuninen (notamment Norman Mailer) et les journalistes français de Libération (fondé par Sartre qui s’en distanciera rapidement), sur la base d’une volonté

commune d’échapper au journalisme « dominant ». Si les journalistes étasuniens ont été tentés par l’ubiquité et ont recouru à différents procédés journalistiques dont l’écriture à la première personne (pour assumer leur subjectivité) et l’écriture caméléon (pour exprimer celle des autres en variant les points de vue), les journalistes de Libération ont voulu donner une voix à ceux qui n’en avaient pas, pratiquant le style « ouvrier » ou plus directement en ouvrant leurs pages aux « dominés ». C’est dans ce chapitre que Muhlmann examine l’itinéraire de Marc Kravetz, journaliste au Libé mais partageant la démarche de Mailer combinant pratique journalistique et auto-critique. Sur la relation du journaliste au public, évoquant Mailer, Muhlmann écrit : « Autrement dit, la représentation par Kravetz du regard journalistique est rigoureusement triangulaire : le reporter (« moi ») est seul face à ceux qu’il regarde «(« eux ») et face à ceux pour lesquels il regarde (« vous ») » (p.173).

George Orwell est présenté à la fois comme journaliste et comme écrivain. L’auteur de 1984 procédera lui aussi à son auto-critique. Après les expériences de métamorphose (en clochard notamment), il en viendra à dénoncer « l’idéologie de l’intériorité » (se mettre à la place des autres) et à réhabiliter la « distance critique, qui est inhérente à l’activité de regarder » (p.199). On ne peut pas regarder et être dedans tout à la fois : « […] pour que la métamorphose soit jugée complète, il faudrait qu’elle soit telle qu’Orwell perde en même temps toute faculté d’observation étonnée et curieuse de ce qu’il lui arrive, jusqu’à rendre toute narration impossible» (p.185).

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Les deux dernières figures sont celles de journalistes ayant couvert la guerre du Vietnam, Michael Herr et Seymour M. Hersh. Le premier s’est enrôlé et a vécu non seulement avec les soldats, mais comme l’un d’entre eux et comme eux, il est revenu traumatisé de la guerre. Le second n’est pas allé au Vietnam, mais il a rencontré les vétérans à leur retour. Tous deux, à partir d’un rapport différent au conflit, l’un du dedans, l’autre du dehors, témoignent selon Muhlmann de l’impossibilité de rendre compte véritablement de la violence. Qu’on en ait été le témoin direct ou non, le trauma laisse un point aveugle, qui n’est partiellement accessible que lors des cauchemars : « Il n’y a pas de solution, semble dire Herr : même si toutes les conditions techniques étaient remplies, il n’y aurait pas de spectacle du présent de la violence. Car on ne peut pas voir le moment où les yeux sont tout à fait traversés, blessés, ce moment annonçant des « visions » qui ne se donneront que des mois plus tard, dans l’enfermement cauchemardesque du fantasme et du rêve » (p.238).

Au terme de l’ouvrage, l’auteure a t-elle réussi son pari qui était de faire du journalisme un objet de philosophie politique vii? Il faudrait étudier son ouvrage paru en parallèle dans une collection de philosophie politique consacrée au renouvellement de la théorie critique pour mieux en juger. De même impossible de juger si elle a assouvi l’ambition qu’elle qualifie elle-même « de parfaitement immodeste », à savoir « d’ouvrir la voie à une réelle critique du journalisme ». Deux approches critiques ne valent-elles pas mieux qu’une seule ? Mais les lecteurs qui s’intéressent à l’histoire des idées et à l’histoire du journalisme ne perdront pas leur temps en lisant son ouvrage s’ils acceptent de se tenir, le temps de la lecture, au-dessus de la mêlée qui opposent les partisans des singularités et ceux des déterminismes sociaux.

France Aubin

Notes

i Ils sont archivés notamment sur le site d’Acrimed Sur la critique de la critique radicale, voir notamment :

http://www.acrimed.org/article1787.html

ii Géraldine Muhlmann, Du journalisme en démocratie, Payot, collection « Critique de la politique » 347

pages.

iii « Qu’on la [série de figures] complète et qu’on la conteste ! Et qu’on la fasse « servir » : nous espérons

tant, en effet, qu’elle trouvera un sens pour ceux qui font du journalisme ou veulent en faire. GM, p.241

iv L’Amérique pauvre. Comment ne pas survivre en travaillant, par Barbara Ehrenreich, Grasset, 334 p.

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vEither you are with us or you are against us” Site officiel de la Maison Blanche, President Welcomes

President Chirac to White House http://www.whitehouse.gov/news/releases/2001/11/20011106-4.html

vi À rapprocher peut-être de scandales financiers plus récents, dont l’Affaire Enron.

vii « En somme, penser le journalisme en élaborant des « figures », des figures critiques, le révèle sans doute

comme un objet plus complexe qu’il n’y paraissait. Mais peut-être est-ce nécessaire pour qu’il devienne, précisément, un objet pour la philosophie politique» G.M. p. 242

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