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Les Lesbiennes -Gays -Bisexuel.le.s -Transgenres (LGBT) face aux soins

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Academic year: 2021

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Texte intégral

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HAL Id: hal-02444621

https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02444621v2

Submitted on 23 Jan 2020

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Les Lesbiennes -Gays -Bisexuel.le.s -Transgenres

(LGBT) face aux soins

Arnaud Alessandrin

To cite this version:

Arnaud Alessandrin. Les Lesbiennes -Gays -Bisexuel.le.s -Transgenres (LGBT) face aux soins. Revue de l’infirmière, 2020. �hal-02444621v2�

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Les Lesbiennes – Gays – Bisexuel.le.s – Transgenres (LGBT) face aux soins In Soins infirmiers, n.257, 57-61, 2020.

Longtemps réduite aux questions de santé sexuelle et de santé reproductive (VIH et PMA notamment), la question de la santé des Lesbiennes – Gays – Bisexuel.le.s – Transgenres (LGBT) s’est depuis peu décalée sur d’autres thématiques permettant de rendre compte du rapport qu’entretiennent les LGBT aux soins. Une récente étude intitulée « Santé LGBTI » tente de qualifier et quantifier les craintes, les évitements, les stratégies et les représentations que les LGBT ont des soins, des instances de soin et des soignant.e.s qu’ils et elles rencontrent. Cet article résume quelques-unes des tendances de cette recherche et propose des pistes et des thématiques pour mieux accompagner les LGBT dans leurs parcours de soins.

De quoi « souffrent » les LGBT ? A bien regarder l’histoire de cette interrogation, force est de constater que nous sommes passés d’une réponse inhérente au fait d’être gay, lesbienne, bissexuel.le ou trans(1), à une « inversion de la question » (2). Et si les LGBT étaient, comme tout un chacun, atteint des pathologies diverses que nous connaissons, mais que leurs expériences singulières (et communes) les éloignaient des soins ? Pour le dire autrement : et si l’homophobie, la transphobie (3), bref les stéréotypes, les préjugés ou les discriminations agissaient également à l’encontre des minorités de genre et de sexualité dans le contexte de la santé (4) ? Et si, pour finir, certaines pratiques à risques les plaçaient, plus que d’autres, sous une attention sanitaire particulière ?

Eléments de cadrage

En 2016, une thèse de médecine entreprend de dessiner les contours des pratiques et des représentations des personnes LGBT en matière de santé en lien avec la figure des médecins généralistes(5). Les résultats sont nets : 40,5% des hommes et 48,7% des femmes n'ont jamais parlé de leur orientation sexuelle avec leur médecin généraliste. Par ailleurs 57,5% des femmes et 44,1% des hommes homosexuel.le.s déclarent avoir peur d'être discriminé.e.s ou jugé.e.s si ils ou elles parlent de leur sexualité. Face à ce constat, maintes fois partagé dans les enquêtes portant sur les homosexuels et le VIH(6), une enquête a été réalisée afin de saisir si, sur d’autres espaces de la santé globale des LGBT, ces chiffres pouvaient être vérifiés.

La recherche intitulée « Santé LGBTI » (7) s’est orientée autour de trois thématiques : la santé scolaire(8), la santé bariatrique (9) et la cancérologie (10). Elle prend appui sur une revue de la littérature nationale et internationale sur ces questions, sur des entretiens auprès de patientes et de patients, ainsi que sur un questionnaire ayant récolté 1.047 réponses entre juin et septembre 2017.

Mais pour bien comprendre ce dont il s’agit, encore faut-il rappeler quelques éléments de définition. Ce que nous nommons « sexualité » renvoie non seulement à l’orientation sexuelle (l’inclinaison des désirs envers des corps, des personnes) mais aussi à la pratique sexuelle (au sens du « faire ») et à l’identité sexuelle, c’est-à-dire la manière de dire sa sexualité, d’en faire le récit, de s’identifier, selon des termes aussi variés qu’ « homoexuel.le.s », « hétérosexuel.le.s », « assexuel.le.s », « pansexuel.le.s », etc. Ces distinctions sont bien connues de celles et ceux qui, dans la santé sexuelle notamment, sont amenés à utiliser le vocabulaire de « HSH1 » ou de « FSF2 » par exemple (11). Plus encore, nous nommons « personne trans », toute personne pour qui l’identité de genre (le sentiment d’être dans un genre) ne correspond pas à l’assignation faite à la naissance (« c’est un garçon / c’est une fille »), et ce, indépendamment du fait qu’une opération génitale ait eu lieu ou non (12).

Peurs et évitements dans les parcours de santé LGBT

Les parcours de santé des personnes LGBT s’inscrivent dans des expériences et des représentations particulières. De grandes fresques marquent ainsi nos imaginaires. Celle du VIH/sida en fait évidemment partie. D’Hervé Guibert3 à 120 battements par minute4, c’est l’image du corps maltraité, abandonné, rejeté qui ressurgit. C’est aussi l’image du corps anormal, indocile, pathologique, qui rejaillit dans de nombreux écrits et représentations cinématographiques ou télévisuelles autour des transidentités.

Corps suspectés, corps niés, corps incriminés, corps négligés, corps psychiatrisés, corps abimés : et si les corps des personnes LGBTIQ devenaient aussi des corps soignés ? Des corps dont on prend soin. Des corps sur lesquels on se penche, non pour les objectifier, en faire des cas d’étude, des diagnostics, mais pour les accompagner ?

Ce mouvement n’est cependant pas arrivé à son terme. Il subsiste encore, du côté des soignant.e.s comme des soign.é.s des craintes, des malentendus, des évitements. Pour les jeunes personnes LGBT ayant répondu à

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notre enquête (moins de 25ans), moins de 2,4% ont parlé de leur orientation sexuelle à l’infirmièr.e scolaire, et à peine 6,6% à l’équipe encadrante (professeur.e.s, CPE, etc).

Et si l’espace du soin n’était pas toujours synonyme d’espace d’écoute ? Dans leurs vies adultes, les répondant.e.s de notre enquête sont près de 40% à déclarer ne jamais avoir parlé de leur orientation sexuelle ou identité de genre à leurs médecins. Mais les généralistes semblent faire exception.

Aux côtés de ces chiffres, d’autres données nous interpellent : près de 60% des personnes sondées déclarent s’être déjà senties mal à l’aise de fait de leur identité de genre ou de leur orientation sexuelle face à un personnel de soin. Si les gays pointent du doigt certains médecins généralistes, notamment lors d’interrogations en lien avec leur santé sexuelle, les lesbiennes sont majoritaires à indiquer des problèmes avec leurs gynécologues (13).

C’est dire si le sigle LGBT n’est jamais d’un seul tenant ; que les questions de « genre » et de « sexualité » ne sont pas exactement les mêmes. S’ajoutent à cela de nombreux habitudes de langages : « J’ai entendu ‘monsieur et madame’ dans la salle d’attente, alors j’ai laissé ma compagne aller à son rendez-vous et je me suis rassise », témoigne une femme lesbienne qui accompagnait sa compagne en consultation de cancérologie. Quant aux personnes trans, c’est l’ensemble de la chaîne du soin qui est passée au tamis de la suspicion. Discriminations, usage du mauvais pronom, rires, gêne : nombreux sont les témoignages qui indiquent que chez ces patient.e.s les parcours de soin sont semés d’embûches, de mauvaises jugements, de mauvaises représentations également.

Dans ce contexte, les personnes interrogé.e.s stipulent qu’un « marché des réputations » des soignant.e.s est à l’œuvre sur Internet, avec des sites, des blogs et des forums dédiés, afin d’orienter au mieux les patient.e.s dans leurs choix médicaux (14).

Se former

Face à ce constat, que faire ? D’une part, il semble important de prendre en considération ce différentiel de traitement. Les soins ne sont jamais « neutres », ils sont toujours réalisés et reçus par des individus dotés d’un passé, de représentations et d’appréhensions qui, malheureusement, se ressentent parfois. Des réflexes apparaissent.

« Déshétérosexualiser » le soin, c’est privilégier la question « votre ami.e vient vous chercher ? » aux termes de « mari » ou de « femme » face à un ou une patiente portant une alliance. « Déshétérosexualiser » le soin c’est demander à une personne dont le genre est féminin mais dont la carte d’identité mentionne un « M », quel prénom et quel pronom elle souhaite qu’on emploie.

La question de la formation est donc centrale en matière de déconstruction des habitudes relationnelles et ceci n’est pas sans réponse immédiates : des livres récents permettent notamment d’approcher les notions de genre dans le domaine de la santé (15), des formations de la chaire « santé sexuelle et droits humains » de l’UNESCO ont été mises en ligne sous forme de MOOC (16).

Questionner la santé et l’accompagnement en santé des personnes LGBT c’est aussi saisir les nouvelles figures qui apparaissent au-delà des rares sujets que les formations initiales esquissent. On pensera notamment aux séniors LGBT (17) dans un contexte général de vieillissement de la population : qu’en est-il des effets à long-terme des premières trithérapies ? Qu’en est-il également des opérations de changement de genre chez les séniors ? D’un point de vue moins technique, et plus relationnel, les notions de « solitude » et de « déprise » sont à investiguer face à des populations plus isolées familialement (qui ont eu moins d’enfants, sinon aucun) (18).

Un bon accueil des soignant.e.s c’est l’assurance de dé-sédimenter les mauvaises expériences passées et donc de raccrocher les personnes éloignées des soins ou anxieuses lors des interactions soignant.e.s / soigné.e.s. Non sans lien avec la question du traitement des femmes dans le monde de la santé (19), la question des personnes LGBT mérite de plus amples recherches. Mais il revient également aux professionnel.le.s du soin de s’inscrire dans cette démarche d’inclusion et de déconstruction des représentations.

ENCADRE : Et le « I » des LGBTI ?

Souvent oubliées dans les études sur les minorités de genre, les personnes intersexes sont aujourd’hui au cœur de l’actualité médicale et juridique, sous la forme d’une question transversale : pourquoi faut-il opérer des enfants intersexes à leur naissance ? On nomme « intersexe » tout individu qui développe des formes sexuées primaires ou secondaires qui ne permettent pas à la médecine de déclarer « c’est un garçon » ou « c’est une fille ». En dehors des cases « mâles » ou « femelles », il existe un continuum de formations sexuées. Si, encore aujourd’hui, le législateur confère à la médecine le droit de choisir le sexe de l’enfant intersexe à sa naissance, les associations intersexes (20) militent pour l’arrêt de ce qu’elles nomment des « mutilations » (21) et pour le libre choix de son sexe à l’âge adulte. Pour le dire autrement, là où la médecine formule que le sexe des enfants intersexes est « indéterminé », les personnes concernées répondent

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que leur anatomie est comprise dans les variations naturelles des formes sexuées. Il en résulte des pratiques médicales controversées (assignations, ré-opérations) et des condamnations de la France par certaines instances nationales comme internationale. En 2016 la France est mise en cause par l’ONU pour

« mutilations » sur les enfants intersexes et, la même année, c’est la CNCDH (Commission Nationale Consultatives des Droits de l’Homme) qui appelle la France à cesser ce qu’elle considère être des « traitements inhumains et dégradants » [22]. Soigner les LGBTI revient donc aujourd’hui à inclure les personnes intersexes dans la perspective des soins non immédiatement chirurgicaux, mais en termes de « santé sexuelle » et de « droits humains ».

Auteurs

Arnaud Alessandrin, Sociologue, docteur en sociologie, Laboratoire Cultures-Éducation-Sociétés (LACES EA 7437),a)

Jean-Pierre Bouchard*, Psychologue, docteur en psychologie et en droit, directeur de l’Institut psycho-judiciaire et de psychopathologie, qualifié aux fonctions de professeur des universités (psychologie, psychologie clinique, psychologie sociale) b)

a) université de Bordeaux, 3 ter, place de la Victoire, 33076 Bordeaux Cedex, France

b) Institut psycho-judiciaire et de psychopathologie (IPJP), unité pour malades difficiles (UMD), centre hospitalier de Cadillac, 10, avenue Joseph Caussil, 33410 Cadillac, France

Mots clés : identité, genre, sexualité, santé, soins Notes

1 – HSH : hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes 2 – FSF : femmes ayant des rapports sexuels avec des femmes

3 – Hervé Guibert (1955-1991) est un écrivain et journaliste français également reconnu comme photographe et pour ses travaux artistiques autour du thème du SIDA - https://fr.wikipedia.org/wiki/Hervé_Guibert

4 – 120 battements par minute, film français coécrit et réalisé par le cinéaste Robin Campillo, sorti en 2017, sur le thème du combat mené par les militants d’Act Up-Paris dans les années 90 pour lutter contre le Sida - https://www.lemonde.fr/televisions-radio/article/2018/09/18/120-battements-par-minute-une-contagion-de-la-colere-de-l-amour-et-du-partage_5356815_1655027.html

Références

1 - Nous préférons l’usage du terme « trans » ou « transidentitaire » au terme « transsexuel » connoté du côté de la maladie et de la pathologie. Lire à cet égard : Alessandrin A. Le transsexualisme : une catégorie

nosographique obsolète, Santé Publique 2012 ; 24(3) : 263-268. Lire aussi Espineira Karine, Maud Yeuse Thomas et Alessandrin Arnaud, Transidentités : histoire d’une dépathologisation, Cahiers de la

transidentité, vol.1, 2013.

2 – Fassin E. L’inversion de la question homosexuelle, Amsterdam 2003.

3 - Alessandrin A. La transphobie en France : insuffisance du droit et expériences de discrimination. Cahiers du Genre, 2016, 60(1), 193-212.

4 - Toulze M, Meidani A (dir.). Santé et discriminations, Les cahiers de la LCD 2017, 5.

5 – Jedrzejewki T. EGaLe-MG. État des lieux des difficultés rencontrées par les homosexuels face à leurs spécificités de santé en médecine générale en France. Réflexions sur le contexte et les données actuelles, l’histoire et les subjectivités gays et lesbiennes. Thèse pour le diplôme d’état de docteur en médecine, université Paris Diderot-Paris 7, 2016.

http://www.bichat-larib.com/publications.documents/5210_JEDRZEJEWSKI_these.pdf 6 - Jablonski O, Le Tallec JY, Sideris G. Santé gaie, L’Harmattan, 2010.

7 - Alessandrin A, Johanna Dagorn J, Meidani A, Richard G, Toulze M (dir.). Santé LGBT, Bord de l’eau, 2020.

8 - Dagorn J, Alessandrin A. La santé des élèves LGBTI, L'école des parents 2018 ; 627(2), 2018 : 28-29. Lire aussi : Richard G, Alessandrin A. Politiques éducatives et expériences scolaires des jeunes trans au Québec et en France : un panorama, Genre, sexualité & société, 21, mis en ligne le 01 juin 2019. Lire aussi : Alessandrin Arnaud, Espineira Karine, Thomas Maud-Yeuse. Tableau noir: les transidentités et l’école, Les cahiers de la transidentité, n.4, 2014.

9 - Toulze M, Alessandrin A. Minorités sexuelles et rapport au corps : une recherche quantitative, Revue française de santé publique, 31(2), 2019.

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10 - Meidani A, Alessandrin A. Cancers et transidentités : une nouvelle « population à risques » ?. Sciences sociales et santé, vol. 35(1), 41-63, 2017.

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11 - Hommes ayant des relations Sexuelles avec des Hommes. Ou bien : Femmes ayant des relations Sexuelles avec des Femmes. Dans ces deux formulations, l’identité sexuelle de la personne importe peu. C’est la sexualité au sens du « faire » qui prime.

12 - Alessandrin A, Gallarda T, Bouchard JP. Transidentités et changement de sexe : le point de vue du sociologue, le rôle du psychiatre, Ann Med Psychol 2019 ; 177(8) : 853-860.

13 - Guyard L. Sexualité féminine et consultation gynécologique : la part évincée du plaisir, Nouvelles Questions Féministes 2010 ; 29(3) : 44-57.

14 - Alessandrin A. Sociologie des transidentités, Cavalier Bleu, 2018. Lire aussi : Alessandrin Arnaud, Actualité des trans studies, EAC, 2019.

15 - Le Talec JY, Authier D, Tomolillo S. La promotion de la santé au prisme du genre : guide théorique et pratique, EHESP, 2019.

16 - Formations en ligne. Voir par exemple : https://www.inserm.fr/actualites-et-evenements/actualites/genre-et-sante-attention-cliches

17 - Alessandrin A. Vieillir LGB / Vieilir T, Figures du vieillir, formes de déprise (Meidani A. dir.), ERES 2019 : 327-347.

18 - Dagorn J, Meidani A, Toulze M, Richard G, Alessandrin A. Vieillir LGBT : entretien avec Grey Pride, Santé LGBT 2019, Bord de l’eau : 133-139.

19 - Salle M, Vidal C. Femmes et santé : encore une affaire d’hommes, Belin, 2017.

20 - Moron-Puech B, Petkova M, Le GISS | Alter Corpus. Une association engagée auprès des personnes intersexuées (entretien réalisé par Alessandrin A. et Dagorn J.), Les cahiers de la LCD 2017 ; 5(3) : 131-143.

21 - Guillot V, Intersexes : ne pas avoir le droit de dire ce que l’on ne nous a pas dit que nous étions, Nouvelles Questions Féministes 2008 ; 27(1) : 37-48.

22 – Voir à ce sujet la question écrite n° 10164 de Mme Laurence Cohen (Val-de-Marne - CRCE) publiée dans le JO Sénat du 25/04/2019 - page 2219 :

Références

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