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ARTheque - STEF - ENS Cachan | Quelques réflexions sur les modifications de forme et de contenus subies par les textes présentés sur le système Vidéotex français

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Academic year: 2021

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QUELQUES REFLEXIONS SUR lES MODIFICATIONS DE FORME ET DE CONTENU SUBIES PAR lES TEXTES PRESENTES SUR lE SYSTEME VIDEOTEX FRANCAIS

Jasée de FELICE-KATZ

UER Didactique des Disciplines Université de PARIS 7

José de FELICE-KATZ, Université Paris 7, 2 Place Jussieu Tour 45-46 Paris Sème

(2)

Dans le cadre de l'expérience "Télétel" en cours depuis-quelques mois dans cinq communes à l'ouest de Paris (Versailles, Vélizy, Loges en jasas, Jouy en jasas, Buc), 2500 familles peuvent recevoir à domicile, par l'intermédiaire de leur téléphone, de leur écran de télévision couleur et d'un petit équipement supplémentaiTe (codeur, décodeur) des textes informatifs de même aspect que ceux diffusés à la télévision dans le magazine "Antiope". Les familles équipées peu-vent obtenir ces informations au moment où elles le souhaitent, sous une forme plus ou moins interactive selon les programmes et les ordinateurs par lesquels ces programmes sont gérés et ceci, sur de multiples thèmes_répertoriés dans une brochure mise à leur disposition. Parmi ces thèmes figurent des enseignements: grammaire, langues étrangères, arithmétique etc ••• La consultation coûte actuel-lement Of SO lès S minutes.

Si, après une période expérimentale (prévue sur 18 mois), il est envisagé de généraliser la possibilité d'accéder à ce service pour-l'ensemble des familles françaises, les conséquences sur l'enseignement traditionnel seront sans doute nombreuses et un autre type d'enseignement, passant par ce système, se créera de toute façon à titre public ou privé.

En tant qu'équipe universitaire travaillant Bur l'enseignement de noS dis-ciplines et la transmission des connaissances en Sciences humaines et sociales, il nous a semblé nécessaire et intéressant d'essayer d'analyser certaines des possibilités et des limites de ce nouveau médium pour l'enseignement aux adultes.

Dans un premier temps, nous nous sommes demandé si ce nouvel outil pouvait être un bon support dans le cadre de la formation permanente pour informer et sensibiliser une population adulte sur un thème nouveau. Nous avons donc cherché un moyen de participEr à l'expérience Télétel. l'INRP (Institut National de Recherche Pédagogique) a accepté de nous laisser composer quelques écrans parmi ceux préparés par le Ministère de l'Education de l'époque:

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une vingtaine d'écrans en vidéotex (c'est le nom de ce nouveau système) sur le thème des Plans d'Occupation des Sols (P.O.S.) à partir d'une demande d'information souvent formulée par nos groupes en formation permanente (1).

Ces écrans, simplement informatifs, respectaient les normes d'affichage vidéotex: 1) 24 lignes par écran dont il ne faut utiliser qu'une

dou-zaine pour rester lisible,

2) 40 caractères par lignes dont 37 à 38 utilisa1>lea set:le-ment) à cause des arrondis des écrans de télévision qui

risquent de déformer les bords du texte.

B) Ensuite,nous avons loué un clavier de composition pour faire des essais de mise en page et de couleur;

.El

Enfin, aidé par l' INRP et selon ses règles, nous avons essayé d'organiser les écrans, les uns par rapport aux autres, en formant une arborescence ou organigramme qui permette à l'utilisateur de passer d'un écran à l'autre, suivant son choix, par le biais d'une série de mots clé.

Dans cette dernière phase du travai~ nous avons éprouvé quelques diffi-· cuItés car l'enchainement des écrans selon notre logique et la progression de l'information telle que nous l'avions construite se trouva~nt totalement dé-truit,s. Nous avions l'impression de devoir livrer une information ·en confettis, sans lien entre les éléments, un peu comme quand l'on feuillette un dictionnaire, ce qui répugnait à nos habitudes

d'enseignants~!

Quand la maison spécialisée, chargée d'entrer ces écrans sur l'ordinateur-serveur qui devait les gérer, a eu revu et modifié en partie notre travail, nous avons été convié à une lecture des écrans dans leur forme définitive.

Quelle surprise! Certes, nous étions loin d'être satisfait de ce premier essai mais là, à plusieurs reprisas, nous ne reconnaissions plus notre "enfant": suppression de textes introductifs, d'enchaînements, de commentaires, d'éléments servant à nuancer la pensée, restructuration des phrases par disparition des subordonnées, de la ponctuat ion, d·' articles etc ... De plus, on nous fit savoir que le texte restait trop lourd, illisible par le public et que, tel quel, il ne serait sans doute pas consulté par les familles équipées Télétel.

C'est à partir de cette salutaire expérience que la recherche a vraiment

commencé.

(1) Les P.O.S. déterminent les possibilités de construction (logements, équipements etc •.) sur le terrtoire communal. Les 5 communes du secteur "xpérimental "Télétel" ont un P.O.S. en cours. Les habitants peuvent participer à son élaboration selon certai-nes procédu~esmais ils l'ignorent le plus souvent.

(4)

OBJECTIFS: Nous souhaitions savoir dans un premier temps~

a) Quels types de modifications systématiques subissent les textes infor-matifs simples avant de passer sur vidéotex?

b) Au nom de quels impératifs ou de quelles règles sont faites ces modi-fications (impératifs techniques, financiers, esthétiques, ergonomiques, etc .•• )?

c) Quelles conséquences ont ces modifications (qu'on nous dit être de forme seulement •.• ) sur le contenu des textes, sur leur compréhension et leur mémorisation par les utilisateurs?

d) Le mode actuel de traitement des textes (a)et b» en vue de leur passa-ge sur vidéotex passa-genère -t - il un "style" particulier vidéotex? Si oui, ce style sert-il ou limite-~-il l'usage de ce ~édiumpour l'enseignement aux adul-tes? Un autre "style" est-il envisageable en fonction de nos objectifs?

Ce vaste programme exige entre autre:

1) un travail bibliographique, non encore terminé, dans des domaines variés qui ne nons sont pas tous familiers,

2) des liaisons avec des équipes travaillant par exemple sur la lecture des écrans (CCETT de Rennes, INRIA, DGT Lannion, équipe recherche Télétel, etc •.• )

3) des moyens en temps, compétence, argent et matériel que nous ne pourrons sans doute pas totalement réunir sans aide particulière de l'Université) du Ministère de l'Education Nationale et de la DGT(Direction générale des

Télécommunications). L'équipe actuelle comprend 4 enseignants-chercheurs en sciences humaines et sociales: linguistique, psychologie, histoire, géographie. De plus, nous recherchons un(e) spécialiste de sémiologie intéressé(e) par ce travail; trois personnes traitant les textes pour leur passage sur vidéotex collaborent avec nous à titre privé.

Enfin, 107 familles d'étudiants de Paris 7 sont équipées Télétel dans les 5 communes expérimentales· Elles peuvent nous servir à affiner hypothèses, analy-ses, expériences et conclusions en fonction de leur utIlisation de Télétel et LB MATERIEL ET LES MOYENS FINANCIERS: de leurs réactions.

Le Ministère de l'Education Nationale et la Direction Générale des Télé-communications ont mis à notre dispositio~à l'UER de Didactique des Disciplines de l'Université Paris

7;

des lignes de téléphone directes pour joindre Télétel, 2 récepteurs équipés pour recevoir les programmes, et un clavier de composition vidéotex pour composer des écrans. Une sub-vention de fonctionnement permet de régler les frais de consultation et les frais téléphoniques.

(5)

Nous travaillons actuellement sur les points a) et b) des objectifs énoncés ci dessus: transformations subies par les textes et impératifs ou règles énoncées pour justifier ces transformations.

Les textes étudiés sont de vrais textes ayant été traités pour entrer sur vidéotex par des établissements privés spécialisés dans ce domaine à la deman-de deman-de différents clients.

Pour aller du'plus simple au plus compliqué, nous avons, pour l'instant, retenu l'étude des transformations de

1) la not ice de présentation d'un établ issement d'enseignement présentant des cours d'enseignement assisté par ordinateur.

2) la notice de présentation de la Bibliothèque Nltionale et de ses services.

3) des articles de journaux qu'un quotidien du matin réécrit pour présenter chaque jour des éléments d'information rapide sur vidéotex dans les grands hotels parisiens.

Notre matériel de travail est constitué du texte de départ tapé à la machi-ne remis par le client sur papier ordinaire danS un format 21cmx29 ,7cm ou de

l'~rticle

de journal tel qui a paru, du texte préparé et découpé pour le

vidéo-tex, présenté manuscritement sur grille.écran papier et du texte final tel qu'il apparaît sur un écran de télévision - (Voir exemple annexe).

LES MODIFICATIONS DE TEXTE :

Après étude des différents textes, observation du travail des personnes préparant les textes pour 11 vidéotex)puis int~rviewde ces mêmes personnes sur leur façon de travailler, nous avons actuellement répertorié une série d'opérations successives auxquelles est soumis un texte informatif simple avant d'apparaître sous forme d'écran vidéotex:

a) Lecture du texte de base et entretien avec le client sur les objec-tifs poursuivis.

b) Recherche des mots-clés du texte en relati~avec les objectifs à atteindre (il faut parfois inventer ces mots-clés s'ils ne sont pas explicitement mentionnés dans le texte de base).

c) "dég·raissage" du texte de base par suppression de la plupart des introductions, redites, commentaires explicatifs ou justificatifs et des informations complémentaires telles que sources, références, degré d'incertitude de l'information transmise/etc ...

(6)

d) Restructuration d'un nouveau texte C~fonction: 1. de la hiérarchie des mots-clés,

2. d'une cadence, d'un rytme à donner au texte,

3. du maximum d'autonomie recherche~ pour chaque écran.

C) Fabrication et découpage des écrans en respectant les formes suivantes: 1. phrases courtes,

2. paragraphes de 3 à 4 lignes maximum, 3. pas plus de 3 à-4 paragraphes par écran,

4. pas plus de

2

ou 3 écrans se suivant sur le même mot-clé. f) Organisation des écrans les uns par rapport aux autres avec

fabrica-tion d'écrans supplémentaires regroupant des mots-clés et faisant ainsi fonction de sommaire ou d'aiguillage pour l'utilisateur. g) Recherche, à l'aide du clavier de composition d'écran, de la mise en

page, des couleurs et des illustrations qui personnaliseront le texte et forme. ront l'image èe marque du client (la mise en page peut en-trainer une modification du texte -en plus ou en moins-pour des rai-sons d'esthétique).

Ainsi, des 8400 signes ou espaces composant les 4 pages du texte de base de la bibliothèque (adresses, conditions d'admission, services offerts, des-cription des fonds, ect ..• ) il reste après"dégraissage" 4900 signes ou espa-ces qui néespa-cessitent 16 écrans (à raison de 240 à 390 signes ou espaces par écran ).

1° Texte d'origine:

"Depuis le'cdébut 1980, le plan de sauvegarde mis en place prévoit la restauration et la reproduction massive de documents fragiles et me-nacés. La possibilité de diffusion de ces reproductions permettra un accès plus large aux collections de la Bibliothèque N.... "

T.exte sur l'~cran:

"Depuis 1980 un plan de sauvegarde a été mis en place qui permettra

un accès plus large aux collections"

2° Texte d'origine:

"L'école x ... ne peut vous aider que si elle vous connaît bien,

elle vous demande donc le maximum de reQseignements lui permettant de vous fournir un enseignement personnalisé. Compte tenu des

(7)

vous sera attribué. Vous devez l'indiquer au début de chaque leçon, car chacune de vos réponses étant analysée, les exercices

seront dosés en fonction de votre progressionll

Texte sur l'écran:

fournit un enseignement spécialisé .un numéro de code vous est attribué .chacune de vos réponses est analysée "

Quelques soient les défauts et les insuffisances d'une "réécriture", l'exemple suivant semble en monter la nécessité/au moins dans certains cas Un journal qui pensait, pour gagner, du temps, pouvoir passer directement du texte photocomposé pour son tirage habituel au texte vidéotex.a, pen-dant quelques jours, fait paraître le même texte sur papier et sur écran. Nous avons demandé à un groupe d'étudiants de lire, un~ fois, et de résumer sommairement quelques articles parus dans le jDurnal pendant qu'un autre groupe lisait ces mêmes articles, une fois, sur un écran avant de les ré-sumer à SDn tour. Oublis, erreurs, incompréhension sont 3 à 4 fois plus fréquents dans le cadre de la lecture sur écran que sur le journal. Et ceci après un temps de lecture en général presque 2 fDis plus long sur écran. Ces résultats se sont maintenus après permutation des 2 groupes d'étudiants: ceux lisant le journal passant sur écran et réciproquement.

§~~~El~_~~~~_~E~!~l~(avec même contenu sur écran et sur journal): Il En vingt mois de "cavalent un évadé

de la prison d'Albi dérobe plus de trois millions de francs.

Un ancien légionnaire, qui en vingt mois de "cavale" a dérDbé plus de 3 millions de francs dans une dDuzaine de grandes surfaces et obtenu entre deux hDld-up son brevet de pilote d'hélicoptère, a été appréhendé lundi à Paris, apprend-on mardi de source

(8)

Bruno S ... , 26 ans, s'est êvadê le

23 juin de la Centrale d'Albi

(Tarn et Garonne), où il attendait de

passer en jugement pour un vol à main

armée dans un magasin à grande surface. "

Malgré l'ambiguité créée par l'emploi d'un article indéfini au début du deuxième paragraphe, le groupe lisant l'article sur le journal a

correcte-ment résumé le fait divers individualisé en une colonne. Par contre, le

groupe lisant l'article sur l'écran (un seul écran) a cru qu'il s'agissait de 3 faits divers différents et peu clairs. Ceci après un temps de lecture double de la lecture sur le journal.

Par ailleurs, la direction du jawrnal s'est rapidement rendue compte de son erreur. Elle a adopté une réécriture systématique des articles avant leur passage sur vidéotex. L'information prend actuellement une forme proche de celle des dépêches d'agences moins les sources.

LES IMPERATIFS QUI GUIDENT LES MODIFICATIONS DE TEXTE

Dans le cadre de l'e/xpérience Télétel la consultation des différents programmes est libre. Aucun annonceur n'est en situation de monopole et la consommation des écrans offerts n'est jamais obligatoire. Devant ce choix complet laissé à l'utilisateur le premier impératif est d'être lu.

Les personnes "spécialistes vidéotex", avec qui nous travaillons, n'ont

reçu aucune formation particulière. Licence de philosophie, documentaliste, jcrurnaliste, publicitaire, responsable service information, leurs origines

sont très diverses et elles ont appris le vidéotex "sur le tas". Pourtant,

compte tenu de l'impératif "être lu" et des possibilités offertes par la vidéotex elles semblent toutes avoir modifié les textes afin de:

1

)0 attirer l'attention, éveiller l'intérêt,

2° retenir le lecteur,

3° donnerL, plus grande liberté possible de

consul-ti."+tion

Pour cela, on a assisté, dans un premier temps, à une recherche dans

l'uti-lisation de la couleur (fond, texte), la mise en forme de dessins schématiques et les mises en page sophistiquées. Pour donner le maximum de liberté au lec-teur on a de plus multiplié les sommaires présentant les mots-clé relatifs

au thème traité. Mots-clé, sous-mots-clé, sous-sous-mots-clé •.. on a vu ainsi jusqu'à 7 sommaires successifs sur 7 écrans pour un même thème!

(9)

L'exp~rience aidant, et bien que les r~5ultatsdes enqu~tesmenees aupr~sdes familles ~quip~e5 T~l~tel n'ait pas encore iti diffus~s. les imp~ratifsauxquels ob~issent les modifications de texte ont ~volu~. Il s'agit maintenant

1 - d'~viter la fatigue et l'impatience du lecteur,

2 d'aider à lire et à m~moriser facilement ce qui est lu, - de tenir compte du temps de consultation, donc du temps mis

à lire, afin de ne pas rendre trop coûteuse la consultation (Of50 les 5 minutes pour la communication tél~phonique,plus

le prix de la consultation pour les services non gratuit,il y en a maintenant ').

Finis les dessins compliqués et les fonds colorés, ils sont trop longs à afficher sur l'écran (jusqu'à 1.7 secondes). Finies les couleurs claquantes et les mises en page compliquÉes, elles n'aident pas à une lecture rapide et distraient l'atten-tion de l'essentiel: le texte (1). Finis les ~crans chargés, le texte s'all~ge

de plus en plus. Aux dires des sp~cialistesil faut faire court, pr~cis, direct, s~rieux, utilie. L'humour, le suspens, la po~sie ne passent pas, disent-ils. Les commentaires, les exemples, les r~f~rences, les argumentations, ne passaient déjà pas ... alors que reste-t-il

?

CONCLUSION PARTIELLE

En effet, si les recherches v~rifient ce que pensent les sp~cialistes vid~otex, ce nouveau médium risque d'~tre, pour nous enseignants, d'une utilisation assez restreinte. Il est sans doute trop t6t pour conclure et il faut poursuivre ana-lyses et expérimentations car, par ailleurs, un style simple peut ~tre un bon outil pour la vulgarisation.

De toutes façons, les modifications de formes et de contenus gue semble imposer l'utilisation du vid~otex nous paraissent trop importantes (quant aux cons~quences sur le sens du message transmis) pour ~tre confi~es à des personnes ext~rieures à nos motivations et nos objectifs p~dagogiques.

(1) Il aurait ét~ extr~mement int~ressantpour les recherches en vidÉotex de garder des archives de ces premiers écrans pour analyser plus à fond l'évolution. Malheureusement les corrections d'~cran sont faites par effacement des écrans précédents qui ainsi disparaissent.

Références

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