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% de la variation de la performance entre les pays de l’OCDE sont imputables

Cet article, repéré par le Café pédagogique, analyse la question en la situant dans une perspective globale qui associe les enjeux présents de la politique éducative aux

Environ 15 % de la variation de la performance entre les pays de l’OCDE sont imputables

aux écarts de taux de redoublement ; la relation entre le milieu socioéconomique des élèves et leur performance est également plus marquée dans les pays affichant de forts taux de redoublement, indépendamment du niveau de richesse nationale".

A vrai dire, bien des études françaises ont déjà démontré l'inutilité du redoublement. Mais, évidemment, sa suppression seule ne répond pas non plus aux difficultés des élèves.

Etude OCDE

http://www.oecd.org/dataoecd/34/42/48391795.pdf A qui profite le redoublement ?

http://www.cafepedagogique.net/lemensuel/leleve/Pages/2008/94_Aquiprofiteleredoublement.aspx Extrait de du site du café pédagogique, novembre 2011

Décrochage : Un problème français ?

La France est-elle capable de faire face au décrochage scolaire ? Si le décrochage est un sujet brûlant d'actualité et un des principaux problèmes pour tous les systèmes éducatifs des pays avancés, la France se distingue par ses réticences à le prendre en charge. C'est un des enseignements de l'ouvrage de Pierre-Yves Bernard qui fait la synthèse des recherches sur ce phénomène à la fois social et scolaire.

Car on ne peut pas réduire le décrochage à sa dimension sociale. L'Ecole a aussi sa part dans le décrochage. D'abord parce qu'elle véhicule l'ennui au point que le nombre de décrocheurs passifs (présents mais ailleurs) doit

dépasser de beaucoup le nombre officiel. Elle creuse aussi les difficultés cognitives en encourageant un enseignement transmissif de savoirs toujours plus encyclopédiques. Elle laisse aussi s'installer les "malentendus" mis en évidence par S Bonnery qui entrainent un décochage cognitif précoce. Enfin l'offre éducative elle-même crée le décrochage. C'est le cas par exemple quand on diminue les possibilités de scolarisation précoce.

C'est particulièrement marqué en France où le décrochage a été longtemps nié. En Amérique du Nord, nous explique PY Bernard, l'école a été vue très tôt comme une "common school", ouverte à tous, l'éducation étant un élément renforçant la

nation et le décrochage un facteur de trouble dans la société et de dépenses à venir supplémentaires.

En France l'école est restée sélective et très tôt la question du décrochage est passé de l'éducation nationale ver s le ministère de l'emploi ou du travail... Il faut attendre 1999 pour que l'éducation nationale s'y intéresse officiellement ou encore les efforts de Martin Hirsch en 2006 mais là planait l'ombre des émeutes de 2005... Pour PY Bernard, "le décrochage n'est pas un problème vraiment important" dans le modèle éducatif français.

Un problème pour le présent et l'avenir. Les politiques sont-elles adaptées ? Luc Chatel a annoncé lors de cette rentrée qu'il mettait en place un système informatique de repérage des décrocheurs. Mais parallèlement le gouvernement fait des choix qui sont contestables au regard d'une politique de lutte contre le décrochage. Ainsi la remise en question d ela scolarisation à deux ans, l'incapacité à faire évoluer l'Ecole vers le modèle de la comprehensive school. Pire le gouvernement promeut des filières spécifiques de scolarisation qui très souvent mène à la déqualification. Ainsi cette rentrée est marquée par la mise en place de 4ème et de 3èmes spécifiques, en alternance, qui s'ajoutent au DIMA, un dispositif d'apprentissage précoce. Historiquement isolée dans l'approche du décrochage, comme le montre PY Bernard, la France semble

continuer sur une voie spécifique. Jusqu'à quand ?

Pierre-Yves Bernard, Le décrochage scolaire, Que sais-je n°3928, PUF Paris 2011. 180 000 perdus de vue

http://www.cafepedagogique.net/lesdossiers/Pages/2011/sdp2011_6.aspx C Blaya, décrochages scolaires

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2010/12/DecrochageCBlaya.aspx Extrait de du site du café pédagogique, novembre 2011 Pourquoi apprendre ?

Comment devient-on un élève modèle ? Qu'est ce qui motive ? D'où provient le plaisir d'un professeur

de lycée sensible ? Autour de ces questions, soulevées par un numéro spécial d'octobre de Sciences humaines, flotte le mot motivation.

Le magazine donne à entendre des exemples : thésard acharné, professeur courageux. Il faut surtout le point des recherche sur la motivation chez les jeunes.

Pourquoi apprendre, Sciences Humaines, octobre 2011 Se motiver à apprendre

http://www.cafepedagogique.net/lemensuel/larecherche/Pages/81_Semotiver.aspx Extrait de du site du café pédagogique, novembre 2011 Le cerveau mis à nu sur Thot

Comment étudier efficacement ? Comment la lecture influence le cerveau ? Thot Cursus publie tout un dossier sur le cerveau tel que les sciences cognitives l'ont révélé. Un document à découvrir pour réfléchir...

Le dossier

http://cursus.edu/dossiers-articles/dossiers/29/cerveau-memoire-apprentissage/

Notre cerveau est conçu pour l'action

http://www.cafepedagogique.net/lemensuel/laclasse/Pages/2008/93_EntretienIdrissAberkane.aspx Le cerveau apprend en inhibant

http://www.cafepedagogique.net/lesdossiers/Pages/2009/107Lecerveauapprendeninhibant.aspx Extrait de du site du café pédagogique, novembre 2011

10 commandements pour booster la mémoire

Elle lâche, elle flanche, elle n'est qu'un trou béant... Votre mémoire n'est pas toujours à la hauteur de vos attentes ? Voici quelques pistes pour chouchouter vos neurones et leur permettre de carburer à plein régime.

http://www.linternaute.com/sante/nerf-cerveau/booster-la-memoire/

Extrait de du site du café pédagogique, novembre 2011

Le statut des enseignants menacé : Un rapport du CAS sur "l'effet enseignant" remet en question le statut des enseignants

Le Centre d'analyse stratégique vient de publier une étude sur "l'effet enseignant". Elle recommande d'explorer tous les moyens d'encourager les enseignants à améliorer leur "performance" : embauche à l'essai, salaire au mérite, coaching...

“Toutes choses égales par ailleurs”, 10 % à 15 % des écarts de résultats constatés en fin

d’année entre élèves s’expliquent par l’enseignant auquel l’enfant a été confié", écrit le CAS.

"Ces études livrent d’autres résultats

intéressants : l’ampleur de l’“effet enseignant” est supérieure à celle de l’“effet

établissement” : le professeur a davantage de poids sur la progression des élèves au cours d’une année donnée que l’établissement dans lequel ces derniers sont scolarisés. La portée d’une augmentation de l’efficacité pédagogique d’un enseignant est aussi potentiellement supérieure à celle d’une diminution de la taille des classes".

Dans cette situation il devient indispensable d'augmenter l'efficacité du travail enseignant. Et pour cela de détecter les "bons enseignants" pour les encourager et les mauvais pour les virer. L'étude préconise trois politiques. La première c'est de ne plus recruter les enseignants comme des fonctionnaires

ordinaires. " Les auteurs proposent en revanche, pour tous les enseignants, de durcir les conditions de la titularisation (tenure), attribuée aujourd’hui quasi systématiquement après deux ou trois ans

d’expérience en tant qu’enseignant certifié. Le quart des enseignants certifiés ayant démontré la moins grande valeur ajoutée durant leurs deux premières années d’enseignement se la verrait refuser". Les auteurs estiment que cette mesure entrainerait "une amélioration des résultats moyens des élèves de 14%". Une seconde mesure serait le salaire au mérite mais l'efficacité ne leur semble pas attestée.

Enfin ils préconisent des évaluations et un coaching pour évaluer les enseignants. "A partir du moment où on leur pose les bonnes questions, les élèves, même au primaire, sont capables de reconnaître les enseignants qui les font progresser", estiment les auteurs. "Certains éléments de pratique évalués par

les élèves apparaissent plus corrélés que d’autres aux résultats de l’enseignant en termes de valeur ajoutée. Sont particulièrement déterminants la capacité à “tenir” sa classe et le fait d’avoir un niveau élevé d’exigence".

Attention au tsunami américain. Pour arriver à ces remarquables conclusions, les auteurs se sont basés essentiellement sur des recherches américaines qui sont mises en ce moment au goût du jour outre-Atlantique. Depuis la crise et la

réduction des budgets éducatifs, des politiques ont été mises en place au niveau fédéral et dans de nombreux états pour éliminer les mauvais enseignants et encourager "la productivité" des autres. Ces politiques s'appuient sur les

évaluations qui permettent de calculer l'efficacité du système éducatif. C'est cette expérience que reprennent nos auteurs.

Un raisonnement faussé. La question est évidemment dans la mesure de l'efficacité du travail

enseignant. Des études françaises ont bien mis en évidence des "effets professeurs". Ainsi P Bressoux avait fait le lien entre niveau des élèves et la formation professionnelle mais aussi culturelle des enseignants. O Maulini avait montré l'intérêt d'une ouverture au questionnement des enseignants. G Bousquet a fait le lien entre les représentations des enseignants et les résultats scolaires. Mais aucun de ces travaux n'affirme pouvoir mesurer de façon comptable l'efficacité des enseignants.

L'étude du CAS s'inscrit dans une approche quantitative de l'efficacité des enseignants qui contribue à remettre en question leur statut et leur rémunération. Les dégâts causés par l'évaluationnite sont pourtant très perceptibles outre-Atlantique. Elle est accusée de ne faire travailler que les tests aux élèves. Des cas de fraudes massives organisée par les établissements

viennent aussi d'être mis en évidence.

L'étude

http://www.strategie.gouv.fr/content/que-disent-les-recherches-sur-leffet-enseignant-note-danalyse-232-juillet-2011

Etude : Comment les établissements construisent les aspirations vers les études supérieures

Les établissements ont un effet déterminant sur les aspirations aux études supérieures des lycéens, montre une étude de Hugues Draelats et Julien Artoisenet publiée par le GIRSEF. "La recherche

présentée montre que cet effet ne tient pas seulement à la structure de l’offre d’études proposées par l’établissement ou aux caractéristiques du public qu’il scolarise mais qu’il s’explique également par l’information que l’établissement dispense en la matière à ses élèves."

Ce que met en avant l'étude, c'est la "dimension du vouloir" de ces établissements, l'identité qu'ils se créent. " Il existe dans les établissements différentes façons d’informer les élèves à propos des choix possibles qui s’offrent à eux à la sortie des études secondaires. Ces différences traduisent des

conceptions distinctes du rôle de l’établissement en matière d’accès à l’enseignement supérieur et divers degrés de conscientisation de l’établissement en matière de construction des aspirations d’études supérieures". Au final, " les élèves qui fréquentent un établissement mobilisé autour de la transition secondaire-supérieur doublent leurs chances d’aspirer à suivre des études universitaires par rapport à ceux qui fréquentent un

établissement peu préoccupé par cette question".

L'étude

http://www.uclouvain.be/cps/ucl/doc/girsef/documents/cahier_84_draelants_artoisenet_final(1).pdf Extrait de du site du café pédagogique, novembre 2011

Bruno Suchaut : Evaluations : Distinguons les niveaux

Directeur de l'IREDU, un des principaux laboratoires universitaires d'évaluation des systèmes éducatifs, Bruno Suchaut revient sur le rapport du Haut Conseil de l 'Education sur les indicateurs du niveau des élèves. Il appelle à distinguer les niveaux et les outils d'analyse tout en reconnaissant qu'il est "sans doute souhaitable qu’un organisme externe et indépendant" s'occupe des évaluations nationales...

Le dernier rapport du HCE s’intéresse à une question importante, largement débattue depuis que l’évaluation s’est progressivement développée au sein de notre système éducatif. Les conclusions du

rapport ne devraient pas provoquer

de réactions négatives de la part des acteurs du système, il y a en effet un certain consensus pour considérer que les indicateurs actuels sont imparfaits. Ces conclusions laissent néanmoins presque sous silence des questions essentielles sur les modalités et les finalités de l’évaluation des acquis des élèves. Il y a deux points complémentaires qui méritent d’être interrogés pour clarifier les enjeux du débat. En premier lieu, il faut rappeler que l’on peut classiquement associer à l’acte d’évaluation, trois intentions distinctes : mesurer, apprécier et interpréter. En second lieu, il convient également de distinguer les niveaux de l’évaluation : l’évaluation du système, le pilotage local, l’évaluation des élèves dans les écoles. Si les trois intentions précédentes doivent être mobilisées à ces différents niveaux, la nature des indicateurs et leur méthodologie doivent être différentes selon ces mêmes niveaux. Lisez la suite de l'article de B Suchaut

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2011/09/19SuchautEval.aspx (…)

Blanquer : "Les évaluations sont extrêmement fiables"

Luc Chatel n'avait pas répliqué à l'OCDE. Jean-Michel Blanquer, directeur de l'enseignement scolaire, réplique au HCE sur France Info. Il défend les indicateurs mis en place par sa direction et la qualité des évaluations. C'est PISA qui est en retard... "Les évaluations de CE1 et CM2 sont extrêmement fiables", a affirmé JM Blanquer au micro d'Emmanuel Davidenkoff sur France Info le 19 septembre. "On a pour la première fois à tous les niveaux une idée claire des compétences précise de chaque élève. On peut à toutes les échelles mesurer les progrès ou les régressions qui existent en France.. Il ne faut pas fragiliser ce qu' on a commencé et qui est solide", a-t-il ajouté. "Il y a aujourd'hui un pilotage pédagogique grace à cela. On enregistre les premiers résultats positifs. Pisa parle au passé" (….) Sur France info

http://www.france-info.com/chroniques-question-d-education-2011-09-19-que-sait-on-vraiment-du-niveau-des-eleves-562999-81-558.html

Extrait de du site du café pédagogique, novembre 2011 Cerveau : Les secrets de l'apprentissage

Comment font-ils pour apprendre ? se demande l'Inserm qui consacre un gros dossier téléchargeable aux découvertes des neurosciences. La revue s'intéresse à la mémorisation, un domaine où les neurosciences ont incontestablement fait avancer la connaissance et, dans une certaine mesure, les pratiques des enseignants. Le reste du dossier posera davantage de

questions. Ainsi sur la focalisation sur les méthodes d'apprentissage de la lecture laissent dans l'ombre le principal critère de l'illettrisme qui est social. La revue est remarquablement bien mise en forme et vulgarise de façon efficace les travaux des chercheurs. On ne peut que la conseiller.

Revue de l'Inserm

http://www.inserm.fr/mediatheque/infr-grand-public/fichiers/actualites/ss4_sept_oct_2011 Le jeu et les neurosciences

http://www.cafepedagogique.net/lemensuel/laclasse/Pages/93_DossierEnseigneraveclejeu.aspx Quelle efficacité en éducation ?

Qu'est ce qu'un enseignement efficace ? L'IFE publie, sous la plume d'Annie Feyfant, un intéressant Dossier d'actualité sur "les effets des pratiques pédagogiques sur les apprentissages". Le dossier pose la question de l'efficacité en éducation, celle de sa mesure et revient sur les effets établissement, maître et les effets liés aux contenus éducatifs. Il s'intéresse particulièrement aux apprentissages de base comme la lecture. La conclusion est particulièrement intéressante. " Il est impossible de donner une répondre tranchée à notre problématique de départ, à savoir : « certaines pratiques pédagogiques sont-elles plus efficaces que d’autres dans la maîtrise par les élèves des compétences de base ? » et surtout il n’est pas simple de réaliser un manuel des bonnes pratiques, applicables en tous lieux et en toutes circonstances", écrit A Feyfant. " Pour conclure cette ébauche sur l’efficacité des pratiques pédagogiques, citons M. Verhoeven : « l’efficacité est-elle une finalité légitime en éducation?» et plus précisément « la question […] est de savoir si l’intérêt renouvelé pour l’efficacité mène à davantage de justice et d’équité dans les groupes sociaux ».

L'étude

http://www.inrp.fr/vst/DA/detailsDossier.php?dossier=65&lang=fr Chatel oriente les travaux de l'Inspection générale pour 2011-2012

Le ministre demande à l'inspection générale (IG) d'apporter des réponses aux difficultés apparues dans el système éducatif. Dans une lettre du 27 septembre, Luc Chatel définit les travaux attenus de l'IG pour cette année. Ils définissent ls contours des réformes ministérielles et de ses difficultés. L'IG travaillera sur la personnalisation de l'enseignement, l'audit interne, la lutte contre le

décrochage, tous thèmes de la communication ministérielle. L'IG aura aussi à suivre les réformes, ou plutôt certaines de leurs difficultés : livret personnel de compétences au collège, Eclair, plans sciences et numérique par exemple.

Deux axes méritent d'être soulignés. L'IG travaillera sur les "composantes de l'activité professionnelle des enseignants outre l'enseignement" c'est à dire la redéfinition du métier qui est un des enjeux actuels d'une refonte du statut. Elle aura aussi à se pencher sur les relations entre universités et recteurs : on sait que l'autonomie universitaire pose problème par exemple

pour controler la formation des enseignants...

La lettre

http://www.education.gouv.fr/pid25535/bulletin_officiel.html?cid_bo=57823

Extrait de du site du café pédagogique, novembre 2011

Dossier : Formation des enseignants : Un nouveau rapport veut en finir avec la masterisation, par Jean-Louis Auduc

"Cette réforme porte en elle des écueils qui ne pourront être levés par de simples ajustements". En avril dernier, Jean-Michel Jolion, président du comité de suivi Master, avait livré un "rapport d'étape", déjà critique, qù il décrivait la situation de souffrance des candidats aux concours d'enseignement. (…) Jean-Michel Jolion relève que la masterisation a "fragilisé" la formation de certaines catégories

d'enseignants comme les PLP (…) Dès le départ, le rapport reconnait , ce que tous les observateurs avaient bien noté, que la « réforme » de la formation des maîtres n’avait pas un but d’amélioration du système existant, mais qu’elle « a principalement été amorcée pour des raisons budgétaires » sans aucune concertation avec

les acteurs concernés. Ce rapport souligne également que cette réforme de démantèlement de la formation des maîtres ne pourra pas faire simplement l’objet de quelques aménagements, car « cette réforme porte en elle des écueils qui ne pourront être levés par de simples ajustements. »

(…) « Pour les filières conduisant aux concours des professorats des lycées professionnels (CAPLP) et de l'enseignement

technique (CAPET), l'application de la mastérisation est un élément de très forte fragilisation notamment car elle écarte tout un vivier de candidats issus du milieu professionnel… »

(…) ce rapport prône une modification des contenus des concours pour qu’ils soient plus en phase avec le métier pour lequel ils recrutent :

Le rapport Jolion se conclut par dix recommandations qui visent à être les constituantes d’un modèle « alternatif » à la situation actuelle :

« Enseigner est-il un métier ou des métiers ? » Très clairement, le rapport se prononce pour une pluralité des tiers, donc des

différenciations des cahiers des charges, notamment pour tenir compte des formations professionnelles et technologiques. Si, effectivement, le souhait est que ces formations restent dans le système éducatif et ne partent pas toutes vers l’apprentissage, il est indispensable d’avoir une politique spécifique de recrutement et de formation de ces personnels, souvent les sacrifiés du « modèle unique (…)

considérer que la formation commence seulement et doit se poursuivre

tout au long de la carrière,Diversifier les voies d'accès au métier d'enseignant pour les filières PLP et PET :

La spécificité de ces filières implique que l'on fasse plus appel à des dispositifs de la formation continue et de la VAE pour diversifier le vivier des recrutements. »

Jean-Louis Auduc

Le petit livre de Rémi Boyer est un véritable guide pratique qui accompagne

l'enseignant dans la construction de son projet (…) Il vous permet d'abord de faire votre bilan de compétences (…) Rémi Boyer, Enseignants et mobilité professionnelle. Conseils et outils pour choisir le votre. Les savoirs inédits, 86120 Ternay, 2011.

Extrait de la lettre de l’ESEN, n°152 – septembre 2011 L'autonomie des établissements

30 août 2011 Café pédagogique

Interview dans laquelle Jean-Paul Delahaye et Gérard Mamou analysent les pratiques nécessaires à l'autonomie des EPLE.

Consulter l'interview

Extrait d’info Eduscol, mai 2011 Le diplôme, un atout gagnant pour les jeunes face à la crise

A la suite de son enquête menée en 2010 sur la génération 2007 (interrogation de 739 000 jeunes ayant quitté pour la première fois le système éducatif en 2006-2007), le CEREQ revient sur les principaux enseignements de cette étude.

Il apparaît que le diplôme demeure un atout important pour l’accès à l’emploi et la sécurisation des parcours professionnels, et ce particulièrement en période de crise.

Bref n° 283 du CEREQ (mars 2011)

Extrait de la veille pédagogique, avril 2011

Pour lui, "tout exprime la nécessité de changements profonds dans la transmission de

Pour lui, "tout exprime la nécessité de changements profonds dans la transmission de