Cette dernière thématique d’observation systématique des conditions de logement des ménages féminins est une esquisse, qui invite à approfondir autrement les analyses. En effet, au travers des utilisations différenciées de l’eau, nous touchons au vécu différencié du logement, que ce soit en articulation avec les conditions diverses mentionnées supra, mais aussi en termes de préférences d’utilisation et de manière de vivre dans le logement. Avant d’aborder cette articulation complexe sous forme d’esquisse, soulignons que, pour la facture d’eau, majoritairement les ménages ne sont pas en défaut, mais les ménages féminins et plus particulièrement les femmes isolées sont plus concernées. En effet, tandis que 88,3% de l’ensemble des ménages n’ont pas fait défaut, cela est le cas de 85,1% des ménages féminins (contre 89,7% des ménages masculins) ; et 24,3% des femmes isolées sont concernées par un défaut de paiement quant à leur facture d’eau (cf. Tableau 29). L’Enquête sur les Familles Nombreuses en Wallonie (2017) permet de souligner que ces familles dirigées par une femme se sont trouvées dans la situation de ne pas payer à temps leur facture d’eau pour des raisons financières pour 29,6% d’entre elles. Pour les familles monoparentales nombreuses dirigée par une femme, 34,6% n’ont pas pu payer à temps la facture d’eau pour des raisons financières.
L’analyse des types d’eau et de leurs usages sous l’angle du sexe du chef de ménage permet à la fois de souligner des similitudes, mais aussi des différences. Ainsi, l’usage de l’eau de distribution publique est globalement similaire pour la boisson, la préparation des repas, la vaisselle, l’hygiène corporelle, l’entretien du linge, et le nettoyage extérieur (cf. Tableau 30). En revanche, pour un usage professionnel à domicile, les ménages masculins sont plus concernés par un usage de l’eau de distribution publique que les ménages féminins (6,8% contre 4,9%) ; mais ces observations demanderaient à être contrastées par la prévalence du travail à domicile. Pour l’arrosage, l’observation d’un recours moins important de l’eau de distribution publique par les femmes isolées (24,1%) que l’ensemble des ménages (31,9%), ou qu’ils soient féminins (30%) ou masculins (33,6%) demanderait à être contrastée avec le type de logement – nous avons constaté supra qu’elles logent plus dans des appartements que les autres types de ménages – et les activités en matière de jardinage. Les différences quant à l’utilisation de l’eau de distribution pour les WC nécessiteraient aussi d’être croisées avec le type de logement, les maisons pouvant être équipées d’une citerne d’eau de pluie par exemple.
Les enjeux en matière d’usages de l’eau touchent autant les conditions de logement observées par ailleurs, que des préférences en termes de mode de vie. C’est le cas par exemple du fait d’utiliser de l’eau en bouteille pour préparer une boisson chaude (l’eau de pluie et d’un puits n’étant pas une alternative a priori) plutôt que d’utiliser de l’eau de distribution. Ainsi, si dans leur ensemble les ménages wallons sont 4,3% à recourir à de l’eau en bouteille pour préparer une boisson chaude, cela est plutôt le fait de ménages masculins (5%) que des ménages féminins (2,9%). Les femmes isolées sont celles qui utilisent le moins l’eau en bouteille pour la boisson (50,1% contre 54,2% pour l’ensemble des ménages wallons). L’utilisation de l’eau en bouteille pour la préparation des repas est marginale et inexistante pour les autres usages proposés dans le questionnaire.
Recourir à l’eau de pluie (via citerne ou bidon) pour l’hygiène corporelle concerne de manière égale les ménages féminins comme masculins (4,8%). En revanche, pour d’autres usages, les ménages masculins sont proportionnellement plus consommateurs, rappelant
à nouveau leur habitant plus fréquent dans une maison que les ménages féminins ; mais la ligne de démarcation entre ce qui relève d’un type d’habitat différencié et de préférences différences demande des analyses plus approfondies. Par exemple, comment interpréter les chiffres en matière de lavage de voiture ? Autant boire et se laver sont des usages partagés et massifs, autant d’autres usages dépendent de la possession d’un équipement (ici, une voiture) ou autre.
Tableau 30 : Types d’eau et usages sous l’angle des ménages féminins
ECR 2015 Boiss on (sauf café/t hé) Prépara tion du café/thé Prépara tion des repas vaiss elle Hygièn e corpor elle Lava ge du linge Entreti en du logem ent W C Arros age du jardin Lava ge de la voitu re Nettoy age extérie ur Alimentati on des piscines/ét angs Usage professio nnel à domicile
Eau de distribution publique
Ména ges wallon s 53,9 92,7 97 96,3 94,7 85,5 87,5 84 31,9 34,2 44,7 6,9 6,7 Dirigé s par une femm es 54,2 95,9 97,8 97,2 96,1 88,4 89 88,5 30 31,6 42,2 4,1 4,9 Dirigé s par un homm e 54,8 92,4 98,2 97,3 95,4 85,9 88,2 83 33,6 35,9 46,2 7,9 6,8 Femm es isolée s 57 94,7 96,8 96 96,2 87,8 86,9 90,8 24,1 28,4 35,7 0,7 4,8 Eau en bouteille Ména ges wallon s 54,2 4,3 1,3 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 Dirigé s par une femm es 53,5 2,9 0,4 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 Dirigé s par un homm e 55,5 5 1,5 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 Femm es isolée s 50,1 2,5 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
ECR 2015 Boiss on (sauf café/t hé) Prépara tion du café/thé Prépara tion des repas vaiss elle Hygièn e corpor elle Lava ge du linge Entreti en du logem ent W C Arros age du jardin Lava ge de la voitu re Nettoy age extérie ur Alimentati on des piscines/ét angs Usage professio nnel à domicile
Eau de pluie (via citerne ou bidon)
Ména ges wallon s 0,3 0,4 0,6 2,8 4,8 11,3 13,2 15,1 37,4 23,4 28,8 4,4 1 Dirigé s par une femm es 0,2 0,3 0,8 3,2 4,8 9 12,2 11,5 34,6 19,9 29 4,1 0,6 Dirigé s par un homm e 0,3 0,4 0,4 2,8 4,8 12,5 13,9 17 40 25,7 29,6 4,8 1,1 Femm es isolée s 0,3 0,8 1,9 4,2 4,8 8 15,5 9,9 30,5 18,2 29,6 4,6 0,7
Eau d’un puits
Ména ges wallon s 0,1 0,1 0,2 0,4 0,9 1,4 1,6 2,1 4,1 2,8 3,3 0,7 0,5 Dirigé s par une femm es 0 0,1 0,1 0,1 0,3 0,6 1,3 0,6 2,2 1,6 2 0,3 0,2 Dirigé s par un homm e 0,1 0,1 0,3 0,6 1,1 1,7 1,7 2,6 4,7 3,2 3,6 0,6 0,7 Femm es isolée s 0 0,3 0,3 0,3 0,3 0,3 1,8 0,3 3,3 2,3 3,3 0 0,4 Eau autre Ména ges wallon s 0,8 0,3 0,1 0,2 0,1 0,2 0,2 0,2 0,9 0 1,3 0,5 0,3 Dirigé s par une femm es 1 0,1 0,2 0 0,1 0,2 0,3 0,3 1,3 0 1,2 0,7 0,6 Dirigé s par un homm e 0,8 0,4 0,1 0,2 0,1 0,2 0,3 0,2 0,6 0 1,3 0,3 0,2 Femm es isolée s 0,8 0,3 0 0 0 0 0 0,5 0,5 0 0,6 0 0
ECR 2015 Boiss on (sauf café/t hé) Prépara tion du café/thé Prépara tion des repas vaiss elle Hygièn e corpor elle Lava ge du linge Entreti en du logem ent W C Arros age du jardin Lava ge de la voitu re Nettoy age extérie ur Alimentati on des piscines/ét angs Usage professio nnel à domicile
pas d’utilisation d’eau pour cet usage
Ména ges wallon s 7,3 2,5 0,7 0,1 0 2,2 0,2 0,6 28,5 35 23,8 87,2 90,7 Dirigé s par une femm es 7,7 1,3 1 0 0 2,5 0 0,9 34,6 43 28,2 90,7 93,8 Dirigé s par un homm e 7,3 3,1 0,6 0,1 0 1,5 0,2 0,3 25,8 31,9 22,2 87,5 91,4 Femm es isolée s 8,9 2,8 1,6 0 0 4,7 0 0,6 42,4 46,5 31,8 93,9 94,1 Source : ECR 2015
Lecture : tous les chiffres sont des pourcentages au sein des modalités de période de construction, sauf les lignes grisées qui rappellent la répartition des ménages dirigés par des femmes et des hommes au sein des ménages pour chacune des modalités de période de construction.
Les chiffres en gris italiques indiquent que les effectifs sont inférieurs à 30 observations.
Pour l’utilisation de l’eau de pluie ou d’une autre eau, notons qu’il existe tout de même des ménages concernés pour la boisson et la préparation des repas, même si cela est marginal. Globalement, plus l’usage est plus éloigné corporellement (ni de l’ingestion, ni un contact corporel), plus le type d’eau relève d’une autre source (puits, pluie, autre) que d’une source institutionnalisée comme l’eau de distribution.
Autant de ménages féminins que masculins n’utilisent pas d’eau pour la boisson (7,3% pour l’ensemble des ménages, selon l’enquête). Les ménages féminins ont moins tendance à procéder à un arrosage que les ménages masculins (34,6% n’utilisent pas d’eau pour arroser le jardin contre 25,8% des ménages masculins), mais encore une fois peut-être n’ont-ils pas ou moins de jardin.
La confiance dans l’eau de distribution ne présente pas de différence genrée (cf. Tableau 31).
Tableau 31 : La confiance dans l’eau de distribution sous l’angle des ménages féminins
ECR 2015
confiant confiant plutôt ni confiant, ni méfiant méfiant plutôt méfiant d’avis pas Ménages wallons* 46,8 27,6 12,2 5,1 3,2 4,2 Dirigés par une femmes 47,9 28,7 10,8 5,3 2,6 4,6 Dirigés par un homme 47,7 27,7 12,5 5,2 3 3,9 Femmes isolées 48,6 27,5 10 6,8 2,5 4,5 Source : ECR 2015
Lecture : tous les chiffres sont des pourcentages au sein des modalités de période de construction, sauf les lignes grisées qui rappellent la répartition des ménages dirigés par des femmes et des hommes au sein des ménages pour chacune des modalités de période de construction.
Les chiffres en gris italiques indiquent que les effectifs sont inférieurs à 30 observations. * : 0,9% d’observations manquantes.
Conclusion
Etudier les conditions de logement des ménages féminins en Wallonie de manière systématique permet de mettre en exergue plusieurs différences structurelles en termes tant de conditions de logement, que de salubrité, et des conditions énergétiques du logement auxquelles ces ménages sont exposés. Dans très peu de cas il est possible de souligner des similarités : ce sont surtout des différences qui sont exposées, majoritairement dans le sens de moins bonnes conditions de logement des ménages féminins. Ces résultats présentent un contraste important quant à l’approche à l’échelle de l’ensemble de la population pour décrire les conditions de logement des hommes et des femmes de manière statistique.
Parmi les points qu’il reste à étudier, soulignons la question des couples, que ce soit sous l’angle du sexe du chef de ménage tout comme dans le vécu différencié des mêmes conditions de logement. Cela pose aussi la question de la pertinence des données existantes pour procéder avec des méthodes quantitatives ; il semble que recourir à une analyse qualitative permettrait d’aborder avec plus de finesse la question du vécu différencié de conditions de logement étant objectivement similaires.
Il serait également intéressant d’approfondir l’analyse des profils sociodémographiques des ménages féminins en articulation avec les conditions de logement – au travers, par exemple, d’un raisonnement intersectionnel mobilisant l’âge pour appréhender un type d’hétérogénéité au sein des femmes isolées –, mais aussi de mener la même étude sur les ménages masculins pour identifier l’hétérogénéité (ou non) au sein de ces ménages. Enfin, l’esquisse sur les utilisations de l’eau suggère de recourir à des analyses multivariées pour approcher leur complexité.
Bibliographie
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Annexes
Encadré 1 : Description des Enquêtes sur la Qualité de l’Habitat (extrait de Cassilde, 2014 : 6)
Les Enquêtes sur la Qualité de l’Habitat en Wallonie 2006-2007 et 2012-2013 (respectivement EQH 2006-2007 et EQH 2012-2013) ont été commanditées par le Service Public de la Wallonie (Direction Générale Opérationnelle 4 – Aménagement du Territoire, Logement, Energie et Patrimoine).
Ces deux enquêtes ont respectivement été conduites sur le terrain par la société SONECOM-sprl entre mai 2006 et avril 2007, et par la société TNS DiMarso entre novembre 2012 et juillet 2013. Les deux enquêtes furent réalisées au moyen de questionnaires en face-à-face auprès d’un échantillon représentatif des ménages wallons habitant dans un logement particulier. Les ménages sans logement ainsi que les ménages en institution collective ne sont donc pas approchés. L’échantillon final de l’EQH 2006- 2007 se compose de 6020 ménages privés ; l’échantillon final de l’EQH 2012-2013 se compose de 6018 ménages privés. Une variable de pondération est utilisée de manière systématique.
Encadré 2 : Description de l’Enquête sur les Familles Nombreuses en Wallonie, réalisée par le Centre d’Etudes en Habitat Durable et commanditées par le Fonds du Logement des familles nombreuses de Wallonie (extrait de Godart et al., 2017 : 10-12)
Les données nécessaires aux analyses ont été récoltées à l’aide d’une enquête par questionnaire auprès d’un échantillon représentatif de familles nombreuses wallonnes. […]
Pour rappel, l’objectif de l’enquête est d’actualiser les connaissances sur les familles nombreuses en Wallonie et de mettre en lumière leurs besoins en matière de logement. Pour ce faire, l’enquête porte d’une part sur la composition et le profil des familles nombreuses et d’autre part sur leur logement au sens large.
Le questionnaire comporte en tout 37 questions dont certaines sont conditionnées par les réponses précédentes (par exemple, des questions ne s’appliquent qu’aux locataires ou aux personnes ayant déménagé). Il est structuré en neuf parties. La première s’attèle à la description des membres du ménage en posant des questions spécifiques en fonction de quatre « catégories » de personnes : les adultes, les enfants « permanents », les enfants « intermittents » et les enfants « hors logement ». Une personne est considérée comme adulte lorsqu’elle a plus de 18 ans et qu’elle n’a plus droit aux allocations familiales. Un enfant doit avoir moins de 25 ans et avoir droit aux allocations familiales. Il est considéré comme « permanent » à partir du moment où il ne vit pas régulièrement plus d'une nuit et
d’une journée par semaine hors du logement du répondant. A contrario, il est considéré comme « intermittent » lorsqu’il vit régulièrement plus d'une nuit et d’une journée par semaine hors du logement du répondant (par exemple en garde alternée). Pour finir, un enfant est considéré comme vivant « hors logement » s’il n’habite pas dans le même logement que le répondant.
La deuxième partie du questionnaire concerne les caractéristiques de base du logement (statut d’occupation, type de logement, superficie, période de construction, nombre de chambres et de sanitaires). Les trois parties suivantes posent des questions connexes sur le logement : son coût, son état et ses caractéristiques énergétiques. La sixième partie concerne les diverses sources de revenus du ménage et la septième les déménagements passés et futurs de la famille. La huitième partie concerne les modes de déplacement et la dernière partie interroge sur les interactions entre le ménage et le FLW.
[…]
L’échantillon final compte 2.407 observations. L’échantillon souhaité de 2.000 réponses est largement dépassé. Le taux de réponse de 8,6 %, est meilleur qu’attendu et meilleur que dans de nombreuses autres enquêtes à l’échelle wallonne.
Pour rappel, les grandes enquêtes officielles retiennent traditionnellement un échantillon de 2.000 unités pour tous les ménages confondus en Wallonie. Ici, ce nombre est atteint pour la partie des seules familles nombreuses. Par conséquent, un peu plus de 2 % de la population étudiée (c’est à dire les familles nombreuses) se retrouvent dans l’échantillon : c’est donc très satisfaisant.
Encadré 3 : Description de l’Enquête sur les Consommations Résidentielles en Wallonie (Prevedello et al., 2015 : 16-18)
Les données nécessaires aux analyses sont récoltées à l’aide d’une enquête par questionnaire auprès d’un échantillon représentatif de ménages wallons.
[…]
Les adresses ont été obtenues par la transmission de la part des 4 principaux distributeurs d’eau en Wallonie, de leurs bases de données « clients ».
Les 4 distributeurs concernés sont :
• La Société wallonne des eaux (SWDE)
• La Compagnie Intercommunale des Eaux (CILE)
• L’Intercommunale des Eaux du Centre du Brabant Wallon (IECBW) • L’Intercommunale Namuroise des Services Publics (INASEP)
La part de la population wallonne représentée par ces opérateurs atteint 90%. […]
Un total de 2.763 réponses à l’enquête a été comptabilisé dans la base de données récoltant l’ensemble des réponses obtenues aux questionnaires. Un nettoyage
préliminaire de la base a délimité le nombre de réponses exploitables à 2.119. Ce nettoyage a principalement consisté à éliminer les doublons (dus au double encodage), les abandons (avant la question 10), les quelques répondants hors Wallonie et les quelques répondants non domestiques sondés malgré le nettoyage préalable de la base de données des distributeurs.
Liste des tableaux
Tableau 1 : Définitions des ménages féminins selon les sources de données ... 6
Tableau 2 : Les ménages féminins dans l’Enquête sur la Qualité de l’Habitat... 7
Tableau 3 : Les ménages féminins dans l’Enquête sur les Consommations Résidentielles 8 Tableau 4 : Les ménages féminins au sein des familles nombreuses ... 8
Tableau 5 : La présence du handicap sous l’angle des ménages féminins ... 9
Tableau 6 : Le statut d’occupation sous l’angle des ménages féminins ... 10
Tableau 7 : Le type de bailleur sous l’angle des ménages féminins ... 11
Tableau 8 : Les ménages féminins dans les locataires du logement social ... 12
Tableau 9 : Le type de logement sous l’angle des ménages féminins ... 12
Tableau 10 : Le nombre de façades des maisons sous l’angle des ménages féminins ... 13
Tableau 11 : Les périodes de construction sous l’angle des ménages féminins ... 15
Tableau 12 : La durée d’occupation du logement sous l’angle des ménages féminins ... 16
Tableau 13 : La satisfaction vis-à-vis de son logement sous l’angle des ménages féminins ... 17
Tableau 14 : L’envie de démanger sous l’angle des ménages féminins ... 18
Tableau 15 : L’indice de salubrité sous l’angle des ménages féminins ... 19
Tableau 16 : L’éclairage naturel dans le logement sous l’angle des ménages féminins .... 20
Tableau 17 : L’humidité dans le logement sous l’angle des ménages féminins ... 21
Tableau 18 : La ventilation sous l’angle des ménages féminins ... 22
Tableau 19 : Les installations électriques sous l’angle des ménages féminins ... 23
Tableau 20 : Les nuisances environnementales sous l’angle des ménages féminins ... 24
Tableau 21 : Catégories PEB estimées sous l’angle des ménages féminins ... 25
Tableau 22 : La catégorie de performance du coefficient thermique des murs sous l’angle des ménages féminins ... 26
Tableau 23 : La catégorie de performance du coefficient thermiques des baies et fenêtres sous l’angle des ménages féminins ... 28
Tableau 24 : La catégorie de performance du coefficient thermiques des toitures des maisons sous l’angle des ménages féminins ... 29
Tableau 25 : La catégorie de performance du coefficient thermiques du sol des maisons en contact avec l’extérieur sous l’angle des ménages féminins ... 30
Tableau 26 : Types d’équipement de chauffage sous l’angle des ménages féminins ... 31
Tableau 27 : Fréquence de chauffage au cours des mois froids sous l’angle des ménages féminins ... 31
Tableau 28 : La température confortable au cours des mois froids sous l’angle des ménages féminins ... 32 Tableau 29 : Défaut de paiements (hors oubli) pour raisons financières en 2014 sous l’angle des ménages féminins ... 33 Tableau 30 : Types d’eau et usages sous l’angle des ménages féminins ... 35 Tableau 31 : La confiance dans l’eau de distribution sous l’angle des ménages féminins 38
Liste des Annexes
Encadré 1 : Description des Enquêtes sur la Qualité de l’Habitat (extrait de Cassilde, 2014 : 6) ... 43 Encadré 2 : Description de l’Enquête sur les Familles Nombreuses en Wallonie, réalisée par le Centre d’Etudes en Habitat Durable et commanditées par le Fonds du Logement des