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Utilisation des crédits

10. Durant l’exercice considéré, la Base de soutien logistique des Nations Unies a continué de fournir des services d’appui centralisé, ainsi que des services liés à la logistique, à l’informatique, à la sûreté de l’aviation régionale et à l’examen des listes de réserve des missions. Parmi les unités du Département des opérations de maintien

de la paix hébergées par la Base figuraient notamment : la Force de police permanente ; le Corps permanent de spécialistes des questions judiciaires et pénitentiaires ; le Service intégré de formation (jusqu’au 31 décembre 2016). Les principales activités y afférentes sont exposées ci-dessous.

Service de la logistique Appui à la Mission

11. Durant l’exercice considéré, des équipes d’appui aux missions ont été déployées à 26 reprises à titre temporaire afin de renforcer les missions durant les périodes de montée en puissance, ou de forte augmentation des besoins, ou encore dans le cadre des activités de liquidation. Ces équipes ont fourni un ensemble de services d ’appui dans le domaine de la liquidation des missions, des technologies de l’information et des communications, des systèmes d’information géographique, de l’approvisionnement, de la logistique, y compris la gestion, la réception et l’inspection des biens.

12. Le Service de la logistique a coordonné la liquidation du matériel et apporté un appui sur le terrain à l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), à la Mission des Nations Unies au Libéria (MINUL) et à la Mission des Nations Unies pour la stabilisation en Haïti (MINUSTAH). Il a également appuyé le démarrage des opérations du Bureau du Conseiller spécial du Secrétaire général pour les questions relatives à la prévention et au règlement des conflits, y compris au Burundi, et de la Mission des Nations Unies en Colombie, et fourni des services de gestion et d’administration du matériel au Centre de services régional d ’Entebbe (Ouganda).

Appui en matière de recherche de fournisseurs et d’approvisionnement

13. Le Service a aidé les opérations de maintien de la paix en activité dans leur recherche de fournisseurs et leurs achats, notamment en les conseillant sur des solutions rentables pour l’acquisition de biens par l’intermédiaire du centre d’échange d’informations. Il a ainsi permis d’économiser environ 39,9 millions de dollars en évitant de lancer de nouvelles opérations d’achats, en recourant aux stocks existants et à la réserve de matériel de l’ONU pour faire face à la demande. Il a également assuré des services de coordination pour les missions, leur a fourni des analyses et fait des recommandations sur la planification générale des achats. Conformément à la politique régissant le centre d’échange d’informations, les opérations de maintien de la paix doivent obtenir l’aval de la Base de soutien logistique des Nations Unies avant d’acheter des articles non consomptibles d’une valeur de plus de 4 000 dollars. Dès qu’elle reçoit une demande portant sur des ressources données, la Base examine les ressources de même nature détenues par des missions réduisant leurs effectifs, ainsi que celles disponibles dans les missions en cours ou au niveau de la réserve de matériel de l’ONU, le but étant d’éviter de recourir à des fournisseurs externes et d’optimiser l’utilisation des ressources de l’Organisation.

Appui au génie et à la gestion de l’environnement

14. En matière d’appui au génie, le Service a établi des cahiers des charge concernant la reconstitution des stocks pour déploiement stratégique et aidé la Division du soutien logistique du Département de l’appui aux missions à élaborer des documents techniques relatifs à un ensemble de contrats-cadres mondiaux, y compris ceux portant sur les conteneurs rapidement extensibles, les groupes électrogènes fonctionnant au diesel, et à doter les missions préparatoires de moyens pouva nt être rapidement déployés (y compris des camps d’une capacité 350 personnes, des ensembles de modification destinés à des conteneurs maritimes de 20 pieds, des miradors modulaires, des camps avancés d’une capacité de 100 personnes, des

cuisines de campagne et des réfectoires d’une capacité de 100 personnes et des grillages à simple torsion). Le Service a également effectué 13 visites dans neuf opérations sur le terrain et au Centre de services régional, afin d ’appuyer, en collaboration avec le Service d’assistance technique rapide pour les questions environnementales et climatiques du Programme des Nations Unies pour l’environnement, une série de projets de génie et de projets environnementaux, y compris ceux portant sur l’approvisionnement en eau des missions et le traitement de leurs eaux usées, et mené des évaluations techniques sur le terrain et passé en revue les projets de génie nécessitant la mise en œuvre de procédures d ’achat.

Stocks pour déploiement stratégique

15. En ce qui concerne les stocks pour déploiement rapide, une révision du concept général d’opérations était en cours pendant l’exercice considéré. Cette révision portait sur le changement affectant la notion de stock pour déploiement rapide, qui ne fait plus référence à des réserves matérielles mais à une capacité qui comprendra notamment des hypothèses budgétaires, des stratégies d’approvisionnement, des capacités habilitantes, des lieux de stockage d’appoint plus proches des théâtres d’engagement, des stocks gérés par les fournisseurs, ainsi qu’une nouvelle structure de gouvernance et un cadre de résultat renforcé. On trouvera de plus amples informations sur ce point à la section V du présent rapport.

Centre stratégique des opérations aériennes

16. Le Centre stratégique des opérations aériennes a assuré le contrôle et le suivi centralisés de déplacements stratégiques aériens par des systèmes de localisation mondiaux, afin de réduire les dépenses régionales de fonctionnement de la flotte et de l’utiliser au mieux, établi des rapports sur les indicateurs liés à l’activité de vols de la flotte aérienne et publié des rapports par types d ’aéronefs. Il a également fait des analyses des coûts et des avantages de 113 opérations aériennes afin de sélectionner les aéronefs les plus rentables sur les plans de l’adéquation, de la proximité et des coûts opérationnels.

Service des technologies géospatiales, de l’informatique et des télécommunications

17. Le Service des technologies géospatiales, de l’informatique et des télécommunications a continué d’assurer la connectivité au plan mondial en optimisant l’accès au réseau longue distance et en fournissant des applications de mission et des plateformes d’assistance dont l’hébergement est centralisé.

Double implantation géographique

18. L’infrastructure est exploitée et gérée à partir des deux centres de technologies jumeaux de Valence et de Brindisi. Les deux sites ont été regroupés en un système pourvu d’une infrastructure unifiée et centralisée, sûre et très accessible grâce à laquelle ils peuvent fournir leurs services collectivement. Ils ont continué d’héberger notamment les services principaux suivants : la connectivité par satellite à l’échelle mondiale, la messagerie électronique centralisée, Umoja, la sauvegarde des données des missions, le progiciel iNeed, Field Support Suite et bien d’autres applications centralisées. Le centre de Valence est chargé des technologies de l’information et des communications et sert uniquement à ces fins. Avec le centre de technologie de Brindisi, il garantit la souplesse et la redondance nécessaires pour assurer l’intégrité des systèmes de télécommunication, des systèmes de données et des progiciels intégrés en cas d’interruption ou de défaillance catastrophique sur un seul site. Cette formule permet d’assurer la sécurité de l’infrastructure des technologies de

l’information et des télécommunications, ainsi que la continuité des opérations et la reprise après sinistre afin de permettre aux missions de maintien de la paix de poursuivre leurs activités.

19. Le modèle consistant à utiliser deux centres de technologies jumeaux actifs est soutenu par les plus grands spécialistes des analyses, de la recherche et des services consultatifs dans le domaine des technologies de l’information et des communications. Parmi les autres avantages de ce modèle, dont l’utilisation entre dans le cadre de la stratégie Informatique et communications de l’Organisation, on distingue notamment : a) l’optimisation de la connectivité et l’hébergement des infrastructures nécessaires pour permettre à tous les utilisateurs d’accéder au progiciel de gestion intégré Umoja ; b) l’appui au système de courrier électronique centralisé et aux systèmes centralisés de gestion de la correspondance sur le terrain ; c) l’appui aux applications hébergées sur serveur central ; d) l’appui aux services mobiles destinés aux missions ; e) l’appui aux services de suivi des événements qui permettent aux missions de tirer profit des mécanismes centralisés de surveillance des infrastructures disponibles à Valence et à Brindisi ; f) l’exploitation du système de communication par satellite « one-star » ou « à un seul bond » qui a été commandé en vue de faciliter la mise en service d’Umoja.

Activités principales (fourniture de services centralisés aux opérations de maintien de la paix)

20. Le Service des technologies géospatiales, de l’informatique et des télécommunications a joué un rôle important dans la fourniture de technologies centralisées ayant permis d’alléger les équipes de l’informatique et des communications dans les opérations de maintien de la paix et de maintenir un niveau optimal d’extensibilité des capacités de prestation de services informatiques et de communications. Les services centralisés comprenaient notamment : a) les systèmes d’information géospatiale, y compris la maintenance et la gestion des applications géospatiales ; l’établissement de trois bases de données géospatiales mondiales ; des projets sur les données de géovisualisation ; la génération de produits de géographie opérationnelle destinés à plusieurs missions ; la fourniture d’analyses spatiales et d’analyses de terrain à distance ; le traitement d’images, la conception de produits de surveillance et de contrôle pour les missions ; b) l’hébergement de 45 centres de données virtuels, dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie visant à centraliser les technologies et à alléger les équipes chargées de l’informatique et des communications et à promouvoir la résilience opérationnelle des missions ; c) la fourniture d’un appui centralisé permanent aux services de télécommunications et de visioconférence, aux centres de données, et aux systèmes de transmissions de données.

Services d’appui à distance (missions)

21. Au paragraphe 21 de son rapport daté du 1er mai 2017 (A/71/836/Add.10), le Comité consultatif pour les questions administratives et budgétaires a demandé des informations sur l’effort de centralisation et d’appui à distance, sur la mesure dans laquelle le Service permettait aux missions de s’acquitter de leur mandat, ainsi que sur l’état d’avancement des produits et les besoins en ressources de la Base de soutien logistique des Nations Unies et de ses missions clientes.

22. La Base de soutien logistique des Nations Unies a poursuivi la mise en place du dispositif d’appui à distance aux missions, qui a commencé en 2015 pour la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation en République centrafricaine (MINUSCA) et la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA) et qui depuis lors a été étendu à

d’autres missions, dont la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO), l’Opération hybride Union africaine-Nations Unies au Darfour (MINUAD), le Bureau d’appui des africaine-Nations Unies en Somalie (BANUS), la Mission d’administration intérimaire des Nations Unies au Kosovo (MINUK) et la Mission d’appui des Nations Unies en Libye (MANUL). Ce dispositif comprenait l’infrastructure de bureau virtuel, des services de mise en place d’un environnement de serveurs virtuels, des serveurs de stockage et des serveurs de fichiers, des réseaux locaux et des réseaux longue distance, des solutions vocales, des services visant à garantir la sécurité du réseau, l’administration des serveurs, ainsi que des services de reprise après sinistre et de sauvegarde des données

Appui à Umoja

23. Le Service des technologies géospatiales, de l’informatique et des télécommunications a continué d’héberger les systèmes Vblock pour Umoja et d’assurer, grâce au fonctionnement des bases de Brindisi et de Valence comme centres de technologies jumeaux, les services de reprises après sinistre et les dispositifs de sécurité de l’information pour Umoja. La connectivité entre les missions et la Base de soutien logistique des Nations Unies a été contrôlée en permanence et garantie 99,9 % du temps. Des services d’assistance de niveau 2 hébergés par la Base, dont les coûts ont été imputés aux budgets des différentes missions, ont four ni un appui opérationnel à ces dernières ou classifié les incidents pour informer l ’équipe Umoja en vue de leur règlement par des spécialistes des processus et des analystes des systèmes de gestion (appui de niveau 3). L’équipe de gestion des données de base mise en place au sein de la Base a conservé une capacité de maintenance de 17 emplois de temporaire (autres que pour les missions) pour l’exercice 2016/17.

Initiatives et projets spéciaux mis en œuvre au cours de l’exercice 2016/17

24. Durant l’exercice considéré, le Service des technologies géospatiales, de l’informatique et des télécommunications a mené à bien plusieurs projets, notamment la conclusion de la troisième année de mise en œuvre de l’initiative de consolidation des systèmes d’information géospatiale. Le projet pilote initial, dont la mise en œuvre a été étalée sur deux ans (de 2014 à 2016), avait pour objectif de produire des gains d’efficacité notamment en consolidant et en centralisant les infrastructures et les services relatifs aux systèmes d’information géospatiale au niveau de la Base. Il a permis de supprimer 37 postes dans les missions et de réaliser des économies grâce à l’amélioration de l’infrastructure et des logiciels liés aux systèmes d’information géospatiale. La Section des systèmes d’information géospatiale de la Base de soutien logistique des Nations Unies a assuré les tâches de consolidation et de centralisation et fourni des produits et services géospatiaux standard aux missions. De même, il a mis en place un système d’allocation dynamique de la bande passante, qui a produit des gains d’efficacité en permettant d’optimiser et d’accroître les capacités du réseau satellitaire en fonction de la demande des utilisateurs et d’améliorer l’efficacité de l’infrastructure d’hébergement et de connectivité dans les missions de maintien de la paix, et créé un système de gestion des infrastructures des centres de données, qui a favorisé d’importants gains d’efficacité énergétique et servi de modèle pour la mise en place de systèmes similaires dans l’ensemble des missions. En outre, il a créé un portail d’accès à distance permettant à un utilisateur final d’utiliser les applications certifiées où qu’il soit dans le monde, pour autant qu’il ait accès à Internet.

Service de l’appui à la Base

25. Pendant l’exercice considéré, le Service de l’appui à la Base a continué de fournir un appui administratif et des services de sécurité en vue de faciliter les

activités opérationnelles menées à Brindisi et à Valence. Il a également coordonné les activités de formation.

26. Le Service a assuré des services d’appui à la MANUL en intégrant trois membres du personnel de la Mission mis à sa disposition, y compris un appui administratif à distance en ce qui concerne notamment les ressources humaines, la gestion financière, les voyages et l’administration des biens. Il a également fourni un appui administratif dans le domaine de l’approvisionnement au Bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (UNOWAS), à la Commission mixte Cameroun-Nigéria et au Bureau régional des Nations Unies pour l’Afrique centrale (BRENUAC), conformément aux accords de prestation de services.

Bureau régional de la sécurité aérienne

27. Au cours de la période considérée, deux membres du Bureau régional de la sécurité aérienne ont effectué sept visites de contrôle de la sécurité aérienne auprès de trois missions, à savoir la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL), la Force des Nations Unies chargée du maintien de la paix à Chypre (UNFICYP) et la Mission d’assistance des Nations Unies pour l’Iraq (MANUI). Ils ont en outre dispensé à 20 membres du personnel de neuf missions et du Programme alimentaire mondial (PAM) une formation en présentiel sur l’inspection des aéronefs, l’évaluation de la performance et l’évaluation des transporteurs, assuré 413 cours en ligne sur la sécurité aérienne à l’intention de membres du personnel de 14 missions et du PAM et distribué dans 16 missions ainsi qu’au Siège des brochures, affiches et calendriers destinés à sensibiliser aux questions de sécurité aérienne.

Groupe des organes centraux de contrôle pour le personnel des missions

28. Pendant l’exercice considéré, le Groupe des organes centraux de contrôle pour le personnel des missions a procédé à 652 vérifications de références données par des candidats présélectionnés pour un poste dans une mission et facilité l ’approbation de 2 439 personnes aux fins de leur inscription sur la liste des candidats présélectionnés.

Unités hébergées

29. Les unités hébergées du Département des opérations de maintien de la paix ont mené à bien les activités suivantes :

Force de police permanente

30. La Force de police permanente a continué de prêter son appui aux missions de maintien de la paix et aux missions politiques spéciales des Nations Unies en y déployant ses experts. Elle a en outre fourni un appui au renforcement des capacités du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) dans plusieurs pays, dans le cadre de la Cellule mondiale de coordination des activités policières, judiciaires et pénitentiaires de promotion de l’état de droit au lendemain de conflits et d’autres crises.

31. La Force de police permanente a aidé les pays fournissant du personnel de police à préparer leurs agents au déploiement dans 11 missions et participé à neuf conférences internationales sur les questions de police.

32. Elle a également participé à 14 missions et études d’évaluation, notamment en ce qui concerne la réforme du secteur de la sécurité et la politique relative aux unités de police constituées.

Corps permanent de spécialistes des questions judiciaires et pénitentiaires

33. Le Corps permanent de spécialistes des questions judiciaires et pénitentiaires a fourni une assistance aux cinq plus grandes opérations de maintien de la paix, permettant ainsi : a) l’opérationnalisation progressive de la Cour pénale spéciale de la République centrafricaine dans le cadre de la MINUSCA ; b) l’établissement d’un plan pour le transfert, à des partenaires disposant d’un avantage comparatif, de certaines tâches relatives à l’état de droit jusqu’alors prises en charge par la Mission de l’Organisation des Nations Unies pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO) ; c) un déploiement à la MINUAD dans le cadre de la planification du passage à l’état de droit ; d) la fourniture d’un appui à la mise en place de la nouvelle composante état de droit de la Mission des Nations Unies au Soudan du Sud (MINUSS) ; e) la prestation de conseils sur les mécanismes d’établissement des responsabilités aux fins des enquêtes sur les crimes graves et de la traduction en justice de leurs auteurs ; f) la rationalisation de l’appui à la MINUSMA dans le domaine de l’administration pénitentiaire, conformément aux priorités politiques de la Mission.

Service intégré de formation

34. De juillet à décembre 2016, le Service intégré de formation, qui est doté de cinq postes approuvés, a organisé 10 séances de formation à l’intention de 120 membres du personnel civil. En application des résolutions 70/287 et 70/288 de l’Assemblée générale, ces cinq postes, rattachés à la Base de soutien logistique des Nations Unies jusqu’au 31 décembre 2016, ont été transférés au compte d’appui aux opérations de maintien de la paix à compter du 1er janvier 2017.

Sites de Brindisi et de Valence

35. Au paragraphe 15 de sa résolution 70/288, l’Assemblée générale a prié à nouveau le Secrétaire général de lui présenter des données ventilées relatives aux ressources et aux dépenses nécessaires pour les centres de Brindisi et de Valence. Le tableau 1 ci-après présente les dépenses de l’exercice 2016/17, ventilées par site.

Tableau 1

Analyse des dépenses de l’exercice 2016/17 par site

(En milliers de dollars des États-Unis ; exercice budgétaire allant du 1er juillet 2016 au 30 juin 2017.)

Pourcentage du total Brindisia Valence Total Brindisi Valence

Catégorie (1) (2) (3)=(1)+(2) (4)=(1)/(3) (5)=(2)/(3)

Personnel civilb

Personnel recruté sur le plan

international 18 510,3 1 376,8 19 887,1 93,1 6,9

Personnel recruté sur le plan

national 17 862,7 1 039,3 18 902,0 94,5 5,5

Volontaires des Nations Unies

Personnel temporaire (autre

que pour les réunions) 1 948,7 309,2 2 257,9 86,3 13,7

Total partiel 38 321,7 2 725,3 41 047,0 93,4 6,6

Dépenses opérationnelles

Consultants 268,3 0,5 268,8 99,8 0,2

Pourcentage du total Brindisia Valence Total Brindisi Valence

Catégorie (1) (2) (3)=(1)+(2) (4)=(1)/(3) (5)=(2)/(3)

Voyages 1 150,4 66,5 1 216,9 94,5 5,5

Installations et infrastructures 5 439,4 1 541,0 6 980,4 77,9 22,1

Transports terrestres 446,1 6,0 452,1 98,7 1,3

Transports aériens

Transports maritimes ou fluviaux

Communications 5 323,2 1 283,4 6 606,6 80,6 19,4

Informatique 20 995,2 3 332,1 24 327,3 86,3 13,7

Santé 38,7 5,1 43,8 88,4 11,6

Matériel spécial

Fournitures, services et matériel

divers 1 254,3 27,3 1 281,6 97,9 2,1

Projets à effet rapide

Total partiel 34 915,6 6 261,9 41 177,5 84,8 15,2

Montant brut 73 237,3 8 987,2 82 224,5 89,1 10,9

a Les dépenses imputables à Brindisi englobent toutes les dépenses correspondant au lieu

a Les dépenses imputables à Brindisi englobent toutes les dépenses correspondant au lieu

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