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TROISIEME PARTIE : DISCUSSION

TABLE DES ILLUSTRATIONS Figures :

Figure n°1 : Distribution des cas en fonction de l'âge de l'animal. 19 Figure n°2 : Evolution clinique en fonction de l’intensité de l’ulcération épidermique. 25 Figure n°3 : Evolution clinique en fonction de l'intensité de la pigmentation. 29 Figure n°4 : Evolution clinique en fonction de l’intensité du marquage au CD44. 32 Figure n°5 : Evolution clinique en fonction de l’intensité du marquage Ki-67. 34 Figure n°6 : Corrélation entre le marquage au CD44 et l'évolution des cas dont l'index Ki-67 est

inférieur à 15%. 35

Figure n°7 : Corrélation entre le marquage au CD44 et l'évolution des cas dont l'index Ki-67 est

supérieur ou égal à 15%.

36

Figure n°8 : 37

A Exemple de lésion exophytique symétrique, à croissance expansive, confinée au derme superficiel,

fortement pigmentée (Hémalun-éosine, x 20).

37

B Exemple d’hyperplasie lentigineuse basale d’intensité sévère (Hémalun-éosine, x 400). 37 C Exemple de thèques dermiques superficielles (Hémalun-éosine, x 400). 37 D Exemple de lésion modérément pigmentée, composée de cellules majoritairement fusiformes

(Hémalun-ésoine, x 200).

37

E Exemple de lésion achromique, composée de cellules majoritairement épithélioïdes (Hémalun-

éosine, x 400). 37

F Lésion achromique, à cellules majoritairement épithélioïdes ; noter le nombre important de figures

de mitoses (Hémalun-éosine, x 400).

37

Figure n°9 : 38

A Marquage intra-cytoplasmique granuleux avec l’anticorps Melan A (DAKO, référence M7196)

(réaction peroxydase-AEC, dépôt rouge vif, x 100).

38

B Marquage intra-cytoplasmique granuleux avec l’anticorps Melan A (DAKO, référence M7196) ;

noter le marquage des mélanocytes intra-épidermiques (réaction peroxydase-AEC, dépôt rouge vif, x 400).

38

C Marquage intra-cytoplasmique granuleux avec l’anticorps Melan A (DAKO, référence M7196)

(réaction peroxydase-AEC, dépôt rouge vif, x 400). 38

D Marquage nucléaire avec l’anticorps Ki-67 (DAKO, référence M7240) : marquage des cellules

épidermiques basales en prolifération servant de témoin de positivité intrinsèque (réaction peroxydase- AEC, dépôt rouge vif, x 200).

38

E Marquage nucléaire avec l’anticorps Ki-67 (DAKO, référence M7240) : exemple d’une lésion dans

laquelle le pourcentage de cellules positives est inférieur à 15 (réaction peroxydase-AEC, dépôt rouge vif, x 200).

38

F Marquage nucléaire avec l’anticorps Ki-67 (DAKO, référence M7240) : exemple d’une lésion dans

laquelle le pourcentage de cellules positives est supérieur à 15 (réaction peroxydase-AEC, dépôt rouge vif, x 200).

38

Figure n°10 : 39

A Marquage membranaire avec l’anticorps CD44 (SEROTEC, référence MAC329) : exemple d’une

lésion dans laquelle l’intensité du marquage de la tumeur est inférieure à celle de l’épiderme (réaction peroxydase-AEC, dépôt rouge vif, x 200).

39

B Marquage membranaire avec l’anticorps CD44 (SEROTEC, référence MAC329) : exemple d’une

lésion dans laquelle l’intensité du marquage de la tumeur est inférieure à celle de l’épiderme (réaction peroxydase-AEC, dépôt rouge vif, x 200).

39

C Marquage membranaire avec l’anticorps CD44 (SEROTEC, référence MAC329) : exemple d’une

lésion dans laquelle l’intensité du marquage de la tumeur est supérieure à celle de l’épiderme (réaction peroxydase-AEC, dépôt rouge vif, x 200).

39

D Marquage membranaire avec l’anticorps CD44 (SEROTEC, référence MAC329) : exemple d’une

lésion dans laquelle l’intensité du marquage de la tumeur est égale à supérieure à celle de l’épiderme (réaction peroxydase-AEC, dépôt rouge vif, x 400).

Tableaux :

Tableau n°1 : Répartition des cas en fonction de la distribution anatomique de la lésion. 20 Tableau n°2 : Répartition et évolution des cas en fonction de la nature symétrique ou dissymétrique

de la lésion.

22

Tableau n°3 : Répartition des cas en fonction de la distribution des lésions dans le plan cutané. 22 Tableau n°4 : Répartition et évolution des cas en fonction de la nature expansive ou infiltrante du

processus tumoral.

23

Tableau n°5 : Répartition et évolution des cas en fonction de la forme de la tumeur. 24 Tableau n°6 : Corrélation entre l'évolution clinique et l'intensité de l'ulcération épidermique. 25 Tableau n°7 : Corrélation entre l'évolution clinique et l'intensité de l'activité lentigineuse

épidermique.

26

Tableau n°8 : Evolution des cas en fonction des types cellulaires rencontrés dans les lésions. 26 Tableau n°9 : Evolution des cas en fonction de la morphologie nucléaire des cellules tumorales. 27 Tableau n°10 : Répartition des différents cas en fonction de l'intensité de l'anisocytose / caryose. 27 Tableau n° 11 : Corrélation entre l'évolution clinique et l'intensité des atypies cytonucléaires. 28 Tableau n°12 : Corrélation entre l'évolution clinique et l'intensité de la pigmentation mélanique. 28 Tableau n°13 : Corrélation entre l'intensité de la pigmentation mélanique et le nombre de cellules

tumorales positives au Melan A.

31

Tableau n°14 : Corrélation entre l'intensité du marquage obtenue au CD44 et l'évolution clinique sur

12 mois.

31

Tableau n°15 : Corrélation entre l'intensité du marquage obtenue au CD44 et l'évolution clinique sur

24 mois.

32

Tableau n°16 : Corrélation entre l'index Ki-67 et l'évolution clinique sur 12 mois. 33 Tableau n°17 : Répartition et évolution des cas en fonction du marquage combiné CD44/Ki-67. 34

TOULOUSE 2002

NOM : LACROUX PRENOM : CAROLINE

TITRE : CONTRIBUTION A L'ETUDE DES MELANOMES CUTANES CANINS : RECHERCHE DE CRITERES HISTOLOGIQUES ET IMMUNOHISTOCHIMIQUES PRONOSTIQUES A PARTIR D'UN ECHANTILLON DE 65 CAS.

RESUME :

Les mélanomes cutanés canins représentent 6 à 9 % des tumeurs de la peau dans cette espèce. Malgré l'existence d'une classification pronostique établie par Bostock en 1979, basée sur le nombre de mitoses dans la population néoplasique, l'histopronostic rendu après examen anatomopathologique est souvent considéré comme aléatoire. Aucun critère architectural ou cytologique autre que l'index mitotique n'a pour l'instant été intégré de façon formelle à l'établissement du pronostic des mélanomes cutanés du chien.

L'utilisation de marqueurs immunologiques tels que les antigènes de prolifération nucléaire (exemple : épitope Ki-67) a permis d'améliorer, chez le chien comme chez l'homme, la qualité du pronostic rendu. Plus récemment, des immunomarqueurs rendant compte de l'état de différenciation (Melan A) ou des capacités d'adhésion à la matrice extracellulaire (CD44) des cellules mélaniques tumorales, ont été proposés en médecine humaine comme facteurs influençant le pronostic.

Dans cette étude, à partir d'un échantillon de 65 cas de mélanomes cutanés canins suivis sur une période post-opératoire minimale de 12 mois, nous avons étudié 16 critères architecturaux et cytologiques différents ainsi que l'expression des trois marqueurs immunologiques : épitope Ki-67, CD44 et Melan A. Nous proposons différents critères histologiques, majeurs et mineurs, pouvant influencer le pronostic de la lésion, ainsi qu'une démarche raisonnée permettant d'intégrer les données des marquages Ki-67 et CD44 dans l'établissement de celui-ci.

MOTS CLES : MELANOME CUTANE – CHIEN – HISTO-IMMUNO-PRONOSTIC – CD44 – Ki-67 – MELAN A.

ENGLISH TITLE : STUDY OF CANINE CUTANEOUS MELANOMAS : EVALUATION OF HISTOLOGICAL AND IMMUNOHISTOCHEMICAL PROGNOSTIC CRITERIONS IN A 65 CASES SAMPLE.

ABSTRACT :

Canine cutaneous melanoma account for 6 to 9 % of skin neoplasia in this species. Despite the existence of a prognostical classification, established by Bostock in 1979, based on the number of mitotic figures in the neoplastic cell population, the histopronostic given by the pathologist is often considered as poorly reliable. No architectural or cytological criterion other than mitotic index is currently considered for the establishment of the melanoma prognostic in dog.

Immunological markers such as nuclear proliferation antigen (Ki-67 antigen) has been shown to improve the prognostic quality in both dog and man. More recently in human medicine, markers related to cellular differentiation (Melan A) or to adhesion abilities (CD44) of the neoplastic melanic cells were proposed as elements related to the prognostic.

In this study, using 65 cases of canine cutaneous melanomas, observed during a 12 months post- surgical period, we investigated 16 architectural and cytological criterion and three immunological markers: Ki-67 antigen, CD44 and Melan A. We propose several major and minor histological criterion, but also recommendation concerning the use of Ki-67 and CD44 for the establishment of a more reliable prognostic.

KEY WORDS : CUTANEOUS MELANOMA – DOG – HISTO-IMMUNO-PROGNOSTIC – CD44 – Ki-67 – MELAN A.

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