• Aucun résultat trouvé

Les revenus et les dépenses

Dans le document Monographie de Vidéo Femmes (Page 40-52)

4. La dimension organisationnelle

4.3 Les données financières

4.3.1 Les revenus et les dépenses

Le tableau 3 de la page 39 présente les données des revenus et des dépenses de l'entreprise de 1991-1992 à 1996-1997. Nous avons distingué les données du secteur production de celles du secteur distribution, puisqu'il s'agit de deux services distincts. Pour alléger la présentation, les revenus sont regroupés à l'intérieur de trois rubriques pour le secteur production (subventions; productions; autres) et quatre rubriques pour le secteur distribution (subventions; ventes et locations; services; autres). Quant aux dépenses, elles sont regroupées sous trois rubriques pour le secteur production (salaires, cachets et honoraires; frais liés à la production; administration) et sous trois rubriques pour le

Tableau 3 - Revenus et dépenses de Vidéo Femmes de 1991-1992 à 1996- 1997 1991- 1992- 1993- 1994- 1995- 1996- 1992* 1993* 1994* 1995* 1996* 1997* Secteur production • Subventions 59 228 $ 64062$ 21 238$ 85417$ 0$ 19000$ • Productions 16 162 $ 254810$ 136 728 $ 31922$ 32 887 $ 5815$ R • Autres 28 970 S 18992$ 3649$ 3581$ 1056$ 880$ E 104360$ 337 864 $ 161 615 $ 120 920 $ 33 943 $ 25695$ V Secteur distribution E • Subventions 74 488 $ 121 562 $ 133 568 $ 81420$ 104 887 $ 111679$ N • Ventes et locations 29 958 $ 36317$ 39 830 $ 31 182$ 36 990 $ 25 261 $ U • Services 12066$ 10 942 $ 13 299 $ 11 544$ 15 438 $ 11904$ S • Autres 7 920 S 13 102 $ 13 756 $ 4772$ 1720$ 14989$ 124 432 $ 181 923 $ 200 453 $ 128 918 $ 159 035 $ 163 833 $

Total des revenus 228 792 $ 500 915 $ 347485$ 246 071 $ 191 478 $ 189 528 $

Secteur production

• Salaires, cachets et honoraires 57 575 $ 211 269$ 74031$ 72 753 $ 22 875 $ 31 539$

• Frais liés à la production 17571$ 56 179 $ 50 325 $ 24 409 $ 13262$ 649$

D • Administration 15 808 $ 63 082 $ 26823$ 18 446 $ 8990$ 8 884 j

É 90954$ 330 530 $ 151 179 $ 115 608 $ 45 127 $ 41072$

P Secteur distribution

E • Salaires, cachets et honoraires 56 897 $ 61 398 $ 79 522 $ 80151$ 72 630 $ 103713$ N • Frais liés à la distribution 38 182$ 72 364 $ 52 760 $ 23 424 $ 30669$ 22166$

S • Administration 40 584 $ 50811 $ 44 235 $ 4?713? 48 804 S 39318$

E 135 663 $ 184 573 $ 176 517 $ 147 288 $ 152 103 $ 165 197 $

S

Total des dépenses 226 617 $ 496 231 $ 313113$ 259 129 $ 195 730 $ 206269$

Excédent des revenus 2175$ 4684$ 34372$ -13 058 $ -4 252 $ - 16 741 $

secteur distribution (salaires, cachets et honoraires; frais liés à la distribution; administration).

Un bref coup d'oeil nous indique que les revenus provenant du secteur production sont moindres que ceux du secteur distribution. Au cours de cette période, le secteur de la production atteint un sommet, tant au niveau des revenus et que des dépenses, en 1992-1993, pour connaître ensuite une forte décroissance. Quant au secteur de la distribution, les revenus et les dépenses sont plutôt stables pour la même période. C'est d'ailleurs ce deuxième secteur qui procure à l'entreprise, en 1995-1996, 40 % de ses revenus autonomes. Ce secteur a toujours constitué la force de l'entreprise. Quant au secteur production, Vidéo Femmes tient à lui redonner toutes ses lettres de noblesse, comme nous le verrons dans la section portant sur le bilan et les perspectives anticipées. Mais auparavant, examinons séparément chacun de ces secteurs pour mieux en saisir les nuances.

Les revenus et les dépenses du secteur production

Les revenus de ce secteur proviennent de subventions dont les sources et les montants varient selon les projets de production. À titre indicatif, les principaux subventionnaires sont ou furent, depuis 1991: le Conseil des arts du Canada (CAC), le Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ), le Secrétariat d'État, le CLSC Centre-ville de Québec, le Conseil de la Santé et des Services Sociaux, Approvisionnement et services Canada, Téléfilm Canada, plusieurs ministères provinciaux, la Ville de Québec, Santé Canada et plusieurs conseils autochtones. Mentionnons que le secteur production reçoit une subvention de fonctionnement depuis 1996 seulement: 19 000 $ du CALQ pour 1996-1997 et 15 000 $ du CAC pour 1997-1998.

Toutes ces subventions ne sont pas garanties d'une année à l'autre. Par exemple, Vidéo Femmes reçoit 85 417 $ en 1994-1995, alors qu'elle ne reçoit rien l'année suivante. Pour la dernière année, soit en 1996-1997, le seul organisme subventionnaire est le CALQ, pour un montant de 19 000 $. Enfin, les revenus tirés de la production de vidéos connaissent une année exceptionnelle en 1992-1993 grâce à plusieurs productions, notamment «Les pays du Québec» qui a été vendue à Radio-Québec. Rappelons que les ventes-télés sont celles qui rapportent le plus au niveau financier.

Quant aux dépenses, elles ont suivi la même évolution que les revenus, atteignant un sommet de 330 530 $ en 1992-1993, pour diminuer à 41 072 $ en 1996-1997. Les principales dépenses sont consacrées aux salaires, cachets et honoraires.

Les revenus et les dépenses du secteur distribution

Les revenus et les dépenses provenant du secteur de la distribution sont plus stables et suivent une autre courbe que ceux du secteur de la production. Globalement, pour la période de 1991-1992 à 1996-1997, les revenus augmentent, passant de 124 432 $ à 163 833 $. Ce secteur, contrairement au précédent, bénéficie de subventions pour le fonctionnement depuis plusieurs années. Ces subventions proviennent principalement du CAC, du Secrétariat d'état, de la Ville de Québec, de la SODEC, du CALQ, du ministère de l'Éducation du Québec et du ministère de la Culture du Québec. D'autres subventions, en moindre importance, sont accordées pour les projets spéciaux. Pour ces projets, signalons l'apport, entre autres: des Affaires extérieures du Canada, de Téléfilm Canada, de la SODEC, de la Ville de Québec, du CAC, du Secrétariat à la condition féminine, du Fonds d'initiatives culturelles du Québec, du Bureau des arts et de la culture (BAC) et du Fonds de l'autoroute électronique.

Les dépenses suivent la même tendance que les revenus, passant de 135 663 $ en 1991-1992 à 165 197 $ en 1996-1997. Tout comme le secteur de la production, les principales dépenses sont consacrées aux salaires, cachets et honoraires.

4.3.2 Bilan de l'actif et du passif

Un dernier tableau met en évidence l'évolution de l'avoir des actionnaires de 1991-1992 à 1996-1997.

Tableau 4- Bilans comparatifs de l'actif et du passif de 1991-1992 à 1996-97

1991- 1992* 1992- 1993* 1993- 1994* 1994- 1995* 1995- 1996* 1996- 1997*

Actif à court terme Immobilisations 43 012$ 8 827 $ 82 138 $ 11 263$ 84 302 $ 10 220 $ 67 166 $ 8 314 S 56 666 $ 8 692$ 54 659 $ 13 057 $ Total Actif 51 839 $ 93 401 $ 94 522 $ 75 480 $ 65 358 $ 67 716 $

Passif à court terme Passif à long terme 18 106 S 12 201 S 55 200 $ 11 985 S 22 050 $ 11 884$ 17 830 $ 10 120 $ 11 960 $ 10 120 $ 41 179 $ 0$ Total Passif 30 307 $ 67 185 $ 33 934 $ 27 950 $ 22 080 $ 41 179 $

Avoir des actionnaires (actif - passif)

21 532 $ 26 216 $ 60 588 $ 47 530 $ 43 278 $ 26 537 $

L'actif total de l'entreprise atteint un sommet en 1992-1993 et 1993-1994, alors qu'il se chiffre respectivement à 93 401 $ et 94 422 $. Ce sommet correspond, comme nous l'avons mentionné plus haut, à d'importantes productions qui sont réalisées chez Vidéo Femmes, notamment la production «Les pays du Québec» qui rapporte d'excellents revenus à l'organisme grâce à sa vente au réseau de télévision Radio-Québec. À noter que, de 1995- 1996 à 1996-1997, l'entreprise conserve son même niveau d'actif total, mais voit sa liquidité diminuer de 46 222 $ à 4 928$. Durant cette période, les comptes et les subventions à recevoir augmentent de 10 444 $ à 47 802 $. Quant aux immobilisations, elles fluctuent légèrement tout au long de ces six ans, atteignant 13 057 $ en 1996-1997.

Le passif total atteint un sommet en 1992-1993 alors qu'il se chiffre à 67 185 $. Ceci s'explique par une «provision pour le répertoire» de 38 000 $ dans le passif à court terme au cours de cette année-là.

Bref, Vidéo Femmes connaît les revenus totaux les plus exceptionnels de son histoire au cours de 1992-1993. Depuis, les revenus ne cessent de diminuer, ainsi que l'avoir des actionnaires qui se solde à 26 537 $ pour l'année 1996-1997. Le succès du plan de relance établi par la directrice générale s'avère essentiel pour la survie et la continuité de Vidéo Femmes dans les années à venir. Ce succès est malheureusement loin d'être assuré devant la baisse de plus en plus importante des subventions qui touchent tous les petits organismes culturels. Pour contrer cette situation, l'entreprise vise à augmenter ses revenus autonomes qui proviennent du secteur distribution et relancer le secteur production. La section suivante, qui débute par un bref retour sur l'histoire de l'entreprise, donne un aperçu des moyens et stratégies envisagés par Vidéo Femmes dans un proche avenir.

Bilan et perspectives anticipées

Cette monographie nous a permis de suivre le parcours sinueux, mais combien extraordinaire, d'un collectif de femmes oeuvrant dans le champ de la vidéo indépendante, depuis 1973: Vidéo Femmes.

Trois générations de vidéastes ont façonné l'histoire de cette entreprise. La première génération, connue sous le nom La Femme et le Film (1973-1980), pose les premiers jalons en créant l'organisme et en s'impliquant dans son milieu. C'est l'époque des comités de citoyens, des groupes populaires de services et d'un mouvement féministe très engagé qui revendique l'amélioration de la condition des femmes et la mise sur pied de services spécifiquement voués à leurs besoins.

La deuxième génération de vidéastes (1980-1995) poursuit l'oeuvre entreprise par la génération précédente et explore de nouvelles voies, de nouveaux créneaux. Connue sous le nom de Vidéo Femmes à partir de 1980, cette deuxième génération participe à de nombreuses tournées, et à plusieurs festivals et événements. Elle développe le service de distribution qui contribue à faire connaître leurs productions et celles d'autres femmes, d'ici et d'ailleurs. Le Festival des Filles des Vues connaît une envergure sans précédent, avant de devoir mettre fin à ses activités en 1988, faute de subventions. Puis des contacts sont faits à l'étranger, des prix sont remportés et tout un réseau de sous-distributeurs s'installe. Malgré toute cette effervescence, le monde de la vidéo demeure sous l'égide du bénévolat. Essoufflées, certaines vidéastes se tournent vers de gros producteurs privés et s'exilent à Montréal pour poursuivre leur carrière, à partir de 1986. Mais comme le souligne Lise Bonenfant, une réalisatrice de cette génération ayant choisi de demeurer à Québec:

Même si on quitte Vidéo Femmes, on reste toujours attaché. Le coeur est là car on a tellement été une belle équipe et parce qu'on y a tellement appris notre métier. C'était très particulier car on était juste des femmes et on tenait compte de ce que chacune vivait. On devenait des amies, en même temps qu'on travaillait ensemble (extrait d'une entrevue).

Depuis 1995, une nouvelle génération émerge, à la suite d'une restructuration de l'entreprise. Fortes de l'héritage reçu de leurs aînées, des femmes pleine d'énergie et ayant à coeur de poursuivre l'oeuvre de leurs aînées n'hésitent pas à reprendre le flambeau.

Vidéo Femme s'engage donc dans un tournant significatif de son évolution: poursuivre son mandat de centre de production et de distribution de vidéos réalisés par des femmes et ce, malgré des subsides gouvernementaux toujours déclinants et un essoufflement

des ressources humaines des deux secteurs. Pour y parvenir, la nouvelle directrice générale, engagée en juin 1996, a établi un plan de relance dont:

L'objectif principal est de faire en sorte que Vidéo Femmes reprenne sa place dans le paysage audiovisuel indépendant et soit reconnu comme un organisme culturel actif et dynamique de la Capitale (Vidéo Femmes, 1996: 1)

Ce plan se divise en deux phases: 1996-1997 et 1997-1998. Pour la première phase, l'organisme vise à consolider le secteur diffusion et distribution, à relancer le secteur production et à augmenter le financement pour éviter un trop lourd déficit occasionné par la relance. Pour la deuxième phase, l'organisme vise à élargir les acquis de la consolidation et ceux de la relance, permettre à Vidéo Femmes d'avoir pignon sur rue et renflouer une partie du déficit de la première phase.

Divers moyens et stratégies sont envisagés pour atteindre ces objectifs. Du côté de la production, l'entreprise prévoit: relancer les contrats externes (commandes), relancer les contrats internes (productions d'auteures) par le développement de projets d'auteures chevronnées et d'auteures de la nouvelle vague, et enfin reformer et agrandir le bassin d'auteures. Du côté de la diffusion-distribution, l'entreprise envisage: poursuivre la représentation auprès des instances gouvernementales pour l'avancement du dossier de financement de la distribution, bonifier la vidéothèque de nouvelles acquisitions, provoquer et relancer la vente, créer des événements de diffusion et promouvoir les produits (tournée, festivals, page WEB, etc.)

Comme nous pouvons le constater, Vidéo Femmes a pris les moyens nécessaires pour relancer l'organisme. Jusqu'à présent, il semble bien que le plan de relance donne de bons résultats puisque des réalisatrices font affaire au nouveau service de soutien à la production. Par exemple, un vidéo sur l'entrepreneurship vient d'être terminé et d'autres projets sont en cours (annexe 1). Sans oublier l'ouverture de nouvelles sections au secteur de la distribution afin d'élargir le marché, comme en fait foi l'acquisition de vidéos réalisés par des hommes: la «Collection Barbue».

En 1998, Vidéo Femmes fêtera son 25e anniversaire. Contre vents et marées, ces femmes poursuivent leur mission. Il semble bien que cela leur réussit, puisque plus que jamais, les femmes de la troisième génération veulent donner à l'organisme toutes ses lettres de noblesse et augmenter sa visibilité, ici comme à l'étranger. Espérons que dans l'avenir, elles seront reconnues à leur juste valeur chez nous pour leur implication et leur contribution aux milieux social, économique et culturel de la Vieille Capitale.

Bibliographie

BÉLANGER, P.R. et LÉVESQUE, B. (1992). «Le mouvement communautaire: de la revendication au partenariat (1963-1992)», dans G. DAIGLE (dir.), Le Québec enjeu: comprendre les grands défis, Montréal: PUM, 713-747.

BRODEUR, V. et al. (1982). Le mouvement des femmes au Québec: étude des groupes montréalais et nationaux. Montréal: Centre de formation populaire.

COLLECTIF CLIO (1992). L'histoire des femmes au Québec depuis quatre siècles. Montréal: Le Jour.

COMEAU, Y. (1996). Guide de collecte et de catégorisation des données pour l'étude d'activités de l'économie sociales. Collectif de recherche sur les innovations sociales dans les entreprises et les syndicats (CRISES).

CORRIVEAU, F. (1995). «Produire à Québec malgré tout: personne ne gagne sa vie avec le cinéma et la vidéo indépendants», Le Soleil, 9 juin, B3.

GIGUÈRE, N. et ROY, L. (1984). Vidéo Femmes par Vidéo Femmes [enregistrement vidéo]. Québec: Vidéo Femmes.

GOULET, S. (1994). Les Daines aux caméras [enregistrement vidéo]. Québec: Vidéo Femmes.

LAMARRE, L. et al. (1992). Le prix de la liberté. Rapport sur la production indépendante vidéo. Montréal: Institut québécois du cinéma.

LA VIGNE, M. (1990). «Le féminisme depuis la révolution tranquille», Cap-aux-diamants, 21, 15-17.

MARTIN, J. (1985). Les groupes de quartier à Québec: luttes et contraintes politico- institutionnelles. Québec: GRAD.

McKEOWN, P. (1996). Désirs de liberté [enregistrement vidéo]. Québec: Vidéo Femmes. PAQUEROT, S., BEAUCHAMP, C. et CÔTÉ, R. (1994). Pour changer le monde. Le

Forum pour un Québec féminin pluriel. Montréal: Écosociété.

REGROUPEMENT EN ÉDUCATION POPULAIRE ET EN ACTION COMMUNAUTAIRE DES RÉGIONS DE QUÉBEC ET CHAUDIRÈRE- APPALACHES (RÉPAC-03-12) (1997). Des histoires d'éducation populaire et d'action communautaire des régions de Québec et Chaudière-Appalaches! Québec: REPAC-03-12. SAUVAGEAU, M. (1985). «Vidéo Femmes: "Les Dames aux caméras"», Copie Zéro, 26,

28-29.

STANTON, J. (1988). «Vidéo Femmes en tournée à travers le Québec», Le Devoir, 1er novembre 1988.

STANTON, J. (1991). «La mondiale de films et vidéos réalisés par des femmes: un véritable feu d'artifice!», Magazine Quartier Petit Champlain, 7, 20-24.

TREMBLAY, P.-A. (1987). Les comités de citoyens de Québec: contribution à l'histoire du mouvement populaire à Québec (1966-1981). Thèse de doctorat, Faculté des sciences sociales, Université Lavai.

VÉZINA, M. (1994). «Vingt ans de vidéo», La Gazette des femmes, 15 (5), 33. VIDÉO FEMMES (1993). Répertoire de Vidéo Femmes. Québec: Vidéo Femmes. VIDÉO FEMMES (1973-1997). Archives et documents internes.

_______ (1993). «Vidéo Femmes a 20 ans», Qui fait quoi, 24.

Annexe 1

Liste des productions et coproductions de Vidéo Femmes et de ses réalisatrices, distribuées dans son réseau, et thèmes associés

Liste des productions et coproductions (*) de Vidéo Femmes et de ses réalisatrices, distribuées dans son réseau, et thèmes associés1

Nous autres là... on est trois filles Philosophie de boudoir

Théâtre et création Condition des femmes

Monologue avec Luce, comédienne Une nef... et ses sorcières

Théâtre et poésie Condition des femmes

C'est pas le pays des merveilles Juste pour me calmer

Naître bien au chaud La publicité s'excite Six femmes à leur place

Une chambre à soi: une chambre bien à nous Viol: interventions policière et judiciaire Amours usagés_________________ Dépression Toxicomanie et alcoolisme Naissance Sexisme Métiers non-traditionnels Conditions des femmes Viol Relations hommes-femmes

Année Titre Thèmes

1975

1977

Mères célibataires Séparation et divorce

Mam'zelle maman Le Mariage... et pis après

1978

1979 Chaperons rouges*

Témoignage de Francine Viol: mythes et réalité

Viol Viol Viol Histoire Histoire Harcèlement sexuel Chanson et musique Féminisme

Histoire des luttes féministes au Québec

L'incroyable histoire de la lutte que quelques-unes ont menée pour obtenir le droit de vote pour toutes

Reprenons la nuit! La valse des femmes

D'un 8 mars à l'autre: édition 79-80

1980

1981

* Source: Répertoire de Vidéo Femmes. Ne sont pas inclus les vidéos produits par Vidéo Femmes, mais non distribués dans leur réseau. Les productions du collectif, au

Année Titre

Tous les jours... tous les jours... tous les jours... Les mots/maux du silence

Traces Thèmes Harcèlement sexuel Psychiatrie (expérimental) 1982

C'est pas parce que c'est un château qu'on est des princesses Comme jeunesse se passe *

Enfin duchesse! Poing final

1983 Conditions des femmes

détenues Sexualité et éducation (pièce de théâtre féministe) Violence conjugale

C'est une bonne journée L'interdit de la nuit*

On fait toutes du show-business* Vidéo Femmes par Vidéo Femmes Les tatouages de la mémoire

Trapèze

(fiction) Harcèlement sexuel

Musique Histoire de Vidéo Femmes

(expérimental) (expérimental) 1984

Demain, la cinquantaine Des yeux au bout des doigts* Je voudrais voir la mer Michel Labbé «interaction» * Plus tout à fait les mêmes* Porte de sortie Vidéo clip mode* Le sourire d'une parfumeuse

Ménopause Sexualité Musique Documentaire sur l'artiste

Sexisme Incarcération (expérimental) (fiction) 1986 1987 Mademoiselle Autobody* S.O.S.: M.T. S. Pornographie Sexualité 1988 Du rêve à la réalité Histoire infâme Métiers non-traditionnels Histoire

Année Titre Thèmes Série

Vidéotour 1988-1989

A chaque année le 13 août

L'absence

Aimez-vous les chiens?

La dernière valse

Drôles de moineaux

Et la lumière fut Sophie

Les femmes me touchent Le feu sacré

Folie pure La magie douce Questions de nuances

(thèmes variés)

1989 Ma douce moitié* Conditions des femmes

Le sida au féminin Sexualité

1990 Comme une tempête Souffrance

1991 La chaîne de vie* Sida

1992 Montagnaises de parole* Conditions des femmes

La soif de l'oubli Alcoolisme et toxicomanie

Toujours vivantes* Viol

Un enfant venu d'ailleurs* Adoption

1993 Se donner le droit* Autonomie financière

1994 Les Dames aux caméras Histoire de Vidéo Femmes

Full tendresse Sexualité

Histoires de venir au monde Naissance

1995 Ka nakatakantau - ... ceux qui restent Santé mentale

1996 Désirs de liberté Histoire du mouvement

Dans le document Monographie de Vidéo Femmes (Page 40-52)

Documents relatifs