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Réponse des psychiatres aux attentes des médecins du travail concernant le traitement

C- Collaboration entre médecins du travail et psychiatres

6) Réponse des psychiatres aux attentes des médecins du travail concernant le traitement

Réponse aux attentes concernant le traitement Echelle visuelle analogique (1 à 6)

Effectif (Proportion en %) Intervalle de confiance à 95%

limite inférieure-limite supérieure en % 1 (ne répond pas du tout aux

attentes) 6 (5,7%) 2,1%-11,9% 2 11 (10,4%) 5,3%-17,8% 3 16 (15,1%) 8,9%-23,4% 4 22 (20,8%) 13,5%-29,7% 5 39 (36,8%) 27,6%-46,7%

6 (répond totalement aux attentes)

12 (11,3%) 6%-18,9%

1 à 3 33 (31,1%) 22,5%-40,9%

4 à 6 73 (68,9%) 59,1%-77,5%

Tableau 16 : Réponse des psychiatres aux attentes des médecins du travail concernant le traitement

68,9% des médecins du travail estimaient que les psychiatres répondaient plutôt bienà leurs attentes concernant le traitement (Tableau 16).

5,7% 10,4% 15,1% 20,8% 36,8% 11,3% 5 10 15 20 25 30 35 40

Figure 19 : Répartition de l’évaluation par les médecins du travail de la réponse des psychiatres à leurs attentes concernant le traitement (1 à 3 : ne répond plutôt pas aux attentes ; 4 à 6 : répond plutôt aux attentes)

Les médecins du travail formés en psychiatrie étaient moins nombreux que ceux qui n’ont pas été formés à estimer que les psychiatres répondaient plutôt bien à leurs attentes (4 à 6 sur 6) concernant le traitement (64,3% vs 71,9% ; p = 0,27), mais cette différence n’était pas statistiquement significative (Annexe 2).

31,1%

68,9%

7) Réponse des psychiatres aux attentes des médecins du travail concernant les restrictions et/ou aménagements de poste nécessaires

Réponse aux attentes concernant les restrictions nécessaires

Echelle visuelle analogique (1 à 6)

Effectif (Proportion en %) Intervalle de confiance à 95%

limite inférieure-limite supérieure en % 1 (ne répond pas du tout aux

attentes) 15 (14,2%) 8,1%-22,3% 2 22 (20,8%) 13,5%-29,7% 3 19 (17,9%) 11,2%-26,6% 4 28 (26,4%) 18,3%-35,9% 5 19 (17,9%) 11,2%-26,6%

6 (répond totalement aux attentes)

3 (2,8%) 0,6%-8%

1 à 3 56 (52,8%) 42,9%-62,6%

4 à 6 50 (47,2%) 37,4%-57,1%

Tableau 17 : Réponse des psychiatres aux attentes des médecins du travail concernant les restrictions/aménagements de poste nécessaires

52,8% des médecins du travail estimaient que les psychiatres répondaient plutôt mal à leurs attentes concernant les restrictions et/ou aménagements de poste nécessaires (Tableau 17).

14,2% 20,8% 17,9% 26,4% 17,9% 10 15 20 25 30

Figure 21 : Répartition de l’évaluation par les médecins du travail de la réponse des psychiatres à leurs attentes concernant les restrictions/aménagements de poste nécessaires (1 à 3 : ne répond plutôt pas aux attentes ; 4 à 6 : répond plutôt aux attentes)

Les médecins ayant plus de 20 ans d’exercice de la médecine du travail étaient majoritaires et plus nombreux que ceux ayant moins de 20 ans d’exercice à estimer que les psychiatres répondaient plutôt bien à leurs attentes (4 à 6 sur 6) concernant les restrictions et/ou aménagements de postes nécessaires (51,9% vs 42,3% ; p = 0,22), mais cette différence n’était pas statistiquement significative (Annexe 2).

52,8% 47,2%

8) Réponse des psychiatres aux attentes des médecins du travail concernant l’aptitude au travail

Réponse aux attentes concernant l’aptitude au travail

Echelle visuelle analogique (1 à 6)

Effectif (Proportion en %) Intervalle de confiance à 95%

limite inférieure-limite supérieure en % 1 (ne répond pas du tout aux

attentes) 14 (13,2%) 7,4%-21,2% 2 22 (20,8%) 13,5%-29,7% 3 20 (18,9%) 11,9%-27,6% 4 25 (23,6%) 15,9%-32,8% 5 23 (21,7%) 14,3%-30,8%

6 (répond totalement aux attentes)

2 (1,9%) 0,2%-6,6%

1 à 3 56 (52,8%) 42,9%-62,6%

4 à 6 50 (47,2%) 37,4%-57,1%

Tableau 18 : Réponse des psychiatres aux attentes des médecins du travail concernant l'aptitude au travail

52,8% des médecins du travail estimaient que les psychiatres répondaient plutôt mal à leurs attentes concernant l’aptitude au travail (Tableau 18).

13,2% 20,8% 18,9% 23,6% 21,7% 10 15 20 25

Figure 23 : Répartition de l’évaluation par les médecins du travail de la réponse des psychiatres à leurs attentes concernant l'aptitude au travail (1 à 3 : ne répond plutôt pas aux attentes ; 4 à 6 : répond plutôt aux attentes)

Les médecins du travail formés en psychiatrie étaient plus nombreux que ceux qui n’ont pas été formés à estimer que les psychiatres répondaient plutôt bien à leurs attentes (4 à 6 sur 6) concernant l’aptitude au travail (50% vs 45,3% ; p = 0,39), mais cette différence n’était pas statistiquement significative (Annexe 2).

9) Fréquence des contacts spontanés des psychiatres

Contacts spontanés des psychiatres

Effectif (Proportion en %) Intervalle de confiance à 95% limite inférieure-limite supérieure en % Jamais 28 (26,4%) 18,3%-35,9% Rarement 71 (67%) 57,2%-75,8% Souvent 7 (6,6%) 2,7%-13,1% Très souvent 0

Tableau 19 : Contacts spontanés des psychiatres

93,4% des médecins du travail déclaraient que les psychiatres les contactaient spontanément rarement ou jamais (Tableau 19).

52,8% 47,2%

Figure 24 : Fréquence des contacts spontanés des psychiatres selon les médecins du travail

10) Evaluation de la qualité de la collaboration entre les médecins du travail et les psychiatres

Avis sur la qualité de la collaboration entre médecins du travail et psychiatres Echelle visuelle analogique (1 à 6)

Effectif (Proportion en %) Intervalle de confiance à 95% limite inférieure-limite supérieure en % 1 (mauvaise) 11 (10,4%) 5,3%-17,8% 2 20 (18,9%) 11,9%-27,6% 3 31 (29,2%) 20,8%-38,9% 4 25 (23,6%) 15,9%-32,8% 5 17 (16%) 9,6%-24,4% 6 (très satisfaisante) 2 (1,9%) 0,2%-6,6% 1 à 3 62 (58,5%) 48,5%-68% 4 à 6 44 (41,5%) 32%-51,5%

Tableau 20 : Evaluation de la qualité de la collaboration entre médecins du travail et psychiatres

26,4%

67% 6,6%

Figure 25 : Répartition de l’évaluation par les médecins du travail de la qualité de la collaboration entre médecins du travail et psychiatres (1 : mauvaise ; 6 : très satisfaisante)

Figure 26: Répartition de l’évaluation par les médecins du travail de la qualité de la collaboration entre médecins du travail et psychiatres (1 à 3 : plutôt mauvaise ; 4 à 6 : plutôt satisfaisante)

Les médecins du travail formés en psychiatrie étaient plus nombreux à estimer que la collaboration était plutôt mauvaise (1 à 3 sur 6) que ceux qui n’ont pas été formés (61,9% vs 56,3% ; p = 0,35), mais cette différence n’était pas statistiquement significative (Annexe 2). Les médecins ayant plus de 20 ans d’exercice de la médecine du travail étaient plus nombreux à estimer que la collaboration était plutôt mauvaise (1 à 3 sur 6) que ceux ayant moins de 20 ans d’exercice (61,1% vs 55,8% ; p = 0,36), mais cette différence n’était pas statistiquement significative (Annexe 2). 10,4% 18,9% 29,2% 23,6% 16% 1,9% 0 5 10 15 20 25 30 1 2 3 4 5 6 58,5% 41,5% 1 à 3 4 à 6

11) Compréhension par les psychiatres du métier de médecin du travail

71 médecins du travail ne pensaient pas que les psychiatres comprenaient bien le métier de médecin du travail (soit 67% ; IC [57,2% ; 75,8%]).

35 médecins pensaient qu’ils le comprenaient bien (soit 33% ; IC [24,2% ; 42,8%]).

Figure 27 : Répartition des avis des médecins du travail sur la bonne compréhension par les psychiatres du métier de médecin du travail

Les médecins du travail formés en psychiatrie étaient plus nombreux que ceux qui n’ont pas été formés à penser que les psychiatres ne comprenaient pas bien le métier de médecin du travail (69% vs 65,6% ; p = 0,44), mais cette différence n’était pas statistiquement significative (Annexe 2).

12) Réticences des psychiatres à transmettre des informations médicales

78 médecins du travail pensaient que les psychiatres étaient réticents à leur transmettre des

33%

67%

Figure 28 : Répartition des avis des médecins du travail sur la réticence des psychiatres à leur transmettre des informations médicales

Les médecins ayant plus de 20 ans d’exercice de la médecine du travail étaient plus nombreux que ceux ayant moins de 20 ans d’exercice à penser que les psychiatres étaient réticents à leurs transmettre des informations médicales (75,9% vs 71,2% ; p = 0,37), mais cette différence n’était pas statistiquement significative (Annexe 2).

13) Méfiance des psychiatres à l’égard de l’indépendance des médecins du travail

74 médecins du travail pensaient que les psychiatres étaient méfiants à l’égard de l’indépendance des médecins du travail (soit 69,8% ; IC [60,1% ; 78,3%]).

32 médecins pensaient qu’ils ne l’étaient pas (soit 30,2% ; IC [21,7% ; 39,9%]).

Figure 29 : Répartition des avis des médecins du travail sur la méfiance des psychiatres à 73,6% 26,4% oui non 69,8% 30,2% oui non

Les médecins ayant plus de 20 ans d’exercice de la médecine du travail étaient plus nombreux que ceux ayant moins de 20 ans d’exercice à penser que les psychiatres étaient méfiants à l’égard de l’indépendance des médecins du travail (74,1% vs 65,4% ; p = 0,22), mais cette différence n’était pas statistiquement significative (Annexe 2).

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