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III. Données mycologiques

2. Résultats des cultures

2.3 Répartition des espèces isolées selon le sexe

30 40 50 60 70 80 90 100 100 84 8 4 4 3 7 25 0 4 5 0 1 0 Enfant Adulte

Figure 17: Répartition des espèces isolées en culture chez les enfants et les adultes

2.3 Répartition des espèces isolées selon le sexe

La répartition en fonction de sexe des 245 espèces identifiées, figurant dans le tableau 16 et dans la figure 18, elle montre que l’infection dermatophytique par Trichophyton violaceum a touché le sexe féminin plus que le sexe masculin avec respectivement 67 cas et 58 cas (sexe ratio M/F=0,86, tandis que Microsporum canis a atteint majoritairement le sexe masculin (75 cas contre 9 cas) avec un sexe ratio de 8,33. Trichophyton schoenleinii et Trichophyton mentagrophytes ont parasité les deux sexes avec une certaine préférence pour le sexe masculin, par contre Trichophyton soudanense a parasité les deux sexes une certaine

responsable d’une TCC chez 2 patients masculins et 7 patients de sexe féminin. En fin Trichophyton verrucosum n’a attaqué que le sexe masculin.

Tableau 18 : Répartition des espèces isolées en culture en fonction de sexe

Culture âge Nombre de cas pourcentage

Trichophyton violaceum Masculin 58 40,81%

Féminin 67 10,20%

Microsporum canis Masculin 75 34,28%

Féminin 09 0%

Trichophyton schoenleinii Masculin 07 3,26%

Féminin 05 1,63%

Trichophyton rubrum Masculin 02 1,63%

Féminin 07 2,04%

Trichophyton soudanense Masculin 01 1,63%

Féminin 03 0%

Trichophyton verrucosum Masculin 04 1,22%

Féminin 0 0,40%

Trichophyton mentagrophytes Masculin 06 2,85%

Féminin 01 0% Total 245 100% Trich ophy ton vio lace um Micr ospo rum cani s Trich ophy ton scho enlei nii Trich ophy ton rubr um Trich ophy ton soud anen se Trich ophy ton verr ucos um Trich ophy ton men tagr ophy tes 0 10 20 30 40 50 60 70 80 58 75 7 2 1 4 6 67 9 5 7 3 0 1 Masculin Féminin

Figure 18 : la répartition des espèces isolées en culture en fonction du sexe

2.4. Évolution des espèces identifiées en fonction des années

L’analyse de la fréquence des différentes espèces isolées au cours des années étudiées montre une tendance à la baisse de Trichophyton violaceum, une recrudescence de Microsporum canis

qui est passé de 6 cas à la fin des années 90 à 37 cas entre 2011-2015 et de 20 cas entre 2016 et 2019.

Une régression de Trichophyton schoenleinii. Ainsi les dermatophytes zoophiles deviennent de plus en plus fréquents au profit des espèces anthropophiles.

Tableau19 : La répartition des espèces isolées en culture en fonction des années

T.violaceu m

M.canis T. schoenleinii

T. rubrum T. soudanense T. verrucosum T. mentagrophytes 1997-2001 42 6 5 1 2 0 - 2002-2006 23 9 2 1 1 1 - 2007-2010 10 12 2 2 0 1 - 2011-2015 37 37 1 1 0 1 6 2016-2019 13 20 2 4 1 1 4 Total 125 84 12 9 4 4 4

Discussion

Les teignes du cuir chevelu (TTC) sont toujours considérées comme un véritable problème de santé publique surtout dans les pays en voie de développement. Ceci en raison du nombre croissant d’enfants atteints et du risque de contagiosité intra scolaire, cependant les données restent fragmentaires et variables selon les régions [52].

Notre étude menée au laboratoire de Parasitologie Mycologie à l’hôpital Ibn Sina de Rabat, s’est étalée sur une période de 21 ans, de 1997 à 2019 durant laquelle nous avons

diagnostiqué 248 cas de TCC. Au fil des années. La prévalence des teignes du cuir chevelu a montré une certaine régression de 1997 à 2019, cela pourrait s’expliquer par l’amélioration du mode de vie et d’hygiène corporelle des individus [53]. Une baisse similaire a été

également observée dans d’autres études. Citons comme exemple les deux études réalisées à Sousse et dans le centre tunisien [6, 54].

Notre étude montre que les teignes prédominent toujours chez les enfants d’âge scolaire et préscolaire avec 210 cas (84,7%), ce qui concorde avec les données de la littérature. La tranche d’âge la plus touchée dans notre série est celle de 6-10 ans, la moyenne d’âge est de 7,8. En revanche, les teignes du nouveau-né et du nourrisson restent rares [55]. Le partage d’objets entre enfants (peignes, bonnets, jouets…) pourrait expliquer en partie cette forte prédominance [56]. Chez l’adulte, les TCC sont moins importantes. Les 38 cas que nous avons colligés représentent 15,3% de la totalité des cas. Ce taux reste supérieur à ceux rapportés par d’autres études [54].

La faible fréquence des TCC chez les adultes est due aux propriétés fongistatiques des triglycérides, des chaines courtes et moyennes des acides gras du sébum et des hormones sexuelles. Ce qui explique la plus grande fréquence des TCC chez la femme ménopausée en raison du déficit oestrogénique [54]. Les teignes de l’adulte peuvent être liées à une infection ancienne restée méconnue ou résulter d’une contamination récente, notamment à partir d’enfants atteints.

Dans notre étude, les TCC sont plus élevée chez les garçons, 145 cas (69,05%) contre 65 cas (30,95%) chez les filles avec sexe ratio de 2,23. Cette prédominance masculine chez l’enfant est habituellement rapportée dans nombreuses études épidémiologiques des teignes, citons comme exemple l’étude réalisée à Erzurum en Turquie [57]. Elle serait due d’un coté au contact plus élevé des garçons avec les animaux d’élevage, les habitudes du jeu [55] et d’un autre côté, par la prédilection des éléments fongiques à survenir chez les garçons car ils

peuvent être implantés sur un cuir chevelu avec des cheveux courts [58]. En plus le facteur associé chez les garçons est le recours, souvent, dés l’apparition d’une plage d’alopécie sur le cuir chevelu, au rasage complet des cheveux. Par contre la prévalence plus faible des TCC chez les filles pourrait s’expliquer par le fait qu’elles bénéficient plus de soins capillaires attentionnés. Cependant une étude tunisienne a montré la prédominance féminine de ces atteintes [27].

Chez l’adulte, dans notre série le sexe ratio est de H/F=0,46 avec 26 femmes et 12 homme. Une enquête à Libreville [52] et une autre au Sénégal [52], ont montré que les teignes de l’adulte touchent plus souvent la femme que l’homme. Cette prédominance féminine serait due aux contacts plus fréquents et plus intimes des enfants avec leur mère [27].

L’aspect clinique sous forme de plaques alopéciques était observé dans 90 cas (70,3%), de lésions inflammatoires dans 13 cas (10,15%), croûteuses dans 16 cas (12,5%) et érythémato-squameuses dans 5 cas (3,90%). L’immunité de l’hôte et les facteurs antigéniques du

dermatophyte seraient responsables des différentes présentations cliniques. En effet , les espèces zoophiles ont tendance à produire, suite à une réaction allergique des infections inflammatoires suppuratives chez l’homme, malgré leur caractère asymptomatique chez l’animal [59].

L’examen mycologique est indispensable pour le diagnostic des TCC. Il est basé sur l’examen direct et la culture. L’examen direct assure en cas de positivité un diagnostic immédiat et permet de débuter le traitement et de limiter le risque de contamination de l’entourage. La culture est un complément indispensable de l’examen direct, où elle permet de corriger les résultats faussement négatifs. De plus, l’isolement du dermatophyte et son identification sont importants pour la prise en charge thérapeutique et la prophylaxie. Cependant, la sensibilité de l’examen direct et de la culture n’est pas absolue. Dans notre étude, l’examen direct était négatif dans 21 cas et la culture l’était dans 3 cas. La négativité de l’ED peut être expliquée soit par l’automédication des patients, soit par un parasitisme débutant [65]. Tandis que la culture négative peut s’expliquer par l’application de traitement antifongique préalable, ou par la contamination des cultures par des moisissures à pousse plus rapide inhibant celle des dermatophytes et ce malgré l’addition de cycloheximide au milieu de culture [56].

La répartition des espèces isolées selon l’âge a montré que les teignes trichophytiques à :

Trichophyton violaceum sont plus fréquentes chez les enfants (47,61%) suivies des teignes

Pour les adultes les teignes sont surtout de type trichophytique: Trichophyton violaceum (71,42%) et Trichophyton rubrum (14,28%). Trichophyton schoenleinii n’a été isolé que chez 4 adultes (11,42%), par ailleurs les teignes causées par, Trichophyton verrucosum,

Microsporum canis, et Trichophyton soudanense étaient moins fréquemment diagnostiqués.

D’après nos résultats, les teignes microsporiques et inflammatoires sont exclusives chez les enfants, les teignes trichophytiques touchent essentiellement l’enfant, alors que le favus et les teignes à Trichophyton rubrum touchent également l’enfant et l’adulte.

Dans notre étude, l’infection dermatophytique par Trichophyton violaceum a touché le sexe féminin plus que le sexe masculin avec respectivement 67 cas et 58 cas (sexe ratio

M/F=0,86), tandis que Microsporum canis a atteint majoritairement le sexe masculin (75 cas contre 9 cas) avec un sexe ratio de 8,33. Cela peut être expliquer par le fréquence de

l’échange des accessoires de coiffure et de foulards chez les filles, et un contact plus fréquent des garçons avec les animaux domestiques qui sont souvent des porteurs asymptomatique. De nombreuses études font état d’une prédominance féminine des teignes trichophytiques et masculine des teignes microsporiques [6,27].

Les dermatophytes de genre M.canis étaient des agents rares des teignes, cependant, nous avons noté une augmentation progressive d’une année à l’autre : de 6 cas ente 1997-2001 à 37 cas entre 2011-2015 mais entre 2016 et 2019 on a remarqué une diminution des cas. En effet, la plupart des études marocaines, au Maghreb et dans de nombreux pays du pourtour méditerranéen montrent que les teignes microsporiques sont en nette augmentation. Cette émergence remarquable de M.canis peut être expliquée par un changement au niveau des habitudes marocaines avec l’amélioration des conditions d’hygiène et la cohabitation avec le chat ou d’autres animaux de compagnie comme les chiens et les lapins. [10]. M.canis est retrouvé surtout chez les européens.

Cependant, nous avons noté une diminution de la fréquence constatée dans tous le Maghreb avec surtout une régression spectaculaire de la forme la plus grave : le favus. Dans notre série, on n’a enregistré aucun cas depuis 2010, sa fréquence au Maroc était de 8% au début des années 1980 [67].

Quant au T. verrucosum, nous avons rapporté 4 cas et T. mentagrophytes 7 cas, depuis 1997. Il reste moins fréquent et se voit plus volontiers chez les sujets vivants à la compagne et dans les régions d’élevage [1].

L’apparition des cas de TCC à T. verrucosum et T. mentagrophytes, qui étaient absente au Maroc en 1965, s’expliquerait certainement par une modification du comportement de la population marocaine même urbaine à niveau socio économique relativement bas, se livrant à une activité complémentaire d’élevage d’animaux (lapins, bovidés, moutons) même en intra-domiciliaire [10].

Les teignes du cuir chevelu à T. rubrum sont rares [60]. Dans notre série, 9 cas ont été rapportés ayant en plus une onychomycose associée. Leur prédominance chez l’adulte serait expliquée par la prédisposition à une autocontamination à partir d’un autre site [10], souvent secondairement à une onychomycose. C’est une espèce non décrite comme agent causal des TCC, son comportement aussi l’isolement de T. rubrum à partir de lésions de TCC [56].

Certaines souches comme T. soudanense ont été récemment introduites dans notre pays, avec le flux important des immigrants de l’Afrique sub-sahélienne [61]. C’est dans ce cadre que nous avons inclus les cas enregistrés dans notre série. Ils sont tous des personnes venants de ces pays. En France, une étude était faite Val-de-Marne entre 1998 et 2002 [62] a montré la prédominance de T. soudanense chez les patients originaires d’Afrique Sub-Sahélienne (71%), d’Europe (10%), Caraïbe (5%), Afrique du Nord (5%).

En faisant une comparaison avec quelques études effectuées dans le monde [49,52], nous remarquons la prédominance des espèces T. violaceum et M. canis au Maghreb : une enquête à l’institut pasteur d’Algérie de 1995 à 2015 montre que T. violaceum est l’espèce

prédominante. Mais à partir de l’année 2011 il été observé une augmentation du M.canis et diminution de T. violaceum [66]. Alors qu’une autre étude à Tunisie a montré que les teignes trichophytiques à T. violaceum sont toujours les plus fréquentes. Les teignes microsporiques, exceptionnelles en 1950, ont commencé à apparaître au début des années 1980 pour devenir quasiment aussi fréquentes que les teignes trichophytiques, Le favus qui représentait 25% des teignes en 1950, est devenu exceptionnel [65]. Aux États-Unis une étude était faite à

Columbus, Ohio entre 2001 et 2006 [63,66] a montré la prédominance de T.tonsurans à 88,9% chez les Afro-Américains.

Conclusion

Les teignes du cuir chevelu représentent l’infection fongique la plus rencontrée chez l’enfant avant la puberté. Elles sont toujours considérées comme un véritable problème de santé publique en raison du nombre important de sujets atteints.

Au terme de cette étude, nous mettons l’accent sur la prédominance de Trichophyton

violaceum comme le premier agent responsable de teignes du cuir chevelu, suivi de

Microsporum canis. Conformément aux données de la littérature, Trichophyton schoenleinii

agent de favus a nettement régressé dans notre série. Les teignes de l’adulte considérées comme rares ne sont pas exceptionnelles. L’aspect souvent trompeur de ces teignes doit mener tout praticien à demander un examen mycologique devant des lésions chroniques du cuir chevelu. Le laboratoire permet de poser un diagnostic de certitude et d’identifier les agents responsables, étape indispensable pour connaitre l’origine de l’infection et lutter efficacement contre la propagation de cette mycose.

La prévalence relativement élevée de ces teignes chez l’enfant doit nous inciter a sensibiliser davantage le corps enseignant, les services d’hygiène scolaire et les parents sur l’intérêt des consultations régulières pour un dépistage précoce et un traitement efficace.

Résumé

Les teignes du cuir chevelu (TCC) sont des mycoses dues à l’infestation des cheveux par des dermatophytes. Elles sont fréquentes dans les pays en voie de développement dont le Maroc. L’objectif de ce travail est de décrire, le profil épidémiologique, clinique et mycologique des TCC à l’Hôpital Ibn Sina de Rabat.

Il s’agit d’une étude rétrospective, descriptive et analytique concernant les patients qui présentaient une teigne du cuir chevelu et qui venaient en consultation au service de parasitologie mycologie pour un prélèvement mycologique. Cette étude est étalée sur une période de 23 ans allant de l’année 1997 à 2019. 248 cas de teigne de cuir chevelu diagnostiqués au laboratoire de Parasitologie Mycologie de l’hôpital Ibn Sina de Rabat. Pour chaque malade, nous avons recueilli à partir des registres du laboratoire les données

épidémiologiques, cliniques et mycologiques.

Les cheveux et les squames ont été prélevés et examinés au microscope optique et cultivés sur les différents milieux de Sabouraud. Les espèces ont été identifiées selon les caractères macroscopiques et microscopiques des cultures.

Sur les 248 cas de TCC, l’âge moyen des patients était de 9,6 ans avec des extrêmes allant de 30 mois à 90 ans. Le sex-ratio M/F était de 1,72 en faveur des garçons. Nous avons colligé 210 cas (84,7%) de TCC chez les enfants et 38 cas (15,3%) chez les adultes.

La répartition des espèces isolées selon l’âge a montré que les teignes trichophytiques à :

Trichophyton violaceum sont plus fréquentes chez les enfants (47,61%) suivies des teignes

microsporiques à Microsporum canis (40%).

Pour les adultes les teignes sont surtout de type trichophytique: Trichophyton violaceum (71,42%) et Trichophyton rubrum (14,28%). Trichophyton schoenleinii n’a été isolé que chez 4 adultes (11,42%), par ailleurs les teignes causées par, Trichophyton verrucosum,

Microsporum canis, et Trichophyton soudanense étaient moins fréquemment diagnostiqués.

D’après nos résultats les teignes microsporiques et inflammatoires sont exclusives chez les enfants, les teignes trichophytiques touchent essentiellement l’enfant, alors que le favus et les teignes à Trichophyton rubrum touchent également l’enfant et l’adulte.

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