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Ce chantier avait pour objectif de réunir quelques étudiants en information-communication (UFR INFOCOM, Lille3) provenant de plusieurs promotions. Étant donné que tous les étudiants d’INFOCOM effectuent un stage chaque année, ce chantier ne pouvait rassembler que ceux dont nous étions la responsable de stage.

Étaient susceptibles de faire partie de ce chantier des étudiants en : L3 IUP INFOCOM, M1 IUP INFOCOM, M2 IUP INFOCOM et M2 spécialisés en métiers de la communication.

En fonction de la formation suivie, la période, la durée et les objectifs du stage ne sont pas les mêmes pour les différentes promotions (cf. annexe 11, guide des stages 2004/2005).

Spécificités des stages en IINFOCOM

formation période durée min. objectifs domaines

d’activité

L3 IUP début juin- fin

juillet

6 semaines stage opérationnel ; mettre en place une stratégie de communication

multiples

M1 IUP février – mi-mai

3 mois étude-conseil multiples

M2 IUP début février- fin juillet

6 mois stage opérationnel multiples M2 spécialisés début mai – fin

juillet

3 mois étude conseil multiples

Caractéristiques du public visé :

- Il s’agit d’étudiants en majorité en formation initiale qui suivent des cours en présentiel et se retrouvent donc tous les jours dans les mêmes locaux, sauf pendant leur période de stage, pendant laquelle ils peuvent être plus ou moins éloignés géographiquement (Lille, région du Nord, autres régions, étranger).

- les étudiants ne se connaissent pas forcément ;

- ils n’ont pas tous la même expérience antérieure : certains n’ont jamais effectué un stage et rédigé un rapport (en licence et en M2 spécialisés), d’autres en ont déjà effectué plusieurs ; les difficultés rencontrées ne sont donc pas les mêmes pour tous ;

- ils poursuivent des objectifs différents ;

- ils effectuent leur stage dans des domaines différents ;

- leurs périodes de stage se chevauchent ; les mois de juin et juillet sont les périodes où la majorité est susceptible d’effectuer son stage en même temps.

3.2. Connaissance préalable du public visé

Un an avant la mise en place de L’EN, nous avions procédé à une enquête auprès de la promotion IUP1 INFOCOM (mai 2004), identifiée comme public visé de façon prioritaire car ces étudiants sont engagés dans une formation sur trois ans dans le dispositif en question.

Deux méthodes ont été utilisées :

- la diffusion et l’exploitation d’un questionnaire portant sur le profil socioprofessionnel des étudiants, leur environnement matériel numérique, leur accès à des services sur Internet, les types de pratiques de communication en formation, leur relation aux nouvelles technologies et en particulier à l’ordinateur, leurs représentations sur l’apprentissage et la collaboration. (Cf.

Annexe 7). Ce questionnaire avait été élaboré en commun dans le groupe PCDAI et avait été diffusé auprès de nos différents publics étudiants qui devaient composer les chantiers mis en place.

- deux entretiens individuels semi-directifs réalisés avec des étudiants volontaires, issus de la formation IUP1 (mai 2004), qui visait un approfondissement de la réflexion au niveau des pratiques de collaboration entre pairs et les représentations sur l’usage des nouvelles technologies.

3.2.1. Résultats du questionnaire

Les analyses détaillées sous forme de tri à plat avec les données quantitatives figurent en annexe (cf. annexe 8). Ne seront signalés ici que les résultats les plus marquants issus des questionnaires complétés par 40 étudiants de la promotion IUP1 en mai 2004.

En ce qui concerne le profil socioprofessionnel, l’âge moyen des étudiants est de 21 ans ; la population enquêtée est composée de 82% de femmes et de 18% d’hommes. 70% vivent seules, 20% en famille. 87% des répondants sont en formation initiale.

Utilisation de l’ordinateur répandue mais limitée

Si l’on regarde l’accès à l’ordinateur et son usage, 93% disposent d’un ordinateur et 55% des enquêtés l’utilisent quotidiennement, 30% souvent.

88% des répondants utilisent l’ordinateur au domicile familial, 80% sur le lieu de formation et seulement 58% au domicile étudiant.

Les usages les plus récurrents identifiés sont : l’impression (95%), la recherche d’informations (95%), la rédaction (93%) la communication (73%), l’envoi et la réception des fichiers (60%) et le téléchargement (50%).

Ces résultats montrent l’usage très répandu de l’ordinateur et l’importance de l’accès à l’ordinateur sur le lieu de formation, qui est parfois difficile dans notre UFR. En effet, étant délocalisée à Roubaix, l’UFR INFOCOM dispose de 2 salles informatiques, 1 seule salle était en service en 2004. Les enseignements en lien avec l’utilisation de l’outil informatique ont lieu dans cette salle. Les étudiants n’y ont accès qu’en dehors des cours et pendant les permanences assurés par des moniteurs. En effet, pour des questions de sécurité et de respect de la charte informatique de Lille 3, les étudiants ne peuvent utiliser une salle informatique sans surveillance.

Si l’on regarde dans le détail les équipements périphériques autour de l’ordinateur, on s’aperçoit que 95 % des enquêtés disposent d’une imprimante, 93% d’un lecteur CD, 68%

d’un lecteur DVD, 55% d’un scanner et seulement 13% d’une clé USB20. Par ailleurs, 100%

déclarent utiliser un traitement de texte, seulement 78% un tableur, 45% un logiciel de base de données et 43% un logiciel de traitement d’image. Ceci montre que dans l’ensemble, nos étudiants font un usage assez limité de l’outil ordinateur, ils s’en servent notamment pour créer des fichiers texte.

20 La situation doit être sensiblement différente aujourd’hui.

Interrogés sur leur relation à la machine, 70% des enquêtés déclarent bien aimer, 50% sont à l’aise, 28% se sentent malhabiles et seulement 8% sont bloqués. 79% des étudiants écrivent directement sur l’ordinateur.

Accès à Internet

Par ailleurs, en majorité, les étudiants accèdent à des services sur Internet : - 69% ont un fournisseur d’accès (Wanadoo et Free principalement) ;

- 85% consultent leur messagerie sur leur lieu de formation, 65% au domicile ; - 53% utilisent leur e-mail tous les jours, 29% toutes les semaines ;

- 58% utilisent des chats, 11% sont inscrits à un ou plusieurs forums,

Les raisons d’une utilisation peu fréquente d’Internet sont des problèmes d’accès (28%) et les coûts élevés (13%).

Les étudiants interrogés sur leurs pratiques de communication via Internet dans le cadre de leur formation déclarent une pratique occasionnelle par ce média :

- 33% communiquent avec les enseignants ; - 18% communiquent avec l’administration ; - 49% communiquent avec les autres étudiants.

Ces résultats montrent que l’accès à Internet à domicile n’est pas aussi banalisé21 que l’accès à l’ordinateur. L’usage de ce moyen de communication avec les acteurs de la formation est aussi relativement rare, parce que la formation se déroule en présentiel et le contact direct avec les pairs, l’administration et les enseignants et quasi quotidien22.

Travail collaboratif

Enfin, concernant les représentations sur le travail collaboratif, 48% des enquêtés préfèrent travailler seul et 20% ne travaillent en groupe que par obligation. Certains déclarent aimer travailler en groupe mais estiment que cela prend du temps. Hors Internet, la collaboration entre pairs s’organise de façon informelle.

En conclusion, Les étudiants sont relativement bien équipés en NT, ils utilisent de façon régulière l’ordinateur et Internet, ce dernier souvent sur leur lieu de formation. L’usage de l’ordinateur reste néanmoins assez basique avec des fonctionnalités simples. Quant au travail collaboratif, il ressort une réticence vis-à-vis du travail en groupe.

3.2.2. Résultats des entretiens semi-directifs

Nous avons réalisé deux entretiens individuels semi-directifs avec des étudiants volontaires, un étudiant en FI et une étudiante en FC. Nos questions ont porté sur le travail collaboratif et les nouvelles technologies utilisées dans le cadre de la formation. Ces entretiens ont visé à la fois les pratiques et les représentations des étudiants concernant ces objets.

Importance des qualités humaines dans une collaboration

A. est en formation initiale et n’aime pas travailler en groupe, car s’il travaille tout seul, il est plus sûr des résultats obtenus. S’il faut travailler en groupe, il pense que la complémentarité des compétences est importante pour éviter les redondances dans le travail. Il est très exigeant avec les autres (vis-à-vis de lui-même aussi) et a tendance à avoir un rôle dominant tout en restant diplomate car, selon lui, il est essentiel de garder la cohésion du groupe. Il déclare que

21 Aujourd’hui l’écart peut être moins important.

22 Notons que même si la quasi totalité des collègues utilisent l’ordinateur et Internet dans le cadre de leur activité professionnelle, les bureaux de l’UFR sont sous équipés en matériel informatique. La plupart des bureaux sont équipés d’un seul ordinateur, généralement ancien, partagé par deux ou trois collègues. Plusieurs collègues se plaignent de cette situation. Nous-même avons fait une demande pour obtenir un ordinateur supplémentaire dans notre bureau dès notre arrivée à l’UFR INFOCOM, en automne 2002. Notre requête, plusieurs fois renouvelée, n’a jamais abouti.

la cohésion du groupe et les qualités humaines sont importantes dans le cadre d’une collaboration, que « il faut pouvoir supporter les gens avec qui l’on travaille, il faut être posé, prendre les choses avec du recul, pour éviter l’émergence d’un conflit ».

Il a vécu plusieurs situations de travail de groupe pendant l’année universitaire en cours, il a réussi à trouver un groupe stable, des étudiants avec qui il s’entend bien, il estime donc que ça s’est bien passé.

Il utilise plusieurs moyens pour le travail en groupe : le présentiel, le téléphone, les mails avec dossiers joints. L’échange de données se fait sous forme de disque, disquette, fichier papier imprimé, papier brouillon. Le travail de mise en commun se passe toujours en présentiel. Il fait remarquer que la plupart des étudiants n’ont pas de matériel chez eux à cause par exemple des problèmes de sécurité en cité universitaire.

Quant à lui, il est bien équipé en nouvelles technologies : il dispose d’un ordinateur fixe et d’un portable, mais en fait surtout une utilisation personnelle avec des pratiques parfois à la limite de la légalité.

Il estime que pour pouvoir bien collaborer, il faut se retrouver physiquement car « on a besoin de contact humain et de se connaître avant de pouvoir collaborer, surtout quand on est étudiant ».

Pour mieux collaborer : nécessité du contact humain

Pour V. une étudiante en formation continue, Internet est un moyen d’acquérir des connaissances s’il y a un partage ; ce qui est intéressant c’est d’avoir un échange. Elle considère comme « mauvais usage » lorsque Internet est utilisé comme une source de données sans partage.

Elle pense qu’une collaboration est efficace « dès lors qu’on définit pourquoi et comment on communique, il faut de la rigueur et être sur le même niveau technique » (si la collaboration se fait par Internet).

Concernant le travail en groupe dans le cadre de la formation, elle prend souvent les choses en main, elle pense être exigeante, perfectionniste. Elle a tendance à mener, organiser, structurer.

Elle souligne l’importance de l’intérêt porté au travail, l’investissement, la souplesse, la tolérance, l’écoute et la convivialité : « On se fait à manger, on arrive avec des croissants. Il est important de créer un contexte de travail qui soit agréable à tout le monde. Le contact humain est nécessaire ».

Selon elle, le travail à plusieurs n’est pas un travail linéaire, « il y a des étapes qui s’imbriquent, cela demande plusieurs mises au point ». Elle parle de « fédération des énergies » de notion de « plaisir et d’enrichissement ».

Quant aux pratiques de travail, elle utilise aussi le téléphone ou Internet, mais préfère échanger en présentiel. Elle n’aime pas travailler par téléphone, elle préfère se déplacer pour rencontrer les autres.

Elle n’a pas d’accès à Internet chez elle et évoque un problème de compatibilité du fait qu’elle dispose d’un Macintosh. De plus, elle souligne la difficulté à accéder à Internet sur le lieu de formation car « les ordinateurs se plantent souvent ». Selon elle, l’accessibilité n’est pas adaptée aux besoins, elle propose de séparer les postes reliés à Internet de ceux équipés de la bureautique.

Il ressort de ces deux entretiens que ces étudiants ont identifié plusieurs difficultés pour travailler en groupe : la difficulté d’adaptation, les différences en terme d’exigence par rapport au travail attendu, les différences de compétences, etc. Ils y associent néanmoins les notions de partage, d’enrichissement, de plaisir, de convivialité. Ils soulignent l’importance des qualités humaines, de la motivation et la nécessité de se voir physiquement pendant la période de travail. Même s’ils utilisent de façon occasionnelle les outils de NT et Internet en particulier pour échanger des données, l’essentiel de leur collaboration se fait en présentiel.

Ceci par besoin de contact humain, mais aussi par manque d’équipement personnel. En effet,

tous les étudiants ne sont pas équipés en NT à leur domicile étudiant. Sont évoquées aussi les difficultés d’accéder aux NT et à Internet en particulier sur le lieu de formation (voir ci-dessus).

3.3. Obstacles identifiés à l’usage de l’EN

Un certain nombre d’obstacles et difficultés concernant l’usage de l’EN découlent des spécificités du dispositif de formation et du public visé, de leurs pratiques d’apprentissage et représentations sur la collaboration entre pairs.

Les tableaux suivants mettent en lumière les différences de ce chantier par rapport aux autres chantiers PCDAI et les obstacles qui en découlent pour le public visé à utiliser l’EN mis en place.

Par son contenu, ce chantier se rapproche du chantier 1 « Suivi de Mémoire professionnel ».

Mais il s’en éloigne aussi par plusieurs points concernant le dispositif de formation et le profil des étudiants.

Chantier 1 Chantier 2

formation continue formation initiale

les étudiants ont un statut de salarié statut étudiant uniquement dans l’offre de signification faite aux

étudiants, l’EN est présenté comme un milieu virtuel intégré à l’offre de formation

l’EN n’est pas intégré au dispositif de formation (les étudiants ne sont pas obligés de passer par EN pour valider leur formation) utilité de l’EN pour la suite pas d’utilité immédiate pour la suite ;

étudiants motivés pour utiliser l’EN

;

quelle motivation ?

Au niveau du dispositif de formation et du profil des étudiants, ce chantier est proche du chantier 3 « Organisation d’une JIP », mais présente aussi des différences et s’en éloigne complètement quant aux contenus.

Chantier 3 Chantier 2

lieu : UFR INFOCOM lieu : UFR INFOCOM

étudiants provenant de deux M2 spécialisés public hétérogène période concerné : période des cours période après les cours

même période pour tous chevauchement des périodes de suivi étudiants intéressés pour constituer une base

de données commune

pas d’intérêt particulier et immédiat pour mutualiser des données

Par ailleurs, nous avons identifié un certain nombre d’obstacles qui pouvaient freiner l’usage de l’EN. Les étudiants visés ne se connaissent pas forcément, poursuivent des objectifs différents, exercent dans des domaines d’activités variés, ont des expériences et une motivation inégales en ce qui concerne leur souhait de collaborer pendant le suivi ou l’élaboration de leur rapport. Le travail de groupe est un mode de fonctionnement très répandu dans la formation, mais bon nombre d’étudiants sont réticents. Ils sont néanmoins amenés à collaborer très régulièrement, mais évitent dans ce cadre d’utiliser les nouvelles technologies car ils est plus simple pour eux de se rencontrer dans les locaux ou au domicile d’un membre du groupe constitué ; ils considèrent également que dans un travail de groupe l’aspect humain et convivial sont primordiaux ; enfin ils pensent qu’en se réunissant régulièrement physiquement, leur collaboration est plus efficace.

Les étudiants ne sont pas forcément équipés en nouvelles technologies, ils ont certes tous accès à Internet mais ne disposent pas forcément d’un abonnement haut débit. Par ailleurs, sur leur lieu de stage ils n’ont pas forcément accès à un ordinateur personnel et à Internet à tout moment. Ce problème d’équipement peut mettre en péril ce chantier.

L’EN n’étant pas intégré au dispositif de formation, les étudiants ne peuvent pas être contraints de l’utiliser. Aussi, l’appropriation de nouveaux outils de travail demande un investissement personnel important. Le public visé peut-il trouver une motivation suffisante pour s’investir dans ce chantier pour une utilisation somme toute ponctuelle et de courte durée (Pouiller, 2005) ?

Dans quelle mesure les étudiants acceptent-ils de modifier leurs habitudes d’échange : privilégier les échanges horizontaux (entre pairs) par rapport aux échanges verticaux (étudiants <HQVHLJQDQWGDQVOHFDGUHG¶XQHDFWLYLWpSpGDJRJLTXHVXLYLGHVWDJHVTXLHVW considérée par eux comme basée ordinairement sur une relation privilégiée avec l’enseignant tuteur ?

3.4. Public réel

Les usagers de la plate-forme sont composés de 18 étudiants en Licence INFOCOM, ayant un stage opérationnel de 6 semaines à effectuer à compter du 1er juin 2005. Malgré nos attentes, il s’agit donc d’un public homogène, d’étudiants qui se connaissent car ils font partie de la même promotion. Comme précisé ci-dessus, nous n’incluons pas dans notre analyse nos étudiants rédigeant un mémoire de recherche dans la mesure où l’accompagnement des mémoires ne constitue pas l’objectif principal de cette étude.

Nous avons administré le même questionnaire (cf. annexe 7) visant à établir le profil des étudiants et leur taux d’équipement à ce public qui était d’ailleurs présent dans notre enquête en mai 2004. Notre objectif était de mieux cerner les utilisateurs de l’EN et de voir si les tendances décelées en 2004 étaient les mêmes dans ce groupe plus restreint. Nous avons obtenu 14 réponses sur les 18 escomptées(cf. annexe 9).

En ce qui concerne le profil du public, il s’agit d’étudiantes âgées en moyenne de 21 ans, elles sont toutes en formation initiale. La majorité vit seule (60%) et seulement 15% vivent en famille. 85% d’entre elles disposent d’un ordinateur personnel, 60% des enquêtés utilisent l’ordinateur de façon quotidienne, 35% déclarent s’en servir souvent. 60% ont un fournisseur d’accès dont 75% disposent d’un haut débit. Ces résultats confirment ceux de 2004 : l’usage de l’ordinateur est banalisé, mais les étudiants ne disposent pas forcément d’un accès à internet. Celles qui utilisent peu Internet évoquent un problème d’accès (20%), le coût (15%) et un problème de puissance (15%). Dans l’ensemble, ces étudiants aiment bien nouvelles technologies (60%), seulement 20% se sentent malhabiles face à la machine.

Enfin concernant la collaboration, la majorité préfère travailler seule (70%) alors qu’un an auparavant seulement 48,5% des étudiants ont fait la même déclaration. Cette attitude vis à vis du travail collaboratif semble être un obstacle important à la collaboration entre pairs sur la plate-forme. En effet, l’accompagnement entre étudiants étant contraire au fonctionnement habituel en suivi de stage, il nous semble difficile de modifier les habitudes à cet égard.

4. LE SUIVI DE STAGES

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