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LES BOUGIES

DE VITRÉ

KORIAKINA Valeriia LE POMMELET Nicolas SAVARY Lou

Le décor médiéval domine l’identité urbaine de Vitré grâce à ses maisons à pans de bois omnipré- sentes et son château du 13ème siècle, visible dès la gare.

Pour faire écho à ce passé, nous avons décidé de nous inspirer de l’éclairage urbain d’antan : éclai- rage à la bougie, chandelles, lanternes, et de la profession du falotier qui allumait les réverbères... L’incandescence sera donc le fil rouge de notre éclairage urbain.

Les dispositifs vont ainsi diffuser une gamme de lumières chaudes dont certaines seront en mou- vement pour rappeler la lueur de la flamme d’une bougie.

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LES BOUGIES

DE VITRÉ

KORIAKINA Valeriia LE POMMELET Nicolas SAVARY Lou

Le décor médiéval domine l’identité urbaine de Vitré grâce à ses maisons à pans de bois omnipré- sentes et son château du 13ème siècle, visible dès la gare.

Pour faire écho à ce passé, nous avons décidé de nous inspirer de l’éclairage urbain d’antan : éclai- rage à la bougie, chandelles, lanternes, et de la profession du falotier qui allumait les réverbères... L’incandescence sera donc le fil rouge de notre éclairage urbain.

Les dispositifs vont ainsi diffuser une gamme de lumières chaudes dont certaines seront en mou- vement pour rappeler la lueur de la flamme d’une bougie.

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Le plan se dessine autour de 7 points remarquables de la ville qui articulent un cheminement touristique piétonnier.

Dirigée vers le sol des rues, la lumière dévoilera aux passants ce cheminement qui les guidera au cœur de la ville pour découvrir toutes ses facettes. L'occasion est alors de repenser totalement l'éclairage urbain de la ville pour créer une unité. La prome- nade au cœur des rues historiques disposera de nouveaux candélabres, agrémentés de gobos diffusant une lueur brisée, de couleur orangée. Les rues seront alors revêtues d'un tapis de lumière ondulant. Le reste de la ville disposera de ces mêmes candélabres, cette fois-ci fixes. L’intensité de l’éclairage variera en fonction des flux, de la répartition des piétons et véhicules motorisés sur la voie et de la vitesse autorisée. Les points et places remarquables (Porte d’Embas, d’En-Haut, place du Château, place Notre-Dame, cour du Couvent des Bénédictins, passerelle Tetrarc, Poterne Saint- Pierre, Porte Gâtesel) seront mis en valeur par un dispositif lumineux incrusté dans le sol.

Les ouvertures des bâtiments iconiques de la ville (château, église, Tour de la Porte d’Embas, Tours de la Porte d’En-Haut, le couvent des Bénédictins, Centre Jacques Boyer) seront éclairées de l’intérieur par une lueur orangée. Les façades, remarquables le jour, ne seront pas éclairées afin de deviner leurs volumes par un jeu de semi- obscurité. Ceci restituera l’imaginaire d’une vie nocturne à l’intérieur, pour recréer l’ambiance chaleureuse de l’époque, où l’on s’éclairait à la bougie et se chauffait au coin du feu...

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Le plan se dessine autour de 7 points remarquables de la ville qui articulent un cheminement touristique piétonnier.

Dirigée vers le sol des rues, la lumière dévoilera aux passants ce cheminement qui les guidera au cœur de la ville pour découvrir toutes ses facettes. L'occasion est alors de repenser totalement l'éclairage urbain de la ville pour créer une unité. La prome- nade au cœur des rues historiques disposera de nouveaux candélabres, agrémentés de gobos diffusant une lueur brisée, de couleur orangée. Les rues seront alors revêtues d'un tapis de lumière ondulant. Le reste de la ville disposera de ces mêmes candélabres, cette fois-ci fixes. L’intensité de l’éclairage variera en fonction des flux, de la répartition des piétons et véhicules motorisés sur la voie et de la vitesse autorisée. Les points et places remarquables (Porte d’Embas, d’En-Haut, place du Château, place Notre-Dame, cour du Couvent des Bénédictins, passerelle Tetrarc, Poterne Saint- Pierre, Porte Gâtesel) seront mis en valeur par un dispositif lumineux incrusté dans le sol.

Les ouvertures des bâtiments iconiques de la ville (château, église, Tour de la Porte d’Embas, Tours de la Porte d’En-Haut, le couvent des Bénédictins, Centre Jacques Boyer) seront éclairées de l’intérieur par une lueur orangée. Les façades, remarquables le jour, ne seront pas éclairées afin de deviner leurs volumes par un jeu de semi- obscurité. Ceci restituera l’imaginaire d’une vie nocturne à l’intérieur, pour recréer l’ambiance chaleureuse de l’époque, où l’on s’éclairait à la bougie et se chauffait au coin du feu...

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LEDs rougeoyantes incrustées dans le sol semblables à des braises: pour les places et points remarquables.

Des LED rougeoyantes évoqueront des braises in- candescentes. L’installation sera interactive avec les passants : une faible lueur constante s’intensifiera au passage des piétons pour s’évanouir avec leur éloi- gnement.

Candélabres mobiles, lumière orangée: pour la promenade au cœur des rues historiques.

Avec les nouveaux candélabres, agrémen- tés de gobos diffusant une lueur brisée et asso- cié à un système méca- nique, l'éclairage devien- dra mouvant, restituant ainsi la dynamique visuelle d'une flamme.

Éclairages diffusant une lueur orangée depuis l’intérieur des ouver- tures des bâtiments iconiques : lecture des grands volumes

Les luminaires en applique viendront s’adapter aux volumes des bâtiments pour mieux les mettre en valeur.

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É M E RV E I L L ÉS