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Vu que notre sujet de recherche traite une thématique qui touche non seulement aux élèves mais aussi aux enseignants, nous avons voulu avoir leurs avis a eux aussi et pour cela nous leur avons concocté un second questionnaire dédier spécialement pour eux ciblant les enseignants de 3ème années secondaire seulement.

Nous essayerons à travers nos questions directes et indirectes d’avoir leurs visions des faits

Question 1

Dans le but de trouver du contenu culturel présent au sein d’une situation d’apprentissage entre élèves de 3ème année secondaire et leurs enseignants. Nous avons opté

pour la question suivante : Quel genre de contenu culturel enseignez-vous à vos apprenants ? Et le résultat annonce des réponses toutes aussi différentes les unes des autres ; on y trouve de la culture universelle, de l'histoire, le combat contre le racisme dans le monde, la musique, l'audiovisuel, les traditions les arts, la littérature le théâtre, ou encore comment être un citoyen du monde et s'ouvrir à toutes les cultures et confessions et être réceptif à toutes les valeurs qui peuvent servir un être vivant. A affirmé l'un des enseignants questionnés

Ce qui nous amène à dire que les enseignants, dans leur tâche, ne sont pas synchronisés sur le point culturel. Au fait, chacun propose ce qu'il veut aux apprenants que cela soit de la culture algérienne, arabe, française ou universelle il ne subsiste cependant toujours pas de terrain d'entente.

Question 2

Le mot interculturel comme il a été désigné dans la partie précédente est définie comme suite : l'interaction entre deux ou plusieurs cultures permettant dans son processus la cohabitation des différences ethnique religieuse des traditions et des coutumes, le terme peut être définie selon le domaine dont il est traité

Ou comme l'a définie j.p Cuq dans le dictionnaire de didactique de français « L’interculturelle suppose l’échange entre les différentes cultures, l’articulation, les connexions, les enrichissements mutuels »31

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Si on met cette définition avec celle de nos enseignants questionnés, dans une situation de comparaison, on remarquera qu’il existe effectivement des divergences mais on trouve aussi des ressemblances.

De ce fait, l'ensemble des réponses cumulées définissent l'interculturel comme un échange entre les cultures, sa diversité partagée dans un groupe de personnes de différent des origines, véhiculant le bien qu'elles portent et la complémentarité qu'ils ont les uns pour les autres, sans altérer les valeurs, les principes et les religions tout en amenant les individus à communiquer entre eux à l'échèle planétaire. Ce’ qui d’ailleurs stimule les rencontres, les échanges de la vie et le travail avec les interlocuteurs issus de contextes linguistiques et socioculturels parfois très différents

Question 3

Quant à la question n°3 « que pourrait apporter la compétence interculturelle à l'apprentissage du FLE chez l’apprenant ?

On remarquera qu'il y a plusieurs réponses différentes mais les causes qui reviennent le plus c'est que l'apport le plus important de l'enseignement de la culture est qu'il éveille l'envie de communiquer et connaître l'autre et de s'ouvrir sur lui, et le développement d'un esprit critique et l'acquisition de connaissances en parallèle à la langue apprise, c'est une véritable école a affirmé l'un des enseignants questionnées : puisque malgré la réticence des jeunes aujourd'hui à apprendre et parler la langue française, il se trouve tout de même contraint d'apprendre pour leur facilité l’accès aux informations via les '’NTIC’’

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Selon les résultats obtenus depuis la 4ème question « pensez vous nécessaire la fusion langue et culture dans l'enseignement apprentissage du FLE » plus de 80% des enseignants sont d'accord pour dire qu'il n'y a pas l'une sans l'autre, le pourcentage restant représente les enseignants qui trouve que la fusion entre les deux n'est pas du tout nécessaire et pour cause selon la réponse d’un questionné : la possibilité d'enseigner une langue étrangère avec la culture natale de l’élève.

Ce qui est de la majorité adhérente la justification avancée est que

 les expressions idiomatiques ne peuvent être comprisses sans l'acquisition d'une culture propre à la langue cible.

 les mots et phrases de la langue française sont parfois issus des coutumes et des cultures.

 pour que l'identification de l'apprenant puisse se faire (par rapport à l’autre).

 faciliter l’intégration et la communication.

Il faut tout de même avoir une certaine finesse dans l'enseignement de la culture d'autrui afin d’éviter l’assimilation où l’acculturation Ce qui est la problématique de notre recherche

Question 5

83% 17%

REPRÉSENTATION GRAPHIQUE DE LA QUESTION 04

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« Sûr quelle échelle placez-vous le rôle de l’interculturel dans l’enseignement du FLE » suite à cette question, les enseignants questionnés ont répondu aux propositions prédisposées à 66,7 par la proposition important et par très important à 33,3 alors que les propositions restantes n’ont pas été cochés 00. Les chiffres expliquent l’acceptation totale du rôle de l’interculturel dans l’enseignement du FLE et son importance n'est pas discutable au sein de nos questionnés.

Question 6

Oui non

Nbr % nbr %

10 83.3% 2 16.7%

L’évaluation de la compétence interculturelle et après avoir récupéré les résultats de la 6ème question, on constate que c'est un fait omniprésent où réel chez nos enseignants

questionnés puisqu’ils ont répondu à la question évaluez-vous leurs compétences interculturelles à 83,3 par oui et 16,7 par non. Les adhérents ont mentionné leur façon de faire après demandes et leurs réponses ont été comme suit :

Évaluation direct…

33%

67%

0% 0%

REPRÉSENTATION GRAPHIQUE DE A QUESTION 05

53  Parler des civilisations

 A travers des projections sous forme de films d'émissions ou des tableaux à interpréter...

 Questions, tests évaluatifs de leurs connaissances sur différentes cultures et différentes langues.

 Que saviez-vous de la culture de ce pays Evaluation indirecte

 étudier des textes qui ont pour thème ce qui touche les niveaux de langue, oublier les textes argumentatifs ou les auteurs présentant leurs arguments en rapport avec leur vie quotidienne qui est complètement différente de la nôtre

 les activités ludiques

Question 7

oui non

nbr % nbr %

3 25% 9 75%

Tableau représentatif de la question 07

25%

75%

REPRÉSENTATION GRAPHIQUE DE LA QUESTION 07

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Nous avons pu observer grâce aux réponses obtenues depuis la 7ème question Que ¾ des questionnaires soit 75% ont répondu par non à la question « Avez-vous reçu une formation pour enseigner des savoirs d’ordre culturel où interculturel » ce qui pourrait représenter un réel handicap pour l'enseignant se trouve parfois dans des situations l'obligeant à expliquer aux élèves des faits d’ordre interculturelles pour transposer un savoir savant ou un savoir à enseigner. Par exemple les pratiques religieuses, l'art culinaire, des structures de phrases qui relèvent de la culture d'une langue étrangère. Les 25% restants ont eu la chance de recevoir cette formation Parmi eux un enseignant de 32 ans d’expérience diplômée de l’ENS, une enseignante, avec 3ans d’expérience diplômée d’un master de littérature française moderne, un mastérant avec 8 ans d'ancienneté.

Question 8

Y a-t-il une différence de niveau entre élèves ayant acquis une compétence interculturelle et élève ne connaissant que sa culture natale, autrement dit le passage d'une compétence culturelle à une compétence interculturelle contribue-t-il à l'amélioration du niveau linguistique de l’apprenant de FLE. Nous avons, de ce fait, soumis nos enseignants à cette interrogation, et à l'unanimité, ont répondu qu'effectivement la compétence interculturelle à bien le mérite d'aider l'élève à progresser linguistiquement. Les 91,7% des votants nous permettent donc de dire que bien évidemment l’interculturalité chez l’élève est un plus pour lui qui le permettra de comprendre des structures syntaxiques que celui qui n'a

8%

92%

GRAPHIQUE 08

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dans son porte folio que sa culture natale ne comprendra pas. N’empêche que 8,3% considère que ce processus est inutile pour l’apprentissage du FLE. Peut-être parce qu’ils croient que le système de code est suffisant pour que la langue soit compréhensible.

Question 9

Le manuel scolaire dans son rôle d’accompagnateur des élèves dès leur première année du primaire étant un document didactisé par une équipe de pédagogues enseignants, devrait être parfaitement confectionné néanmoins selon les réponses de nos enseignants questionnés. Le Manuel scolaire de 3ème année secondaire n'est pas pensé de façon à favoriser l'enseignement de l'interculturel puisque 75 d'entre eux ont répondu par non. Les 25 restants sont d’accord pour dire que le manuel favorise bel et bien le côté interculturel, d'après nos analyses faites sur l'objet en question il encourage le côté culturel (culture algérienne) avec des sujets qui traitent de l’histoire de l’Algérie

Question 10

Afin d’avoir des réponses directes concernant notre problématique, nous avons opté dans la 2ème question pour une question directe, les enseignants questionnés ont donné à

chacun un avantage et un inconvénient : Les avantages …

 Aider l'apprenant à connaître la civilisation de son pays et du monde entier.

25%

75%

REPRÉSENTATION GRAPHIQUE DE LA QUESTION 09

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 Améliorer la communication, avoir un esprit ouvert sur l'autre, faciliter l'intégration dans un groupe, faciliter la vie professionnelle

 l'apprenant à travers l'autre essaye de comparer ensuite apporter des améliorations dans sa propre culture

 la découverte d'autres cultures, d’autres mentalités, d’autres modes de penser...

 l’ouverture sur le monde

 Apprendre davantage la langue

L’expérience de l’ensemble de nos questionnés et leur témoignage, après analyse des réponses, ont prouvé que la compétence interculturelle est bel et bien avantageuse pour les apprenants de FLE néanmoins, il ne faut surtout pas oublier des risques et danger qu'elle renferme pour ne pas tomber dans des situations comme celle avancée par nos questionnés :

 Pousser l'apprenant à l'émigration vers l'étranger.

 se sentir perdu et confus entre garder son identité maternelle ou adopter une identité étrangère.

 le risque de l'assimilation sur tout si il est ébahi par la culture de l'autre.

 ça peut influencer la culture d'origine.

Question 11

Pensez-vous que l’enseignement de l’interculturel peut être une menace pour l’identité des apprenants ?

0%

42%

58%

0%

REPRÉSENTATION GRAPHIQUE DE LA QUESTION 11

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Cette question a été accompagnée de 3 propositions : oui, non, parfois. La troisième proposition a été cochée à 58.3% ce qui signifierait que la menace peut être réelle si l’assimilation de la culture en question est mal interceptée par l’apprenant, risque d’acculturation ce qui est un réel enjeu pour l’enseignant. Les 42% restants ne trouvent pas de risque potentiel en ce qui concerne l’assimilation d’une culture autre,

Question 12

L’ultime question de notre questionnaire est une question direct, elle porte sur ce que ‘apprenant peut gagner ou perdre dans cette démarche ce qu’il peut acquérir et ce qu’il peut laisser de sa personnalité ses valeurs ou de sa religion…etc. pour cela une question directe a été mise en place à travers laquelle les réponses ont démontré qu’il pourrait y avoir un bagage culturel et civilisationnels, et gagner une diversité culturelles qui enrichit ses connaissances personnelles et l'aide dans sa vie professionnelle, L'interactivité, le sens du débat de la tolérance du savoir-faire et le savoir être, renforcer et enrichir son identité par la découverte des autres cultures, l’élève va apprendre qu’il y a d'autres manières de penser, de voir les choses et surtout de raisonner logiquement en dehors de leur religion en revanche d’après la plupart des enseignants les apprenants perdent leur identité au contact de la culture française ou d’après eux il se trouve confus ou même perdu entre les deux culture (natale et étrangère).

Synthèse

Chaque réponse à chaque question Nous fait sentir que les enseignants sont tout de même pour l’enseignement de cette tâche sans généraliser La majorité sur l'ensemble du groupe mais exige quand même une finesse et aucune négligence puisque cette pratique contient malgré ses côtés positifs du négatif.

Des dangers pour le jeune élève qui pourrait être ébahi par la culture autre et assimiler cette dernière ou être victime d'acculturation, Sinon il pourrait se perdre entre l’une(culture natal) et l’autre (culture étrangère) tout en subissant les conséquences qui pourrait toucher à son identité d'algériens, arabe, et sa religion de musulmans sans parler des potentiels troubles dyslexiques dysgraphique dans sa langue natale. Les enseignants enseignent la compétence interculturelle et la trouve très nécessaire comme procédure Dans l’apprentissage d’une langue étrangère et dans notre cas de FLE surtout pour des fins communicatifs, et d'ouverture vers le monde, ou encore le développement d'un esprit critique.

L’évaluation de l’interculturalité chez les enseignants se fait régulièrement, d'une manière ou d'une autre pour les adhérents de cet enseignement, pour eux cette enseignement a beaucoup

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d’inconvénients qu’il a d’avantage et il pourrait beaucoup gagner comme il peut tout perdre tout s’agit de comment il est présenté et de la manière dont il est assimilé

Pour la plus part des enseignant le manuel scolaire ne contribue pas du tout dans ce genre d’enseignement.

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Conclusion générale

La réalité actuelle de l’enseignement du français en Algérie, connait un essor vertigineux quand à l’enseignement des langues étrangères avec l’introduction du français et de l’anglais dès la 3ème année primaire et ce, à partir la prochaine rentrée scolaire 2020/2021.

En effet, apprendre les langues étrangères, c’est vouloir donner la chance, aux élèves, de réussir dans le monde de demain. Un monde où la maîtrise des langues étrangères est devenue primordiale.

Notre étude nous a permis de mettre le doigt sur un domaine négligé par l'enseignement du FLE en Algérie, un domaine très vaste et tellement varié déjà raclé par les chercheurs en didactique.

Il s’agit, au fait, dans notre travail, rappelons-le, a relevé les potentiels dangers qui pourraient toucher à l’élève et si cet enseignement a lieu en classe de FLE 3ème AS (de façon correcte) que ça soit dans le coté didactique et pédagogique de l’enseignants ou dans le manuel scolaire.

Nous nous sommes rendu compte à la fin du travail que malgré l'enthousiasme des enseignants vis-à-vis de l'enseignement de l'interculturalité, en tant qu'atout essentiel a l'apprentissage du FLE, cette tâche est tout de même négligée par le manuel scolaire chose qui a été formulée et initiée par le référentiel général des programmes.

Après l’analyse des deux questionnaires présentés aux deux acteurs principaux de l’enseignement/apprentissage, les résultats ont révélé que l'enseignant est bien d'accord pour dire que l’aspect culturel est essentiel et qu'il l’enseigne bel est bien en classe de 3AS. Il s’agit au fait, d’améliorer cet enseignement et de le rendre bénéfique pour l'apprenant afin de pouvoir communiquer avec l'autre, l'accepter et s’ouvrir sur lui. Comme cela peut aussi être bénéfique pour développer, chez lui, un esprit critique avec du contenu idéologique pour enrichir ses connaissances personnelles au sens de l’engagement, il gagne aussi en diversité culturel et un savoir-faire et un savoir être et un sens du débat. Tel a été l’objectif principal de la réforme éducative en Algérie.

Néanmoins, il nous semble qu’il y des point néfastes qui pourraient représenter pour eux un réel danger, comme par exemple « au contact de la culture française l'apprenant perd

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son identité ou alors il se trouve confus ou perdu entre sa culture source et la culture cible, et les arguments ne manquent pas pour expliquer un tel jugement.

En soumettant le questionnaire aux élèves, nous avons constaté une acceptation majoritaire pour la culture française en génal et des français en particulier. Sauf pour certains, cette culture française ne leur est pas si étrangère que ça en fin de compte. Ils sont comme même touchés par le phénomène d’acculturation. Et pour le reste des informateurs, ont tout de même une haine envers les français et la France en général ce qui n'est pas non plus une bonne chose pour l’acquisition de la compétence interculturelle.

Tout cela nous permet de dire que l'enseignement de l'interculturalité, chose qui est présente au sein du cours d'enseignement du français, pour les élèves de terminale AS dans le cas de notre recherche n'est pas une tâche à prendre à la légère, l'enseignant prend part à ce processus tout en ayant la finesse dans l'acte en lui-même.

Les résultats et constats, acquis au cours de notre enquête, nous a ouvert les yeux sur une réalité culturelle et interculturelle instable, mais il est vrai que la source du danger interculturel ne vient pas seulement du manuel ou de l’enseignant ou même du milieu scolaire en général mais aussi de l’entourage de l’enfant, de la télévision, et le réseau social qui se trouve d’ailleurs difficile à contrôler.

Au terme de ce travail, nous sommes convaincu que l’interculturalité reste tout de même une dimension essentielle pour un enrichissement et un apprentissage meilleur et complet, permettant aux élèves d’avoir une large vision de l’autre, du monde qui l’entoure et de la langue dont il est question. Une tâche qui se pose comme nouvel objectif à ne surtout pas prendre à la légère et bel et bien la dimension culturelle qui mériterait plus d’attention et de mérite qu’elle en a déjà de la part de l’enseignant ainsi que des textes proposés dans le manuel scolaire.

De ce fait, notre étude n’est pas définitive car elle se limite à un travail sur le terrain, mais qui s’est effectué réellement via le net, se délimitant à deux questionnaires destinés à quelques enseignants et quelques élèves de classe de terminale 3 AS.

De par son champ de recherche limité avec la conjoncture sanitaire actuelle du pays, l’ouverture sur d’autres perspectives de recherche est amplement suggérée.

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Table des matières

1. Introduction ...4

Chapitre 1 Cadrage théorique ...7

1.1. Introduction : ...8

1.2. Statut de la langue française en Algérie ...8

1.3. Enseignement de la culture en classe de FLE ...9

1.3.1. Qu’est-ce que la culture enseignée en classe ? ...10

1.3.2. Comment l’enseigner ? ...10

1.3.3. Pourquoi enseigner la culture ? ...11

1.3.4. Qui ? ...11

1.3.4.1. Qui enseigne la culture ? ... 11

1.3.4.2. A qui ? ... 11

1.4. Le rôle de la culture dans l’enseignement du FLE ... 12

1.5. La culture composante essentielle dans l’apprentissage du FLE ... 13

1.6. L’interculturel ... 14 1.7. L’enseignement du FLE ... 14 1.7.1. Aspect linguistique ...15 1.7.1.1. L’écrit ... 15 1.7.1.2. Oral ... 15 1.7.2. ... Aspect culturel 15 1.7.2.1. Culture natale ... 15 1.7.2.2. Culture apprise... 16

1.8. Les obstacles entravant l’enseignement/l’apprentissage de la composante interculturelle... 16

1.8.1. La pensée unique : ...17

1.8.2. Le manque d’altérité ...18

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1.8.4. Préjugés et stéréotypes...19

1.9. L’influence interculturelle sur la personnalité de l’apprenant ... 20

1.9.1. Aspect socioculturel ...20

1.9.2. Aspect psychologique ...20

1.10.La dimension interculturelle dans le référentiel ... 21

1.11.La dimension interculturelle dans le manuel scolaire : ... 22

Chapitre 2 Partie pratique 1... 23

2.1 Cadre méthodologique ... 24

2.1.1Elaboration du questionnaire ... 24

2.1.2Le choix de l’échantillon ... 24

2.1.3Les difficultés rencontrées ... 24

2.2 Analyse des données du questionnaire ... 26

2.3 Synthèse ... 46

Chapitre 3 Partie pratique 2... 48

Synthèse ... 57

Conclusion générale ... 59

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Annexe

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Questionnaire destiné aux élèves de terminal

Nous essayons dans le cadre de notre recherche universitaire de répondre à certaines questions, c'est pourquoi nous avons fait appel à votre collaboration, nous vous prions donc de bien vouloir répondre aux questions ci-dessous de façon personnel et franche, les résultats resterons anonyme, merci. *Obligatoire

1. Sexe : *

Une seule réponse possible.

Homme femme

2. Etablissement *

3. 1-Utilisez-vous le français en dehors de l’école ? *

Une seule réponse possible.

Oui Non

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4. si oui, avec qui ?

5. 2-Lisez-vous en dehors de la classe ? * Une seule réponse possible.

oui Non

6. Si oui, dans quelle langue lisez-vous ?

Une seule réponse possible.

En Arabe En Français Arabe et français Autre :

7. 3-Aimer vous apprendre la langue française ? * Une seule réponse possible.

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Non

8. pourquoi? *

9. 4-Vous considérez-vous de culture ? * Une seule réponse possible.

Franco-algérienne Arabo-musulmane Arabo-berbère Autre :

10. 5-Comment trouvez-vous votre manuel de français ? *

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