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Deuxième partie : Etude pratique

2.5.3-MYCOLOGIE DU LCR

Tableau H : Mycologie du LCR des patients dans diverse séries

Notre série Ibn Rochd, CASA [55] La Rabta, Tunis 1991-2002 (12 cas) [54] BOBODIOUL ASSO (BURKINA FASO) [59] Hôpital du Point G, Bamako. Mali [4] Examen direct à l’encre de chine effectif 21 14 8 7 14 Nombre d’examens positifs 21 14 8 7 13 Cultures Effectif 21 14 8 7 14 Nombre de cultures positives 21 14 8 7 14 Recherche des antigènes solubles Effectif 17 14 8 X X Nombres de recherches positives 17 14 8 X X

selon les études impliquant la nécessité de confirmer tout résultat positif par une culture. Cette sensibilité dépend de plusieurs paramètres notamment l’épaisseur de la capsule mais aussi du volume du liquide biologique disponible [3,4,66].

Dans toutes les séries présentées dans le tableau H l’examen direct à l’encre de chine était positif chez tous les patients. Sauf la série Malienne où on a trouvé un cas négatif à l’examen direct et positif après culture.

La culture est l’examen de référence avec une spécificité et une sensibilité proches des 100%. La culture sur milieux Sabouraud se positive à partir du troisième jour. En pratique elle permet de confirmer le diagnostic de cryptococcose [2,4]. Dans les cinq séries de tableau ci-dessus, elle était positive.

La culture sur milieux Sabouraud avec actidione est négative ; aucune poussée de colonies n’est observée. Ce résultat contribue au diagnostic de l’espèce Cr.neoformans.

La détection de l’antigène soluble cryptococcique permet un diagnostic prècoce et fiable. Ce test a en général une excellente spécificité et sensibilité, mais il reste coûteux ce qui limite son accessibilité dans les laboratoires [3,67,68].

Dans notre étude, du même pour les autre séries la recherche d’antigène cryptococcique était positive chez tous les patients. En outre, le titre de l’antigène cryptococciques reflète la charge fongique chez ces malades et offre une meilleure surveillance du traitement puisque l’absence d’une diminution ou l’augmentation sont fréquemment corrélées à une sévérité de l’infection, à un échec thérapeutique ou à une dissémination extra-méningée [67,68,69].

Ainsi, il existe une corrélation entre titre antigénique dans le LCR et mortalité au cours de la cryptococcose neuroméningée, des titres très élevés (> 1/10 000) étant associés à une mortalité de 100 %, [70] cependant un patient de notre série a été déclaré guéri alors que le titre était supérieur à 1/16384.

3- Evolution [71,72,73,].

Tableau I : Evolution des patients dans diverses séries. Séries

Notre série

CHU Ibn Rochd de Casablanca 2008 [60] La Rabta, Tunis (1991-2002) [54] Hôpital du Point G, Bamako. Mali (2001-2002) [61] Evolution clinique Favorable 8 (38%) 7 (47%) 5 (42%) 7 (41%) Décès 7 (33%) 5 (33%) 7 (58%) 10 (59%) Patients Perdus de vue ou dossiers inconnus 6 3 0 0 Effectifs total 21 15 12 17

La mortalité plus importante dans les pays en développement s’explique par l’application d’un protocole thérapeutique pas toujours adapté, l’absence fréquente de traitement du SIDA par trithérapie et le stade avancé de la maladie VIH au moment du diagnostic de la CNM comme le témoignent les chiffres bas des CD4 chez la plupart des patients.

Le pourcentage de décès dans notre série est de 33.3%, le même taux est enregistré au CHU de Casablanca. Dans la série tunisienne et Malienne le taux de mortalité noté est de 58%.

Dans les pays européens et en Amérique du nord, la mortalité de la CNM est estimée à 20-25%.

L’étude rétrospective de 21 cas de cryptococcose neuroméningée, survenus pendant une période de 16 ans entre 1993 et 2009 et diagnostiqués au service de parasitologie de l’hôpital Ibn SINA de Rabat (Maroc), nous a permis de bien connaitre la nécessité de L’examen mycologique du LCR qui permet de confirmer le diagnostic, d’isoler et d’identifier la levure et de suivre l’évolution sous traitement.

La cryptococcose neuroméningée reste une infection opportuniste grave. Du fait de la non spécificité des manifestations clinique et de la lourde mortalité. La nécessité d'un diagnostic précoce et d'un traitement adapté s'impose. La recherche de cryptococcose neuroméningée chez tout patient infecté par le VIH, doit être appliquée systématiquement devant le moindre signe neurologique. Cette mycose survient habituellement lors des stades avancés de l’immunodépression et sa survenue fait classer le patient au stade sida de la maladie.

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REESSUUMMEE

Titre : La cryptococcose neuroméningée : Etude des cas repérés à l’hôpital Ibn Sina de

Rabat (1993-2009 : 16 ans).

Auteur : GHAZLAOUI LAILA

Mots-clés : Cryptococcus neoformans ; Cryptococcose neuroméningée; Immunodépression ; VIH.

La cryptococcose neuroméningée est une mycose opportuniste grave due à une levure encapsulée : Cryptococcus neoformans. Elle affecte essentiellement les immunodéprimés et en particulier, le sujet atteint du VIH à un stade avancé de la maladie.

Nous rapportons dans ce travail 21 cas de cryptococcose neuroméningée (CNM), diagnostiqués au laboratoire de parasitologie de l’hôpital Ibn Sina de Rabat sur une période de 16 ans (1993-2009).

- 20 patients étaient infectés par le VIH.

-un patient était sous corticothérapie au long cours.

L’âge moyen des patients était de 37ans avec une prédominance du sexe masculin (n=14) par rapport au sexe féminin (n=7).

La symptomatologie clinique était dominée par la fièvre, les céphalées et la raideur de la nuque.

La cryptococcose neuroméningée était révélatrice de l’infection par le VIH dans 8 cas (40 %). Dans douze cas (60%), elle a représenté une complication du SIDA.

Le diagnostic de la cryptococcose neuroméningée a reposé sur la mise en évidence de C.neoformans sur des prélèvements de liquide céphalorachidien après l'examen direct à l’encre de chine et culture sur milieux de Sabouraud sans actidione.

Le traitement à base d'amphotéricine B, n'était efficace que chez 8 patients. La non spécificité des manifestations cliniques de la CNM impose un diagnostic rapide d'autant plus que le retard de la prise en charge conditionne une mortalité

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Abbssttrraacctt

Titre : Cryptococcal meningitis : Study of cases detected at Ibn Sina Hospital in Rabat (1993-2009: 16 years).

Author : GHAZLAOUI LAILA

Keywords: Cryptococcus neoformans; Cryptococcal meningitis; Immunosuppression; HIV

Cryptococcal meningitis is a serious opportunistic fungal infection caused by encapsulated yeast Cryptococcus neoformans. It mainly affects immunocompromised and in particular, subjects with HIV at an advanced stage of disease.

In this work we report 21 cases of Cryptococcal meningitis CNM, diagnosed at the parasitology laboratory of the Ibn Sina hospital in Rabat on a 16-year period (1993-2009).

-20 patients were infected with HIV.

-One patient was under long-term corticosteroid.

The average age of patients was 37 years with a predominance of males (n = 14) compared to females (n = 7).

The symptomatology was dominated by fever, headache and stiff neck.

Cryptococcal meningitis was indicative of HIV infection in 8 cases (40%). In twelve cases (60%), it represented a complication of AIDS.

The diagnosis of cryptococcal meningitis was based on the detection of

: ناون ع لا -ةن س ي ولازغ

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