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1) Choix du problème de recherche

À la suite de mon stage, mon intérêt se porte sur l’alcoolisation massive chez les adolescents pour mon mémoire de fin d’étude. Je fais l’inventaire de mes connaissances et décide de les approfondir en faisant une première recherche littéraire. Cela me permet de me rendre compte de l’étendue des ouvrages concernant ce sujet et de recenser les auteurs cibles.

Selon Fortin (1996, p. 39) la première étape consiste à trouver un domaine de recherche qui intéresse le chercheur, qui le préoccupe et dont le thème revêt de l’importance pour la discipline. Le domaine de la recherche peut représenter des comportements, des observations et notamment des croyances. Fortin ajoute qu’une première revue des écrits pertinents est essentielle afin de situer le domaine dans le contexte des connaissances actuelles.

2) Pré-enquête

Pour compléter ma bibliographie, alors restreinte, et dans le but de connaître les offres existantes, je contacte par e-mail douze spécialistes dans le domaine de l’alcool. Cela me permet de réaliser une première ébauche de la problématique, me confortant dans la pertinence de mon sujet: je prends conscience de lacunes, au niveau de l’encadrement institutionnel, dans l’accompagnement des jeunes présentant des épisodes d’alcoolisation massive.

J’estime alors que des recommandations précises, tel un protocole, sont utiles à établir pour la pratique infirmière. Mon mémoire pourrait suivre cette direction.

Le chercheur raffine le domaine général de sa recherche afin d’en arriver à une question de recherche. (Fortin, 1996, p.

39).

16 Fortin, 1996, est souvent cité dans ce mémoire. Il représente le principal ouvrage méthodologique de référence.

3) Formulation de la problématique, élaboration du cadre de référence et énonciation des buts et de la question de recherche

Je poursuis mes lectures afin d’asseoir mes connaissances et d’élaborer la problématique. Je thématise alors mon cadre de référence basé sur deux axes : la prise de risque chez les adolescents et la santé communautaire dans la fonction professionnelle. Ce travail me permet d’énoncer les buts de cette recherche. En parallèle, je réfléchis à la faisabilité de ce travail, en me demandant s’il est réalisable d’un point de vue méthodologique. “Au cours du processus de formulation d’une question de recherche précise, il est important de s’interroger sur sa pertinence, sa portée théorique et pratique, ainsi que sur ses dimensions méthodologiques et éthiques“ (Fortin, 1996, p. 39).

Selon Fortin, “[…] la formulation d’un problème de recherche consiste à développer une idée à travers une progression logique d’opinions, d’arguments et de faits relatifs à l’étude que l’on désire entreprendre“ (2006, p. 39). Elle ajoute plus loin: “Pour formuler un problème de recherche, il est essentiel de consulter les travaux antérieurs, de l’appuyer par un cadre de référence approprié et d’ordonner tous les éléments qui font partie du problème“ (2006, p.

39). Les travaux antérieurs me permettent de délimiter un cadre de référence.

“De façon générale, le cadre de référence définit la perspective selon laquelle le problème de recherche sera abordé et place l’étude dans un contexte significatif. C’est une structure qui lie toutes les composantes d’une étude“

(Fortin, 1996, p. 40). Le cadre de référence me permet de formuler la question de recherche et de déterminer la perspective de cette recherche.

Selon Fortin, “le but est un énoncé qui indique clairement ce que le chercheur a l’intention de faire au cours de l’étude“ (2006, p. 40). Pour cette recherche, il s’agit de décrire des perceptions. “Les questions de recherche sont des énoncés interrogatifs précis, écrits au présent, et qui incluent la ou les variables de l’étude“ (Fortin, 1996, p.

39).

4) Choix de la population, de l’échantillon et d’une méthode de collecte et d’analyse des données

Après avoir mis en évidence les points clés de la recherche grâce au cadre de référence, je choisis l’instrument d’enquête, la population cible, l’échantillon et une méthode de collecte et d’analyse des données. Les démarches de ces points sont détaillées plus loin. Pour élaborer la trame de l’entretien, je note les questions qui me viennent à l’esprit. Je les trie et les organise par rapport aux thèmes du cadre de référence. Je me réfère à la problématique pour vérifier qu’aucune question essentielle ne manque. Je suis attentive à leur cohérence avec la problématique. J’élabore un formulaire de consentement éclairé afin de placer mon mémoire dans un cadre éthique qui est développé plus loin.

a. Définition de la population et de l’échantillon

Après avoir précisé et documenté la question de recherche par des écrits, j’établis des critères de sélection de la population, puis je précise l’échantillon et sa taille. “La population comprend tous les éléments […] qui partagent des caractéristiques communes, lesquelles sont définies par des critères établis pour l’étude“ (Fortin, 1996, p. 40). La population que j’ai choisie comme étant la population cible, est de fait ce que Fortin décrit comme la “population accessible“. “La population accessible, est définie comme la portion de la population cible située à la portée du chercheur. Elle peut être limitée à une région, à une ville, à un établissement, etc..“ (Fortin, 1996, p. 40). Fortin définit l’échantillon comme suit: “un échantillon est un sous-ensemble d’éléments ou de sujets tirés de la population, qui sont invités à participer à l’étude. C’est une réplique, en miniature, de la population cible [ou accessible]“ (1996, p. 40).

b. Choisir les méthodes de collecte et d’analyse des données

L’entretien semi-directif est choisi comme méthode de collecte des données. L’argumentation de ce choix est expliquée plus loin. En parallèle de la construction des trames d’entretien, une grille d’analyse est élaborée. Ces outils sont également développés plus loin.

5) Contacts

Je contacte les personnes faisant partie de la population cible par mail. Toute ont accepté. Un entretien téléphonique avec chaque personne permet de fixer un lieu, une date et les conditions pour l’entretien. Le formulaire de consentement éclairé est envoyé quelques jours avant l’entretien. Cela leur permet de les lire et d’obtenir des précisions. Une personne me contacte pour avoir des éclaircissements. Je prends le temps de lui répondre par écrit. Chaque entretien se déroule dans les locaux des personnes interrogées. Je choisis ce lieu afin d’observer sa situation dans l’établissement, son arrangement et pour permettre à la personne d’être plus à l’aise. Les locaux choisis sont tranquilles, peu bruyants.

Il y a une particularité : deux infirmières travaillant dans le même service de santé me demandent d’être interrogées ensemble. J’accepte. Ce n’est pas un problème pour moi, étant donné que mon travail porte sur la visibilité. Je m’assure qu’elles s’entendent bien l’une et l’autre.

6) Test de la trame d’entretien

Pour des raisons de temps, je décide de faire le pré-test lors du premier entretien. S’il ne s’avère pas satisfaisant, j’inclurai d’autres infirmières dans mon échantillon. Lors du pré-test, j’ai éliminé deux questions qui étaient redondantes. Ce sont les seules modifications que j’ai apportées. Ensuite, chaque entretien étant unique, il est adapté à l’interlocuteur. Ainsi, les questions ne sont pas toujours abordées dans le même ordre.

7) Déroulement des entretiens

Les entretiens semi-structurés sont d’une durée moyenne d’une heure. Ils sont enregistrés par un magnétophone afin de retranscrire les propos avec fidélité.

Lors de l’entretien, je commence par me présenter et présenter le mémoire. Ensuite, je prends le temps de reprendre le formulaire de consentement éclairé. Je vérifie auprès des personnes leur compréhension du formulaire et réponds aux questions à ce sujet. Avant de commencer l’entretien, nous signons ensemble le formulaire.

Je leur explique que j’enclenche l’enregistreur et m’assure que la personne est toujours en accord avec cela. Les questions sont adaptées d’un entretien à l’autre en fonction des propos de mon interlocuteur.

8) Retranscription des entretiens

Après chaque entretien, le jour même ou le lendemain, je retranscris l’intégralité du contenu des enregistrements audio.

À la demande d’une personne interrogée, je lui envoie la retranscription de notre entretien.

9) Synthèse des entretiens, présentation des résultats et analyse

Afin de simplifier leur analyse, chaque entretien est condensé. À partir des entretiens, j’ai dégagé les thèmes principaux par rapport à la problématique. Chaque position est résumée, puis organisée par thèmes. Je fais, en parallèle, un retour à la problématique afin de faire des liens. Durant toute la démarche, j’ai été particulièrement attentive à ne pas introduire de biais: chaque résumé d’entretien suit la même structure afin de faciliter la comparaison. Par la suite, les résultats sont analysés sous la forme d’un texte.

“L’analyse des données permet de produire des résultats qui peuvent être interprétés par le chercheur. Les données sont analysées en fonction du but de l’étude […]. L’analyse qualitative réunit et résume, sous forme narrative, les données non numériques“ (Fortin, 1996, p. 41).

10) Interprétation, discussion des résultats, limites et perspectives

Afin d’analyser les données recueillies, je fais appel à la littérature. Elle me permet de donner un sens, d’envisager des implications pratiques concrètes, et d’imaginer des perspectives pour des recherches futures. Je prends également le temps de réfléchir aux limites de cette recherche.

Selon Fortin, “une fois que les données ont été analysées […] le chercheur les explique dans le contexte de l’étude et à la lumière de travaux antérieurs. En partant de ces résultats, il peut tirer des conclusions en relation avec la théorie, la pratique et la recherche, et proposer des recommandations, non seulement pour la pratique, mais aussi pour des recherches futures“ (Fortin, 1996, p. 42).

11) Communiquer les résultats

“Afin de faire connaître les résultats de son étude, le chercheur doit produire un rapport de recherche, un mémoire ou une thèse dans lequel il décrit chacune des étapes suivies“ (Fortin, 1996, p. 42).

2. La population cible

Deux populations distinctes font l’objet de ce travail. La première est composée par quatre infirmières travaillant sur trois sites différents. La deuxième population comprend deux fondations différentes, spécialisées l’une dans l’accompagnement des personnes en situation d’alcoolisme, l’autre dans la prévention. Le choix de ces deux populations a pour but de faire une étude comparative d’une part entre les infirmières, d’autre part entre les infirmières et les fondations.

1) Les infirmières “Jeunesse et Santé“

Un des objectifs, issu de la question de recherche, est d’établir la manière dont les infirmières perçoivent et décrivent leur activité. Cette première population cible est directe, les personnes interrogées sont directement liées à la problématique (Allin-Pfister, 2004, p. 39). Elle est formée par les infirmières du programme “Jeunesse et Santé“.

Cependant, je ne peux pas enquêter auprès de toutes les infirmières. Je restreins la population cible en m’intéressant aux infirmières de la région lausannoise. Le choix de la région résulte d’un critère d’accessibilité.

Afin de réduire à nouveau la population cible, je choisis de procéder par un échantillonnage.

Je procède par une méthode d’échantillonnage aléatoire stratifiée (Fortin, 1996, p. 204). Cette technique vise, dans un premier temps, à diviser la population cible, à savoir les infirmières du programme “Jeunesse et Santé“ en sous-groupes homogènes. Dans un deuxième temps, elle tire de façon aléatoire un échantillon dans chaque groupe.

Pour cela, je divise en deux groupes homogènes les coordonnées des infirmières de la région lausannoise obtenues auprès de l’OMSV. Le premier groupe est formé par les infirmières qui travaillent dans un gymnase, le second par celles qui travaillent dans une école professionnelle.

Afin que ces groupes soient proportionnés, je choisis un nombre égal d’infirmières pour les composer, à savoir deux infirmières par sous-groupe. Étant donné que cette recherche est de type descriptif, la taille de mon échantillon peut être réduit. Dans un second temps, je devrais pouvoir me réserver la possibilité de l’agrandir si je n’arrivais pas à saturation des données. Or, quels que soient les résultats, les limites imparties pour ce travail d’initiation à la

recherche ne me permettent pas d’aborder jusqu’au bout cette deuxième étape.

L’échantillon choisi est représentatif de la population cible. En effet, il répond aux deux principaux critères de spécificité des infirmières “Jeunesse et Santé“. Toutefois, une marge d’erreur est possible par l’introduction de biais17 dans mon échantillon. Par exemple, je ne tiens pas compte des particularités de chacune des infirmières, comme l’âge ou les années de pratique.

2) Les fondations

La deuxième population cible, les fondations, est indirecte.

Elles témoignent en effet en extériorité de la réalité visée par la question de recherche (Allin-Pfister, 2004, p. 39).

Pour des raisons de proximité, des limites imparties par la recherche et de la complémentarité des regards, deux fondations ont été choisies dans la région lausannoise.

L’une est spécialisée dans le traitement des personnes en situation d’alcoolisme, l’autre dans la prévention. Cette population donne à ce travail un regard externe sur le travail des infirmières. De plus, elles permettent une vision plus large sur l’offre d’accompagnement des jeunes présentant des épisodes d’alcoolisation massive.

3. Approche de recherche

Par approche de recherche, j’entends présenter la catégorie dans laquelle la méthode de recherche s’inscrit, méthode choisie en fonction de la question et des limites de celle-ci.

Le but principal de la recherche est de mettre en évidence et d’exposer la manière dont les infirmières perçoivent leur activité. Ce but s’inscrit dans une dimension descriptive du phénomène étudié. En effet, l’approche descriptive porte sur un domaine ayant déjà été l’objet d’étude exploratoire (Saumier, 2006, en ligne).

Ma recherche est de type qualitative, un de ces principes étant que le chercheur ne se pose pas en expert (Fortin, 1996, p. 148). La démarche s’inscrit dans l’intersubjectivité entre la population de l’échantillon et le chercheur.

17 Cf. Chapitre VI: limites de la recherche

4. Méthode d’investigation

Cinq critères permettent d’orienter le choix des sources, des données et de l’outil du mémoire. Il s’agit de la question de recherche, des connaissances de l’objet, des recherches existantes, des conditions de réalisation de la recherche et de la cohérence entre ces choix (Allin-Pfister, 2004, p.39).

La question de recherche vise à décrire des représentations.

Je choisis de faire appel à des sources directes, les infirmières qui décrivent leur expérience. Cette démarche est de nature qualitative (Fortin, 1996, p. 21).

Ainsi, je privilégie un type de données qui fait appel à l’évocation, l’entretien. Il me permet d’aborder les infirmières sans a priori par rapport à la cohérence interne des informations que je vais recueillir. L’entretien me permet également de répondre à la question “comment“. De plus, il donne accès à des informations plus détaillées et plus personnalisées que d’autres outils (Allin-Pfister, 2004, p.39).

Je choisis de faire une enquête sur les expériences et les pratiques. Elle vise à connaître un système de pratiques, obtenu à partir d’entretiens centrés sur les conceptions des infirmières et d’autre part sur les descriptions de leur expérience (Blanchet, 2005).

L’entretien est conçu comme une rencontre. Or le rapport entre la personne interviewée et l’interviewer peut influencer le déroulement de l’entretien suivant le degré de confiance établi. Je conçois l’entretien comme un parcours qui n’est pas figé par l’interviewer, mais qui se modifie dans la rencontre avec la personne interviewée, d’où mon choix porté sur l’entretien semi-directif. Il a pour spécificité d’être flexible et il permet d’adapter l’entretien en fonction de ce qui est dit. Ainsi, je peux ajouter, retirer, modifier ou reprendre des questions afin de m’ajuster aux réponses de l’interviewé. De plus, il me permet d’analyser le sens que les interlocuteurs donnent à leurs pratiques (Blanchet & Gotman, 2005, p.21).

Je fais appel à deux usages différents de l’entretien.

L’entretien à visée exploratoire est utilisé dans mes rencontres avec deux fondations spécialisées dans le domaine de l’alcoolisme. Ils me permettent de compléter les pistes de travail suggérées par mes lectures ou par les rencontres

avec les infirmières. J’utilise a contrario l’entretien à usage principal avec ces dernières, me permettant de constituer de cette sorte une source de données principale (Allin-Pfister, 2004, p.45).

Mis à part les dimensions descriptive et exploratoire du travail, j’ai tenu à introduire une dimension comparative au mémoire. En effet, j’interroge non seulement des infirmières des services de santé mais également deux fondations lors des entretiens. Cela me permet de connaître une partie de l’offre offerte par les institutions spécialisées et de les comparer aux connaissances des infirmières.

Avant de procéder à ces entretiens, j’ai contacté par mail différentes institutions en lien avec ma problématique afin de connaître l’offre qui existe en matière de suivi des adolescents ayant un problème d’alcoolisation massive. Ceci m’a permis de mieux élaborer mes trames d’entretien.

5. Matériel / Instrument d’enquête

Une fois l’outil de l’entretien semi-directif choisi, je construis deux trames d’entretiens, à savoir, une pour les infirmières et une pour les représentants des fondations.

1) Trames d’entretien

Je constitue chacune des deux trames d’entretiens à partir du cadre de la recherche.

La trame pour les entretiens infirmiers18 se divise donc en quatre parties, à savoir : présentation, prise de risque chez les adolescents, rôle infirmier qui correspond à la fonction professionnelle dans le cadre de référence, collaboration qui est reliée à la visibilité dans le cadre de référence.

La trame pour les entretiens avec les fondations19 reprend les mêmes parties, à l’exception du rôle professionnel qui est remplacé par l’item de la prise en charge. Je décide de reprendre les mêmes thèmes afin de permettre une meilleure comparaison entre les entretiens infirmiers et les entretiens avec les fondations.

Je rédige ensuite les questions utiles à cette recherche et je précise, en regard de chacune d’entre elles, ses objectifs. Cela me permet lors des entretiens de repréciser la question ou de la formuler différemment. De même, je prévois des questions de relance.

Pour procéder à la création de la trame d’entretien, je note, dans un premier temps, toutes les questions qui me viennent à l’esprit. Je relie dans une deuxième étape les différents objectifs auxquels tendent les questions. Je consulte le cadre de référence pour m’assurer de la présence de tous les éléments. L’étape suivante est de vérifier la cohérence de l’ensemble. Je m’assure de la cohérence des thèmes de l’entretien avec les objectifs visés. L’avant-dernière étape de la réalisation de la trame d’entretien consiste à vérifier la formulation des questions et leur arrangement. Pour cette étape, je me suis basée sur les critères d’évaluation d’un questionnaire (Fortin, 1996, p.

253). Il s’agit, entre autres, de vérifier que le contenu de

18 Cf. Annexe IV: Trame d’entretien avec les infirmières

19 Cf. Annexe V: Trame d’entretien avec les fondations

chaque question soit adapté à la recherche, la bonne formulation des questions, s’assurer que les questions vont apporter les réponses désirées, que les questions soient organisées dans un ordre logique et qu’elles ne soient pas susceptibles d’influencer les réponses des autres questions.

La dernière étape consiste à repérer les biais. Ils résultent de toute influence, comportement ou toute condition susceptibles de fausser les résultats de l’étude.

2) Formulaire de consentement éclairé20

Parallèlement à l’élaboration de la trame d’entretien, je rédige un formulaire de consentement éclairé. Il se divise en deux parties. La première, intitulée “Texte d’information“, explique qui je suis et pourquoi je fais ce mémoire. Le thème de la recherche y est brièvement décrit.

Les conditions de l’entretien sont ensuite posées pour qu’il se déroule dans le respect des règles éthiques décrites ci-dessous, dans le chapitre “éthique“.

La deuxième partie de ce document, le “formulaire de consentement éclairé“, contient de manière synthétisée ces éléments d’éthique. Une place est prévue pour la signature

La deuxième partie de ce document, le “formulaire de consentement éclairé“, contient de manière synthétisée ces éléments d’éthique. Une place est prévue pour la signature

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