• Aucun résultat trouvé

Le petit négro

Dans le document Gazelle, la Négresse, Gavroche (Page 65-68)

Chaque jour un ou deux enfants venait faire l’aumône. Sous l’œil attendris de la maman. – Bonjour mon garçon disait Gazelle, tu veux manger quelque chose ?

– Oui Gazelle, les filles et les garçons ils disent que tu es Gazelle

– C’est vrai mon chéri, je suis Gazelle. Madeleine, avons-nous encore pour ce petit estomac vide ?

– Bien sur, mais oh la la, il put ton chéri. Il faut le laver, avec la brosse, dit Madeleine, avec la brosse. Allez vient, déshabille-toi, tu vas prendre un bain. Madeleine aimait bien ses gamins qu’elle devait laver et nourrir. Au retour de la salle de bain, Il venait voir Gazelle. – Gazelle, Gazelle, tu vois je ne pus plus !

– Fait voir ! Elle le renifla, mais tu sens très bon même, Madeleine t’a mis du parfum ? – Non… C’est la savonnette.

Les filles ne voulaient pas changer, elle continuait leur plongé accompagné de leurs hommes de garde, qui entre temps étaient devenus plus que cela. Même le petit voyage de deux jours à Manille, elles n’ont pas voulu le faire, et sont resté sur place.

Janine surtout, elle s’est éprise d’Anton. Et, l’oblige presque à faire l’amour avec elle jusqu’à trois fois par jour. Ils sortent uniquement ensemble, se rendent dans les discos ou les bars. La nuit sur la plage, elle cherche sa présence, ne s’ai pas rendu compte qu’elle l’aimait.

La famille a décidé daller à manille avec le fairy, et partent avec leur minibus, Christian est le chauffeur bien entendu. Une nuit sur le bateau, ils ont dormi sur des couchettes. Jean-Luc et Gazelle on dormit dans la voiture, mais se sont fait du plaisir, ils en avaient envie depuis longtemps. Au matin, départ avec le mini-bus Les parents devant avec Julia, Jean-Luc, et Gazelle derrière, Jean-Luc pouvait continuer de passer ses mains sous la Robe de Gazette, qui ronronnait de plaisir.

La Famille à Manille en a profité, pour se rendre à l’aquarium, et les différents musés, Ils passèrent la nuit au Manila hôtel, Ils ont mangé le midi dans un très bon restaurant français en ville, a Mac carty.

Papa Roland n’était pas content, car il n’arrivait pas à payer, même pas l’apéritif, il arrivait toujours trop tard. Jean-Luc lui dit :

– tu donneras un pourboire au personnel en partant.

Même Jean-Luc qui ne connaissait pas Manille, était surpris.

– Jean-… Louc, je n’aime pas venir à Manille, c’est trop dangereux. Dans le restaurant de l’hôtel, Gazette appelle le gérant de l’hôtel.

– Monsieur, acceptez, sil vous plaît le payement de mon futur beau-père, je ne voudrais pas qu’il me refuse la main de son fils.

– Ne te fais pas de soucis, mon père est bien trop content de se débarrasser de moi. Le papa Roland était content, il avait enfin le droit de payer.

– Ce sera fait comme vous le désiré, Mademoiselle la Marquise.

Pour le retour, Gazelle à enfourcher Jean-Luc, son nez sur son épaule, le gland de jean-Luc bien enfoncé, elle s’endort, ses fesses lissées pas Jean-Luc, qui de temps en temps pouvait remonter une main jusqu’à sa poitrine. Seuls les mouvements de la voiture la berçaient, faisait vibrer la verge de jean-Luc dans son trésor, lui faisant donner de petit gémissement sporadiques Jean-Luc prit les directives pour rentrer. Ils la laissèrent dormir sur l’épaule de Jean-Luc, le nez dans le cou, les bras

pendant. Maman était maintenant en admiration devant le travail que Gazelle avait fournie pendant ses quelques mois. Elle se demandait comment elle pourrait lui rendre la pareille, sont avis sur elle avait bien changé, Gazelle avait gagné la guerre, elle était devenue la reine, pas que Marquise. À leur arrivée, Madeleine se précipitât, croyant Gazelle malade. Personne n’avait remarqué, que le phallus de Jean-Luc, se tenait toujours bien au chaud. Il la porta aussi directement dans leur

chambre. En la posant sur le lit, elle se réveilla et ne voulait d’abord pas se séparer de lui. Les filles l’avait rejoint.

– Jean-… Louc, tou peut demander un tee à Madeleine, j’ai mal au ventre – Tu as mal au ventre ? Que se passent-ils ?

– Rien de grave, j’ai mes règles. Et peus-tou aller me chercher la pilule à la pharmacie, avec cette ordonnance ? Janine a blanchie, et s’assoie.

– Eh Janine que t’arrive-t-il à toi aussi, tu as tes règles ? demande Jean-Luc. – Non justement, c’est la deuxième fois consécutif.

– Et la pilule ? Demande Gazelle.

– J’ai oublié, depuis trois ans sans sexe, je n’en avais pas besoin. Je suis peut-être en ceinte ? – Tou es en ceinte d’un petit négros, regarde le papa, tout noir comme moi. Bravo, Janine et son petit négro, le titre d’oune histoire d’amour.

– Mais je n’en veux pas, dit-elle, que vont dire les gens ? – Ils vont dire, le joli petit négro.

– Je ne veux pas de négro.

– Si tou veut, tou me le donnes. Si tou veux vraiment,j’ai un docteur, nous lui rendons visite ?

– Oui dit-elle, je ne veux pas de négro.

– Je ne peux pas accoucher d’un négro et te le donner.

Gazette téléphone, et prend un rendez-vous de suite, elles se font emmener par Anton en tri-cycle. Le Docteur les attendait.

– Bonjour, petite Gazelle, c’est pour toi ? – Non, c’est pour ma future belle-sœur. – Combien de temps ?

– deux mois et demis environs.

– D’accord, 5000 pesos, mais elle doit rester 2 jours au lit. Réfléchissez bien, avant de le faire, je ne pourrais pas vous le remettre. Janine, réfléchis,

– tou me le donnes ton négro, moi, à ta place, je le garderais. Janine se met à pousser des cris.

– Anton, ou est Anton, demande-t-elle tous d’un cou en pleur, elles font entrer Anton. – Anton, écoute-moi, que dirais-tu si je te disais, : je suis en ceinte ?

– Une fille ou un garçon ? J’aimerais mieux un garçon répond Anton. – Ne fais pas le con, c’est sérieux.

– Je ne fais pas le con, je serrais papa, tu seras sa maman, que dois-je dire ? Dieu à dit, tu dois avoir des enfants, nous en auront d’abord un.

– Comment on va faire ? Je repars bientôt.

– Laisse-nous en discuter, mais pas ici, je suis sûr que Gazelle à une idée. – Docteur, demande Gazelle, combien vous doit-ton ?

– Allez, on s’en va.

– Tu vas en parler à ta mère ? Demande encore Gazelle, un petit négro dans la famille, avec moi et Julia, cela fait trois !

Doucement, mine de rien, ils ont amené la discussion sur un bébé noir. Tous le monde a crus qu’il s’agissait de Suzanne.

– Moi, j’aimerais bien avoir un petit Négro. Dit Suzanne

– Pourquoi pas dirent les parents, la maman est noire, le papa blanc, nous aurons un petit café au lait.

– Si le papa est noir et la maman Blanche répond Suzanne, se serra également un café au lait.

– Pour quand est-ce prévu ?

– Ho, dans deux ou trois ans répond Suzanne

– Dans deux ou trois ans, nous avons le temps d’y penser. – Je pense dans sept ou huit mois répond Janine.

– Suzanne demande la maman, tu es en ceinte ou non ? – Elle non répond Janine.

– Ne me dis pas…

– Si maman, dans six ou sept mois, vous estes grands parents. – Maman, papa, je suis en ceinte !

– Je croyais que tu n’avais pas de copain en France ? – Je n’ai pas de copain en France.

– D’où vient-il alors ? Ou bien… – Oui maman, Anton est le papa.

– Quoi ? Tu veux dire, que tu vas avoir un black, un négro ?

– Non Papa, non Maman, je vais avoir un fils ou une fille, votre petite fille ou votre petit fils – Que vont dirent les voisins ?

– Je ne fais pas un gamin pour les voisins, je me suis aperçu qu’Anton était pour moi plus qu’un ami, il devient même le père de mon enfant.

– Mais Janine…

– Rien du tout papa, Anton sera ton gendre, le père de ton petit fils ou petite fille, je serais sa femme et lui mon mari. Pour couper court à la discussion, j’aime déjà cet enfant, qu’il soit bleu blanc ou rouge, et j’aime son père, j’étais prête à faire une bêtise pour votre « que vont

dirent les voisins ». mais si cela ne leur plaît pas, ils devront déménager, tant qu’ils ne

Gérard, le petit Négro est né, ce fut un joli garçon, pas aussi noir que le papa et que Gazelle, mais très beau. Gazelle était contente, elle avait son petit neveu, son petit Négro qu’elle adorait.

Dans le document Gazelle, la Négresse, Gavroche (Page 65-68)

Documents relatifs