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La franchise, une aide à la création d'entreprise

Ces dernières années, les entrepreneurs sont de plus en plus nombreux à se laisser séduire par la franchise. Toutefois, avant de se lancer dans ce type d'entreprise, il est bon de savoir où l'on va. Quel est le processus à suivre ? Quelles possibilités s'offrent au franchiseur et au franchisé ? Quels sont les enjeux d'une telle démarche ? Quels peuvent être les avantages et les inconvénients ? Quelles sont les différentes étapes à suivre pour ouvrir ou rentrer dans un réseau de franchises ? La franchise correspond à une collaboration entre deux entrepreneurs indépendants reposant sur la base d'un contrat. Elle peut être définie comme un accord par lequel, le franchiseur, accorde au franchisé, en échange d'une compensation financière directe ou indirecte, le droit d'exploiter un ensemble de droits de propriété industrielle ou intellectuelle concernant des marques, noms commerciaux, enseignes, dessins et modèles, droits d'auteur, savoir-faire ou brevet, destinés à être exploités pour la revente de produits ou la prestation de services à des utilisateurs finaux. Attention : le terme de franchise est souvent un abus de langage. Derrière ce nom générique se cachent plusieurs formes de commerce associé : le partenariat, la commission-affiliation...

http://www.netpme.fr/idee-projet-creation-entreprise/829-franchise-aide-creation-entreprise.html

Extrait de la publication mensuelle du « Café pédagogique », avril 2012 Les systèmes de rémunération variable

L'étude « Aligner votre politique de rémunération avec votre stratégie », réalisée au niveau européen par le cabinet Deloitte entre novembre et décembre 2011, révèle que l'efficacité des stratégies de rémunération reste difficile à mesurer pour les entreprises et insuffisamment alignée avec les plans stratégiques qui reposent de plus en plus sur des leviers non financiers (i.e. leadership, innovation...). Autrement dit, les leviers stratégiques non financiers sont trop

rarement traduits en objectifs de performance individuels, et souffrent ainsi d'un effet de dilution.

D'après Philippe Burger, Associé en charge du département Rémunération Globale chez Deloitte : « Malgré la tendance actuelle qui révèle des stratégies fondées sur des leviers plus larges que dans le passé, comme par exemple le leadership ou l'innovation, la marge

opérationnelle et la croissance du chiffre d'affaires continuent à dominer les leviers stratégiques des entreprises interrogées. »

L'enquête réalisée indique ainsi qu'il existe encore un fort décalage entre les leviers stratégiques de l'entreprise et leur intégration dans la stratégie de rémunération de l'entreprise, notamment dans les indicateurs de performance individuels. Selon Philippe Burger, « Bien que la stratégie globale de l'entreprise constitue le point de départ de toute stratégie de rémunération, les leviers souffrent d'un effet de dilution lorsqu'on descend dans l'organisation au niveau des individus et des objectifs qui leur sont fixés ».

http://www.deloitte.com/view/fr_FR/fr/medias/communiques-de-presse/0766d4856d1a5310VgnVCM2000001b56f00aRCRD.htm The Artist, une belle marque made in France en 10 leçons

Twitter n'existait pas encore mais on imagine sans peine ce que cela aurait pu produire : on se croirait revenu en juillet 1998, après la victoire des Bleus au Mondial de football. The Artist « oscarisé », c'est la France qui gagne la Coupe du Monde du cinéma ! Comme à l'époque, où il s'agissait d'une première pour les Français, les 5 Oscars glanés dimanche 26 février à

Hollywood par le film de Michel Hazanavicius ont naturellement suscité de nombreux cocoricos... Le film est le parfait symbole d'une France qui sait se vendre sur les marchés internationaux, à tel point que Nicolas Sarkozy y est allé de son petit commentaire au micro de RTL, lundi 27 février... Le cinéma, c'est de l'art (le 7ème) mais à l'heure du « Made in France » omniprésent, quand on analyse le succès de « The Artist », les entreprises françaises qui veulent conquérir le monde pourraient clairement s'en inspirer... Voici les 10 leçons que nous donne The Artist pour faire du marketing sans faire de marketing.

http://lentreprise.lexpress.fr/publicite-et-communication/the-artist-une-marque-made-in-france-en-dix-lecons_32068.html

L'adaptation à la culture locale, clé de la croissance à l'international

« La clé du succès, c'est la faculté de comprendre le point de vue des autres », affirmait le constructeur automobile américain Henry Ford. A une époque où les sociétés de toutes tailles recherchent des opportunités de croissance à l'étranger, le conseil de Ford apparait comme particulièrement utile.

http://www.cfo-news.com/L-adaptation-a-la-culture-locale-cle-de-la-croissance-a-l-international_a21705.html

Télétravail, les entreprises se convertissent lentement

«C'est grâce au télétravail que j'ai été promue», raconte Isabelle Bouet, directrice marketing au sein de Jabra, l'un des leaders mondiaux de solutions de microcasques pour entreprises et centres d'appels. Recrutée il y a cinq ans pour chapeauter la zone Europe du Sud, elle était basée à Trappes. Jusqu'à ce que son mari soit muté à Montauban. «J'étais prête à

démissionner, lorsque mon directeur m'a dit : nous avons toutes les solutions technologiques pour que tu puisses travailler de là-bas.» Depuis, elle a pris goût à ce mode de travail, qui favorise la concentration, loin des open space bruyants. «J'ai gagné en productivité, explique-t-elle. J'ai notamment planché sur un plan de développement en Amérique latine, qui m'a valu une promotion.»

http://www.lefigaro.fr/emploi/2012/02/17/09005-20120217ARTFIG00671-teletravail-les-entreprises-se-convertissent-lentement.php

Déménager son entreprise, quand les salariés font blocage

Les thés Dammann Frères se sont installés à Dreux, en septembre 2011, dans des locaux

idéaux pour assurer leur croissance. Mais au prix d'une vive opposition interne. Le récit du PDG, Didier Jumeau-Lafond.

http://lentreprise.lexpress.fr/manager-et-organiser/demenager-son-entreprise-quand-les-salaries-font-blocage_32036.html

Les PPP, une aubaine ou une malédiction pour l'État ?

Les contrats de partenariats ont été lancés en juin 2004, en France, avec l'idée de développer le financement privé d'infrastructures donnant lieu à des services publics pour lesquels les opérateurs ne pouvaient être rémunérés directement par les usagers (hôpitaux, prisons,

écoles, etc.). Ce sont des contrats globaux, donnant lieu à des loyers de la part de la puissance publique en fonction de la capacité des opérateurs à atteindre des performances

contractuellement établies. Si ces contrats se sont peu développés au début, notamment à cause de l'incertitude juridique les entourant, ils se multiplient largement aujourd'hui, avec plus de 120 contrats signés. Si les besoins de financements privés ne sont pas indifférents au lancement de ces nouveaux PPP, il n'en reste pas moins que ces contrats globaux ont de réels avantages économiques mais aussi des risques qu'il est nécessaire d'anticiper.

http://www.decision-achats.fr/Breves/Les-PPP-une-aubaine-ou-une-malediction-pour-l-etat-44426.htm

Comment Opinel fabrique ses couteaux

8 diapos de présentation du processus de production de ses couteaux par Opinel.

http://www.ledauphine.com/savoie/2012/02/09/comment-opinel-fabrique-ses-couteaux Les entreprises coopératives

Les organisations productives sont les organisations qui fournissent à la société des biens et des services : les biens sont des produits matériels (pains, livres, voitures, routes...), les services sont des produits immatériels (formation, communication, assurance...).

Ces services peuvent être marchands ou non marchands selon qu'ils sont vendus sur un marché ou accessibles gratuitement. Le pain vendu à la boulangerie est un bien marchand ; une assurance est un service marchand. Les routes nationales comme le sport réalisé dans une petite association locale sont des services non marchands.

Les organisations produisant des biens et services marchands sont des entreprises.

http://www.biblio-solidaires.org/files/GNC%20-%20CNAM%20P2.pdf Rossignol, Salomon, les frères ennemis du ski, droit dans la pente

Le 13? décembre dernier, c'était Noël avant l'heure pour Bruno Cercley, le P-DG de Rossignol.

Ce jour-là, Nicolas Sarkozy visitait l'usine de Sallanches, au pied du mont Blanc. Le dernier site de production de skis en France. En 2010, cet établissement de 200 personnes a rapatrié une partie de ses fabrications, jusqu'alors sous-traitées à Taïwan.

Une occasion rêvée pour le président en campagne de célébrer le «produire en France». «Pour nous, ce fut surtout un bon coup de pub au démarrage de la saison», se félicitait un ouvrier en blouse bleue. Le soir, les JT évoquaient tous l'escapade présidentielle... De quoi faire bisquer Jean-Marc Pambet, le patron du rival Salomon, installé à Annecy, à 75 kilomètres de là. «Bah, ça fait parler du sport d'hiver», lâchait-il quelques jours plus tard, feignant l'indifférence.

Et voilà repartie la course-poursuite entre nos deux frères ennemis des alpages?! Côté ubac (versant nord)?: Rossignol et son coq bleu, blanc, rouge, 206?millions d'euros de chiffre

d'affaires en 2011. Côté adret (sud)?: le costaud Salomon, 600?millions de ventes en comptant son activité textile. Un brin monté en épingle (la relocalisation à Sallanches n'a permis la création que de 20 emplois), le passage de la caravane présidentielle en Haute-Savoie a symbolisé le retour en forme de cette industrie française du ski qui a bien failli disparaître.

http://www.capital.fr/enquetes/strategie/rossignol-salomon-les-freres-ennemis-du-ski-droit-dans-la-pente-700391

Faire vivre les organisations par tous les temps

Nous entrons dans une période de haute turbulence économique et de modification rapide des paysages : crise financière en Occident menacé de récession, montée en puissance des

émergents. Les dirigeants, dans la tourmente, doivent, pour rebondir, se concentrer sur l'actif organisationnel de leur entreprise, surtout si celle-ci est globalisée. Faut-il poursuivre les mêmes stratégies pour toutes les zones et activités ? L'actif organisationnel doit-il être homogène ou hybride ? Dans son exécution, doit-il toujours être uniforme ou culturellement divers ?

http://www.cfo-news.com/Faire-vivre-les-organisations-par-tous-les-temps_a21665.html Extrait de la publication mensuelle du « Café pédagogique », mars 2012 Management

Produire « Made in France » c'est le quotidien des dirigeants PME/ETI

75 % des dirigeants PME/ETI ont leur outil de production situé en France. Seulement 25% des dirigeants de PME/ETI déclarent avoir une part de leur activité localisée à l'étranger. Ce qui finalement est une bonne chose pour le made in France. 77% des patrons de PME/ETI donnent la priorité à des sous-traitants/fournisseurs qui réalisent leurs produits ou services en France.

Pour mémoire, cette tendance est toutefois moindre qu'auprès du grand public, qui ferait le choix des produits Made in France à hauteur de 91%.

La quasi-totalité des entrepreneurs estiment que produire en France permet de créer et de maintenir des emplois (95%) et de préserver le savoir-faire national/régional (92%).

Cependant, ils sont seulement 4 sur 10 à estimer que le Made in France donnent la possibilité de faire des économies sur les achats. 34% considèrent même que c'est un luxe que d'avoir des sous-traitants/fournisseurs fabriquant en France.

https://www.palatine.fr/fileadmin/user_upload/pdf/observatoire-ETI/palatine_observatoire-ETI-CP-2012-01-26.pdf

L'entreprise sociale, un modèle d'avenir

Ils sont de plus en plus nombreux ceux qui souhaitent concilier liberté d'entreprendre et finalité d'utilité sociale. Témoin un sondage CSA/Avise/La Croix révèle la forte attractivité des entreprises sociales auprès des Français. 81% d'entre eux font plus confiance aux entreprises sociales qu'aux pouvoirs publics (45%) pour relever les défis de la société et répondre à leurs attentes. Pour justifier la préférence qu'ils pourraient accorder à une entreprise sociale, les Français citent en deuxième position la modération dans la recherche du profit pour mieux se concentrer sur un projet social. Preuve que les entreprises porteuses de sens, inscrites dans les valeurs de l'économie sociale et solidaire et plaçant l'économie au service de l'homme,

émergent comme une voie d'avenir. Car au c?ur de l'Économie Sociale et solidaire (ESS)

l'innovation sociale consiste à élaborer des réponses nouvelles à des besoins de société mal ou peu satisfaits : vieillissement, petite enfance, logement, exclusions, discriminations, santé, cohésion sociale, etc...

http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20120201trib000681536/l-entreprise-sociale-un-modele-d-avenir.html

La délocalisation de la tenue des comptes nous a permis de rester compétitifs

La tenue de comptabilité constitue une prestation de service très importante. Nos clients, les entreprises, ont besoin d'une bonne comptabilité tout à la fois explicite et exploitable. En même temps, pour des raisons diverses et variées, ils ont du mal à payer ce service. Cela s'inscrit dans un mouvement général de baisse des prix que je constate dans notre profession.

Ma démarche a donc été initialement économique.

http://www.actuel-expert-comptable.fr/comptabilite-fiscal-social-entreprise/vie-du-cabinet/a-172016/la-delocalisation-de-la-tenue-des-comptes-nous-a-permis-de-rester-competitifs.html Que fait Total de ses profits géants ?

12,3 milliards d'euros de profits, le chiffre a de quoi faire rêver autant qu'il incite à la polémique. Ce vendredi, Total a annoncé un nouveau profit record, en hausse de 16% et

proche des sommets historiques de 2008, année où le groupe avait engrangé 13,9 milliards d'euros de bénéfices. Sans grande surprise, le pétrolier français a profité des cours très élevés du brut en 2011 - le prix du baril de Brent a grimpé de 40% à 111 dollars en moyenne sur l'année- qui ont compensé un léger recul de la production d'hydrocarbures.

http://lexpansion.lexpress.fr/entreprise/que-fait-total-de-ses-profits-geants_282394.html La guerre entre Findus et Iglo bat son plein en France

Findus lance cette semaine une nouvelle campagne d'affichage. On y voit notamment Aline, opératrice de conditionnement à l'usine de Boulogne-sur-Mer, qui pose en tenue de pêche avec la mascotte des poissons panés Croustibat et le slogan : « Made in Boulogne-sur-Mer et fier de l'être ». S'agit-il d'emboîter le pas au nouveau chauvinisme en matière de consommation cher à François Bayrou ? Ou d'une riposte au concurrent Iglo, qui promet d'être le plus visible dans les médias cette année ? Difficile à dire. Quoique. « Iglo est en train de créer des emplois en Angleterre et en Allemagne, où sont situées ses usines, tout en détruisant de la valeur sur le marché français », s'insurge le directeur général de Findus France, Matthieu Lambeaux. Pour lui, la coupe est pleine face au battage médiatique et aux méthodes de son concurrent, qui assure vouloir passer devant lui en France dans les cinq ans, alors qu'il pèse moins de 2% du marché des surgelés, contre 8% pour Findus.

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/agroalimentaire-biens-de-consommation-luxe/20120127trib000680834/la-guerre-entre-findus-et-iglo-bat-son-plein-en-france.html Les enseignes vues du ciel

Les supermarchés Leclerc sont plus nombreux dans l'Ouest de la France que dans le Sud-est.

Décathlon affiche un dense réseau dans le Nord... mais aucune boutique ou presque en

Bourgogne. C'est l'histoire de ces enseignes qui veut cela. Et cette histoire se lit à travers des cartes. La stratégie d'implantations de ces grandes chaînes aussi. Grâce aux données GPS de 30 marques, le Journal du Net a localisé des milliers de d'enseignes en France, comme le réseau de stations-service Total. Voici comment ces enseignes ont colonisé le territoire

hexagonal. Découvrez leurs points forts et leurs faiblesses, leurs bastions et leurs territoires de conquête.

http://www.journaldunet.com/economie/distribution/enseignes-vues-du-cie Renault lancera un véhicule à 3000 euros avant 2016

On travaille sur une plateforme de véhicules « Ultra Low cost » (à très bas coût), a affirmé Carlos Ghosn, lors de l'inauguration de l'usine géante de Tanger, au Maroc. Et, à la question sur la faisabilité d'un tel projet, le PDG de Renault a répondu catégoriquement à La Tribune : « Oui, nous allons le faire, avec une plate-forme moins chère que celle de la Logan ». Enthousiaste, il a ajouté : « Pourquoi, vous en doutiez ? ». Le projet est donc visiblement acté, du moins dans l'esprit du patron. Il sortira « à moyen terme ». Quand nous demandons à Carlos Ghosn : « avant 2016 ? », il lâche : « oui ! ».

« Cette plate-forme sera pour l'Inde, l'Afrique, certains pays d'Amérique du sud ». Un tel

modèle viendra-t-il en Europe ? « C'est a priori difficile à cause des normes », indique le patron, sans avoir l'air de trancher définitivement la question.

http://www.latribune.fr/entreprises- finance/industrie/automobile/20120209trib000682564/renault-lancera-un-vehicule-a-3000-euros-avant-2016.html

Près d'une entreprise française sur deux est victime de fraude

La fraude continue d'augmenter. Un tiers des entreprises dans le monde en ont été victimes en 2011, et près d'une entreprise française sur deux (46 %). Une véritable montée en flèche : elles n'étaient « que » 29 % en 2009. Principale raison avancée « l'efficacité croissante des dispositifs de prévention et de contrôle mis en place dans les entreprises ». Tel est

l'enseignement de la 6ème édition de l'étude PWC sur la fraude en entreprise, menée auprès de 3877 entreprises dans 78 pays différents, présentée le 29 novembre.

http://lentreprise.lexpress.fr/gestion-entreprise/fraude-46-des-entreprises-francaises-victimes-en-2011-selon-l-etude-du-cabinet-pwc_31420.html

La chute des températures peut-elle doper la croissance ?

Qui sera le plus fort ? Conséquence de la vague de froid, la production d'énergie est en très forte fausse. Depuis deux semaines, pas un jour ne se passe sans qu'un nouveau record de production ou de consommation ne soit battu. Le secteur énergétique affichera donc des bonnes performances au premier trimestre et contribuera positivement au PIB. « À l'image d'autres aléas climatiques, la baisse des températures a des effets significatifs sur l'activité économique (...).La demande d'énergie en hiver est globalement proportionnelle à la

température relevée, toutes choses étant égales par ailleurs. En effet, la consommation d'énergie nécessaire pour maintenir une température donnée à l'intérieur d'un bâtiment est proportionnelle à la baisse de la température extérieure (...). Nous estimons qu'une baisse moyenne de 1°C des températures entraînerait une hausse de plus de 2 % de la

consommation en eau, gaz et électricité et une hausse de l'ordre de 1 % de la production de cette branche. L'effet sur l'ensemble des biens énergétiques serait un peu plus faible puisqu'il recouvre également des produits tels que les carburants, dont l'élasticité aux températures est faible voire nulle », expliquait l'Insee dans une note de conjoncture datée de mars 2010, après que la France ait subi trois vagues de froid consécutives.

http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20120209trib000682475/la-chute-des-temperatures-peut-elle-doper-la-croissance-.html

Michelin investit pour accélérer dans les pays émergents

Le géant du pneu prévoit d'investir 1,9 milliard d'euros cette année, notamment pour ouvrir de nouvelles usines dans les pays émergents. En 2011, Michelin a enregistré de solides résultats malgré la volatilité des matières premières.

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/auto-transport/actu/0201893441222-michelin-investit-pour-accelerer-dans-les-pays-emergents-287833.php

Comment les skis Rossignol ont remonté la pente à toute vitesse

Le groupe Rossignol basé à Saint-Jean-de-Moirans, près de Grenoble en Isère, vient de lancer un plan d'investissements de près de 10 millions d'euros, dont les deux tiers seront déployés d'ici avril 2013. L'occasion de moderniser son site haut-savoyard de Sallanches. Dernière usine de fabrication de skis de France, celle-ci produit environ 300 000 paires par an de skis de piste haut de gamme des marques Rossignol et Dynastar. La moitié de l'outil de production sera ainsi entièrement rénovée, 28 machines dernier cri installées et l'atelier course de Moirans, près de Grenoble, modernisé. Autre bénéficiaire de cet investissement : le site d'Artès, en Espagne, qui fournit les skis de grande série, free-ride et free-style et les skis de fond. « Nos

Le groupe Rossignol basé à Saint-Jean-de-Moirans, près de Grenoble en Isère, vient de lancer un plan d'investissements de près de 10 millions d'euros, dont les deux tiers seront déployés d'ici avril 2013. L'occasion de moderniser son site haut-savoyard de Sallanches. Dernière usine de fabrication de skis de France, celle-ci produit environ 300 000 paires par an de skis de piste haut de gamme des marques Rossignol et Dynastar. La moitié de l'outil de production sera ainsi entièrement rénovée, 28 machines dernier cri installées et l'atelier course de Moirans, près de Grenoble, modernisé. Autre bénéficiaire de cet investissement : le site d'Artès, en Espagne, qui fournit les skis de grande série, free-ride et free-style et les skis de fond. « Nos