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Cadre théorique et méthodologique

Chapitre 7. La célébrité de Stolk : photographies et notes de presse

Ce qui caractérise les sociétés dites avancées, c’est que ces sociétés consomment aujourd’hui des images, et non plus, comme celles d’autrefois, des croyances

Roland Barthes Si la photographie est moderne, elle le doit surtout à son caractère d’image machine, à la part sans précédent que la technologie occupe dans ses images. Une place si importante qu’elle produit dans ses images. Une place si importante qu’elle produit une rupture avec les images antérieures

André Rouillé

Dans le présent chapitre, nous aimerions compléter notre réflexion sur le profil adopté par Gloria Stolk dans les médias, à partir de l’observation de quelques photographies. De nombreux clichés la présentent comme une intellectuelle cosmopolite, érudite et élégante. À partir de 1953, en tant que personnage assidu de la presse et des revues, notre auteure a débuté une romance avec les médias qui allait durer jusqu’à la fin de sa vie. Nous savons que les intellectuels des années 50 ont créé un espace de rencontre dans la presse, pourtant l’image des uns et des autres variait considérablement. Selon Philippe Ortel (2008) la presse fonctionne comme un espace de reconnaissance pour les auteurs, traversé par l’image photographique et une écriture de référence, ou extérieure.

Revenons maintenant à l’imaginaire du portrait, tant celui que construit la photographie d’événements culturels que d’entretiens dans la presse.

Ces portraits nous permettent de détailler un capital symbolique compliqué, puisqu’une position de prestige intellectuel est légitimée bien qu’enracinée chez une femme enchantée par la frivolité. Par rapport aux images publiées dans la presse et à leurs commentaires respectifs, souvenons-nous de la thèse de Roland Barthes au sujet de l’étude de la photographie. Ce dernier considère que la rhétorique de l’image permet de comprendre la photographie comme une représentation dont la signification fonctionne en rapport avec les valeurs d’une société déterminée (Barthes, 1980, p. 17). Les photos de presse sont des témoignages détachés de l’histoire d’un pays, écrite du point de vue de la trajectoire de ses écrivains. Les photographies tentent d’élaborer une image singulière depuis une multiplicité de facettes. De toute façon, le regroupement est intéressant, il permet de mettre côte à côte chaque apparence, et montre comment se construit peu à peu une image d’auteur. Or dans le cas de Stolk, les contrastes dans la manière dont elle s’est elle-même construite, sont paradoxaux : l’auteure de romans primés/l’auteure de feuilletons ; la ministre de la Culture/la mère sévère ; la critique littéraire/l’auteure de conseils de beauté ; la défenseure des libertés féminines/la maîtresse de maison…

Pour Roland Barthes, la photographie crée une signification en association avec des attitudes stéréotypées :

Dès que je me sens regardé par l’objectif, tout change : je me constitue en train de « poser », je me fabrique instantanément un autre corps, je me métamorphose à l’avance en image. Cette transformation est active ; je sens que la photographie crée mon corps ou le mortifie (1980, p. 25).

En suivant ce discours sur le processus de connotation qu’implique la photographie : l’imposture d’un autre sens convertit donc la photographie en une vitrine où s’exposent les fantaisies du marché des biens symboliques. De là, nous pouvons sonder la construction du visage de l’auteure. Un visage qui se construit dans la presse périodique : celui d’une femme qui apprécie l’univers domestique et en fait étalage. Quelques photos, qui ont circulé dans la presse et dans des revues, complètent les différentes facettes qui auréolent Stolk comme un vrai sujet multiple. Car au-delà de l’espace si délimité que construisent les institutions littéraires et intellectuelles, la

la trajectoire des écrivains Gloria Stolk et Juan Rulfo

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stratégie de notre auteure a été d’obtenir une visibilité dans les médias, grâce à la reconnaissance du public, que ce soit dans un journal dominical ou une revue hebdomadaire triviale.

L’analyse de la photographie nous permet d’approfondir l’image de l’écrivaine dans la constitution de ce champ, qui s’ouvre à l’écriture féminine. Vu la forte critique que ses contemporains ont émise sur son œuvre, ce que nous avons lu dans le précédent chapitre, il n’est pas étonnant que son pari se soit converti en l’emblème de la femme moderne, applaudie par le public, sans atteindre la position d’une auteure légitimée. C’est peut-être dans cette intention qu’elle a mis en scène certains attributs qui l’ont caractérisée et ont parachevé le profil d’elle-même qu’elle a toujours défendu : une intellectuelle fascinée par l’image extérieure. On s’étonne, de sa part, qu’elle prévienne ses lectrices contre l’attitude de l’érudit : « les deseo que nunca, por ningún caso, vayan a asumir un aire de "intelectuales". La chica con gruesas gafas de carey, cabello recogido en un pequeño moño tieso y fastidioso, labios desteñidos y expresión de "maestra de escuela" » (Stolk, 1953, p. 82).

Un second aspect de cette visibilité dans la presse écrite souligne la prééminence du récit de son histoire personnelle : des anecdotes sur ses filles, ses mariages et ses séparations, tout comme son exercice professionnel dans des postes publics, diplomatiques, académiques et la direction d’associations. Dans le prologue de Discours, image, dispositif. Penser la représentation, Philippe Ortel remarque que :

L’identité, qui devrait être une, se divise entre l’image visuelle de soi offerte par l’appareil photo et autre chose, difficile à définir. Plus la photographie prétend restituer la vérité d’un visage, plus l’identité de chacun se révèle fuyante et complexe. Le sujet n’a jamais été autant divisé que le jour où on lui a tendu une empreinte exacte de ses traits (2008, p. 8).

L’image que Stolk a tenté de remarquer et de faire remarquer, dans le champ culturel vénézuélien, à partir de son passage dans la presse, est celle d’une intellectuelle active, intéressée par la beauté. Autrement dit, une exaltation de ce qui est associé au féminin, à partir d’une érudition en communion avec la beauté, qui frisait parfois la superficialité. Cette posture est évidente dans les chroniques sociales, où elle apparaît comme une habituée des événements culturels ; ce qui a profilé son renom, bien que cette illusion n’atteigne jamais réellement les espaces des gens de lettres. Stolk se sert du

pouvoir de l’image pour compenser l’impossibilité de se construire dans les mots de ses textes, qui passe peut-être par l’impossibilité de dire, de décrire une image.

Dans notre sélection de photographies, chacune semble établir un lien avec le genre de texte que Stolk publie à tout instant. C’est pourquoi chaque pose offre une apparence particulière, en accord avec le genre littéraire que publie l’auteure à un moment précis. En ce sens, la photo témoigne du mimétisme qui s’opère entre son image et son écriture. Les formes des genres littéraires se traduisent aussi sur son corps ; modèle d’identification, il doit toujours savoir répondre à la question : qui écrit quoi ? La pose, quant à elle, exécute le processus de transformation de maîtresse de maison en écrivaine très connue.

Ce glissement, apporté par le pouvoir de l’image, est net dans les portraits de Stolk de la revue Elite (Stolk, Diamela Chapitre I, 1953, p. 20). Sur la photo publiée avec le feuilleton intitulé « Diamela » elle est souriante, et porte une robe très classique.

Photo 1 (réassemblée par nos soins) : Photo publiée avec le roman-feuilleton encarté intitulé Diamela. Revista Elite, N°:1429, pp. 20, 21 février 1953.

Le cadrage du portrait renforce l’humeur de la narratrice de feuilleton, à mille lieues de participer aux grandes discussions littéraires. Seul le titre permet de comprendre qu’il s’agit d’une écrivaine (même s’il s’agit d’un feuilleton). Le signe de sa féminité est mis en valeur dans cette représentation, mais, à l’inverse, grâce à quelques libertés au sein des restrictions, le stéréotype fonctionne aussi comme une forme de libération de la vie quotidienne, puisque l’auteur s’exhibe dans une scène de tous les jours. Sans se vanter, elle semble appeler les lectrices qui lui ressemblent. Au sujet de l’image de l’écrivain, dans « L’âge des médias », José-Luis Diaz affirme que :

À tous les niveaux de la « culture », devenue elle-même une industrie de simulacres, nous sommes mieux à même de comprendre ce que signifie la proposition selon laquelle la littérature est un théâtre d’images : un laboratoire de transferts fantasmatiques dont le pôle est l’écrivain (Diaz J.-L. , 2007, p. 21).

Dans les deux images ci-dessous on peut voir le premier et le dernier chapitre du roman de mœurs Diamela, ainsi que le qualifiait son auteure.

Photos 2 et 3 : Roman-feuilleton Diamela – Couverture et page du chapitre I. Revista Elite. N°: 1.429, 21 février 1953 (Stolk, p. 40)

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Page 179/351 Photos 4 et 5 : Roman-feuilleton Diamela – Chapitre VIII.

Revista Elite. N : 1.435, 4 avril 1953, pp 40-41.

Dans le deuxième dessin nous pouvons remarquer que les personnages sont habillés dans un style des vénézuéliens du XIXème siècle, notamment le personnage

masculin qui porte un « liqui-liqui » traditionnel des Llanos. Je tiens à attirer l’attention sur le fait que l’auteure écrit en plein XXème siècle tout en utilisant une esthétique du

milieu du XIXème siècle.

Dans la même revue, où a paru la photo commentée plus haut, sortira quelques mois plus tard une longue interview de l’auteur, faisant mention d’un recueil, né à l’ombre de son travail dans les médias (1953, p. 36).

Photo 6 : Article: «Hemos hablado con Gloria Stolk, autora de “14 Lecciones de Belleza”». Revista Elite, N°:1433, 21 mars 1953 p.36

Dans une photo publiée avec une interview au sujet de son livre 14 lecciones de Belleza, Gloria Stolk apparaît dans une scène familiale où elle se montre en charmante mais paisible maîtresse de maison. Une dame élégante, toujours belle dans l’espace domestique, une femme de bonne famille, entre sa mère et ses filles, se posant en défenseure de la beauté qui ne fait pas appel à la séduction. Les photographies affirment ce qu’exprime l’écrivaine : le mariage et la maternité viennent avant l’office de l’écriture. À ce propos, Roland Barthes commente dans “Romans et enfants », de son livre Mythologies, la façon dont 70 écrivaines sont recensées dans le magazine Elle. La revue souligne en effet le nombre d’oeuvres et d’enfants que chaque auteure a mis au monde. Selon Barthes le message que sous-entendait la publication était :

que les femmes ne croient pas qu’elles peuvent profiter de ce pacte sans s’être d’abord soumises au statut éternel de la féminité. Les femmes sont sur la terre pour donner des enfants aux hommes ; qu’elles écrivent tant qu’elles veulent, qu’elles décorent leur condition, mais surtout qu’elles n’en sortent pas : que leur destin biblique ne soit pas troublé par la promotion qui leur est concédée, et qu’elles payent aussitôt par le tribut de leur maternité cette bohème attachée naturellement à la vie de l’écrivain (Barthes, 1957, p. 60).

Modérée et maternelle, Stolk semble renoncer à son pouvoir de séduction et assumer l’enseignement comme une maîtresse d’école pour jeunes filles. Aucun symbole d’une femme issue de la sphère professionnelle, ne transparaît. Nous voyons toutes les

femmes de la famille réunies à la maison. L’image domestique, autour de la femme la plus âgée de la famille, est prépondérante. Dans cette interview l’écrivaine raconte :

–Escribía cuentos que publicaba en “Elite” bajo el pseudónimo Rosenda Ocampo. Estaba entusiasmada con la literatura y la consideraba como una actividad permanente. Pero tuve que establecer una pausa.

Su mirada recorre el portal de la casa. Allí están sus dos jóvenes hijas. –El matrimonio, y luego el nacimiento de las niñitas concretó mi atención en el hogar, en la familia… Pasó el tiempo. La vocación dormida tuvo un apasionado despertar. De seis años a esta parte me he incorporado de nuevo a la vida literaria. (1953, p. 36).

En gros plan, la femme de bonne famille se place au centre de l’ordre symbolique du foyer, comme lieu intime qui ne se fait jour qu’indirectement dans l’écriture. Même si elle traite de thèmes banals, l’auteure du manuel se positionne comme une mère sévère, au regard fixe, placée devant ses filles. Les positions du portrait indiquent la hiérarchie : les mères assises et les jeunes filles debout. Elles montrent le patrimoine familial comme une source de fierté. La photo représente un matriarcat, d’où disparaît toute figure masculine, entre les longs couloirs d’une maison rappelant les demeures de la haute bourgeoisie de Caracas :

Où est donc l’homme dans ce tableau de famille ? Nulle part et partout, comme un ciel, un horizon, une autorité qui, à la fois, détermine et enferme une condition. Tel est ce monde d’Elle : les femmes y sont toujours une espèce homogène, un corps constitué jaloux de ses privilèges, encore plus amoureux de ses servitudes ; l’homme n’y est jamais à l’intérieur, la féminité est pure, libre, puissante ; mais l’homme est partout autour, il presse de toutes parts, il fait exister (Barthes, 1957, p. 61).

Les vêtements de l’écrivaine occultent son corps, ne laissent échapper aucune insinuation : la beauté de la femme disciplinée. N’oublions pas que pour Charles Grivel :

La photographie est un art de la pose, de l’apprêter en lui donnant un air souriant et de le grimer, comme un masque ou comme une caricature : la photographie est l’art de l’exagération du trait, de le rendre conforme à l’aspect qu’il doit prendre pour entrer dans la chambre noire (Ortel P. , 2008, p. 129).

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Sur les deux images qui apparaissent sur cette photographie (Photo 6), c’est la version privée de la femme qui prévaut. Dans une double approche incluant tant son écriture que son visage, Stolk accueille et reflète le goût des classes moyennes. La femme de plume devient visible pour celles qui lisaient chaque semaine ses conseils de beauté. Une image nette pour des lectrices attachées au passé, à la tradition, aux bonnes manières que conseille son profil de dame conservatrice occupée à des thématiques très modérées. Rappelons que selon Paul Léon :

à l’ère de la photographie, il nous faut dans tous les cas postuler un lecteur dont l’imaginaire de lecture n’est plus nourri des seules images mentales que suscite le texte, ce qui fut sans doute largement le cas jusqu’à l’avènement de la photographie (Léon, 2008, p. 124).

Les photos de 1957 répondent à l’humeur de l’écrivaine primée et remariée, après son veuvage. L’interview s’enquiert des deux récompenses : le prix Arístides Rojas et son nouveau mari, double triomphe pour une femme dans les années 50. Le paradoxe de l’écrivaine triomphante, s’articule aussi à l’idée de la femme absorbée, cantonnée dans le thème du mariage.

Nous voyons Stolk vêtue élégamment tenant le titre du prix. Toutefois la femme ne peut être conçue en dehors de l’espace familial. Les récits familiaux racontent à nouveau une biographie que notre auteure poursuit, sans aucun doute, dans un autre type de textualité. Pourtant, la photo de la remise du prix littéraire –où brille aussi le tout nouveau mari– évoque une image très différente de celle de 1953.

Photos 7 et 8 : Parution d’un quart de page, suite à la remise d’un prix littéraire : « Arístides Rojas : Entrega de premio ».

El Nacional, 2 février 1957

La distinction de sa tenue est très éloignée de la maîtresse de maison sévère dans le couloir de sa maison de Caracas, aux côtés de ses filles. Ici l’élégance fait appel à d’autres registres : vêtue de noir, la sobriété s’achemine vers le profil de l’auteure de romans.

Photo 9 : Note pour voyage et prix littéraire.

El Nacional, 9 février 1957

Photo 10 : Image de célébration pour voyage et prix littéraire.

La note ci-dessus dans la section de « Sociales »23 de El Nacional fait part d’une célébration pour le prix littéraire de Stolk ainsi que pour le voyage de l’amphitryonne (invitée par le Département d’État des « Etats-Unis du Nord »). Dans cette note Stolk est présentée comme Gloria Pinedo de Benabù (Benabù était son nom d’épouse). Il est évident que la presse met en avant davantage son rôle d’épouse (de par l’utilisation du nom de son mari) que son identité d’auteure. Sur la deuxième image, on voit son mari au premier rang, et elle plutôt en second plan, bien qu’elle soit au milieu du champ visuel. Dans la photographie on observe l’image d’une soirée, où l’image littéraire passe par la bibliothèque au fond et la femme qui tient un livre –et ses gants blancs–.

Photo 11 : El Nacional, 9 février 1957, Elite N°1638 16 fevrier de 1957

Le même événement a été raconté par Elite. On note la présence exclusive de femmes. La légende fait mention du rôle de certaines d’entre elles : une députée, la présidente de l’Unión de Mujeres Americanas (UMA), une docteure et Stolk en tant que lauréate de prix littéraire. On peut remarquer que dans cette période elle se fait appeler par le nom de son deuxième mari.

Photo 12 : Article “Gloria Stolk” de Gloria Uribe. Revista Elite, No.1632, p.44, 5 janvier 1957

Dans l’image ci-dessus, le titre la catalogue dans le registre de ce qui est permis aux femmes : « Son cadeau de mariage : le Arístides Rojas », et on peut lire en tête d’article: « Columnista de un diario popular, ella gana el más codiciado galardón literario de Venezuela, por una novela Psicológica! ». Le contexte est une bibliothèque avec ses rayonnages, avec des reproductions numérotées d’œuvres d’art : l’écrivaine dans son lieu de travail.

Sur la légende de la photo nous pouvons lire que l’auteure parle quatre langues, ce qui lui permet d’avoir une bibliothèque avec différents titres en version originale, donnant l’impression d’une femme cosmopolite. Les sculptures sur son bureau dénotent un lieu de travail sobre, décoré avec des éléments de champs esthétiques. Les images qui

23 Dans les journaux du Venezuela, il est fréquent de retrouver une section pour les informations

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l’associaient à la maîtresse de maison se montrant aux côtés d’un groupe de femmes, encadrée par sa mère et ses filles, sont loin derrière.

Photos 13 et 14 : Article “Gloria Stolk” de Gloria Uribe. Revista Elite, No.1632, p.45 et p.46, 5 janvier 1957

Le titre laisse pantois : « Son cadeau de mariage : le Arístides Rojas ». Nous voyons comment l’on mentionne la récompense en la liant à la vie privée de l’écrivaine. Les succès littéraires continuent à être associés aux rôles assignés aux femmes. Sur une seconde image du reportage, l’interview est accompagnée d’une photo de l’écrivaine en gros plan. En noir et blanc, la limitation des éléments ressort. La surexposition de son visage semble vouloir allier son profil à son nom, qui se détache en noir. Ayant accédé à la notoriété, elle est de plus en plus visible dans son rôle d’écrivaine et de journaliste.

Photos 15 et 16 : Couverture de revue et page (85) avec illustration

«En este número un capítulo de Amargo el Fondo, novela premiada de Gloria Stolk ». Revista Elite, No.1633, 12 janvier 1957

Comme nous avons pu le remarquer, la revue Elite a apporté un grand soutien à Gloria Solk. Cette revue a publié Diamela, et des chapitres de Bela Vegas ainsi que de Amargo el fondo. Dans l’image ci-dessus on peut voir la couverture du numéro et une page avec illustration où a été publié un chapitre : « Exclusivo : un capítulo de la novela inédita de Goria Stolk, Amargo el fondo » (85).

Photo 17 : Photo incluse dans l’interview intitulée : “Elite pregunta, nuestras escritoras responden”.