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C

HAPITRE

II

V

ALEUR DECONCOMITANCE

(dite « valeur de temps »)

22

1. I

NTRODUCTION

La valeur de concomitance, illustrée par les énoncés qui suivent, a déjà été largement commentée dans la littérature linguistique :

(1)The bedroom felt cold and as Fred sank to the bed with her still in his arms Carrie closed her eyes and tried not to let herself focus on the small round damp patch on the ceiling above the foot of the bed.

(2)(a) As he laboured the last few yards the slam of a car door backed his worst fear, and (b)

as he turned the corner an engine fired.

(3) Half an hour later, as they were leaving the house, Carl and Alexandra were met in the path by a strapping fellow in overalls and a blue shirt.

(4)(a)I saw you get out of the train as we came over the bridge, then (b) stand alone and forlorn on the platform as we jostled past Mr. Ticket Collector and here we are.

(5) Joshua and Edgar walked to the door of the side room. It opened forcefully as they reached it, and a huge man stood framed in the doorway, filling it almost completely.

Après un bref rappel des analyses effectuées - notamment celle de Vallée & Khalifa (2000) - nous montrerons que la relation construite par as dans ce type d’énoncés est tout à fait analysable en termes de repérage par identification. Nous mettrons en évidence un certain nombre de paramètres qui conduisent à cette interprétation en termes de concomitance temporelle, notamment les types de situations (génériques, spécifiques, itératives ...), les types de procès (compact, dense, discret23) et la modalité, et la négation. En outre, when et while qui peuvent aussi marquer une relation de concomitance sont substituables à as dans certains énoncés et sont parfois utilisés pour gloser as. Tout au long de ce chapitre, nous effectuerons des parallèles avec ces deux marqueurs, ce qui nous permettra de dégager d’autres spécificités du lien construit par as dans ce type d’énoncés.

2. R

APPELET COMMENTAIRE DESDIFFÉRENTES ANALYSESPROPOSÉES

2.1. Consensus général sur l’opération d’identification

22 Cette partie sur la valeur de concomitance a fait l’objet d’une présentation à l’équipe de recherche de l’Institut Charles V, Paris VII le 22 septembre 2000. Les discussions très fructueuses qui ont suivies nous ont permis d’y apporter de nombreuses et utiles modifications. Nous tenons à remercier toutes les personnes présentes ce jour-là de leur aide précieuse, notamment Messieurs Deschamps A, Gilbert E. et Flintham R., ainsi que Mesdames Trévise A. et Charreyre Cl. .

23 Selon la terminologie élaborée par J.J. Franckel, D. Paillard, et S. De Vögue. Voir notamment les articles suivants : De Vögue (1987) ; De Vögue, Paillard, Franckel (1989) ; Paillard, Franckel (1991).

Il semble y avoir consensus24 sur la valeur à donner à as dans ce type d’énoncés. Parmi les linguistes qui s’y sont intéressés, quel que soit le cadre théorique utilisé, le marqueur est analysé comme un connecteur mettant deux relations prédicatives en relation de concomitance, en construisant l’une - appelée q - comme repère temporel pour l’autre - appelée p - grâce à l’opération d’identification dont il est la trace.

Poutsma (1904) définit deux types d’énoncés comportant un as à valeur temporelle : « As is used: a) to introduce a clause mentioning the action during which the action denoted by the head-sentence took or takes place. In this case it is equivalent to during the time that. b) to introduce a clause stating what action coincided with the action mentioned in the head-sentence. In this case, it is equivalent to at the (very) moment that. ». (Ib., 437) (nous soulignons).

Selon Edgren (1971), dans les propositions en as à valeur temporelle,

« the relation between the contents of the clauses was one of (...) simultaneity (total or partial) combined with pure aspect25 of the T-clause ». (Ib., 217-218). (nous soulignons).

Quirk et alii (1985) considèrent pour leur part que as sert à marquer la simultanéité de deux situations. On retrouve cette idée chez Adamczewski (1993), qui parle de as comme d’un « signal de concomitance » (Ib., 336). Quant à Lapaire & Rotgé, qui ont consacré toute une partie de leur grammaire aux deux marqueurs as et so (1991, 253-294), ils décrivent l’emploi temporel de as de la manière suivante :

« Dans son acception temporelle, as introduit un événement-repère auquel il fait coïncider un autre événement, en parfaite synchronie. L’on parle alors de concomitance ou de simultanéité. » (Ib., 258)

« Malgré le rapport syntaxique de subordination, l’événement présenté dans la circonstancielle de temps introduite par as sert en réalité d’événement-repère, autrement dit de référence par rapport à laquelle le déroulement de l’autre événement est évalué (...). Il est par conséquent plus exact de traduire ‘concomitance’ par ‘un événement X se déroule au même moment qu’ un événement Y-repère’. » (Ib., 265) Selon eux, as peut être paraphrasé par when, while, ou at the same time.

24 Ce consensus a été remis en cause récemment par l’étude de Vallée & Khalifa (2000) sur laquelle nous allons revenir en détail.

25 Voici ce que l’auteur entend par pure aspect : « In order to describe actions occurring in time the following

terms will be used : (...) Terms concerned with aspect: (a) marked by verbal forms : perfectiveness, duration, imminence; (b) marked by other than verbal forms: seriality, proximity; (c) unmarked : pure aspect. ».

(1971,22-23). Elle ajoute : « While there are several conjunctions of pure time (after, before, when, on the day...), there is only one conjunction of pure aspect (as1); the other conjunctions that are concerned with aspects are exponents of either perfectiveness, duration or seriality. As1 does not, any more than after, before, when, give information about the aspect of any of the clauses in the T-structure; it points directly to the action

Enfin, Larreya (1996) parle d’emploi « métonymique » de as dans son acception temporelle et laisse entendre que l’on peut parler d’identité temporelle entre les moments des événements des deux propositions :

« This type of use [as = time conjunction ] might be termed metonymic, since the identity expressed by as concerns the time of the event - not the event itself. (...) the sameness expressed by as is only partial : it does not concern the event as a whole, but one of its constitutive elements. (...) the constitutive element on which the sameness bears - i.e. the time reference - is implicit (...). » (1996, 104)

Il ne va cependant pas plus avant dans l’analyse de cet emploi.

Plus récemment dans la théorie des opérations énonciatives, Bouscaren & Persec (1998) proposent l’analyse suivante pour (6) :

(6) Just as he felt he could no longer keep himself from doing this, she lifted her head sharply and said : (...).

« En tant que conjonction, as introduit un repère par rapport auquel la subordonnée est repérée.(...) as marque une relation d’identification ici entre le terme repère et le terme repéré ; cette identification porte sur les moments des procès en question, d’où l’interprétation temporelle de concomitance : c’est au moment même où le procès de la subordonnée a lieu que celui de la principale a lieu. Cette formulation fait apparaître que la relation d’identification marquée par as n’est pas symétrique, mais asymétrique ; on n’intervertira pas sans conséquence les deux procès : ? Just as she lifted her head sharply and said : ... he felt he could no longer keep himself from doing this ... C’est le procès de la subordonnée qui définit le moment repère, celui-ci servant à déterminer le procès repéré de la principale : une éventuelle question en WHEN n’aurait de sens que si elle portait sur le procès de la principale : When did she lift her head ? Mais alors que celui-ci est construit par son repérage, le repère fait quant à lui l’objet d’une préconstruction : l’énonciateur le pose comme préalablement construit et ne le remet pas en question. La subordonnée étant d’ailleurs très explicitement orientée vers ce qui précède (reprise avec do this de la relation prédicative <she -bend down and touch ...>), il n’est pas étonnant qu’elle figure en première position. » (1998, 246). (nous soulignons).

De toutes ces analyses, on retiendra d’une part qu’il semble impossible de trouver une paraphrase satisfaisante pour rendre compte de la totalité des énoncés pour cette valeur du marqueur. D’autre part, quel que soit le cadre théorique utilisé, ces quelques commentaires illustrent bien le consensus qui règne quant à la manière d’analyser le rôle du connecteur dans ce type d’énoncés : as se comporte comme un connecteur servant à marquer que les deux événements auxquels renvoient q et p se déroulent en même temps.

Poutsma (op.cit.), Deléchelle (1989)26, et Guimier (1997b)27 soulignent que le connecteur peut marquer une concomitance avec recouvrement total des deux événements comme c’est le cas dans les énoncés (1), (2a,b), (4a,b) et (5) cités en introduction, ou bien une concomitance avec recouvrement seulement partiel des deux événements, ce qui correspond à la valeur dite de « cadre temporel » dans la terminologie traditionnelle. Pour ce qui est de ce dernier cas, nous avons déjà cité (3). En voici d’autres exemples :

(7) When night comes around, however, as I’m sitting there in the room trying to figure out what we’re going to do next, there’s a knock on the door and it’s the German ; he seems very strange.

(8) A moment later, as the Indians were lining up for the food and the clothing, Sister-wife Miriam tapped Magdalena softly on the shoulder.

(9) (a) « What is all that about paying a cock ? » said Butler.

« Ah - that was another bit from the Phaedo, the last words of Socrates as he was being executed. You see, Aesculapius was the god of healing, and people who were sick used to sacrifice a cock to him before they went to sleep in the hope of waking in good health again -or sometimes simply as a thank-offering f-or having recovered. (b) As Socrates was dying he asked his friend Crito to make such an offering. »

(10) « My secretary handed me this memorandum of yours as I was heading up here, Mr. Rabb. Is there some reason why you chose to file it only five minutes before this hearing ? » (11) Mrs Bidwell arrived at the door as the two attendants from the mortuary van were carrying out the body.

Dans ces énoncés, la relation introduite par as constitue un cadre temporel pour l’autre relation, ce que l’on pourrait paraphraser par : in the course of q, p. On peut dès à présent remarquer la présence quasi-systématique d’une forme en be + -ing dans q, alors que l’on a une forme aspectuellement non-marquée (au passé ou au présent) dans p. Nous y reviendrons par la suite.

La présentation de Larreya en termes d’« identity » entre les moments des événements est intéressante du point de vue de l’opération qu’il définit pour expliquer le fonctionnement de as. Bien que nous n’acceptions pas le terme d’« identity », qui n’est pas, selon nous, apte à rendre compte de l’opération de repérage dont le marqueur est la trace pour les raisons déjà

26 « Si l’on s’en tient aux rapports sémantiques entre les deux propositions, on peut dire que ces énoncés, qui réfèrent à un événement servant de cadre à un autre, ou à deux événements simultanés duratifs ou ponctuels, expriment la concomitance. » (Délechelle,1989, 488).

27 Claude Guimier parle d’identification stricte « lorsqu’au résultat les deux procès coïncident dans le temps » et d’identification relative « lorsqu’une relation d’inclusion s’établit entre les deux procès ». (1997b, 166).

exposées dans le chapitre I, il est vrai que cette opération intervient au niveau des moments des événements, comme le confirme l’analyse de Bouscaren & Persec. Par l’intermédiaire de as, l’énonciateur met en relation q et p en identifiant leurs moments respectifs, la relation q introduite par as servant de repère, de référence temporelle à l’autre relation.

Ces descriptions très sommaires vont toutes dans le même sens et nous semblent parfaitement à même de donner une vision générale, globale des énoncés rencontrés avec cette valeur. Cependant on peut s’interroger sur le pourquoi de ces deux interprétations (recouvrement total ou partiel), et sur l’influence (primordiale, nous le verrons) des types de procès dans l’interprétation de la relation inter-lexis.

Pour notre part, dans notre cadre théorique, nous analysons as comme un connecteur marquant un repérage par identification entre deux relations prédicatives, l’opération d’identification portant de manière privilégiée sur la délimitation qnt (ou coordonnées spatio-temporelles) de deux relations, ce qui conduit le lien ainsi construit à être systématiquement interprété comme un lien de concomitance.

Nous allons voir que cette opération d’identification sur les dimensions qnt de q et de p se reflète dans les types de fonctionnement des procès rencontrés avec cette valeur. Nous montrerons ainsi qu’il existe certaines contraintes et que l’analyse des types de fonctionnement des procès de q et de p permet d’expliquer les deux interprétations (concomitance ou recouvrement partiel avec la valeur de cadre) relevées par de nombreux linguistes. Nous reviendrons également sur les caractéristiques mises en valeur par Claude Guimier (1997b) et nous montrerons en quoi l’opération d’identification entre délimitations qnt permet de les justifier. Nous analyserons enfin certains énoncés pour lesquels l’interprétation en termes de concomitance se doublera d’une nuance causale : nous mettrons ainsi en évidence ce qui, dans les relations mises en présence, peut conduire à ce type d’interprétation, et surtout ce qui différencie ces énoncés de ceux où as a sa valeur causale, laquelle fera l’objet du chapitre suivant.

Revenons tout d’abord sur l’analyse de Mickael Vallée et Jean-Charles Khalifa (2000). 2.2. L’article de Vallée & Khalifa (2000) : as marqueur de « pseudo-identification » ?

Ces deux auteurs, qui se réclament de la théorie des opérations énonciatives, proposent une analyse légèrement différente. Voici comment ils caractérisent as en tant que marqueur temporel :

- P228n’est pas localisé par rapport à as, car il possède sa propre localisation.

- As permet la reprise de la localisation de P2 pour construire P1 marquant ainsi une pseudo-identification des t. As transforme donc une altérité première des t en une pseudo-identification.

- As est donc un marqueur qui ne discrétise pas par lui-même. Il est un marqueur de parcours des instants de P2 avec totalisation, valeur que l’on retrouve par ailleurs dans son étymologie (eal-swà = all + so).

- Les différents effets de sens sont provoqués par l’aspect lexical des procès. Si le procès associé à P2 est ponctuel, on aura un effet de consécution, si le procès est de type duratif, on obtiendra un effet de concomitance. » (2000, 29)

Vallée & Khalifa aboutissent à cette distinction procès ponctuel / consécution - procès duratif / concomitance en partant du constat que, dans leur corpus, certains énoncés sont clairement concomitants, comme (12), (13) et (14)29 :

(12) (...) As the Jones case was winding down, the criminal investigation of the President was moving forward.

(13) The morning air was filled with the sweetish odor of new-spilled blood, the acrid stench of frightened horses, and the bitterness of burned powder. A horse screamed as it twisted from side to side in a frenzy.

(14) The half-breed didn’t answer this time. But the scar seemed to pull hard at the corner of his mouth, and his eyes were hurt and angry. It made Wilson wonder. He watched the half-breed as he turned silently. They could hear the pony’s feet on the dry leaves for a while, then the sound faded out.

et d’autres « tendent vers une interprétation consécutive » (2000, 28), comme :

(15) The ship always chose its own partner. Had there been another ‘brain’ ship at the base at the moment, Helva would have been guided to make the first move. As it was, while Central wrangled among itself, Robert Tanner sneaked out of the pilots’ barracks, out to the field and over to Helva’s slim metal hull. « Hello, anyone at home » ? Tanner wisecracked. « Of course », replied Helva logically, activating her outside scanners. « Are you my partner ? », she asked hopefully, as she recognized the Scout Service uniform.

(16)(...) »I’ve got her as neat as I can », Donovan said, as he dropped the straps of the Seton harness over Greg’s shoulders.

(17) Some of the women winced palpably and fell back as they were passed over. Others stood their ground and stared defiantly back.

C’est ce qui les conduit à rejeter le concept d’identification - incompatible avec l’interprétation consécutive qui suppose intrinsèquement une distance entre les deux procès, l’un étant antérieur à l’autre - et à introduire le concept de « pseudo-identification », opération qu’ils définissent comme visant :

28 Ils adoptent la notation suivante : « P1 as P2 , P1 faisant référence au procès associé à la proposition précédent le marqueur, et P2 à celui qui le suit ».(2000, 23).

« à ‘éliminer’ cette distance, à ‘rapprocher’ les deux t jusqu’à ‘faire comme si’ il s’agissait d’un même t, mais il demeure néanmoins une distance, donc une hétérogénéité. » (2000, 29).30

Si caractériser l’opération dont le connecteur est la trace en termes d’« élimination de la distance entre deux t » nous semble aller dans le même sens que les faits que nous avons nous-mêmes pu observer, en revanche, les conclusions de Vallée & Khalifa quant à l’inaptitude du concept d’identification à rendre compte de cette opération et le recours au concept de « pseudo-identification » ne nous paraissent pas justifiées. Ces deux auteurs se basent sur le fait que si as permet d’éliminer la ‘distance’ entre les deux t, « il demeure néanmoins une distance, donc une hétérogénéité ».

A ce propos, nous souhaitons rappeler que, pour qu’il y ait identification entre deux termes, il faut avant tout que ces deux termes soient différenciables. Identifier ne consiste pas à déclarer identiques, mais à réduire l’hétérogénéité. Il n’est donc pas étonnant que, malgré l’identification que marque as sur les t, il subsiste une hétérogénéité entre les t des deux relations identifiées. Il ne faut pas confondre identifiables et identiques. Dans le cas de la valeur temporelle, as identifie les t, autrement dit, les délimitations qnt des relations. Le connecteur marque le fait que, bien que différents, ces deux t sont identifiables et que l’un va servir de repère pour l’autre. C’est pourquoi, pour notre part, nous considérons le concept d’identification généralement adopté parfaitement adéquat pour rendre compte des énoncés temporels de l’opération marquée par as.

La remarque de Vallée & Khalifa sur la ‘distance entre les t’ est accompagnée de la note suivante :

« Nous verrons toutefois que la distance entre les deux t a une limite. Quand celle-ci est trop importante, au point de voir apparaître la construction de deux t explicitement distincts, on observe le passage systématique à when31. » (2000, 29)

Cette note montre bien les imprécisions dans le raisonnement de Vallée & Khalifa : comme le montrent les passages soulignés dans cette citation et la note qui l’accompagne, on pourrait se demander ce qu’ils entendent par ‘distance entre les deux t’. De même, qu’est-ce qu’une distance ‘trop importante’ ?

Pour notre part, nous considérons que, de manière générale, lorsqu’il y a effectivement une distance entre deux t, si petite soit elle, on a forcément deux t juxtaposés et donc distincts, si bien que le lien entre les deux est forcément interprété en termes d’antériorité-postériorité.

30 Nous soulignons.

31 Ils définissent l’opération fondamentale dont when est la trace comme suit :

« When ne marque aucun ancrage par rapport à la situation d’énonciation et il sert à construire, dans une

Dans une analyse où l’on représente les événements comme des intervalles, on pourrait représenter ce type de lien de la façon suivante :

Nous avons considéré le cas de deux procès à bornes confondues. La distance entre ti et tj est matérialisée par un espace entre les intervalles qui représentent les moments des deux événements sur l’axe des temps. Cette représentation montre que toute distance, si petite soit-elle, interdit toute identification (ou pseudo-identification) entre les deux délimitations qnt des événements. Ils sont dans une relation d’antériorité-postériorité. C’est le genre de représentation que l’on pourrait utiliser pour illustrer le fonctionnement d’un connecteur

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