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L’énergie et le bâtiment en Algérie :

Diverses sources d'énergies primaires

1.6. Critères environnementaux :

1.7.1. Gleneagle, Heiligendamm :

1.7.3.1. L’énergie et le bâtiment en Algérie :

D’après les données de l’année 2005 (seule source disponible actuellement), issues du ministère de l’énergie et des mines, la consommation énergétique finale nationale a atteint 17 millions de tep25en 2005 (document intitulé: Consommation énergétique finale de l’Algérie, chiffres clés année2005).

Elle ne cesse de progresser depuis, due au nombre important des logements qui on été lancés ces dernières années à travers tout le pays, conséquences ; augmentation de la demande énergétique et émission de gaz à effet de serre, jusqu'à arriver à des seuils assez conséquents, qui peuvent avoir des conséquences fatales sur l’environnement de notre pays.

Bâtiment, Energie et impact climatique Chap. I

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Figure 1.8 : La consommation finalepar secteur d’activité en Algérie, année 2005. Source : MEM

La population à atteint 32,906 millions d’habitants en 2005, et 35,6 millions en 201026

, avec une superficie de 2 381 741km2.Ce qui signifie la forte demande actuelle d’énergie. Les

émissions dues à l’énergie consommée sont estimées à 40 000 tonnes équivalent CO2.

Figure 1.9 :La répartition de la consommation finale par type d’énergie, année 2005. Source : MEM • La Consommation moyenne : 0,694 tep/hab.

• Les émissions dues à l’énergie : 1,22kg équivalent CO2 /hab.

26Source : RGPH(Recensement Général de la population et de l’habitat), avril 2008.

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Figure 1.8 : La consommation finalepar secteur d’activité en Algérie, année 2005. Source : MEM

La population à atteint 32,906 millions d’habitants en 2005, et 35,6 millions en 201026

, avec une superficie de 2 381 741km2.Ce qui signifie la forte demande actuelle d’énergie. Les

émissions dues à l’énergie consommée sont estimées à 40 000 tonnes équivalent CO2.

Figure 1.9 :La répartition de la consommation finale par type d’énergie, année 2005. Source : MEM • La Consommation moyenne : 0,694 tep/hab.

• Les émissions dues à l’énergie : 1,22kg équivalent CO2 /hab.

26Source : RGPH(Recensement Général de la population et de l’habitat), avril 2008.

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Figure 1.8 : La consommation finalepar secteur d’activité en Algérie, année 2005. Source : MEM

La population à atteint 32,906 millions d’habitants en 2005, et 35,6 millions en 201026

, avec une superficie de 2 381 741km2.Ce qui signifie la forte demande actuelle d’énergie. Les

émissions dues à l’énergie consommée sont estimées à 40 000 tonnes équivalent CO2.

Figure 1.9 :La répartition de la consommation finale par type d’énergie, année 2005. Source : MEM • La Consommation moyenne : 0,694 tep/hab.

• Les émissions dues à l’énergie : 1,22kg équivalent CO2 /hab.

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Tableau 1.1 :La répartition de la consommation finale par type d’énergie, année 2005. Source : MEM

• Un taux de croissance annuel moyen (TCAM) du secteur de l’agriculture et de

L’hydraulique de 7,68%, suivi du résidentiel -tertiaire 6.28%, puis l’industrie 5.86% et le

transport 4,49%.

• Un taux de croissance annuel moyen (TCAM) pour les produits gazeux de 6.14% suivi de l’électricité 6%, puis les produits pétroliers en troisième position avec un taux de 5.20%.

A partir des figures et tableaux précédents, on peut confirmer que le bâtiment en Algérie est le principal consommateur d’énergie et le plus pollueur après les hydrocarbures. Et le

premier dans la chaine de consommation d’énergie électrique27, notamment l’« électricité

spécifique28». En général, la consommation finale de ce secteur a atteint les six-6-millions de tonne équivalent pétrole (tep) dans l’année 2005.

1.7.3.1.1. Évolution de la consommation d'énergie en Algérie :

La croissance de la consommation de l’électricité en Algérie a atteint son niveau le plus élevé dans les années soixante-dix, avec un taux de croissance annuelle moyen de 13 % enregistré de 1970 à 1980. Durant la dernière décennie, cette croissance a été pratiquement stable autour d’un taux annuel moyen de 5,6%, dont le taux d’équipement des ménages est de 70%. Avec un parc logement qui tourne autour de 5.745.645 millions de logements dont 60% urbain, en 2007, le parc logement est arrivé à 7 millions et par conséquent sa consommation a augmenté aussi. Arrivé à 52% de la consommation finale en 200929, repartie entre gaz naturel et électricité avec un total de 16,1 MTEP (million équivalent pétrole).

27Source : Sonelgaz, 2005. Disponible sur www.sonelgaz.dz.

28

L'électricité spécifique correspond à l'électricité nécessaire pour les services qui ne peuvent être rendus que

par l’usage de l'énergie électrique. On ne prend pas en compte dans l'électricité spécifique : l'eau chaude, le

chauffage et la cuisson qui peuvent utiliser différents types d'énergie.

29

www.mem-algeria.org/fr/statistiques/bilan_Energetique_National_2009_edition_2010.pdf. Consulté en juin 2010.

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Tableau 1.1 :La répartition de la consommation finale par type d’énergie, année 2005. Source : MEM

• Un taux de croissance annuel moyen (TCAM) du secteur de l’agriculture et de

L’hydraulique de 7,68%, suivi du résidentiel -tertiaire 6.28%, puis l’industrie 5.86% et le

transport 4,49%.

• Un taux de croissance annuel moyen (TCAM) pour les produits gazeux de 6.14% suivi de l’électricité 6%, puis les produits pétroliers en troisième position avec un taux de 5.20%.

A partir des figures et tableaux précédents, on peut confirmer que le bâtiment en Algérie est le principal consommateur d’énergie et le plus pollueur après les hydrocarbures. Et le

premier dans la chaine de consommation d’énergie électrique27, notamment l’« électricité

spécifique28». En général, la consommation finale de ce secteur a atteint les six-6-millions de tonne équivalent pétrole (tep) dans l’année 2005.

1.7.3.1.1. Évolution de la consommation d'énergie en Algérie :

La croissance de la consommation de l’électricité en Algérie a atteint son niveau le plus élevé dans les années soixante-dix, avec un taux de croissance annuelle moyen de 13 % enregistré de 1970 à 1980. Durant la dernière décennie, cette croissance a été pratiquement stable autour d’un taux annuel moyen de 5,6%, dont le taux d’équipement des ménages est de 70%. Avec un parc logement qui tourne autour de 5.745.645 millions de logements dont 60% urbain, en 2007, le parc logement est arrivé à 7 millions et par conséquent sa consommation a augmenté aussi. Arrivé à 52% de la consommation finale en 200929, repartie entre gaz naturel et électricité avec un total de 16,1 MTEP (million équivalent pétrole).

27Source : Sonelgaz, 2005. Disponible sur www.sonelgaz.dz.

28

L'électricité spécifique correspond à l'électricité nécessaire pour les services qui ne peuvent être rendus que

par l’usage de l'énergie électrique. On ne prend pas en compte dans l'électricité spécifique : l'eau chaude, le

chauffage et la cuisson qui peuvent utiliser différents types d'énergie.

29

www.mem-algeria.org/fr/statistiques/bilan_Energetique_National_2009_edition_2010.pdf. Consulté en juin 2010.

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Tableau 1.1 :La répartition de la consommation finale par type d’énergie, année 2005. Source : MEM

• Un taux de croissance annuel moyen (TCAM) du secteur de l’agriculture et de

L’hydraulique de 7,68%, suivi du résidentiel -tertiaire 6.28%, puis l’industrie 5.86% et le

transport 4,49%.

• Un taux de croissance annuel moyen (TCAM) pour les produits gazeux de 6.14% suivi de l’électricité 6%, puis les produits pétroliers en troisième position avec un taux de 5.20%.

A partir des figures et tableaux précédents, on peut confirmer que le bâtiment en Algérie est le principal consommateur d’énergie et le plus pollueur après les hydrocarbures. Et le

premier dans la chaine de consommation d’énergie électrique27, notamment l’« électricité

spécifique28». En général, la consommation finale de ce secteur a atteint les six-6-millions de tonne équivalent pétrole (tep) dans l’année 2005.

1.7.3.1.1. Évolution de la consommation d'énergie en Algérie :

La croissance de la consommation de l’électricité en Algérie a atteint son niveau le plus élevé dans les années soixante-dix, avec un taux de croissance annuelle moyen de 13 % enregistré de 1970 à 1980. Durant la dernière décennie, cette croissance a été pratiquement stable autour d’un taux annuel moyen de 5,6%, dont le taux d’équipement des ménages est de 70%. Avec un parc logement qui tourne autour de 5.745.645 millions de logements dont 60% urbain, en 2007, le parc logement est arrivé à 7 millions et par conséquent sa consommation a augmenté aussi. Arrivé à 52% de la consommation finale en 200929, repartie entre gaz naturel et électricité avec un total de 16,1 MTEP (million équivalent pétrole).

27Source : Sonelgaz, 2005. Disponible sur www.sonelgaz.dz.

28

L'électricité spécifique correspond à l'électricité nécessaire pour les services qui ne peuvent être rendus que

par l’usage de l'énergie électrique. On ne prend pas en compte dans l'électricité spécifique : l'eau chaude, le

chauffage et la cuisson qui peuvent utiliser différents types d'énergie.

29

www.mem-algeria.org/fr/statistiques/bilan_Energetique_National_2009_edition_2010.pdf. Consulté en juin 2010.

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La répartition par produit énergétique de la consommation du secteur des ménages et autres fait, ressortir la prédominance de deux produits énergétiques : électricité et gaz naturel. La demande croissante en énergie électrique de ce secteur, exige des investissements importants pour satisfaire cette demande. L’accessibilité à l’énergie, à des prix abordables et reflétant les coûts réels de production des services énergétiques, nécessite la mise en place d’une stratégie intégrant de nouvelles approches de rationalisation de l’énergie. Le secteur des ménages et autres, grand consommateur d’énergie, constitue, en même temps, un important potentiel d’économie d’énergie.

Figure 1.10 : ratio de consommation finale par produit, source : Bilan Energétique National 2009.

Cette domination de la consommation électrique et gaz parle bâtiment, oblige l’empreinte d’une bonne stratégie politique de gestion des énergies, par les acteurs de ce secteur, car elle peut induire un gain énergétique assez-conséquent, en optant l’approche bioclimatique dans la conception, la réalisation et enfin la gestion.

Nous penchons beaucoup plus dans notre recherche, sur la consommation électrique qui ne cesse augmenter d’année en année, dans ce secteur sensible. La figure 1.11 ci-dessous, est la preuve, car dans les quarantaines d’années marquées sur le schéma, la consommation a été multipliée par six.

27% 25%

6%

Répartition de la consommation finale par produit

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La répartition par produit énergétique de la consommation du secteur des ménages et autres fait, ressortir la prédominance de deux produits énergétiques : électricité et gaz naturel. La demande croissante en énergie électrique de ce secteur, exige des investissements importants pour satisfaire cette demande. L’accessibilité à l’énergie, à des prix abordables et reflétant les coûts réels de production des services énergétiques, nécessite la mise en place d’une stratégie intégrant de nouvelles approches de rationalisation de l’énergie. Le secteur des ménages et autres, grand consommateur d’énergie, constitue, en même temps, un important potentiel d’économie d’énergie.

Figure 1.10 : ratio de consommation finale par produit, source : Bilan Energétique National 2009.

Cette domination de la consommation électrique et gaz parle bâtiment, oblige l’empreinte d’une bonne stratégie politique de gestion des énergies, par les acteurs de ce secteur, car elle peut induire un gain énergétique assez-conséquent, en optant l’approche bioclimatique dans la conception, la réalisation et enfin la gestion.

Nous penchons beaucoup plus dans notre recherche, sur la consommation électrique qui ne cesse augmenter d’année en année, dans ce secteur sensible. La figure 1.11 ci-dessous, est la preuve, car dans les quarantaines d’années marquées sur le schéma, la consommation a été multipliée par six.

41%

27% 6%

1%

Répartition de la consommation finale par produit

produits pétrolier

Electricité

Gaz naturel GPL Autres

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La répartition par produit énergétique de la consommation du secteur des ménages et autres fait, ressortir la prédominance de deux produits énergétiques : électricité et gaz naturel. La demande croissante en énergie électrique de ce secteur, exige des investissements importants pour satisfaire cette demande. L’accessibilité à l’énergie, à des prix abordables et reflétant les coûts réels de production des services énergétiques, nécessite la mise en place d’une stratégie intégrant de nouvelles approches de rationalisation de l’énergie. Le secteur des ménages et autres, grand consommateur d’énergie, constitue, en même temps, un important potentiel d’économie d’énergie.

Figure 1.10 : ratio de consommation finale par produit, source : Bilan Energétique National 2009.

Cette domination de la consommation électrique et gaz parle bâtiment, oblige l’empreinte d’une bonne stratégie politique de gestion des énergies, par les acteurs de ce secteur, car elle peut induire un gain énergétique assez-conséquent, en optant l’approche bioclimatique dans la conception, la réalisation et enfin la gestion.

Nous penchons beaucoup plus dans notre recherche, sur la consommation électrique qui ne cesse augmenter d’année en année, dans ce secteur sensible. La figure 1.11 ci-dessous, est la preuve, car dans les quarantaines d’années marquées sur le schéma, la consommation a été multipliée par six.

produits pétrolier

Electricité

Gaz naturel GPL Autres

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Figure1.11 : historique de consommation électrique 1963-2007. Source : Sonelgaz