semblables, les axiomatisent, puis les font fonctionner dans des applications.
I
G
ONSETHdistingue les structures univalentes et les structures multivalentes.
I
L
ICHNEROWICZ: les math´ ematiques doivent etre agies, puis parl´ ees, exprim´ ees pour s’assurer qu’elles sont comprises et enfin appliqu´ ees et pratiqu´ ees.
I
G
ATTEGNOpose des questions, souvent
perturbantes. Il poursuit son but : ´ etudier le
ph´ enom` ene d’apprentissage.
les math´ ematiciens d´ etectent des structures semblables, les axiomatisent, puis les font fonctionner dans des applications.
I
G
ONSETHdistingue les structures univalentes et les structures multivalentes.
I
L
ICHNEROWICZ: les math´ ematiques doivent etre agies, puis parl´ ees, exprim´ ees pour s’assurer qu’elles sont comprises et enfin appliqu´ ees et pratiqu´ ees.
I
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ATTEGNOpose des questions, souvent
perturbantes. Il poursuit son but : ´ etudier le
ph´ enom` ene d’apprentissage.
I
D
IEUDONN´
Eexpose le point de vue Bourbakiste : les math´ ematiciens d´ etectent des structures semblables, les axiomatisent, puis les font fonctionner dans des applications.
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ONSETHdistingue les structures univalentes et les structures multivalentes.
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L
ICHNEROWICZ: les math´ ematiques doivent etre agies, puis parl´ ees, exprim´ ees pour s’assurer qu’elles sont comprises et enfin appliqu´ ees et pratiqu´ ees.
I
G
ATTEGNOpose des questions, souvent
perturbantes. Il poursuit son but : ´ etudier le
ph´ enom` ene d’apprentissage.
I L’enseignement doit etre subordonn´e `a l’apprentissage.
L’´el`eve apprend les math´ematiques. Le professeur apprend l’´el`eve.
I L’apprentissage d’un nouveau concept se fait `a travers la cr´eation d’une nouvelle structure mentale. Ce processus est inconscient. Importance du mat´eriel structur´e.
I La perception et l’action sont `a la base de la pens´ee math´ematique.
I L’apprentissage de la g´eom´etrie b´en´eficie de sch´emas dynamiques.
I L’enseignement doit etre subordonn´e `a l’apprentissage.
L’´el`eve apprend les math´ematiques. Le professeur apprend l’´el`eve.
I L’apprentissage d’un nouveau concept se fait `a travers la cr´eation d’une nouvelle structure mentale. Ce processus est inconscient. Importance du mat´eriel structur´e.
I La perception et l’action sont `a la base de la pens´ee math´ematique.
I L’apprentissage de la g´eom´etrie b´en´eficie de sch´emas dynamiques.
I L’enseignement doit etre subordonn´e `a l’apprentissage.
L’´el`eve apprend les math´ematiques. Le professeur apprend l’´el`eve.
I L’apprentissage d’un nouveau concept se fait `a travers la cr´eation d’une nouvelle structure mentale. Ce processus est inconscient. Importance du mat´eriel structur´e.
I La perception et l’action sont `a la base de la pens´ee math´ematique.
I L’apprentissage de la g´eom´etrie b´en´eficie de sch´emas dynamiques.
I L’enseignement doit etre subordonn´e `a l’apprentissage.
L’´el`eve apprend les math´ematiques. Le professeur apprend l’´el`eve.
I L’apprentissage d’un nouveau concept se fait `a travers la cr´eation d’une nouvelle structure mentale. Ce processus est inconscient. Importance du mat´eriel structur´e.
I La perception et l’action sont `a la base de la pens´ee math´ematique.
I L’apprentissage de la g´eom´etrie b´en´eficie de sch´emas dynamiques.
Melun, la C.I.E.A.E.M. continue de se r´eunir chaque ann´ee.
I Elle publie deux ouvrages.
En 1955, L’enseignement des math´ematiques avec des
contributions de BETH,CHOQUET, DIEUDONN´E, GATTEGNO, LICHNEROWICZ
et PIAGET.
En 1958, Le mat´eriel pour
l’enseignement des math´ematiques aborde notamment la questions des mod`eles et des films
math´ematiques.
I Apr`es l’importante r´eunion de Melun, la C.I.E.A.E.M. continue de se r´eunir chaque ann´ee.
I Elle publie deux ouvrages.
En 1955, L’enseignement des math´ematiques avec des
contributions de BETH,CHOQUET, DIEUDONN´E, GATTEGNO, LICHNEROWICZ
et PIAGET.
En 1958, Le mat´eriel pour
l’enseignement des math´ematiques aborde notamment la questions des mod`eles et des films
math´ematiques.
I Gattegno constate que le mouvement qu’il a lanc´e d´evie prgressivement des objectifs qu’il lui attribuait. Il s’en explique dans l’ouvrage de L. F´elix :
I Au cours des ann´ees qui suivirent, je me suis trouv´e de plus en plus isol´e car presque tout le monde voulait am´eliorer mais n’´etait pas pret `a payer le prix de cette
´etude qui `a mon avis rendrait possible toute am´elioration.
I En 1958 dans une lettre `a la Commission, Gattegno annonce son retrait. Il y fait ´egalement une allusion voil´ee au fait qu’il est atteint d’un cancer. La derni`ere rencontre `a laquelle il participera sera celle de 1960 (`a Cracovie).
I Gattegno constate que le mouvement qu’il a lanc´e d´evie prgressivement des objectifs qu’il lui attribuait. Il s’en explique dans l’ouvrage de L. F´elix :
I Au cours des ann´ees qui suivirent, je me suis trouv´e de plus en plus isol´e car presque tout le monde voulait am´eliorer mais n’´etait pas pret `a payer le prix de cette
´etude qui `a mon avis rendrait possible toute am´elioration.
I En 1958 dans une lettre `a la Commission, Gattegno annonce son retrait. Il y fait ´egalement une allusion voil´ee au fait qu’il est atteint d’un cancer. La derni`ere rencontre `a laquelle il participera sera celle de 1960 (`a Cracovie).
I Gattegno constate que le mouvement qu’il a lanc´e d´evie prgressivement des objectifs qu’il lui attribuait. Il s’en explique dans l’ouvrage de L. F´elix :
I Au cours des ann´ees qui suivirent, je me suis trouv´e de plus en plus isol´e car presque tout le monde voulait am´eliorer mais n’´etait pas pret `a payer le prix de cette
´etude qui `a mon avis rendrait possible toute am´elioration.
I En 1958 dans une lettre `a la Commission, Gattegno annonce son retrait. Il y fait ´egalement une allusion voil´ee au fait qu’il est atteint d’un cancer. La derni`ere rencontre `a laquelle il participera sera celle de 1960 (`a Cracovie).
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