• Aucun résultat trouvé

Annexe 1 : Grille d’entretien générale

INTRODUCTION

Objectif ; traitement anonyme des données ; profil de l’interviewé-e

CONCURRENCE

Dans quels domaines, entre qui, à quelle échelle ? Stratégies ou les moyens d’adaptation de l’hôpital

- HNE (2006) ? Contre-projet du Conseil d’Etat (2017) ? - Coopération interorganisationnelle comme stratégie ? - Etablissements privés sont-ils plus réactifs ?

MOBILITÉ

Pourquoi les patient-e-s vont se faire soigner dans d’autres cantons ?

- Par ex. habitants des régions limitrophes comme Le Landeron, Le Val-de-Ruz, etc. qui pourraient aller se faire soigner à Yverdon, St-Imier ou à Bienne. Est-ce parce que c’est plus proche ou bien c’est le critère de la qualité des prestations qui entre en jeu? Comment faire pour que les patient-e-s évaluent positivement les prestations des établissements hospitaliers neuchâtelois, pour pouvoir les attirer ?

Les prestations hospitalières, surtout les prestations hospitalières de bonne qualité, contribuent-elles à l’attractivité résidentielle du territoire ? (Du point de vue des patient-e-s et des professionnel-le-s de la santé)

Le facteur de la distance (distance-temps) apparaît comme un élément important tant du point de vue de l’autorité de planification que des initiant-e-s. Les patient-e-s sont tou-te-s sensibles au facteur distance de la même manière ?

MODÈLES DE PLANIFICATION HOSPITALIÈRE PROPOSÉS

Comment voyez-vous l’avenir des soins hospitaliers ?

Quel est le rôle de la médecine de proximité dans le paysage des soins hospitaliers ? par exemple le Centre médical de la Côte (Corcelles), la Permanence Volta (La Chaux-de-Fonds)? Quel message l’initiative (2017) vise-t-elle à faire passer ? Quelle est la principale raison pour avoir une offre de soins aigus dans le Haut du canton ?

Qu’est-ce que vous pensez du projet du Conseil d’Etat (2017) ? Pourquoi le contre-projet du CE préconisait-il l’offre des soins aigus à Pourtalès et non pas l’inverse ?

Quelle solution (HNE, SA, RHNE, C-proj) serait-elle la meilleure pour le canton ?

CLÔTURE

Annexe 2 : Densité des lits occupés pour 1'000 habitant-e-s en 2017 (OBSAN 2019)

Annexe 4 : Modèles de gestion des tâches étatiques (GT H+H 2017)

Annexe 6 : Balance des flux dans la région lémanique et Mittelland (OFS 2018B)

Annexe 7 : L’interlocuteur a précisé par courriel les propos tenus lors de l’entretien. Par manque de place, nous n’avons reproduit qu’un extrait du discours dans l’analyse. La citation intégrale se trouve est la suivante.

« Le canton de Neuchâtel se trouve actuellement dans une impasse politique et morale. Pris au dépourvu par des personnes souhaitant en tirer profit, ou tout simplement des personnes victimes de mauvaises informations, les décisions politiques récente sont un point d’interrogation pour le futur du canton au court et moyen terme. Ceci s’est traduit entre autres par l’échec du TransRun mais également de l’hôtel de Police, pour ne citer que deux autres exemples en plus du désastreux résultat sur le futur de l’hôpital.

Il est tout à fait compréhensible que la population dite “du haut” mais qui est avant tout neuchâteloise comme vous et moi se sente mal à l’aise face à ce qu’est devenu l’hôpital de Chaux-de-Fonds, qui rappelons-le, est un hôpital payé par la ville et ses résidents. Ceux-ci ont vu cet édifice diminuer en prestance avec des messages mixtes

voir malhonnête (que l’hôpital maintiendrait une capacité à soigner l’aigue 24/7, par exemple). Physiquement voir le tout migrer sur Pourtales a dû également être difficile. Néanmoins, la solution n’est pas de tout centrer sur Pourtalès, un hôpital qui est déjà saturé chroniquement. Une solution qui est acceptée par la grande majorité du monde politique et médical serait de créer a neuf un hôpital unique pour le canton, au milieu du canton. Beaucoup de spécialistes citent le site entre Boudevilliers et le SCAN, au-dessus de l’autoroute (voie d’accès routières perméables) comme idéal. Il permettrait de travailler ensemble pour centraliser les soins hospitaliers dans un site localisé entre le “Haut” et le “Bas”, sans pour autant délaisser les populations des Vallons. Maintenant des policliniques d’Urgences dans chacune des villes (avec également des consultations ambulatoires pour chaque spécialité) est également nécessaire. De plus, chaque pôle urbain maintiendrait un SMUR opérant depuis ces policliniques, ce qui permettra, en cas de nécessite, d’assurer des soins supplémentaires lors du trajet vers le centre hospitalier unique. Ce nouvel hôpital pourrait également être intègre avec le nouveau système de rail qui reliera Neuchâtel à la Chaux-de-Fonds. Les anciens hôpitaux pourraient être utilisés comme centres de convalescences, une durée actuellement rare, que la plupart des cantons voisins pourrait alors solliciter pour des placements de leur patient, ce qui s’avèrerait bénéfique pour notre canton.

Addendum pour la médicine d’Urgence : la localisation de ce site au centre du canton hors zone urbaine sera un atout : ceci diminuera très surement la sur-utilisation du centre d’urgence pour des cas simples qui pourraient être vu en consultation chez les médecins traitants (la distance étant un facteur clé, cf. exemple de l’Inselspital cite ci-dessus,). Ils (les patients) auront néanmoins la possibilité de consulter les policliniques qui réfèreront aux centres d’urgence en cas de nécessité, après un premier examen (concept de triage médical). Notons qu’il sera dans tous les cas importants de maintenir le Val-de-Ruz comme espace Agricole afin d’éviter qu’il devienne un 3e pôle urbain pour le canton, chose que le conseil d’Etat neuchâtelois souhaiterait également. » (Anonyme, médecin, 9 mai 2019)

Annexe 8 : Part des hospitalisations intra- et extra-cantonales, 2012-2016 (SOCIETE NEUCHÂTELOIS DE MEDECINE 2018)