• Aucun résultat trouvé

Dans le récit de cette rencontre nous avons comme d'habitude

changé le prénom de notre ami et s’il se reconnait, il n’y trouvera rien à redire car tout a été raconté sans trahir la vérité. Tout le reste est vrai, même (et surtout) les détails.

J’avais demandé à mon mari de nous chercher un contact sympa pour la fin de la semaine. En général je le laisse faire et je ne fais que valider à la fin. Mais je sais que ce n’est pas facile et s’il lui est arrivé parfois de se tromper, je ne lui en veux pas.

Là il avait une semaine entière pour trouver la perle rare. Il a déniché un trentenaire, chef d’entreprise en Vendée, qui en plus de ses usines en région a ses bureaux d’études et services commerciaux sur

Nantes.

Il habite avec sa famille sur la côte vendéenne, mais possède un petit studio quartier Canclaux à Nantes qui lui sert lors de ses

déplacements professionnels.

Le vendredi soir vers 21h, je monte dans notre voiture avec

l’imperméable long qui me sert à cacher ma tenue coquine aux voisins toujours trop curieux. Dessous j’ai une robe moulante gris sombre, d’un tissu assez doux, qui s’arrête au-dessus des genoux, mais avec un beau décolleté.

J’ai mis mes dessous habituels, sg pushup, tanga, pj et bas noirs, tout ceci avec des escarpins noirs à talons assez hauts, ma tenue classique de sortie. Je ne change pas souvent de style, mais comme nous

changeons de partenaire, cela ne se voit pas.

La voiture garée, mon mari rentre le code d’entrée et nous pénétrons dans un bel immeuble avec ascenseur. Le studio est le seul

appartement au dernier étage et notre hôte nous attend sur le palier. Je ne suis pas déçue car c’est un très bel homme, brun aux yeux bleu clair, grand, class, élégant et courtois qui me débarrasse de mon manteau tout en jetant un petit œil appréciateur dans mon décolleté. Bienvenue dans ma modeste garçonnière enchaîne-t-il. En fait de studio, c’est un bel appartement assez luxueux et le salon a été

préparé pour nous accueillir avec des petits en-cas de traiteur et une douce musique d’ambiance.

Nous nous installons de chaque côté d’une table basse et parlons de choses et d’autres. Les couples candaulistes, même les plus habitués, connaissent tous ce moment à la fois magique et stressant où l’on vient d’arriver, l’on se découvre, l’on s’observe, l’on se demande quel

comportement adopter. Chacun sait très bien comment cela va se terminer, mais personne n’ose prendre la première initiative de peur d’avoir l’air d’un affamé sexuel. Parfois ce ‘round d’observation’

raffiné peut durer très longtemps et on parle de choses sans importance, en s’observant à la dérobée. Finalement ces moments d’observation initiale sont souvent parmi les plus excitants d’une rencontre.

Lui, appelons le Roland, nous parle de la société familiale dont il a repris la direction il y dix ans et qui maintenant fait plus de la moitié de son chiffre d’affaires à l’international.

C’est un habitué de l’aéroport de Nantes-Atlantique et il visite

souvent une filiale dans un parc industriel près de Shanghai. Tout en l’interrogeant sur la Chine, je croise et décroise mes jambes et je vois son regard qui est furtivement attiré par la partie de mes

cuisses qui est un peu apparente. Je le regarde dans les yeux mais je vois que pendant que je lui parle de la grande muraille de Chine, il est de plus en plus troublé par mes jambes. Personne n’est dupe.

Roland réagit en me complimentant sur mes chevilles. Il me demande si j’accepterais de me lever pour qu’il puisse mieux me voir. C’est parti, la glace est dégelée et je m’aperçois qu’il maitrise la situation. Il me demande de me tourner au milieu du salon et me félicite cette fois sur ma silhouette.

En me tournant, je me dis que je suis tombée sur un sacré mâle

dominateur, et cela ne me déplait pas plus que cela. Cela se confirme quand il demande à mon mari l’autorisation de mater sa femme,

autorisation qui est immédiatement et chaleureusement donnée. Je suis maintenant une chose, seule au milieu du salon devant ces deux regards d’hommes lubriques, tournant doucement sur moi-même au rythme de la musique pour répondre à la demande de Roland.

Il devient clair qu’il veut s’amuser avec moi et me tester. Le jeu commence. Ses premières demandes sont raisonnables. Tout en

dansant seule devant lui et sans me déshabiller, il me fait me

caresser les hanches, les fesses, les seins. Ensuite il me demande de caresser mon pubis par-dessus ma robe. Aucune raison de lui refuser ce spectacle.

Il me demande de venir vers lui. Je lui fais face, mais il ne me touche pas. Il me demande de relever ma robe sur les hanches. Il me fait me retourner et me pencher en avant pour voir mes fesses. Puis à

nouveau devant lui, en lui faisant face, il me dit de descendre mon slip sur mes cuisses. Il me demande alors de me caresser.

Sa voix et devenue autoritaire, un peu métallique et son regard est magnétique. J’obéis au quart de tour, sans réfléchir. Il me guide et j’obéis aussi quand il me demande de mettre deux doigts dans ma bouche, de prendre de la salive et de les rentrer dans ma chatte. Ma robe me gêne en redescendant et il me dit de l’enlever et de continuer plus fort.

Je suis en sous-vêtements devant lui, jambes écartées, mon slip descendu à mi-cuisses en me caressant de deux doigts qui rentrent et sortent.

Il me demande d’écarter encore un peu les cuisses et je me sens dans une situation un peu humiliante mais tellement excitante en m’offrant à son regard dans cette position.

Nous sommes tombées sur un mâle dominateur qui prend son temps et qui sait qu’il pourra me faire passer à la casserole au moment où il le décidera.

Mon mari lui avait dit que j’étais une bonne épouse et mère de famille avec de grands enfants, sans beaucoup d’expérience dans la première partie de sa vie conjugale mais qui depuis quelque temps commençait à apprécier le libertinage, sur le tard.

Il est visiblement dans la position de celui qui essaye de dévergonder une femme mature qui n’a pas encore tout vu. Il est sûr de lui et

jette de temps en temps un coup d’œil complice à mon mari pour avoir son approbation d’aller un peu plus loin.

Je n’aime pas le SM ni le bondage, mais je dois dire qu’ici il avait une emprise sur moi qui lui permettait de disposer de mon corps à sa totale volonté.

Il me demande d’enlever mon string qui me gêne à mi-cuisses en le faisant glisser à mes pieds et de le jeter à mon mari, puis il me dit à nouveau de me retourner et de me pencher en avant devant lui. Je présentais mon postérieur à quelques dizaines de centimètres de lui quand il me demanda d’écarter mes fesses de mes deux mains pour mieux me voir encore. La situation était étrange. Les hommes étaient assis sur un canapé et encore entièrement habillés. Mais mon mari avait sorti sa verge de son pantalon et se branlait doucement, ce qui donnait un accord tacite aux initiatives de Roland.

Je mouillais de plus en plus et notre ami me suggéra d’humidifier mon index et de commencer à masser mon petit trou, ce que je fis. Il poussa l’humiliation jusqu’à guider même le rythme du mouvement de mon doigt : rentre, sors, rentres, sors, etc.

Je me relevais à sa demande et lui fit face pour l’entendre me dire combien il adorait voir une bonne épouse et mère de famille se

montrer sous toutes ses faces à un homme qu’elle ne connaissait pas encore la veille.

J’ai ensuite du aller au centre de la pièce, sortir mes seins des balconnets du soutien-gorge, pincer les tétons et me promener de long en large dans le salon comme pour un défilé de mode, mais en prenant les poses les plus lascives que je pouvais.

J’étais livrée à moi-même devant son regard lubrique et ironique. Il attendait que je l’excite et que je l’étonne. J’avais un peu l’impression de passer un examen. Mon mari était aux anges et se branlait en silence.

J’ai tout fait, du moins tout ce que je savais faire, devant lui, comme si c’était une évaluation. J’ai tiré sur la pointe des seins, je les

relevés pour pouvoir sucer les tétons devant lui, en passant de l’un à l’autre. Les aréoles étaient luisantes de ma salive et les pointes rouges en érection de mes suçons. Il m’encourageait et me flattait sur mes courbes et mes positions. Il disait apprécier mes grosses cuisses musclées dans mes bas, mes fesses fermes et lisses, mes seins qui sortaient bien du soutien-gorge, etc.

Il m’avait mise au défi. Je voulais l’épater. Je voulais l’exciter. Je voulais lui montrer que la bonne épouse et mère de famille n’était plus une petite niaise. Je viens alors me planter juste devant lui et de mes deux mains j’écarte ma chatte pour lui montrer combien je suis

humide. Les lèvres tirées des deux côtés, il doit bien voir l’entrée du vagin et mon petit clitoris bien dressé.

Son visage est à moins de vingt centimètres de ce spectacle que je lui offre. Je rentre deux doigts dans la petite grotte humide et je les sors pour caresser mon clito. Il a l’air subjugué par cette vue et cela m’incite à continuer encore plus fort. Provoquante je pousse mon bassin en avant pour mieux lui montrer mon intimité et lui indiquer ma soumission.

Je crois ne jamais avoir été aussi impudique devant un inconnu. Il voit la cyprine qui baigne ma chatte et qui humidifie les poils de ma petite toison brune (je l’avais pourtant bien taillée cette petite foufoune dans la semaine pour avoir l’air présentable !).

Il me parle pendant que je me caresse. Il n’est pas vulgaire et ne me traite pas de chienne ni de pute, mais ses mots sont encore plus forts. Il me dit que je suis sa petite poularde de Bresse qu’il a envie d’embrocher et de déguster, mais qu’il veut encore attendre avant de mettre le couvert. Il me dit que je ne perdrai rien pour attendre mais que peu de femmes l’ont excité comme moi.

C’est la première fois que j’ai plaisir à être comparée à une volaille, mais je ne sais plus très bien où je suis ! Mes deux doigts enfoncés dans mon vagin, je couine sous ses encouragements. Branle toi ma belle bourgeoise me dit-il, branle toi fort et laisse monter ton plaisir. Crie ta jouissance, mon appart est bien insonorisé et personne ne pourra t’entendre. Lâche-toi devant tes mecs. Montre-nous comme tu es une belle femelle sensuelle sans pudeur et sans tabous.

J’éclate alors dans un grand cri de jouissance à la satisfaction apparente des deux hommes.

Puis je m’assois entre eux. Roland me félicite. Je lui avais dit mon métier et il me demande si mes collègues de boulot savent ou du moins se doutent de mon libertinage. Je lui réponds avec horreur que non et qu’ils me croient très prude, une mère de famille irréprochable et une épouse fidèle. Au boulot je suis toujours habillée de façon très stricte, en pantalon généralement. Il se marre et me dit qu’il s’en doutait un peu.

Une coupe de champagne après, il m’invite à faire quelques pas de danse, lui toujours habillé et moi en sous-vêtements. En dansant il me flatte les cuisses, la croupe, les hanches, les seins en me

complimentant sur la fermeté de mon corps.

Il me dit qu’il a connu beaucoup de femmes plus jeunes que moi et qui avaient des corps beaucoup moins fermes, sinon flasques. Il me

demande comment je fais. C’est vrai que je suis assez contente de fréquenter depuis longtemps et assez régulièrement une salle de gym et aussi de ne jamais avoir renoncé à mes parties hebdomadaires de tennis avec mon amie d'enfance.

Mais il semble avoir une idée et tout en dansant il m’entraîne

progressivement dans le fond du salon vers une grande salle de bains en laissant la porte ouverte de façon à ce que mon mari puisse

Devant un grand lavabo, il me demande de me regarder dans le miroir et me fait me pencher en avant. Je prends appui sur le lavabo et je le vois derrière moi, toujours habillé, mais il semble ouvrir sa braguette. Il me dit de regarder dans la glace comme je suis belle avec les seins qui pendent et qui balancent et je vois que lui aussi, derrière moi, regarde le grand miroir.

Je vois qu’il enfile un préservatif sorti je ne sais d’où et qu’il pose sa verge à l’entrée de mon vagin encore humide, où il entre doucement. Avec une voix très douce il me dit qu’il va passer un bon petit moment à embrocher doucement sa poularde préférée. Il entame alors une lente série de mouvements de pénétration et de sortie et je

m’aperçois que sa verge me remplis bien.

Il insiste pour que je continue à regarder mon visage dans le miroir et me dit qu’il veut voir le plaisir arriver doucement.

Il me dit alors que c’est moi qui possède la télécommande et que lui va obéir. Je ne comprends pas immédiatement. Il s’immobilise à l’entrée de ma chatte pendant un moment assez long. Je lui dis alors rentre et il rentre, sans bouger. Je lui dis sors et il sort, sans plus. J’ai compris.

Alors commence un petit jeu assez pervers. C’est moi qui joue : Rentre doucement, sors, rentre vite, plus vite, plus fort, plus

profond, juste au bord, tout au fond, en saccade, n’arrête pas, plus calme, tout doux, maintenant vite, plus vite, très vite.

Il ne parle pas et obéit à mes demandes. J’ai donc appris à utiliser la télécommande. Mon mari s’approche de la salle de bains et s’amuse en voyant notre manège.

Je ne sais pas combien de temps à duré ce jeu, peut-être une demi-heure, mais je n’ai pas vu le temps passer. Il est resté maître de lui et n’a pas déchargé. Il a à peine, de temps en temps, caressé mon anus de son pouce humecté de salive, très doucement.

J’ai utilisé toutes les cadences, et à la fin j’ai appuyé sur le bouton saccades et il m’a fait jouir pour la seconde fois de la soirée.

J’étais subjuguée par la classe de ce type, avec son regard bleu hypnotisant, toujours en plein contrôle de lui. Il se servait de moi comme d’un jouet pour la soirée, et moi j’appréciais énormément. Je n’avais pas encore tout vu !

On se rafraîchit dans la salle de bains. Passage par le salon pour une autre petite coupe de champagne. Je crois que je suis un peu grisée et je parle beaucoup de quelques rencontre et aventures, trop sans doute. C’est alors qu’il nous propose de visiter sa chambre.

Je suis sur le lit allongée sur le dos maintenant. Mon mari, assis dans un fauteuil nous observe. Roland est agenouillé sur la moquette et me suce. Le champagne fait de l’effet. Je suis bien.

Il prend un oreiller pour mettre sous ses genoux et présente sa bite enveloppée d’un préservatif tout neuf à l’entrée de ma chatte. Je me prépare à le recevoir. Mais il me donne des petits coups de verge sur le clito. C’est bon. Il continue.

J’apprécie et je lui demande d’aller plus loin mais il continue ses petits coups de bite sur le clito. Je le supplie. Il me dit d’écarter les lèvres de ma chatte de mes deux mains. Je m’exécute.

Mais il ne rentre toujours pas. Je le supplie à nouveau de rentrer. C’est alors qu’il se dévoile, machiavélique. Il me dit qu’il ne rentrera que si je lui raconte des choses érotiques qui l’excitent assez. Sinon il restera au bord. Il me dit de lui dire quel homme m’a le plus excité. Je ne veux pas mais il tient bon. Alors je finis par lui parler de notre jeune vétérinaire qui m’avait d’abord pris ma virginité conjugale. Je lui raconte cette relation en la résumant.

Il me dit alors d’écarter encore plus grande ma chatte avec mes deux mains et il plonge brutalement son long sexe en moi avec un grand cri

de jouissance et décharge après une dizaine de mouvements très forts et très puissants.

Quand il ressort, je vois une capote pleine à craquer. Depuis Roland est devenu un ami. On l’a revu à plusieurs reprises dans sa

garçonnière. En général c’est nous qui lui proposons de le rejoindre quand il est libre.

Mais il lui est arrivé une fois de nous téléphoner tard en soirée pour me demander comme un service de vite venir éteindre un incendie si je le pouvais.

Là je me suis vengée et c’est moi qui ai imposé mes conditions vu l’heure tardive et l’urgence. Moins d’une heure plus tard nous

arrivions au studio. Il a du se déshabiller entièrement devant moi à ma demande exprès et s’allonger sur le lit sur le dos.

Sans discussions !

Il bandait comme un taureau. Je tenais ma revanche. Je lui ai dit qu’il devait d’abord se caresser devant moi. Amusé, il s’est exécuté et c’est là que je lui ai dit que j’avais aussi une télécommande.

Caresse-toi doucement, vite, plus vite, plus fort, en saccade, n’arrête pas, maintenant plus calme, tout doux, maintenant vite, plus vite, très vite.

J’étais en tailleur devant lui et quand j’ai senti qu’il atteignait ses limites j’ai juste enlevé mon slip et relevé mon tailleur avant de chevaucher sa longue bite rapidement enveloppée du préservatif. Il m’a à peine ouvert le chemisier et s’est déchargé presque

immédiatement en me remerciant d’avoir éteint l’incendie aussi rapidement.

Chapitre 7

Documents relatifs