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Chapitre III : Matériels et méthodes

4. Résultats des dénombrements des micro-organismes dans l’eau

4.1. Les germes totaux

Appelés aussi germes revivifiables, ils n'ont pas d'effets directs sur la santé, mais sous certaines conditions ils peuvent générer des problèmes dans les systèmes de dialyse. Les

Chapitre IV Résultats et discussion

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bactéries d'origine résiduaire (environnementale) sont dénombrées à 22°C sur une période de 72 heures d'incubation, et les bactéries d'origine intestinale (humaine ou animale) à 37°C sur une période d’incubation de 24 heures.

Ces germes ne sont pas comptabilisés au niveau des sources: S1, S3 et S5 pour les deux températures d’incubation (22° C et 37°C) (fig.31 et 32). A 37°C (fig.31) on a enregistré des valeur (S2:45 UFC/ml) et (S4:54 UFC/ml) qui sont des teneurs dépasse la limite fixait par l’OMS (20 UFC/ml), nous constatons que ces bactéries sont d’origine intestinale, par contre des valeurs de 45 UFC/ml et 70 UFC/ml sont enregistrées au niveau des sources (S2) et (S4) respectivement à 22°C (fig.32) et reste dans la limite fixée par l’OMS (100 UFC/ml).

Figure n°31 : Evaluation des germes totaux à 37°

Figure n°32 : Evaluation des germes totaux à 22°C.

0 10 20 30 40 50 60

S1 S2 S3 S4 S5

Germes taux à 37 °C(UFC/ml)

Sources

0 10 20 30 40 50 60 70

S1 S2 S3 S4 S5

Germes totaux à 22°C(UFC/ml)

Sources

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57 4.2. Les coliformes totaux

La recherche des coliformes est primordiale du fait qu’un grand nombre d’entre eux vivent en abondance sur les matières fécales des animaux à sang chaud et de ce fait constituent des indicateurs de première importance. (Duffour, 1977).

L’examen de graphique illustré dans la figure n°33, nous montre que les concentrations des coliformes totaux au niveau des sources sont variables et supérieures à la valeur guide des eaux potable (0 CT/100 ml) (OMS, 2006) pour atteindre un maximum au niveau de la source 5 (240 CT/100ml). Par contre on remarque l’absence totale de ces germes au niveau de la source (S1). La présence des coliformes totaux peu être due aux activités humaines (élevages des bovins).

Figure n°33 : Evolution du nombre de coliformes totaux.

4.3. Les coliformes fécaux

La bactérie E coli représente toute fois 80 à 90% des coliformes fécaux détectés bien que la présence de coliformes fécaux témoigne habituellement d'une contamination d'origine fécale.

(Camille, 2003).

L’examen de graphe illustré dans la figure n°34, nous montre que le nombre de coliformes fécaux dépasse la norme de l’OMS (0 CF/100 ml) pour les sources S2 et S5, par contre ils sont nul pour les autres sources (S1, S3 et S4). La présence des coliformes fécaux dans les eaux de consommation atteste d’une pollution ou d’une contamination d’origine fécale. Cette

0 50 100 150 200 250

S1 S2 S3 S4 S5

Coliformes totaux/100ml

Sources

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contamination, traduise les circonstances météorologiques durant l’échantillonnage, dont les eaux de nappes peu profondes sont plus souvent contaminées suite au lessivage des déchets des animaux après de fortes précipitations.

Figure n°34: Evolution du nombre de coliformes fécaux.

4.4. Les streptocoques fécaux

La recherche et le dénombrement des streptocoques fécaux dans les eaux de notre étude effectuée uniquement pour trois sources (S1, S3 et S5) à cause de manque des milieux de culture.

Les streptocoques fécaux ou les entérocoques, ce sont des germes très sensibles aux variations physico-chimiques du milieu et ne résistent pas dans l’eau (ils s’adaptent difficilement en dehors de son milieu habituel qu’est l’intestin). Leur présence est directement liée à la qualité et la concentration de la matière fécale se trouvant dans l’eau.

Pour le résultat, nous remarquons l’absence des streptocoques fécaux au niveau de la source S3, par contre aux sources (S1 et S5) les valeurs dépassent les normes (0 SF/100ml), donc reste la présence des animaux domestiques au voisinage des sources la cause principale de cette contamination (fig.35).

0 5 10 15 20 25 30

S1 S2 S3 S4 S5

Coliformes fécaux/100ml

Sources

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Figure n°35: Evolution du nombre de Streptocoques fécaux.

4.5. Les anaérobies Sulfito-réducteurs (ASR)

Les spores des ASR constituent généralement des indices de contamination ancienne. Les résultats négatifs déduisent l'absence de genres sulfito-réducteurs (Clostridium sp, responsables de botulisme et de tétanos), dans la totalité des sources.

4.6. Le rapport coliformes fécaux/ streptocoques fécaux (CF/SF)

Selon les résultats des analyses bactériologiques, le rapport CF/SF (tab.9) montre que l’origine de la contamination fécale est animale pour S1 et mixte à prédominance humaine pour la source S5.

Tableau n°9 : Origine de la contamination fécale selon le rapport coliformes fécaux/streptocoques fécaux (CF/SF).

sources CF/SF Origine de la contamination fécale

S1 0 animale

S2 / /

S3 - -

S4 / /

S5 3.5 Mixte à prédominance humaine

0 2 4 6 8

S1 S3 S5

Streptocoques fécaux/100ml

Sources

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60 5. Analyse statistique en composantes principales

L'analyse en composantes principales (ACP) a pour but la détermination des liens existants entre les éléments et leurs origines. Cette analyse a été effectuée par le logiciel XLSTAT.

5.1. Paramètres physico-chimiques

5.1.1. Corrélation entre les différents paramètres étudiés

Nous avons utilisés les corrélations linéaires bivariées entre les paramètres étudiés. La matrice de corrélation des 16 paramètres mesurés est présentée dans le tableau 14 ci-dessous où les coefficients de corrélation significatifs sont supérieurs à 0.5.

Les associations qui présentent des corrélations significatives et positives sont : TH-Ca2+, TH-NO-3, TH-T°C, Ca2+- NO-3, Ca2+-K+, Mg2+- NO-3, NO-3-K+, NO-2-pH, NO-2-CE, NO-2-TDS, SO2-4-Cl-, Cl--pH, Fe-T°C et pH-OD.

Les associations qui présentent des corrélations fortes et positives sont observées entre TH-Mg2+, Ca2+-T°C, Fe-NH+4 et CE-TDS, aussi des corrélations fortes et négatives sont observées entres les éléments suivants: HCO-3- NO-2, Ca2+- NH+4, Fe-OD, CE et T°C-TDS (tab.10).

Tableau n°10: Matrice de corrélation entre les paramètres physico-chimiques des sources.

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5.1.2. Application des méthodes d’analyse statistique

L’analyse en composantes principales réalisée sur une matrice de données composée de cinq lignes représentant les sources étudiées et 16 colonnes représentant les paramètres physico-chimiques et donne le cercle de corrélation ci-dessous (fig.36).

L’analyse du plan factoriel F1 et F2 montre que plus de 63 % de la variance totale sont exprimés, l’axe F1 permet d’expliquer 39,33% de la variance totale, dans le sens positif est déterminé par Mg2+, Ca2+, TH,OD, NO-3 et K+ , et peut être considéré comme un axe de pollution naturel (géologique) par l’excès de magnésium et calcium et anthropique (agricole) par l’excès des nitrates et du potassium. Dans le sens négatif est déterminé par les paramètres indicateurs de la minéralisation (CE et TDS). L’axe F2 permet d’expliquer 23,79% de la variance totale est déterminé par HCO-3, NH4et SO2-4.

Figure n°36 : Cercle de corrélation des variables dans le plan formé par l’axe F1 et l’axe F2 (les paramètres physico-chimiques).

La projection des individus nous permis de distinguer trois groupes (fig.37):

- Le groupe (I) avec une dominance des éléments de la pollution naturelle et agricole (riche en nitrate et potassium), représente les sources S1, S3 et S5.

- Le groupe (II) concerne la source S4 qui présente un excès en ammonium et sulfate.

TH

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- Le groupe (III) ne présente aucun type de pollution (S2).

Figure n°37 : Projection des individus sur le plan F1-F2.

5.2. Paramètres bactériologiques

5.2.1. Application des méthodes d’analyse statistique

L’analyse du plan factoriel F1 et F2 montre que plus de 98 % de la variance totale sont exprimés (on a donc une bonne qualité de représentation), l’axe F1 permet d’expliquer 72,25% de la variance totale et l’axe F2 permet d’expliquer 25,99% de la variance totale.

L’analyse en composantes principales réalisée sur une matrice de données composée de cinq lignes représentant les sources étudiées et six colonnes représentant les paramètres bactériologiques. La figure 38 a montré que les Coliformes totaux, Coliformes fécaux, et les Streptocoques fécaux sont corrélés positivement avec l’axe F1 qui cumule 72,25% de l’inertie et les Germes totaux sont corrélés positivement avec l’axe F2 qui cumule 25,99% de l’inertie. Les points sont très proches du cercle ce qui signifie que les variables sont très bien représentées.

La projection des individus sur le plan factoriel F1 et F2 a permis de distinguer 3 groupes différents (fig.39) :

- Groupe (I): rassemble la source S1 et S3 qui ne présente aucune pollution fécale.

S1

Observations (axes F1 et F2 : 63.12 %) II I

III

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- Groupe (II): il réunit la source S5 qui présente des concentrations élevées en germes indicateurs de pollution bactériologique d’origine fécale.

- Groupe (III): il concerne les sources S2 et S4 qui présentent des eaux contaminées avec les germes totaux.

Figure n° 38 : Cercle de corrélation des variables dans le plan formé par l’axe F1 et l’axe F2 (les paramètres bactériologiques)

Figure n°39 : Projection des individus sur le plan F1-F2.

GT à 37°C

observations (axes F1 et F2 : 98.24 %)

III

II

I

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A la lumière des résultats bactériologiques obtenus dans les sources étudiées, nous pouvons conclure que la contamination des sources étudiées est presque générale, mais nous avons remarqué que les sources S2 et S4 sont moins polluées par comparaisons avec la source S5 qui présente des teneurs très élevées en germes de contamination fécale.

6. Qualité des eaux des sources

D’après le tableau de confrontation aux normes de l’OMS (tab.11), on peut dire que les eaux des sources étudiées du Dahouara présentent un excès légère en ammonium et magnésium ce qui affecte leur qualité (médiocre), par contre les teneurs en nitrate sont au voisinage de la limite admissible, indiquant encore que ces sources sont vulnérable aux polluant de surfaces.

Mais quand on parle des paramètres bactériologiques, les eaux de Dahouara sont impropres à la consommation humaine.

Tableau n°11: Confrontation entre les paramètres physico-chimiques et bactériologiques des eaux de sources étudiées avec les normes de l’OMS 2006 et Algérienne 2011.

Paramètres Unités

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Potassium mg/l 12 12 4 6 5

Température °C 25 25 14.3 17.32 16.012

Germes totaux à 37°C

UFC/1m l

/ 20 45 54 19.8

Germes totaux à 22°C

UFC/1m l

/ 100 45 70 23

Coliformes totaux CT/100 ml

/ 0 <1 >240 51

Coliformes fécaux

CF/100 ml

0 0 <1 >240 51

Sterptocoques fécaux

SF/l00m l

0 0 <1 8 3.6

ASR Spore

/20ml

0 0 0 0 0

Conclusion et recommandations

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Dans cette étude, nous avons analysé les paramètres physico-chimiques et bactériologiques des eaux des sources utilisées pour l’approvisionnement en eau potable pour la population de la région de Dahouara, en vue d’évaluer leur degré de potabilité.

Concernant les paramètres chimiques analysés, on trouve que le magnésium est le seul élément dont la teneur dépasse les normes recommandées par l’OMS. On note également des teneurs élevées en nitrate au niveau des sources étudiées, traduisant ainsi une contamination par un apport de l’extérieur dont l’origine est agricole.

Le faciès chimique des eaux de sources est de type chloruré-sulfaté calcique et magnésien et ayant la même origine.

L’analyse bactériologique a révélé au niveau toutes les sources la présence de germes indicateurs de contamination fécale. Le nombre de ces derniers est principalement important au niveau de la source S5. Selon le rapport CF/SF, l’origine de la matière fécale est animale pour Ain Mebarkaet mixte à prédominance humaine pour Ain Hdjarsa.

Prenant en compte ces résultats qui font d’une situation pré-occupante, il apparut urgent, par mesure préventives :

- Un contrôle permanent de la qualité des eaux des sources (en particulier les paramètres indicateurs de la pollution).

- Surveiller et contrôler l’utilisation des fertilisants afin de minimiser ou éviter la migration des excès vers les eaux souterraines

- Eviter toutes activités à incidence environnementale au voisinage des sources.

- Mener une large campagne de sensibilisation.

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[2] http://www.annuaire-mairie.fr/ville-dahouara.html. [Consulté le 16 mai 2015].

[3] http://dcwguelma.gov.dz/fr/index.php/wilaya-guelma. [Consulté le 13 avril 2015].

[4] http://fr.db-city.com/Alg%C3%A9rie--Guelma--Hammam-N%27Bail--Dahouara.

[Consulté le 15 avril 2015].

[5] http://fr.wikipedia.org/wiki/Gastro-ent%C3%A9rite. [Consulté le 05 mai 2015].

[6] http://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=gastroenterite_pm.

[Consulté le 05 mai 2015].

[7] http://hepatoweb.com/hepatobase/hepatite.html. [Consulté le 17 février 2015].

[8]http://www.pasteur.fr/ip/easysite/go/03b-000010-009/presse/fiches-sur-les-maladies-infectieuses/amibiase. [Consulté le 17 février 2015].

Annexes

Annexe 01

Tableau n°12 : les normes des méthodes de dosage des paramètres chimiques.

Paramètres chimiques Norme

La dureté totale NFT90-003

Bicarbonates NF EN ISO9963-1

Calcium NFT90-016

Magnésium NFT90-016

Nitrates NFT90-013

Nitrites NFT90-013

Ammonium NFT90-015

Sulfates NFT90-009

Chlorures NFT90-014

Fer PERKIN ELMER EN4

Potassium NFT90-019

Annexe 02

Milieux de cultures utilisés

[M1]- Bouillon lactosé au pourpre de Bromocrésol (BCPL) : pH = 6.7

Peptone 5g

Extrait de viande 3g

Lactose 10g

Cristal violet 0.005g

Pourpre de Bromocrésol 0.025g

Eau distillée 1000ml

[M2]-Gélose viande foie (VF) : pH = 7.2 Gélose de base :

Base viande foie 30g

Annexes

Glucose 2g

Amidon 2g

Agar 11g

Eau distillée 1000ml

Gélose complète :

Même formule que le milieu de base auquel sont ajoutés :

Sulfite de sodium à 5% 50ml

Alun de fer ammoniacal à 5% 10ml

[M3]-Plate Count Agar (PCA) :pH=7 ± 0,2

Tryptone 5,0 g Extrait autolytique de levure 2,5 g Glucose 1,0 g Agar agar bactériologique 12,0 g Eau distillée 1000ml [M4]- Milieu de Roth : pH = 6.8 à 7

Milieu simple concentration :

Peptone 20g

Glucose 5g

Chlorure de sodium 5g

Phosphate bipotasssique 2.7g

Phosphate monopotassique 2.7g

Azothydrate de sodium 0.2g

Milieu double concentration :

Peptone 40g

Glucose 10g

Chlorure de sodium 10g

Phosphate bipotasssique 5.4g

Phosphate monopotassique 5.4g

Azothydrate de sodium 0.4g

[M5]- Milieu de Litsky : pH = 6.8 à 7

Peptone 20g

Glucose 5g

Chlorure de sodium 5g

Annexes

Phosphate bipotasssique 2.7g

Phosphate monopotassique 2.7g

Azothydrate de sodium 0.3g

Ethyl-violet 0.0005g

[M6]- Eau peptonée exempte d’indole : pH = 7.2

Peptone exempte d’indole 10g

Chlorure de sodium 5g

Eau distillée 1000ml

Réactifs utilisés

[R1]- Réactif de Kowacks : la mise en évidence de la production d’indole : Paradimethylaminobenzaldéhyde 5g

Alcoolamylique 75ml

HCL pur 25ml

Annexes 03

Photos des résultats expérimentaux :

Photos des résultats de recherche des coliformes totaux:

Annexes

Photos des résultats de recherche des coliformes fécaux :

3-Photos des résultats de recherche des streptocoques fécaux :

Annexes

Annexes

Annexes 05

Tableau n°14 : les normes des paramètres physico-chimiques des eaux potables selon l’OMS.

Tableau n°15 : les normes bactériologiques des eaux potables selon l’OMS.

Paramètres Unités

Sterptocoques fécaux SF/l00ml 0 0

ASR Spore /20ml 0 0