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Estimation de la vitesse 21

L’objectif de cette étude était premièrement de voir si nous allions trouver une surestimation ou une sous-estimation de la perception de la vitesse sur le tapis de course à pied. Des expé-riences avaient déjà analysé ce phénomène mais jamais une étude sur la perception de la vi-tesse en course à pied n’avait été réalisée. Les résultats nous ont montré que les sujets avaient tendance à surestimer leur vitesse lorsqu’ils couraient à 12km/h. Les novices pensaient courir à 17km/h, les sportifs avec un sport sans endurance pensaient courir à 13km/h, les sportifs avec un sport d’endurance pensaient courir à 16km/h et les coureurs pensaient courir à 15km/h. Nous avons également trouvé une surestimation de la vitesse à 8km/h mais la sures-timation était moins forte qu’à 12km/h. Ces résultats confirment l’expérience réalisée par Thurrell, Pelah et Distler (1998) qui montrait que lorsque nous marchons dans un environne-ment de réalité virtuelle, le flux optique devant nous semble toujours plus lent que la vitesse à laquelle nous sommes en train de marcher. Il existe néanmoins une différence dans la façon de procéder lors de leur expérience. Les sujets ne devaient pas changer la vitesse du flux op-tique mais la vitesse du tapis de course à pied. Il en est de même dans l’expérience de van Veen, Distler, Braun et Bëlthoff (1998) où les sujets devaient accélérer ou décélérer sur leur vélo afin d’être à la même vitesse que le flux visuel. Il serait intéressant de tester notre expé-rience en essayant aussi de faire changer la vitesse du tapis de course à nos sujets pour qu’ils essayent de se mettre à la même vitesse que le flux optique à l’écran. Nous pourrions alors analyser s’il existe une différence entre ces deux méthodes ou non.

4.1.1 Différence entre les novices et les trois autres groupes. Nous avons observé que les novices avaient une plus grande marge d’erreur dans leurs réponses lors de la perception de la vitesse. Nous pourrions alors penser que l’effort perturbe peut être la tâche cognitive. En ef-fet, les novices n’étant pas des sportifs, le fait de devoir courir et à la fois faire une estimation de la vitesse peut leur demander un effort supplémentaire. Nous pouvons donc penser que cette baisse dans leurs résultats pourrait être due à cela. Plusieurs expériences ont testé l’effet d’une tâche cognitive sur l’effort mais les résultats sont souvent controversés. Dans l’une de ses expériences, Rejeski (1985) a montré que, lors d’un effort physique, une tâche, telle que par exemple du calcul mental, entraîne une diminution de l’effort ressenti. Nous retrouvons par exemple des résultats différents chez Delignière et Brisswalter (1993) qui ont étudié dans

leur expérience l’influence d’une tâche cognitive ajoutée sur la perception d’un effort. Ils sont arrivés aux résultats que la réalisation d’un traitement d’informations entraîne une augmenta-tion de l’effort ressenti lors d’une tâche énergétique réalisée en même temps. Avec notre ex-périence, nous sommes plus proche des résultats de ces derniers car la double tâche demandée était d’estimer si la vitesse du flux optique devant le sujet était plus rapide ou moins rapide que la vitesse à laquelle il était en train de courir (première tâche) et en plus de se rappeler s’ils devaient appuyer sur le bouton droite ou sur le bouton gauche se trouvant dans leurs mains. Cette double tâche demandait sûrement un effort de la part de tous nos sujets mais peut-être un peu plus de la part des novices qui n’étaient pas habitués à effectuer un tel effort.

4.1.2 Différence entre le logarithme de la vitesse à 12km/h moins le logarithme de la vi-tesse à 8km/h. Les résultats ont montré que les sportifs pratiquant un sport d’endurance et les coureurs avaient tendance à plus surestimer la vitesse à 12km/h. Ce résultat nous montre que pour ceux qui ont l’habitude de courir, la vitesse de course a plus d’effet sur l’estimation de la vitesse que pour ceux n’ayant pas l’habitude de courir. En surestimant beaucoup plus la vi-tesse à 12km/h, les sportifs de sports d’endurance et les coureurs ont fait des résultats qui n’étaient pas très bons. Cela nous amène à penser que la vitesse de 12km/h n’était peut-être pas une vitesse à laquelle ils avaient l’habitude de courir. Pourtant, lors du questionnaire en début d’expérience, les sujets ont dû noter leur vitesse de prédilection et nous avons récolté une moyenne de 11.625km/h pour les sportifs avec un sport d’endurance et une moyenne de 13km/h pour les coureurs.

Les sportifs pratiquant un sport d’endurance comme le basket, le football, le football améri-cain, le rugby ou le handball n’arrivaient peut être pas à bien estimer la vitesse de 12km/h car ils sont plus habitués à faire des sprints lors de leurs différents sports. Ces différentes activités sont des sports qui demandent de l’endurance mais aussi de la vitesse. Ils sont donc aussi ha-bitués à courir à des vitesses de plus de 12km/h ce qui les a peut-être influencé.

4.1.3 Test du semi-Cooper. En analysant les résultats obtenus lors du test semi-Cooper avec les résultats de l’expérience de la perception de la vitesse, nous n’avons trouvé aucun lien. Nous avons essayé de faire une régression linéaire mais cela n’a rien donné. Il se peut donc

intéressant d’essayer de faire le test de Cooper et non le test du semi-Cooper pour voir si les résultats obtenus seraient peut-être plus corrects. De plus, il faut noter que les sujets ont passé le test du semi-Cooper à des périodes différentes. Comme la météo, la température et le mo-ment de la journée étaient différents, ces trois paramètres ont aussi pu influencer les résultats obtenus.

Il y a également un biais dans l’expérience car une bonne partie des sujets étaient des sportifs étudiant le sport et la motricité à l’université de Fribourg. Ils étaient donc habitués à différents types de sport. Il serait intéressant d’essayer à nouveau l’expérience avec les mêmes groupes de sujets mais en prenant des sportifs ne pratiquant qu’une discipline sportive et pas une autre dans le cadre de leurs études.

4.2 Différence 10 meilleurs sujets et 10 moins bons sujets

Dans l’analyse de la fréquence cardiaque, de l’échelle de Borg, de l’échelle affective et de la durée de l’exercice, nous sommes arrivés à des résultats très intéressants. Nous avons trouvé des résultats assez similaires à l’expérience de Baden, McLean, Tucker, Noakes, St et Hunter (2005), où il avait été trouvé que l’échelle affective et l’échelle de Borg sont des variables liés au temps de l’exercice et non à des variables physiologiques comme la fréquence cardiaque. Nos résultats nous ont montré que les 10 moins bons sujets étaient ceux qui prenaient le plus de temps à converger et ceux aussi qui avaient la plus grande différence entre leur résultat le plus bas et leur résultat le plus haut sur l’échelle de Borg et sur l’échelle affective. Cela nous montre que les 10 moins bons sujets étaient peut-être moins habitués à un effort car ils ont ressenti une plus grande différence entre le début et la fin de l’effort. C’est peut-être pour cela qu’ils ont eu plus de peine à percevoir la bonne vitesse à laquelle ils étaient en train de courir. Au contraire, les 10 meilleurs sujets ont eu une plus petite différence entre leur ressenti au début de l’effort et à la fin de l’effort. L’exercice était donc moins difficile pour eux et ils avaient alors peut-être plus de faciliter à se concentrer sur la tâche de la perception de la vi-tesse.

4.3 METs

Dans l’analyse des deux différents groupes vigoureux et modérés, créés en fonction de leur nombre de METs, nous avons trouvé une interaction entre les vitesses à 8km/h et à 12km/h seulement dans le groupe des vigoureux. Les personnes qui font beaucoup de sport ont donc

les résultats obtenus précédemment avec la différence d’estimation de la vitesse à 8 km/h et à 12 km/h pour les sportifs avec un sport d’endurance et les coureurs en comparaison des no-vices et des sportifs avec un sport sans endurance. Nous pouvons donc dire que les sportifs pratiquants un grand nombre d’heure de sport par semaine et les sportifs habitués à des sports de vitesse n’estiment en général pas de la même façon la vitesse à 8km/h et la vitesse à 12km/h. Plus un sujet fait du sport, plus il doit avoir un bon niveau en sport et donc être nor-malement habitué à des vitesses plus rapides. Pourtant, dans nos résultats, nous trouvons que ces sportifs surestiment plus la vitesse à 12km/h.

4.4 Les jeux vidéo

L’analyse du temps passé à jouer à des jeux vidéo et les résultats de la perception de la vitesse nous ont montré que la pratique des jeux vidéo avait tendance à influencer sur l’estimation de la vitesse. Les joueurs de jeux vidéo ont tendance à surestimer plus que les autres sujets les vitesses à 8km/h et à 12km/h. Ils surestiment de la même manière les vitesses à 8km/h et à 12km/h alors que les non-joueurs de jeux vidéo ont une différence significative pour l’évaluation entre la vitesse à 8km/h et à 12km/h comme nous avons trouvé précédemment dans l’analyse des vigoureux et des modérés.

Il serait intéressant de savoir à quelle vitesse se déplacent les personnages dans les jeux vidéo. Peut-être que cela peut avoir une influence sur les sujets qui jouent souvent aux jeux vidéo. Il serait aussi intéressant d’analyser les différents jeux auxquels jouent nos sujets et ainsi com-parer les vitesses entre ceux-ci. Il se pourrait que les jeux vidéo avec de grandes vitesses comme par exemple des déplacements en voiture influenceraient le résultat que nous avons trouvé.

4.5 Limitation du travail

Il est très difficile de créer un environnement de réalité virtuelle qui soit très proche de la réa-lité. Beaucoup de facteurs comme le paysage environnent, le vent, la température font qu’il peut y avoir des biais dans l’expérience. De plus, en courant sur un tapis de course à pied, le corps ne fera pas les mêmes mouvements qu’en courant à l’extérieur. Le corps doit être pro-pulsé vers l’avant lorsque nous courrons à l’extérieur alors que sur un tapis de course à pied le

Il n’est pas facile de courir sur un tapis de course à pied lorsque nous ne sommes pas habitués. Pour l’expérience, nous avons demandé aux sujets de courir sur le tapis de course à pied dans la nuit pour qu’ils se sentent le plus possible dans cet environnement de réalité virtuelle. Pour un grand nombre d’entre eux, il a été difficile de se focaliser uniquement sur l’écran en face d’eux car ils n’étaient pas habitués à ce genre de tâche dans la nuit.

Pour la réalisation de l’expérience, nous avons dû trouver des sujets faisant partie de l’université de Fribourg afin d’être sûr que les participants soient couverts par l’université en cas d’accident. Cela a augmenté la difficulté de trouver des sujets motivés en particulier pour trouver des personnes pour les quatre différents groupes recherchés. Le groupe nous ayant donné le plus de difficulté à trouver a été le groupe de novice. En effet, il n’était pas évident de trouver des personnes qui ne faisaient jamais de sport et qui étaient motivées à venir faire l’expérience en salle et le test du semi-Cooper sur le stade d’athlétisme.

5 Conclusion

L’expérience a permis de montrer que les sujets courant sur un tapis de course à pieds dans un environnement de réalité virtuelle surestimaient les vitesses à 8 km/h et à 12 km/h. L’hypothèse que le flux visuel devant nous lorsque nous courrons nous paraît plus lent que la vitesse à laquelle nous sommes en train de courir est vérifiée. Nous avons pu montrer égale-ment qu’il est difficile d’estimer sa vitesse de course à pied sur un tapis.

Nos résultats nous ont montré qu’il existe bien un lien entre la perception de la vitesse estimée et l’activité physique. Nous avons remarqué une surestimation de la vitesse à 12 km/heure pour les sportifs faisant un sport d’endurance et les sportifs faisant le plus d’heures de sport par semaine. Les sujets étant une grande partie des étudiants en sport de l’Université de Fri-bourg, il serait bien, si l’expérience était à refaire, de mieux séparer les différents groupes de sportifs afin d’avoir des groupes bien distincts et non des poly sportifs comme nous avons eu.

Grâce à notre expérience, nous avons pu confirmer que l’échelle affective et l’échelle de Borg sont de bonnes variables dans l’analyse d’un effort en fonction du temps pour analyser diffé-rents groupes de sujets. Au contraire, la fréquence cardiaque n’est pas un outil qui permet de différencier les différents sujets dans un effort avec un certain temps. Nous avons pu montrer également que le test du semi-Cooper n’est peut-être pas le meilleur test à utiliser pour l’analyse de la vitesse maximal aérobie.

Finalement, nous avons pu montrer un lien entre les sujets jouant aux jeux vidéo et les résul-tats de la perception de la vitesse. Les joueurs de jeux vidéo ont tendance à surestimer les vi-tesses. Malheureusement, nous n’avions pas beaucoup de joueurs de jeux vidéo. Il serait donc intéressant d’analyser ces résultats avec deux groupes bien distincts de joueurs de jeux vidéo et de non-joueurs.

En conclusion, il serait intéressant de reprendre l’étude et de changer divers paramètres afin de voir s’il est possible d’obtenir plus de résultats significatifs.

Bibliographie

Livres

Borg, G. (1998). Borg's perceived exertion and pain scales. Human kinetics.

Fuchs, P., Moreau, G. (2003). Le traité de la réalité virtuelle (2e édition). doi : http://jul.andre.free.fr/R%E9alit%E9%20Virtuelle/tome1.pdf

Articles

Baden, D. A., McLean, T., Tucker, R., Noakes, T., St, C., Hunter, A. (2005). Effect of antici-pation during unknown or unexpected exercise duration on rating of perceived exer-tion, affect, and physiological function. British Journal of Sports Medicine, 39, 742– 746.

Cappellini, G., Ivanenko, Y. P., Poppele, R. E. & Lacquaniti, F. (2006). Motor patterns in human walking and running. J Neurophysiol., 95, 3426-3437.

Delignières, D. & Brisswalter, J. (1993). Influence of an added choice reaction time task on perceived exertion. In Actes des Vèmes Journées Internationales d'Automne de l'A.C.A.P.S. Caen

Eston, R. (2012). Use of ratings of perceived exertion in sports. International journal of

sports physiology and performance, 7(2), 175-182.

Hardy, C. J. & Rejeski, W. J. (1989). Not what, but how one feels: The measurement of affect during exercise. Journal of Sport and Exercise Psychology, 11(3), 304-317.

Rejeski, W. J. (1985). Perceived exertion: An active or passive process? Journal of Sport

Psy-chology, 7(4), 371-378.

Thurrell, A. E. I., Pelah, A., & Distler, H. K. (1998). The influence of non-visual signals of walking on the perceived speed of optic flow. Perception, 27, 147–148.

van Veen, H. A. H. C., Distler, H. K., Braun, S. J. & Bulthoff, H. H. (1998). Navigating through a virtual city : Using virtual reality technology to study human action and per-ception. Future Generation Computer Systems, 14(3-4), 231-242.

Annexe

Unité de Sport - Université de Fribourg

Consentement pour l’étude « Perception de la vitesse » Je, soussigné, certifie :

ØAvoir lu, compris et accepté l’information contenue dans la « Information aux participants de l’étude ».

ØQue j’ai pu poser toutes les questions souhaitées et que j’ai reçu des réponses satisfaisantes. ØEtre informé que je peux me retirer à tout moment de l’étude et sans préjudice.

ØEtre informé que toutes les données personnelles, résultats obtenus à mon sujet et ma participation à l’étude sont confidentiels et ne seront disponibles qu’aux chercheurs directement impliqués dans cette étude.

ØEtre informé que les résultats obtenus lors de l’étude seront publiés de manière anonyme, et sous une forme qui ne peut pas m’identifier, dans une ou plusieurs publications scientifiques. J’y ai donné mon accord.

ØConsentir à participer volontairement à l’étude susmentionnée comme sujet.

Sujet de l’étude

Nom: Prénom:

Signature:

Personne ayant conduit l’entretien de consentement

Je confirme avoir personnellement expliqué au sujet désigné ci-dessus la nature, le but, la durée et les effets et risques prévisibles de l’étude

Nom: Prénom:

Sport habituel Nombre d'heures par semaine

Depuis combien de temps

Niveau d'expertise

Si vous faites du sport actuellement :

Depuis quel âge faites vous du sport ____________________________________________ Si vous ne faites pas de sport actuellement :

En faisiez vous auparavant ? oui

non

Si oui :

Quel sport ? :_______________________________________________________ Nombre d'heures par semaine ? :_________________________________________ Durant combien de temps ? : ____________________________________________ Le niveau d'expertise attend ? : _________________________________________ Vitesse de course de prédilection ?_____________________________________________

Est ce que vous êtes habitué au Tapis ? oui

non

Si oui :

Courez vous sur un tapis :

Très rarement

Quelque fois (1 à 2 fois par mois)

Très souvent (chaque semaine)

Est ce que vous êtes habitué au jeux vidéo ? oui

non

Si oui :

Jouez vous :

Très rarement

Quelque fois (1 à 2 fois par mois)

Très souvent (chaque semaine)

Pour le questionnaire suivant :

Est ce que ces 7 derniers jours sont représentatifs de ce que vous faites habituellement ?

Temps RPE Affect Temps de pause 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 Dernière vitesse 1 Entre deux vitesses

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 Dernière vitesse2

Annexe 2. Questionnaire IPAQ

Programme Pralimap ▪ PRPRPRPRomotion de lomotion de l’omotion de lomotion de lALIMALIMALIMALIMentation et de lentation et de l’entation et de lentation et de lAAAActivitctivitéééé ctivitctivit PPPPhysiquehysiquehysiquehysique

| IPAQ

Version 2 du 11 septembre 2007 8 | 20

| IPAQ

International Physical Activity Questionnaire

(Version française juillet 2003)

Nous nous intéressons aux différents types d’activités physiques que vous faites dans votre vie quotidienne. Les questions suivantes portent sur le temps que vous avez passé à être actif physiquement au cours des 7 derniers jours. Répondez à chacune de ces questions même si vous ne vous considérez pas comme une personne active. Les questions concernent les activités physiques que vous faites au lycée, lorsque vous êtes chez vous, pour vos déplacements, et pendant votre temps libre.

Bloc 1 : Activités intenses des 7 derniers jours

1. Pensez à toutes les activités intenses que vous avez faites au cours des 7 derniers jours.

Les activités physiques intenses font référence aux activités qui vous demandent un effort physique important et vous font respirer beaucoup plus difficilement que normalement. Pensez seulement aux activités que vous avez effectuées pendant au moins 10 minutes d’affilée.

1-a. Au cours des 7 derniers jours, combien y a-t-il eu de jours au cours desquels vous avez fait des

activités physiques intenses comme porter des charges lourdes, bêcher, faire du VTT ou jouer au football ?

└─┴─┘ jour(s)

! Je n’ai pas eu d’activité physique intense " Passez au bloc 2

1-b. Au total, combien de temps avez-vous passé à faire des activités intenses au cours des 7 derniers jours ?

└─┴─┘ heure(s) └─┴─┘ minutes ! Je ne sais pas

Bloc 2 : Activités modérées des 7 derniers jours

2. Pensez à toutes les activités modérées que vous avez faites au cours des 7 derniers jours.

Les activités physiques modérées font référence aux activités qui vous demandent un effort physique modéré et vous font respirer un peu plus difficilement que normalement. Pensez seulement aux activités que vous avez effectuées pendant au moins 10 minutes d’affilée.

2-a. Au cours des 7 derniers jours, combien y a-t-il eu de jours au cours desquels vous avez fait des

activités physiques modérées comme porter des charges légères, passer l’aspirateur, faire du vélo tranquillement ou jouer au volley-ball ? Ne pas inclure la marche.

└─┴─┘ jour(s)

! Je n’ai pas eu d’activité physique modérée " Passez au bloc 3

2-b. Au total, combien de temps avez-vous passé à faire des activités modérées au cours des 7

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