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Olivier Bélanger-Duchesneau est doctorant à l'École d'études sociologiques et anthropologiques de l'Université d'Ottawa (Ontario, Canada) et chercheur-étudiant au CIRCEM, de la même université. Il a consacré sa maîtrise en sociologie (Université du Québec à Montréal, 2016-2020) aux caractéristiques psychiques de l'individu contemporain. Ses recherches doctorales actuelles, sous la direction de Stéphane Vibert, portent sur les populismes et la démocratie moderne."

Bernard Bernier. Après avoir obtenu son doctorat de l’Université Cornell en 1970, Bernard Bernier est devenu professeur au Département d’anthropologie de l’Université de Montréal cette même année. Il fait toujours partie du corps enseignant de ce département. Il a été Directeur de recherche associé à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales à Paris en 1983-1984. Il a été directeur du Département d’anthropologie de 1998 à 2002 et de 2010 à 2014. Il a fait des recherches surtout au Japon et il a publié de nombreux écrits portant sur ce pays, sur des sujets comme la religion populaire, la philosophie, la transition au capitalisme, l’agriculture, l’économie moderne, les relations et les conditions de travail, la situation des jeunes, surtout des jeunes femmes, etc.

Michael Châteauneuf. Diplômé d’une maîtrise en anthropologie à l’Université de Montréal, Michael Chateauneuf fait présentement son doctorat en anthropologie à l’Université d’Ottawa. Ses recherches ont porté sur plusieurs aspects de la culture japonaise comme la religion, les festivals et le nationalisme. Ses recherches doctorales se penchent plutôt sur la réinsertion dans des milieux ravagés par les catastrophes naturelles et humaines.

Ingrid Hall est professeure agrégée d’anthropologie au Département d’anthropologie de l’Université de Montréal, chercheuse associée au laboratoire GRED de l’IRD (France) et elle est membre de différentes

Contributeurs 183

équipes de recherche (CICADA, GRIAC). Ses terrains principaux sont situés dans les Andes sud-péruviennes en milieu rural, et elle travaille dans le sous-champ de l’anthropologie environnementale et s’intéressant à la conservation de l’agrobiodiversité. Ses intérêts de recherche actuels portent sur les politiques de conservation des variétés paysannes de pommes de terre par différents acteurs, à savoir des paysans, une ONG et une institution de recherche internationale. Avec F. Verdeaux et B. Moizo elle vient d’éditer un ouvrage sur les savoirs locaux (Les savoirs locaux en situation. Retour sur une notion plurielle et dynamique, Paris, Quae/IRD, 2019).

Pascale Laneuville a complété un baccalauréat en anthropologie à l’Université de Montréal en 2010 et une maîtrise dans la même discipline à l’Université Laval en 2013. Pendant ses études à la maîtrise, elle a séjourné à Qamani’tuaq (Baker Lake, Nunavut) pour étudier les impacts de l’ouverture d’une mine sur les usages et les représentations inuit du territoire. Elle a ensuite été recrutée par Saturviit, l’association des femmes inuit du Nunavik, pour travailler sur divers projets qui ont mené à la publication de plusieurs rapports. Elle est maintenant coordonnatrice de la Chaire de recherche Sentinelle Nord sur les relations avec les sociétés inuit (Université Laval). Elle y coordonne des activités de recherche anthropologique et de formation en collaboration avec des collaborateurs inuit, des partenaires institutionnels et des chercheurs d’autres disciplines.

Véronique Leclerc est une étudiante à la maîtrise à l’Université Laval, qui s’intéresse aux technologies de la réalité virtuelle (RV) et de l’intelligence artificielle dans un contexte québécois. Jumelant l’approche anthropologique à celle des STS (Science and Technologies Studies), elle s’est bâti une riche expertise sur le rôle des sens lors d’une immersion sensorielle au sein d’un univers virtuel. Son mémoire de maîtrise traite de ses thématiques avec détails et originalité puisqu’elle conteste la conception actuelle du rôle du corps et des sens en lien avec le développement de technologies toujours plus immersives.

Adèle Raux-Copin. Nouvellement diplômée de l'Université de Montréal, Adèle a consacré son mémoire d'anthropologie au maintien des langues d'héritage au sein d'églises fondées par des communautés

immigrantes allophones à Montréal. À l'heure actuelle, elle se tourne vers l'enseignement du français aux étudiants immigrants ainsi qu'à des projets artistiques. Elle souhaite éventuellement poursuivre ses recherches sur le maintien des langues chez les communautés immigrantes dans d'autres métropoles multiculturelles.

Marianne Sarah Saulnier. Musicienne de formation et diplômée en ethnomusicologie (MA), Marianne-Sarah Saulnier termine présentement son doctorat en anthropologie à l’Université de Montréal. Ses recherches doctorales visent à analyser la transformation des rôles de genres en Inde du Nord à travers l’expression artistique et la place des femmes dans l’espace public. Parallèlement à ses recherches en Inde, Marianne est chargée de cours en anthropologie. Elle est aussi rédactrice en chef de la revue étudiante « AnthropoCité » du département d’anthropologie de l’UdeM ainsi que coordonnatrice de recherche du projet « La musique aux enfants. Prématernelle et maternelle à vocation musicale » en collaboration avec l’Orchestre Symphonique de Montréal et la Commission scolaire de la Pointe-de-l’Île.

Corentin Sire est doctorant en Histoire contemporaine et en Criminologie depuis septembre 2018, en cotutelle entre l’Université Caen-Normandie (laboratoire HisTeMé, EA 7455) et l’Université de Montréal. Réalisée sous la supervision de Thomas Hippler et d’Anthony Amicelle et avec le soutien financier du Fonds de Recherche du Québec – Société et Culture (292660), ainsi que de l’Université de Caen-Normandie, sa thèse s’intitule « Définir, lister, ficher : la construction de l’Autre ‘terroriste’ à l’époque contemporaine ». En questionnant le recours aux pratiques de désignation (définition, listage et fichage) du terrorisme à travers l’histoire, ce travail vise à réaliser une histoire du concept de « terrorisme » afin de comprendre comment celui-ci a pu devenir le marqueur d’altérité qu’il est aujourd’hui. Intéressé par la coopération antiterroriste dans une perspective critique, historique et conceptuelle, Corentin Sire est par ailleurs titulaire d’un Master recherche en Histoire de l’Université Caen-Normandie, ainsi que d’un Master recherche en Relations Internationales de Sciences Po Bordeaux.