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Enfin, l’étude démontre que la collaboration des parents est principalement financière. Les parents ne doivent pas s’investir comme dans une école alternative par exemple où l’on demande davantage leur implication.

- « Il y a des rencontres d’information chaque année pour expliquer ce qui va se passer l’année d’après sinon, pas plus que ça. » (R4)

- « Leur implication est plus du type individuel avec l’enfant. On ne regroupe pas les parents dans le sens où certains vont se lier d’amitié, mais ce ne sera pas par nous. » (R5)

L'implication est un peu plus grande pour une école qui a une fondation et qui nécessite parfois du bénévolat de la part de quelques parents.

Les écoles n'ont pas nécessairement de partenariat particulier excepté pour quelques-unes qui ont du support de professeurs universitaires spécialisés dans la douance. De plus, le projet de Sensibilisation aux Études, à l'Université et à la Recherche (SEUR) de l'Université de Montréal collabore avec deux des écoles interrogées. Une école en particulier a un partenariat avec l'Office national du film. Par contre, la moitié des écoles n'ont aucun partenariat.

CONCLUSION

En somme, la reconnaissance des élèves à haut potentiel dans le réseau scolaire public québécois est faible. La difficulté à trouver des écoles participantes démontre bien la problématique et la moitié des écoles interrogées ne faisait pas de distinction entre les élèves doués et les élèves talentueux. Ces élèves, représentant 2 % de la population écolière, devraient avoir des programmes adaptés pour eux, mais seulement 2 écoles primaires sur 1877 (0,1 %) et 6 écoles secondaires sur 544 (1,1 %) au Québec ont un programme pour élèves doués. Si nous avions, en 2013-2014, 995 178 enfants dans nos écoles et qu’environ 2 % sont des élèves doués, cela représente 19 903 élèves dont plusieurs n’ont pas reçu un service répondant à leur besoin.

Rappelons que l’objectif de la recherche était d’identifier les mesures mises en place dans les écoles québécoises ayant un programme adapté aux élèves doués pour hypothétiquement, transmettre ce savoir en Estrie. Or, lors des différentes entrevues semi-dirigées avec les directions d’école et une enseignante, nous avons pu remarquer qu’il n’y a pas tellement de concordance entre les différents programmes de ces écoles.

Tout d’abord, l’analyse a fait ressortir le fait qu’une seule commission scolaire possède une politique officielle pour les élèves doués et talentueux. Ce n’est pas systématiquement toutes les écoles qui acceptent les élèves doués dans leurs programmes et celles-ci n’acceptent pas nécessairement un élève doué en difficultés comportementales ou scolaires.

De plus, les choix administratifs et organisationnels dépendent souvent du budget puisqu’une école doit créer des groupes non déficitaires. Ainsi, les écoles voulant favoriser les élèves doués, qui pourraient avoir des difficultés, se trouvent

contraintes d’ajouter des élèves dans le but d’avoir le nombre minimal requis au risque de fermer son programme temporairement ou officiellement.

D’ailleurs, l’étude a démontré qu’aucun financement de la part du ministère n’était accordé, ce qui indique un manque de reconnaissance de ces élèves. Rappelons-nous qu’un élève doué n’est pas nécessairement un élève qui a de la facilité dans tout et qui brille dans tous les domaines. Il y a des profils homogènes et hétérogènes et les enseignants n’ont reçu aucune formation universitaire à ce sujet et certaines écoles seulement les forment à l’aide de lectures et de conférences. Siaud- Facchin (2004) confirme que « tout au long de sa scolarité l’élève surdoué subit de nombreuses critiques ou humiliations de la part des enseignants, car sa forme de pensée et de raisonnement convient rarement à ce qui est attendu à l’école » (p.3). Si quelques enseignants ont de fausses croyances par manque d’informations, les besoins des élèves doués ne peuvent être comblés. Nous recommandons donc de former les enseignants que ce soit par de la lecture ou des conférences. Chaque enfant mérite d’avoir un suivi adapté à ses besoins pour assurer le maintien de sa motivation, car il ne faut pas l’oublier, le taux d’élèves doués, ayant des résultats médiocres ou en très grande difficulté en secondaire 3, est d’environ 67 % (Haut Potentiel Québec, 2012, p.2).

Tout comme dans les autres provinces du Canada, particulièrement en Alberta et en Ontario, un dépistage devrait être fait dans les écoles au même titre que les autres tests que l’on remplit pour les élèves en difficultés scolaires ou comportementales. Cela permettrait d’avoir un portrait de l’élève et ainsi adapter l’enseignement à ses besoins. Les écoles du Québec ayant des programmes pour les élèves doués, se basent davantage sur les résultats des années antérieures et les recommandations des enseignants précédents. Peu d’écoles parmi celles interrogées se basent sur l’évaluation d’un neuropsychologue ou encore évaluent réellement le quotient intellectuel des jeunes. Ainsi, nous recommandons, tout comme la Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants (2009), une formation qui

devrait permettre au personnel enseignant « le développement d’outils efficaces de dépistage » et nous soulignons l’importance, que « chaque [commission scolaire] se dote d’un processus de dépistage des élèves doués et adopte un plan d’intervention efficace ». (p.7) Les tests de dépistage des autres provinces pourraient être des outils de référence. Car prévenir les difficultés possibles chez les jeunes ne peut que les aider, mais « plus que d’identifier les élèves à haut quotient intellectuel, il s’agit de se montrer attentif à des profils complexes révélant la coexistence de signes de précocité ou d’aptitudes particulières et de difficultés à réaliser, à épanouir ces potentialités. » (Delaubier, 2002, p.38)

De plus, l’analyse des données a démontré qu’il y avait peu de support différent de celui qui est accordé à des élèves du régulier, sauf pour l’anxiété qui semblait plus fréquente chez les élèves doués et talentueux. Peut-être qu’en dépistant les élèves plus tôt, cela diminuerait cette anxiété de performance. Massé (2015) a d’ailleurs donné, aux membres de Haut Potentiel Québec, une conférence qui avait pour sujet : comment aider l’enfant doué à surmonter cette anxiété. La performance étant directement reliée au fait qu’ils ressentent une pression d’exceller. On doit se questionner sur l’impact d’un regroupement d’élèves doués et sur l’exigence des programmes enrichis.

L’étude a d’ailleurs démontré que le moyen d’adaptation le plus utilisé pour aider les élèves doués est l’enrichissement des programmes. Il faut donc faire un compactage des programmes pour arriver à y ajouter de l’enrichissement. Ce compactage devrait consister à « éliminer toutes les parties qui ont déjà été vues à un moment ou un autre du cursus antérieur […] [tout en étant] fait de façon adaptée au niveau de chaque enfant identifié comme précoce [environ] 50 % du contenu peut être éliminé sans que le niveau atteint en fin d’année soit affecté. » (Lautrey, 2009 p.346) Les élèves doivent donc être regroupés dans ce cas-ci soit par matière ou par groupe-classe. Et ce regroupement peut également être fait en dehors des cours, parce que Lautrey l’avait expliqué; les activités hors programmes peuvent améliorer les

performances scolaires. Finalement, l’important est de répondre aux besoins individuels des enfants doués et il est « préférable d’assouplir le système général d’enseignement pour permettre de s’adapter aux différences dans les rythmes d’acquisition que de créer des classes spéciales. » (p. 350)

Les recherches scientifiques sont encore peu fréquentes sur l’éducation des élèves doués, et il serait souhaitable d’approfondir nos connaissances sur celles-ci et ainsi, attirer l’attention du ministère pour la reconnaissance de ces jeunes dans le réseau scolaire public québécois. La formation des nouveaux enseignants devrait conscientiser ceux-ci à la problématique favorisant ainsi une meilleure connaissance de ces élèves pour leur apporter le support nécessaire. Puisque plusieurs des élèves doués ont une dyssynchronie entre leur potentiel et leur développement puis risquent d’avoir de réels problèmes scolaires, ils méritent que le milieu de l’éducation les reconnaisse, tente de les comprendre et s’interroge sur les meilleures méthodes d’adaptation adaptées pour eux.

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ANNEXE A

LISTE DES QUESTIONS ENVOYÉES AVANT L’ENTREVUE

1. Avez-vous des politiques et/ou règlements en lien avec la douance, si oui, quels sont-ils? (Gestion, financement, mise en œuvre...)

2. Quels ont été vos choix administratifs et organisationnels? Intégration dans des classes ordinaires ou regroupements des élèves doués?

3. Quelles sont l'expérience et la formation des enseignants qui enseignent aux élèves doués? Support pour les nouveaux enseignants?

4. Lors de l'implantation du programme, quel a été le soutien donné aux enseignants pour la préparation? Y a-t-il eu la collaboration d'autres organismes ou membres du personnel?

5. Quels sont les critères pour choisir les enfants qui auront accès à un programme lié à la douance? Avez-vous un test diagnostique? Si oui, qui l'administre?

6. Faites-vous une distinction entre les élèves talentueux et les élèves doués? 7. Quel est le mode de financement des programmes pour élèves doués ayant

ou non des difficultés qualifiées de légères à modérées?

8. Quelles sont les mesures d'aides mises en place pour aider les élèves doués? 9. Est-ce que les parents et la communauté sont impliqués, soient dans le

financement, l'établissement des mesures d'aide ou encore dans l'identification des problématiques ou même de projets spéciaux?

ANNEXE B TABLEAU 3

Les thèmes et sous-thèmes résultant de l’analyse de contenu

THÈMES ET SOUS-THÈMES d’énoncés Nombre Nombre de répondants 1. POLITIQUE ET RÈGLEMENT

172 8

1.1. Gestion 1.2. Mise en œuvre 1.3. Définition doué

1.4. Acceptation d'élèves en difficultés 1.5. Non acceptation d'élèves en difficultés 1.6. Besoin

1.7. Valeur

1.7.1. Motivation

1.8. Différenciation Doué et Talentueux

2. CHOIX ADMINISTRATIF ET ORGANISATIONNEL

51 7

2.1. Élèves intégrés dans des classes spéciales 2.2. Participation à des concours

2.3. Horaire

2.4. Nombre d'élèves par école

3. EXPÉRIENCE PROFESSIONNELLE DES ENSEIGNANT

36 7

3.1. Expérience reliée à l'enseignement 3.2. Formation des enseignant

3.2.1. Conférences 3.2.2. Lectures 3.2.3. Professeurs 3.2.4. Aucune 3.3. Évaluations

TABLEAU 3

Les thèmes et sous-thèmes résultant de l’analyse de contenu

THÈMES ET SOUS-THÈMES d’énoncés Nombre répondants Nombre de 4. SOUTIEN AUX ENSEIGNANTS ET AUX ÉLÈVES

49 6

4.1. Soutien pour la préparation du programme 4.2. Tuteur animateur 4.3. Éducation spécialisée 4.4. Orthopédagogue 4.5. Psychoéducation 4.6. Psychologie 4.7. Temps supplémentaires 4.8. Travailleur social 4.9. Anxiété 4.10. Conflits 4.11. Outils technologiques

5. IDENTIFICATION OU CHOIX DES ÉLÈVES

63 8

5.1. Diagnostic 5.2. Entrevue

5.3. Test ou Examen d'admission 5.4. Enseignant

5.5. Résultats scolaires

5.6. Administration du test par 6. FINANCEMENT 18 7 6.1. Commission Scolaire 6.2. Parents 6.3. Fondation 6.4. Aucun 6.5. Ministère

TABLEAU 3

Les thèmes et sous-thèmes résultant de l’analyse de contenu

THÈMES ET SOUS-THÈMES d’énoncés Nombre répondants Nombre de 7. MESURES D'AIDE UTILISÉES

147 8

7.1. Possibilité de sauter des classes; 7.2. Progression individuelle continue; 7.3. Apprentissage à son propre rythme; 7.4. Programme accéléré par matière

7.4.1. Mathématiques 7.4.2. Sciences 7.4.3. Langues 7.5. Compression de programme; 7.6. Programme avancé; 7.6.1. Mathématiques 7.6.2. Sciences 7.6.3. Langues 7.6.4. Arts 7.6.5. Univers social 7.6.6. Informatique 7.7. Programme de mentoring; 7.8. Programmes extrascolaires;

7.9. Inscription simultanée secondaire cégep 7.10. Projets

7.11. Obtention d’unités de valeur par examen; 7.12. Inscription précoce au collège, au lycée ou à

l’université.

7.13. Plan d'intervention 7.14. Programme PEI

8. COLLABORATION PARENTS ET COMMUNAUTÉ

34 7

8.1. Parents 8.2. Universités 8.3. ONF

8.4. Aucune collaboration avec des organismes

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