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6. INDICATEURS DIRECTS

6.1 A NALYSE D ’ IMPACT

6.1.7 Bref récapitulatif

Les résultats des questionnaires sont donc plutôt encourageants pour le

« Caprices Festival ». Il existe bel et bien un impact dû à cet événement, même s’il a été majoritairement jugé faible. Le tout est d’améliorer la cohésion entre la station et l’organisation du festival. En plus, l’image de Crans-Montana a été jugée en accord avec celle du « Caprices Festival » par une forte majorité des sondés.

On a pu constater que les agences immobilières sont les moins touchées par cet impact, à l’opposé des entreprises de transports qui sont particulièrement concernées par le festival.

Figure 47 : Changement de clientèle

6.2 Enquête de satisfaction

6.2.1 Analyse globale

« Aimeriez-vous participer/collaborer avec le Caprices Festival pour l’édition 2007 ? »

Résultats : non : 38% oui : 59% pas de réponse : 4%

0%

20%

40%

60%

80%

100%

Non Oui N'ont pas répondu

Explications et constatations

Ce que l’on peut déjà constater sur ce graphique, c’est que la majorité de toutes les entités questionnées souhaiteraient collaborer avec cet événement. Cet élément est important pour le bon déroulement de la manifestation, car plus la station s’investit, plus le festival sera soutenu, donc plus il a de chance d’être une réussite.

Cette majorité souhaite collaborer avec le « Caprices Festival » pour diverses raisons et de diverses manières. Tout cela sera précisé, plus loin dans le document, par catégorie d’établissements.

Figure 48 : Participation avec le « Caprices Festival » pour l’édition 2007

6.2.2 Hôtels

« Avez-vous apprécié la collaboration avec le Caprices Festival ? » Résultats : oui : 83% pas de réponse : 17%

Explications et constatations

Un hôtel a précisé n’avoir pas répondu, car il n’a pas collaboré avec le « Caprices Festival ». Les autres ayant participé m’ont expliqué qu’ils avaient trouvé cette collaboration très sympathique. Un des gérants trouve qu’il est très intéressant de discuter avec les musiciens et de comprendre mieux leurs exigences, car cela aiderait l’hôtel à mieux adapter ses services à ce type de clientèle.

« Aimeriez-vous participer/collaborer avec le Caprices Festival pour l’édition 2007 ? », 92% des établissements seraient motivés à le faire, contre 8% n’ayant rien répondu.

Résultats : oui : 92% pas de réponse : 8%

Explications et constatations

Un certain nombre d’hôtels acceptent de collaborer dans le sens ou cela leur permet de soutenir le lancement d’une nouvelle manifestation sur le Haut-Plateau. D’autres expriment à nouveau les arguments stipulés dans les réponses concernant la question précédente (ambiance sympathique, entretiens avec des artistes, etc.). Mais une attention toute particulière est portée sur les dates de l’événement. En effet, ce facteur est primordial pour les hôtels, pour accepter ou non une éventuelle collaboration. En effet, ils sont toujours complets en haute saison et ont nettement moins de temps à consacrer à l’événement.

6.2.3 Agences immobilières

« Avez-vous apprécié la collaboration avec le Caprices Festival ? »

Résultats : non : 8% oui : 50% pas de réponse : 42%

0%

20%

40%

60%

80%

100%

Non Oui N'ont pas répondu

Figure 49 : Collaboration avec le « Caprices Festival » appréciée

Explications et constatations

Parmi ceux qui n’ont pas répondu, 60% ont précisé qu’ils n’avoir jamais travaillé avec le « Caprices Festival ». L’agence ayant répondu qu’elle ne souhaite pas collaborer, a indiqué qu’elle n’avait jamais travaillé avec l’événement. Par contre, elle a insisté sur le fait que c’était fort dommage que la « Fondation Caprices » travaille surtout avec des agences de Lausanne ou de Genève, plutôt que de collaborer avec des agences régionales tout aussi performantes. Une des agences enthousiasmée par la collaboration a précisé que la satisfaction provenait de l’augmentation du nombre de locations réalisées pendant la durée du festival. Le peu de réponse est probablement dû au fait qu’une partie d’entre elles n’a pas collaboré avec le festival.

« Aimeriez-vous participer/collaborer avec le Caprices Festival pour l’édition 2007 ? »

Résultats : non : 42% oui : 58%

Non

Oui

Explications et constatations

Il est intéressant de constater qu’une petite majorité souhaiterait travailler avec le « Caprices Festival », malgré le fait que la plupart d’entre elles aient répondu que cet événement n’a aucun impact direct sur leur commerce. Certaines conditions ont toutefois été évoquées et seraient à discuter: deux agences accepteraient de travailler avec la « Fondation Caprices » à condition que les locations demandées soient supérieures à quatre nuits, voir minimum une semaine. Une autre stipule simplement que cela augmenterait le nombre de nuitées de son agence. Une dernière souhaiterait collaborer avec la « Fondation Caprices » pour que cette organisation travaille avec des entreprises régionales.

Trois agences parmi celles refusant la collaboration m’ont donné les explications suivantes : l’une d’entre elle ne voit aucun intérêt direct pour son commerce et ne possède aucun objet correspondant aux besoins des festivaliers, une autre stipule simplement qu’elle manque de temps et la dernière a déjà travaillé avec le « Caprices Festival » et a constaté des dégâts dans les appartements loués aux clients du festival.

Figure 50 : Participation avec le « Caprices Festival » pour l’édition 2007

6.2.4 Commerces

« Avez-vous collaboré avec le Caprices Festival ? » Résultats : Montana : non : 69% oui : 31%

Crans : non : 45% oui : 55%

Résultats globaux : non : 55% oui : 45%

Explications et constatations

Les collaborations sont diverses. Un patron de restaurant fait partie du Conseil d’administration du Régent, d’autres ont simplement posé des affiches dans leurs établissements, certains ont sponsorisé financièrement l’événement ou en sont partenaires. Parmi les entreprises interrogées, on peut trouver des fournisseurs officiels, des mécènes ou simplement des bénévoles. Un restaurant s’est occupé d’accueillir les collaborateurs bénévoles et les monteurs. Une compagnie de taxi s’occupait d’amener certains artistes et leurs instruments.

Sur les commerces collaborant avec le « Caprices Festival », 21% ont apprécié celle-ci à Montana et 50% à Crans. 13% n’ont pas répondu à Montana et 4% à Crans. Personne n’a répondu n’avoir pas apprécié la collaboration à Montana et 13% à Crans.

0%

20%

40%

60%

80%

100%

Oui Non N'a pas répondu

Montana Crans

Résultats globaux : non : 12% oui : 72% pas de réponse : 16%

Explications et constatations

A Montana, beaucoup estiment la créativité et le dynamisme des collaborateurs du « Caprices Festival ». L’esprit jeune qui règne au sein de l’organisation et le dynamisme des collaborateurs a souvent été évoqué comme facteur positif. On m’a aussi cité le fait que de travailler avec ce festival donne une bonne image au commerce qui collabore. Un bar précise aussi qu’un tel événement fait parler de la station et attire des clients potentiels pour les années à venir.

Figure 51 : Collaboration avec le « Caprices Festival » appréciée

Une partie n’a pas apprécié cette collaboration, car rien ne lui a été offert en retour. Il a été dit que cette participation serait à sens unique et qu’elle serait au désavantage des commerçants.

« Aimeriez-vous. participer/collaborer avec le Caprices Festival pour l’édition 2007 ? »

Résultats : Montana : non : 54% oui : 42% pas de réponse : 4%

Crans : non : 38% oui : 59% pas de réponse : 3%

0%

20%

40%

60%

80%

100%

Oui Non N'ont pas répondu

Montana Crans

Résultats globaux : non : 45% oui : 52% pas de réponse : 3%

Explications et constatations

Différentes raisons ont été évoquées par rapport au refus de collaboration. Par exemple, un commerce de Montana a cité le fait que le « Caprices Festival » soit seulement sur Crans comme élément démotivant la collaboration. D’autres m’ont expliqué qu’ils avaient déjà beaucoup trop de travail lors de ces périodes-là et qu’il leur était donc impossible d’effectuer des tâches en faveur du festival.

Certains ont noté que cet événement n’apportait pas suffisamment financièrement à leur commerce pour imaginer une quelconque participation.

D’autres manquent tout simplement de temps ou de connaissances pour pouvoir le faire.

Un certain nombre serait d’accord de collaborer en offrant des prestations autres que pécuniaires. D’autres souhaitent soutenir l’événement, car ils l’apprécient et que, grâce à lui, ils gagnent personnellement plus d’argent. En outre, ce festival amènerait aussi des retombées indirectes selon les sondés. En effet, il serait un atout touristique non négligeable pour une station telle que Crans-Montana. Cet événement ferait parler de la station et attirerait des clients potentiels pour les années à venir. Une autre partie des personnes interrogées désireraient travailler avec le « Caprices Festival » pour améliorer, au maximum, le développement de la manifestation. Une partie des commerces questionnés reste très vague. En effet, elle resterait ouverte à une éventuelle collaboration sous certaines conditions négociables directement avec la « Fondation Caprices ».

Figure 52 : Participation avec le « Caprices Festival » pour l’édition 2007

Seul 7% des commerces interrogés ont indiqué que le festival comptait peu pour eux.

6.2.5 Entreprises de transports

« Avez-vous collaboré avec le Caprices Festival ? » Résultats globaux : non : 20% oui : 80%

Explications et constatations

Ceux pour lesquels la collaboration a eu lieu sont : les remontées mécaniques, la compagnie de bus, le funiculaire et une société de taxis. Le domaine skiable a toujours été partenaire de l’événement. Il a, entre autres, proposé des forfaits combinés ski et concerts. Les transports spéciaux comme, par exemple, les navettes ont été assurées par la société de bus, SMC. En effet, cette entreprise est partenaire et sponsor de l’évènement. Le funiculaire n’a, par contre, effectué aucune collaboration directe. Une des compagnies de taxis s’occupait d’amener certains artistes et leurs instruments.

Sur les entreprises de transports collaborant avec le « Caprices Festival », le 75% a apprécié celle-ci contre le 25% n’ayant rien répondu.

Explications et constatations

La société CMA (remontées mécaniques) considère que l’impact médiatique de ce festival est inégalable et que cette manifestation est un plus évident pour la station, tant pour sa visibilité que pour son image. Elle apprécie aussi l’équipe du festival qu’elle définit comme jeune et sympathique. Les autres entreprises n’ont fait aucun commentaire à ce propos.

« Aimeriez-vous participer/collaborer avec le Caprices Festival pour l’édition 2007 ? »

Résultats globaux : non : 20% oui : 60% pas de réponse : 20%

0%

20%

40%

60%

80%

100%

Non Oui N'ont pas répondu

Figure 53 : Participation avec le « Caprices Festival » pour l’édition 2007

Explications et constatations

Le 60% seulement souhaite collaborer avec le « Caprices Festival » pour la prochaine édition, alors que le 80% avait collaboré pour les éditions précédentes.

Cette différence vient du fait que certaines entreprises ayant collaboré en 2006 n’ont pas répondu s’ils souhaiteraient ou non collaborer pour l’édition 2007. Les remontées mécaniques participent déjà pour la prochaine édition. Les autres sociétés n’ont pas commenté leur réponse.

6.2.6 Synthèse

Il s’agit là de graphiques concernant la question : « Aimeriez-vous participer/collaborer avec le Caprices Festival pour l’édition 2007 ? ».

Résultats des hôtels Résultats des agences immobilières

0%

Résultats des commerces Résultats des transports

0%

Non Oui N'ont pas répondu

0%

Figure 54 : Participation avec le « Caprices Festival »

pour l’édition 2007 Figure 55 : Participation avec le « Caprices Festival »

pour l’édition 2007

Figure 56 : Participation avec le « Caprices Festival » pour l’édition 2007

Figure 57 : Participation avec le « Caprices Festival » pour l’édition 2007

Résultats globaux

0%

20%

40%

60%

80%

100%

Non Oui N'ont pas répondu

On constate que la majorité de toutes les catégories confondues souhaitent travailler avec le « Caprice Festival ». On peut en conclure que la station tient à son festival et souhaite participer à son développement. A mon avis, chacun des secteurs pourrait tirer profit d’une éventuelle collaboration. Pour le secteur de l’hébergement, il s’agirait de conclure plus de contrats et d’adapter les offres pour le type de clientèle d’un festival. A ma connaissance, cela est déjà le cas pour une partie des hôtels. En ce qui concerne les transports, il existe déjà plusieurs accords qui satisfont les deux concordants. Quand aux commerces, certains d’entre eux ont la possibilité de mettre leurs stands dans l’enceinte du festival.

Il m’a été impossible de comparer les autres questions étant donné que pour les agences immobilières et les hôtels, j’ai fais l’erreur de ne pas les questionner au sujet de l’existence de leur collaboration lors des années précédentes.

Concernant les questions ouvertes du questionnaire des commerces et des entreprises de transports, la possibilité de répondre « Le festival compte peu pour moi » a été donnée. Seul quatre commerces ont coché cette case. Ce qui est étonnant, c’est qu’il s’agit, entre autres, de deux restaurants fortement touchés par le « Caprices Festival ». En effet, ils ont tous deux répondu avoir un impact moyennement fort à fort. Un magasin de sport à Montana a aussi répondu n’avoir aucun intérêt à ce festival. Le responsable du casino est aussi concerné par cette réponse. Il admet tout de même ressentir un impact sur son chiffre d’affaire de 2 à 5% grâce au festival.

6.2.7 Bref récapitulatif

D’après les résultats des questionnaires, la majorité de tous les domaines questionnés souhaiteraient travailler avec le festival. C’est un élément à exploiter.

Néanmoins, le secret de la satisfaction se trouve au niveau de la qualité. Il faut donc particulièrement être reconnaissant envers les entreprises collaborant avec le festival et offrir à ses hôtes une qualité optimum.

Figure 58 : Participation avec le « Caprices Festival » pour l’édition 2007

6.3 Questions ouvertes

6.3.1 Points forts

Plusieurs mêmes aspects ont résulté de l’avis des sondés sur les points forts du

« Caprices Festival ». Il est beaucoup ressorti que cela amènerait globalement du positif pour la station et surtout une excellente publicité. Il y a même une personne qui m’a dit que cet événement offrirait une publicité inattendue pour Crans-Montana, dans le sens où le festival permettrait à la station d’être reconnue par certains producteurs et artistes. Ce fait créerait des retombées publicitaires considérables. Par ailleurs, la « Fondation Caprices » aurait très bien su cibler qui inviter comme personnalité lors du festival. Cette affirmation a d’ailleurs été confirmée par un article de presse :

« Hier, le « Caprices Festival » de Crans-Montana (VS) accueillait le prince de Venise, Emmanuel-Philibert de Savoie, et son épouse, Clotilde Courau. Le couple avait tenu à être présent pour écouter Olivia Pedrol (alias Lole), une chanteuse neuchâteloise de 24 ans. « Ma femme et moi adorons ce qu’elle fait », nous a dit le prince italien qui revenait dans la station où il a… appris à skier ! Et de poursuivre : « Lole passe régulièrement sur Couleur3. Dès que j’ai écouté son CD, j’ai été bluffé. » Le prince sourit. Sa fille Vittoria (2 ans) danse sur les percussions des musiciens en répétitions. »1

Il a aussi été dit d’ailleurs que les médias qui couvrent le festival seraient très compétents. Cet événement créerait une ambiance jeune et festive, dont la station, en général, manquerait cruellement. Il amènerait du monde et procurerait de l’animation, que même les touristes venus sans avoir conscience de la présence de l’événement, apprécieraient. Il est toujours agréable d’être en vacances dans un lieu

animé, où il y règne une ambiance festive et un cadre sympathique.

Enormément de réponses au sujet des points forts tournaient autour de la programmation. Elle a largement été complimentée par les personnes que j’ai interrogées. L’offre variée de musique plaît énormément. Un certain nombre de sondés m’ont répondu qu’ils appréciaient que le festival propose des groupes pour une génération de personnes plus âgées. La diversité de la manifestation serait aussi un plus du « Caprices Festival », car chaque soirée aurait ses atouts et sa différence.

L’amélioration continue de l’organisation de cet événement a aussi été citée comme point fort. Il serait légitime que, sans expérience, l’on puisse faire des erreurs, mais les membres de la « Fondation Caprices » ont apparemment su apprendre de leurs erreurs et progresser. La qualité serait de plus en plus, au rendez-vous. La « Fondation Caprices » effectuerait les paiements à ses partenaires et fournisseurs beaucoup plus rapidement qu’il y a 3 ans. Il a par contre été dit que les organisateurs auraient toujours été très agréables, serviables et disponibles. Parmi ces progrès, on m’a aussi expliqué que la

1 Article paru dans « Le Matin », 11 mars 2006

restauration autour du festival se serait bien diversifiée et améliorée. Par contre, le professionnalisme des organisateurs du festival a été, quelques fois, mis en doute.

L’image de création d’un « event » avec des idées novatrices a aussi été exprimée comme point fort. Le fait qu’il soit en hiver ferait toute son originalité.

Le New Talent Tour et l’espace PM ont aussi été évoqués en tant qu’atouts de cet événement. Certaines personnes pensent que la concentration sur un seul lieu serait une des qualités du festival. Nous verrons dans les points faibles que tout le monde n’est pas d’accord avec cette affirmation.

L’exemple que donne le « Caprices Festival » serait aussi un grand avantage. Ces jeunes qui se lancent et qui essaient de faire bouger les choses pourrait faire effet « boule de neige » et encourager d’autres à tenter de réaliser leurs rêves.

Cela serait la preuve qu’il n’est pas impossible de dynamiser sa région en créant un tel événement ! Après le lancement du « Caprices Festival », il y a par exemple l’ « Association des jeunes de Veyras » qui a lancé en 2005 la première édition du « Tohu Bohu Festival ».

6.3.2 Points faibles

Le mauvais temps a marqué les esprits pour l’édition 2006. Il faut dire que cette année-là, l’accès à Crans-Montana était particulièrement difficile. Il a énormément neigé durant la période du festival et les chaînes sur les roues étaient obligatoires, ce qui a rendu la station difficile d’accès. D’ailleurs, beaucoup de voitures n’ont pas réussi à monter jusqu’en station et on dû appeler des dépanneuses. La route était très glissante et, ni le brouillard, ni le froid ne donnaient envie de sortir de chez soi. La fraîcheur de l’hiver a d’ailleurs, elle aussi, été citée comme point faible du festival à plusieurs reprises.

De plus, l’organisation a été critiquée. Elle aurait été débordée et n’aurait pas su remercier ceux qui l’ont aidé. Certains commerces m’ont expliqué avoir rendu de grands services à la « Fondation Caprices » et n’avoir rien reçu en retour, pas même un simple merci ou des billets gratuits. L’organisation pour les bénévoles laisserait aussi à désirer selon certaines personnes questionnées.

Les hôtels et les agences immobilières en particulier jugent qu’il est fort dommage que cette manifestation ait lieu en haute saison. Car, à cette période-là, les hôtels seraient déjà complets sans l’événement. Il n’apporterait donc rien de plus économiquement à ces établissements. En outre, les prix proposés par la

« Fondation Caprices » pour les chambres d’hôtels ont été jugés trop bas par rapport à la catégorie des hôtels proposés.

En principe, le public d’un festival est plutôt nocturne. Cet élément fait que les commerces ne sont pas forcément concernés par l’impact du festival.

Montana serait, selon les résultats des questionnaires, peu concerné par l’impact du festival. Cela pourrait s’expliquer par la situation géographique de l’événement. En effet, les animations se déroulent toutes sur Crans. De plus, le festival a été décentralisé de la station. C'est-à-dire que, l’année précédente, il s’est en majorité déroulé au Régent. Même Crans s’est donc senti moins concerné par la manifestation.

La scène au milieu de Crans a manqué à beaucoup de monde (scène qui avait été installée pour la première et la deuxième édition). Cette remarque a surtout été citée par les commerces entourant la zone. Toutefois, certains établissements très éloignés ont aussi énoncé cet argument. Grâce à cette scène, la station devenait « village du festival » et ressentait beaucoup plus la présence et l’impact du festival. La décentralisation des concerts au Régent ne plaît donc pas à tout le monde. Le festival est jugé trop peu intégré à la station. De plus, l’Urban PM serait peu attractif. D’autant plus que, d’après certaines personnes interrogées, ces locaux ne seraient pas très appropriés pour l’organisation d’un festival.

En même temps, certains m’ont expliqué, qu’à leurs yeux, le principal point faible du « Caprices Festival » serait le manque de collaboration de la station.

L’environnement autour du festival serait peu adéquat. Il circulerait beaucoup de critiques et de mauvais jugements venant, entre autres, de l’esprit « vieux jeu » de la station. Inévitablement, cela créerait des répercutions négatives sur le

L’environnement autour du festival serait peu adéquat. Il circulerait beaucoup de critiques et de mauvais jugements venant, entre autres, de l’esprit « vieux jeu » de la station. Inévitablement, cela créerait des répercutions négatives sur le

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