• Aucun résultat trouvé

La rentabilité du ranching. Cas du Gabon et de la Côte d'Ivoire. Synthèse bibliographique.

DESS Productions animales en régions chaudes. Année universitaire 1997-1998, CIRAD-EMVT, Montpellier, France, 100 p.

Cote bibliothèque : BA_TH301

Mots-clés : BOVIN; RENTABILITE; METHODE D'ELEVAGE ; GESTION DE L'EXPLOITATION

AGRICOLE; ZOOTECHNIE; DIVERSIFICATION; GABON; COTE D'IVOIRE ; RANCHING; BOVIN N'DAMA

Résumé : La rentabilité du ranching au Gabon et en Côte d'Ivoire a été étudiée au niveau des

d'Abokouamékro (Côte d'Ivoire). Le diagnostic a porté sur l'organisation, la production, la commercialisation et les finances. Ces deux pays ont décidé de s'investir dans l'élevage des bovins pour sortir de la dépendance alimentaire et pour enrayer le déficit de la production carnée et laitière locale. Mais les ranches construits connaissent de grosses difficultés financières par manque du souci de rentabilité qui caractérise la gestion des entreprises publiques. Sur le plan technique, ces ranches sont pour la plupart irréprochables ; il y a une assez bonne maîtrise des paramètres zootechniques. N'ayant pas atteint leurs objectifs, ces ranches diversifient leurs activités pour espérer atteindre en fin de compte le but fixé par les Etats respectifs. Mais des mesures drastiques doivent être prises pour la bonne marche de ces ranches. Leur salut se trouve peut-être dans la privatisation afin que des investisseurs privés les sortent du marasme économique dans lequel ils sont plongés.

5b. Bongo Akanga Ndjila Barthélémy, 1998

La rentabilité du ranch de la Marahoué (élevage bovin, race N'Dama, Côte d'Ivoire). Mémoire de stage.

DESS Productions animales en régions chaudes. Année universitaire 1992-1993, CIRAD-EMVT, Maisons-Alfort, France, 83 p. + annexes.

Cote bibliothèque : BA_TH311

Mots-clés : ELEVAGE ; RANCH ; BOVIN N'DAMA ; ECONOMIE ; MARAHOUE ; COTE

D'IVOIRE ; AFRIQUE DE L'OUEST

Résumé : Le ranch a été créé en 1975 pour la diffusion d'animaux reproducteurs N'Dama en

milieu paysan. L'objectif était d'atteindre en croisière un effectif de 22 000 têtes dont 7 000 reproductrices pour exploiter 3 650 têtes par an soit 16,6 %. En 1992 et 1993 ces effectifs ont été dépassés légèrement. Mais ils ont chuté ensuite avec 14 872 têtes dont 6 365 reproductrices à la mi-juin 1998. Le ranch n'est pas économiquement rentable pour diverses raisons telles que : effectif de personnel pléthorique (348 personnes), performances zootechniques faibles (fécondité 58 % en 1997 au lieu de 72 % espéré et dépassé en 1987-1989, mortalité globale 6 %, mortalité des veaux 7 %, dont la cause principale est la cachexie !...). Le taux d'exploitation autrefois proche de 15 % a été très élevé en 1996 et 1997 : 20 et 26 %. Le financement de l'Etat est nécessaire pour maintenir le ranch qui a un rôle indéniable mais coûte plus qu'il ne rapporte directement. Avec la situation économique difficile, le déficit financier doit être réduit. Quelques solutions sont proposées.

6. Bountoulougou (née Some) M. Jocelyne R., 1998

Le lait de vache en Afrique subsaharienne : transformation et analyse socio-économique. Synthèse bibliographique.

DESS Productions animales en régions chaudes. Année universitaire 1997-1998, CIRAD-EMVT, Montpellier, France, 34 p.

Cote bibliothèque : *MBC_LAIT_TRANSF /ALM/DuteurG./PPA_LAIT1998

Résumé : Les transformations traditionnelle, artisanale et industrielle du lait de vache local en

Afrique subsaharienne sont envisagés sous trois aspects : matériel et équipement, organisation de la collecte et produits de la transformation.

Dans une deuxième partie sont abordés les coûts (prix à la production, coûts de collecte, de transformation et de l'hygiène) et le rôle socio-économique de la transformation.

Le prix payé à la production varie de 1 à 3 voire 5,5 entre le transformateur moderne et le circuit informel. Beaucoup d'unités étatiques fonctionnent à perte. Leur rentabilité n'est possible qu'en fonctionnant à pleine capacité, en achetant le lait à un bas prix (lait local ou poudre de lait importée) et en vendant cher les produits fabriqués. La transformation au niveau villageois est moins coûteuse. Le rôle des femmes dans la filière ne doit pas être négligé. Or, le système du paiement différé leur fait perdre le contrôle des revenus du lait encaissés par le mari. Des organisations de femmes sont nées en plusieurs lieux. Ces revenus du lait ne sont pas négligeables. Ils permettent de limiter la vente d'animaux sur pied.

6b. Bountoulougou (née Some) M. Jocelyne R., 1998

Etude des systèmes d'élevage et des filières de commercialisation dans une zone agro-pastorale de la 7eme région (Mali). Mémoire de stage.

DESS Productions animales en régions chaudes. Année universitaire 1997-1998, CIRAD-EMVT, Montpellier, France, 87 p. + annexes.

Cote bibliothèque : PPA_MALI1998

Mots-clés : SYSTEME D’ELEVAGE ; COMMERCIALISATION ; PADL ; MALI ; AFRIQUE DE

L'OUEST

Résumé : Le Projet d'Appui au Déveppement Local (PADL) intervient dans 15 communes de 9

arrondissements de la région de Gao dans un environnement difficile marqué par la sécheresse et la guerre. L'étude a pour but d'analyser les systèmes d'élevage d'un échantillon et d'aider à juger la viabilité des actions proposées par les populations. L'enquête a concerné 108 personnes dans 3 villages de la vallée du fleuve Niger, 15 individus et 10 groupes sur 5 sites de fixation et 4 campements mobiles d'éleveurs nomades ainsi que 3 marchés. La typologie permet de classer 95 personnes en 5 sous-groupes. La taille des troupeaux est petit : 86 ont <= 30 UBT. La reconstitution du cheptel après le sécheresse de 1987-1988 est encore en cours. Cette reconstitution est handicapée par les contraintes alimentaires, de pathologie (distomatose, charbon...) et de prédateurs (chacal).

Les bovins sont vendus en Côte d'Ivoire, les petits ruminants et dromadaires en Algérie et les ânes au Ghana, Nigeria, Niger et au Mali-Sud.

Concernant les idées deprojets exprimées, il faudait assurer la survie du cheptel plutôt que reconstituer les effectifs. L'appui pour l'embouche et la commercialisation est très demandé. Des études complémentaires seront nécessaires...

Documents relatifs