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Pour m’avoir tendu la main lors de l’épreuve, qu’ils en soient loués.

RE M E R C I E M E N T S A U T R E S ( s u i t e ) :

Il est impossible de pouvoir remercier ou même de se souvenir de tous ceux qui ont contribué à ma “physiopoièse” au cours de toutes ces années. Je commencerai par les villageois de Vrodamas (dont notre voisine, Mme Panagiotitsa) qui ont accueilli un jeune enfant à qui on récitait les exploits des anciens, mais aussi l’humanisme de certains qu’il fallait imiter, dont celui du Pr. Anargyros Kontaxis et de ses frères, mais aussi ceux dont les noms je ne connais pas, qui m’ont suturé ou autrement soigné avec encore plus d’égard et sérieux, malgré mon jeune âge, dès que je leur disais que je voudrais, moi aussi, devenir un jour médecin comme eux. Ensuite, je mentionnerai le Dr. Médicoglou à Montréal, qui, malgré son âge avancé, traversait la neige pour venir soulager mes angines de gorge rien que par sa manière de m’aborder. Puis, c’est le Dr. Wiener qui me revient vivement à l’esprit - c’est lui qui me donna mon premier dépliant d’Atlas du corps humain (il n’y avait pas d’internet à l’époque), sur lequel il me posait des questions quand j’étais encore au début de l’école primaire, pour me motiver dans ma vocation. Il y a ensuite divers médecins traitants, dont le Dr. Psychramis et le Dr. Lambrinos pour les mêmes raisons. Mais il y a aussi les enseignants des écoles, tels que Mme. Dika, Mlle. Flewelling, Mme. Assadourian, M. Katchadourian, M. Daoussis, la vice-directrice de l’école Barclay, ainsi que le directeur M. Assimakopoulos, Mme. Dagenais, M. Mariani (St Laurent High School), Mme. Styliani P., Mme. V. Chiras, Dr. Smart, M. Guillemet, M. Craigwell et M. William Shiri (Mont Royal High School), qui m’ont toujours prêtés attention particulier dans ma quête de connaissance. Suivirent, ensuite, les enseignants universitaires, tels que le couple des Drs. Westbury (qui distribuaient aussi des bonbons lors des examens), Dr. Aniko Lysy, Mme. le Dr. Rahat Khan, ainsi que le Pr. Cenatiempo (IBMIG, Poitiers), le Pr. Tricoche et le Pr. Preudhomme, ainsi que le département de musicologie de Poitiers, pour avoir accepté mon travail sur le formulisme du chant sacré. Je tiens à remercier aussi les Pr. Phil Gold, Pr. Joseph Shuster et surtout le Pr. Christos Tsoukas pour m’avoir accepté dans leur service de recherche clinique sur le SIDA à Montréal, à l’époque où j’ai voulu mettre à l’épreuve mon désir de devenir médecin.

Sur un plan moins académique, je tiens à remercier et rendre hommage à ceux qui m’ont poussé tôt dans la vie à confronter la souffrance d’autrui, dont le révérend père Victor Tsékeris et Mgr Akakios ainsi que les associations qu’ils dirigeaient, au sein desquelles il m’a été rendu possible de rendre visites à des hospitalisés, prisonniers et malades à domicile. Je remercie M. Cjongrady pour m’avoir initié à la musique classique, puis mes maîtres de chant sacré parmi lesquels je rends hommage particulier à Stylianos Tsolakidis, Nikolaos Xérodémas, Konstantinos Katsoulis et Alékos Mardas, car il m’ont permis de me rendre compte qu’une partition de musique ne se lit pas en notes, mais en formules. Je remercie aussi Andréa Atlanti, musicienne de très haut niveau, pour avoir osé donner plus d’importance à l’observation et à l’écoute qu’à la théorie traditionnelle de la musique. Je ne manquerai pas de remercier Jean-Pierre Bonnet et Bernard Frinking ainsi que leurs épouses, pour m’avoir introduit à la théorie du formulisme de l’anthropologue Marcel Jousse, ainsi que Rémy Guérinnel et l’Association Marcel Jousse à Paris.

Aux quelques - uns à qui j’aurais fais du tort, plutôt par maladresse, et rarement consciemment à un âge plus jeune, je leur demande de me pardonner, encore une fois : leurs regards blessés m’ont appris à tout faire pour éviter des récidives.

Je rends hommage (dont à la mémoire de certains) à des maîtres universitaires que j’ai connu à Poitiers, qui ont toujours soutenus sans faille leurs disciples en difficulté, dont moi-même, et qui étaient exemplaires vis - à - vis des patients: Messieurs les doyens Pr. Robert Barraine et Pr. D. Patte, Pr. P. Kamina, Pr. Alcalay, Pr. Ph. Neau, Pr. Babin et son épouse, Dr. Babin, Pr. O. Pourrat, Pr. Carretier, Pr. G. Mauco, Pr. M. Scepi, Pr. J - C. Lecron, Pr. M. Larrègue, Pr. G. Guillet, Pr. D. Herpin, Pr. P. Levillain, Pr. B.Becq-Giraudon, Pr. A. Marrillaud, Pr. Y. Rideau, Dr. Hélène Boureau et les médecins des Urgences, Dr Foucaud du Boisgueheneuc, M. le doyen Roblot et Mme. la Pr. Roblot et, surtout, M le doyen Roger Gil, pour n’en nommer que quelques-uns. Parmi ceux de Tours, je tiens à remercier ceux qui ont été attentifs à mon égard, dont Monsieur le Doyen P. Diot, Monsieur le vice-Doyen H. Marret et leurs confrères, l’ensemble du DUMG, mon tuteur, Pr J. Robert, et plus particulièrement, Mme le Pr. Anne-Marie Lehr-Drylewicz.

Les stages d’internat m’ont permis d’avoir un relationnel privilégié avec la plupart de mes maîtres, que je remercie, aussi, dont Dr. Frédéric Pain, Dr. Philippe Leveau, Dr. Mohamed Mouhsinne, Dr. Rasidimanana, Dr. Amine Hammadi, Dr. Bertin Guina, Dr. Moulay Errabia, Dr. Franck Michel, Dr. Paul-Olivier Solofoarivelo et Dr. Odile Erckelbout au CH-Nord-Deux-Sèvres (CHNDS), le Dr. Mesnard et tout le service de gynécologie ainsi que les Dr. C Mille, Dr Arsac, Dr. Lamine Soumah, Dr. Fatma Bouibede et les psychiatres, Dr. P. Ageneau et Dr. Michel, le chirurgien Dr. Lamissi ainsi que nombreux autres médecins du CHR d’Orléans, Dr. Grison et son épouse (Pithiviers), ainsi que les pharmacien(ne)s Colette Robert (Orléans), MC Dupon (Poitiers) et Fabre-Meurisse (Châteaudun), mais aussi la déléguée médicale, Mme. Catherine Drillaud de Sanofi-Aventis pour le CD sur l’empathie et autres fiches utiles.

Je voudrais remercier tout particulièrement les Dr. Alain Gadrat et Dr. Chantal Blesbois, mes deux maîtres de stage à Châteaudun, pour m’avoir fait aimer de nouveau la médecine générale que j’admirais tant pendant ma jeunesse, et de m’avoir généreusement aidé avec le logement (Dr. CB), ainsi que tous le médecins de la ville (dont le Dr Mercier et le Dr Roussel) et le personnel œuvrant pour le centre de santé municipal, dont M. le maire Alain Venot. Je n’oublie pas le personnel de l’internat à Porte-Madeleine (dont Bernadette), et de tout l’hôpital en général, ainsi que la gentillesse du restaurateur Au P’tit Gourmand à Châteaudun pour avoir trouvé une solution raisonnable pour mes repas.

Le dernier stage en médecine au CH de Pithiviers sous la direction du Dr Benaicha restera gravé dans ma mémoire, autant que celui des Urgences au CHNDS, et je remercie l’ensemble du corps médical et la plupart du personnel (dont Marie à l’accueil) pour m’avoir traité comme un confrère digne de leur confiance.

En dehors des patients, nombreux sont les autres professionnels qui m’ont démontré l’universalité d’une bonne communication par exemple, lors des pannes d’automobile, tel que les mécaniciens M. Fradin et son associé M. Daniel, M. Évangélos Vittas, M. Fiacek, et M. José de Carvalho.

Je remercie les amis, et leur rends hommage à leur mémoire s’ils sont déjà parti(e)s: Maria "Tsimpidis" Stavrianou, Panagiotis (Takis) Nikias, sa sœur, et l'ensemble des village Vrodamas, Cosmas, Vlachiotis et Hagios Vasileios, Dr. Jean Abouchard, Dr. Jean-Pierre Chansigaud, Dr. Joseph Abinader, Dr. Aiham Ghazali (MD-Ph.D), Dr. Mahmoud Farwati, Dr. Guillaume Chauveau, Dr. Corneliu Gradinaru et son épouse, Dr. Ina Maftei-Gradinaru, Dr. Tatiana (Tanya) Savin, Dr Domoina Malala Aurélia Randriambololona, Dr. Lynda Sawadogo, Dr. Félix Feunou, Dr. Charles Le Tarnec et son épouse Stéphanie, Dr. Tatiana Burdujan, Dr. Jocelyn Kamga, Dr. Arnaud Chaudet, Dr. Bénédicte G.-K., Dr. Francois Ten Ket Kian,

Géorgios Kouklakis et son épouse Aikatérini, Kent Roberts, Dr. Marie Jaspard, Céline M., Stéphanos Damianakis, et les voisin Nicolaos, Sotérios et le brillant Emmanuel, Dr. Dimitrios Papadopoulos, Nicolaos, Dr. Zoé C., Dr. Kokkinis et sa famille, Dr. Lucas Pallis de la Clinique “Héléna”, Andréas Panagiotopoulos, père Leukios Christodoulidès, père Andréas Desipris et sa communauté, Matthaios Andréou, Dr. Liviu Bilteanu (MD-PhD), Dr. Nicolaos Giannoukakis, Dr. Konstantinos Lagouros, Dr. Behzad Ahvazi et son frère Behrouz, Vassilios Vassilopoulos, Déborah, Patrick (Descartes), Marc (Droit), Francis Gayte, Geoffroy Dudouit, Dr. Lamine Camara, Dr. (?) ou “homo philosophicus africanensis”, Dr. Maxime Pautrat, le kinésithérapeute M. Évangélos Kaplanis (pour ses explications sur la méthode McKenzie), Ousamma El Jammal, Madani, Damien Poisblaud, Dr. Ibrahim Issid, Évangélos Soldatos, Phaedon Nicolaou et sa sœur Aikatérini, Évangélos Linardakis et Antonia Christophorakis, M. Stanislas Oula, Dr. Baïos Délis, père Konstantinos Chalkias, père Géorgios Saïtanis, père Ioannis Kapogiannis, père Konstantinos Katsouliéris, père Nicolaos Pagonis, père Panagiotis Salatellis, père Dionysios Michélatos, Panagiotis Katsoulis, Mohammed Benchaoui (“Sénateur”), le cordonnier Anastasios l’Arménien et le coiffeur Géorgios de Crète, Dr. Hanane Delouane, Évangélia M. et ses voisines, Dr. Cristina S., Elliot Bourgogne et sa mère, Nicoletta Minitsos, Dr. Grodzicky (bibliothéquaire à Marianopolis College) pour leurs perpétuels encouragements, ainsi que le bibliothéquaire du “Montreal General Hospital” pour la vente à un prix accessible de livres de médecine utilisés, les amis du CREM qui m’ont assistés lors d’un moment difficile, mais aussi pour mettre en place les premiers cours de soutien gratuits pour les candidats au concours de première année, Mme. Bulko pour m’avoir initié à l’“empathie” bibliographique, Nicolas le brancardier et Christie ainsi que tout le personnel des Urgences Gynécologiques au CHRO, sœur Dr. Sissoë, sœur Anne du Monastère St Grégoire d’Arménie à Bondaroy et père Giuseppe de l’Église Notre-Dame de Bazoches-les-Gallerandes pour le logement dans ces deux lieux à un prix raisonnable lors de cette rédaction, le père Nicolas Xénos, le Dr. Géorgios Kokkinos pour son infaillible amitié et aide avec le français et grecque ancien, toute la communauté grecque de Montréal qui n’arrêta de m’envoyer des mots d’encouragement par le biais de mes parents et de ma sœur, sans oublier les lettres de motivation de la part de leurs Saintetés, le Pape Benoît XVI et le Patriarche Bartholoméos Ier, et l’accueil fraternel du Mgr. Albert Rouet de Poitiers, du père Abbé Jean-Pierre Longeat et du frère Pascal à Ligugé, des sœurs de Solan avec mère Païssia, et celles de Périgueux, de Fontaine-Daniel avec mère Héléna, de las Ste. Croix à St. Benoît, et de Notre-Dame à Bouzy-la-Forêt.

Sur le plan international, je tiens à remercier tout particulièrement M. le Doyen Lakhdar Mokhtari (Oran, Algérie) et ses étudiants, notamment le Dr. Yassine Henni.

Je rends hommage au père Chrysostome Davaris, qui m'avait souligné, suite à une annonce d'un diagnostic qui devait bientôt l'emporter de ce monde, qu'il fallait avant tout enquérir de la capacité et volonté du patient à gérer de telles informations. Je remercie Dr. Florence Torremocha pour m’avoir prouvé qu’un silence “sépulcral” supérieur à trois minutes et demi, lors de l’annonce d’un diagnostic difficile, même en présence d’une dizaine d’étudiants, suivi de 35 minutes d’écoute attentive, était tout à fait “possible” et fortement recommandable, afin de laisser au patient le temps d’intégrer l’information et de réagir. Je remercie Dr. Cendrine Godet, non seulement de m’avoir soutenu et encadré lors des stages, mais de m’avoir intégré dans ses recherches sur l’Ambisome® nébulisé et, surtout, de m’avoir suggéré puis motivé à attaquer ce sujet sous la forme d’une thèse, étant donné que, selon elle, j’avais bien vécu les deux côtés (donneur et receveur) de cette approche empathique. Je remercie le Dr. Béatrice Birmelé pour m’avoir incité à établir une hypothèse de recherche, le Pr. Nematollah Jaafari pour m’avoir aidé à mieux la formuler, ainsi que le Dr Olivier Sultanim pour le terme “individualisation des items”. Je remercie mon médecin traitant que j’ai connu juste avant de passer mon concours de médecine, le Dr. François Rainex à Poitiers, qui est, lui aussi, figure d’exemple à suivre dans son approche centrée sur le patient.

Cette thèse n’aurait pas pu voir le jour sans l’aide des diverses secrétaires (dont Mmes. Pineau, Bordage et Maeva André à Poitiers, ainsi que Mme. Perrigouard et Mme. Vesna Bocquet à Tours), et surtout, sans les contributions bénévoles de la part de divers experts dans le domaine de la psychologie et de la statistique, la plupart ayant répondu par le biais de “Researchgate®” - je les remercie toutes et tous, dont: Dr Kyriakos Tsiappoutas, Dr. Monica Bouaru-Turinici, Pr Patrick Malone, Pr. Barbara Tabachnick, Pr. Karl L. Wuensch, Dr. John Uebersax, Pr. James Gaskin, Dr. Charles Zaiontz, Pr. Debra Roter (pour le partage aussi de ses données de recherche) et, notamment, Dr. Catherine Kirkwood et Pr. Walter F. Baile du MD Anderson au Texas pour la documentation, conseils et permission d’utilisation de séquences vidéo avec le regretté Pr. Robert Buckmnann.

“Last but not least”, c’est le psychologue et expert tant sur le sujet de l’empathie, que les statistiques conventionnelles mais aussi sur la nouvelle méthode d’ODA (“Optimal Data Analysis”), ayant travaillé à la faculté de médecine de “Northwestern University” à Chicago, le Pr. Paul R. Yarnold (connu par ses amis sous le nom de “Planet”) qui m’a aidé à prendre du recul par rapport à ce projet, et dont les conseils, suite à de nombreuses heures de discussion par téléphone, ont porté leurs fruits. Il a généreusement effectué de nouveau les calculs dans le logiciel d’ODA, qu’il avait crée avec son collègue, Robert C. Soltysik, afin de me rassurer de leur exactitude.

Je rends hommage à ceux que j’ai connus de ma famille, dont une partie n’est plus de ce monde: Sophia Farlékas - Darabaris (Viénakis), Nicolaos, Aikatérini, Aglaïa et Adamantios Darabaris, Georgios Nicolaou Michalakis (Stratégis), Zaphéria Mylona Michalakis, Nicolaos G. Michalakis, Angéliki Michalakis - Konstas, Panagiota Michalakis - Arméni, mes cousins et leur familles, Georgios N. Michalakis, Dr. Zaphéria Michalakis et ma tante Géorgia, Géorgia (Gorgô) et Constantina Arméni et leurs époux, mes neuveux et nièces, ma sœur Maria Michalakis- Svinos et son époux, et, par dessus tout,

mes parents, Konstantinos G. Michalakis (Stratégis) , et Sotiria Farlékas Darabaris (Viénakis)-Michalakis, εὐχαριστῶκαὶεὐγνωμονῶαὐτούς. La nouvelle force dans ma vie est mon épouse, Hélène E., et sa famille, qui n’ont pas arrêté de me donner espoir et encouragement aux moments difficiles.

À nous tous, chérie, et à notre amour... éternellement. Pour tous ceux qui m'ont formé ou accompagné et non diplômés d’une thèse en médecine, celle-ci est la leur aussi, pour y avoir contribué, d’une manière ou d’une autre.

CI T A T I O N S :

Ὁ τύπος διασώζει τὴν οὐσία. La forme sauvegarde l’essence.

(auteur inconnu)

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Διότι συμπάθησις ὑπὸ λύπης ἐοῦσα ὀχλεῖ, ἐξ ἑτέρου συμπαθείης τινὲς ὀχλεῦνται.

Parce que la sympathie à la détresse est source d’affliction,

certains sont attristés par la sympathie d’autrui.

Καταύδησις λυπεῖ. Une voix criante est cause de chagrin.

Ἢν γὰρ παρῇ φιλανθρωπίη, πάρεστι καὶ φιλοτεχνίη.

Car là où il y l’amour pour l’Homme il y aussi l’amour pour l’Art.

(Ἱπποκράτης de Cos, “Παραγγελίαι”, circa 400 a. C. n.)

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Il ne suffit pas de faire le bien, il faut encore le bien faire.

Ἀγαθοπραξίας ἀνεπάρκεια ἐν τῷ μὴ εὖ ἀγαθοπράττειν.

(Denis Diderot, 1713 - 1784, “Mémoires” ; traduction grecque par l’auteur)

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... ut mens nostra concordet voci nostræ.

... de manière que notre esprit soit en accord avec notre voix.

(Saint Benoît [de Nursie], “Regula“, chapitre XIX, 7 circa 540)

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Remember that all models are wrong ; the practical question is how wrong do they have to be to not be useful.

Souvenez-vous que tous les modèles sont incorrects ;

la question pratique est de déterminer à quel point ils le sont pour ne pas être utiles.

(George Box et Norman R. Draper, “Empirical Model-Building and Response Surfaces”)

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Il ne suffit pas de déterminer ce qui est bien, il faut le faire.

(Suzanne Rameix, “Contextualisme : Bernard Williams”, in “Fondements philosophiques de l’éthique médicale”, 1996)

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The single biggest problem in communication is the illusion that it has taken place.

L'unique problème majeur dans la communication

est l'illusion qu'elle a bien eu lieu.

(George Bernard Shaw)

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... τὴν δὲ παιδείαν, οὐσίαν εὐδαιμονίας οὖσαν αἰτίαν τ´ εὐβουλίας, οὐ μόνον ἔστιν εὑρεῖν ἢ οἴκῳ ἢ πόλει ἢ ἔθνει χρησίμην, ἀλλὰ παντὶ τῷ τῶν ἀνθρώπων γένει.

... mais l'instruction, qui est l'essence du bonheur et la source de la sagesse, ne limite pas son utilité à une maison, à une ville ou à un pays, mais l'étend au genre humain tout entier. ... ἀπόδειξιν δ´ ἰσχυροτάτην τοῦ τἀληθῆ

λέγειν φέρειν οἴονται μάλιστα μὲν τὴν αὑτῶν ἀναισθησίαν, ὡς πᾶν, ὅ τι περ ἂν αὐτοὺς ἐκφύγῃ, τοῦτο καὶ δὴ πάντως ἀνύπαρκτον ὂν παντελῶς καὶ ἄχρηστον

... la preuve la plus solide qu'ils croient apporter de la vérité de leur dire, c'est d'abord leur propre insensibilité — comme si tout ce qui leur échappait devait être nécessairement inexistant et impraticable !

(Πλούταρχος, de Chaeronea,Boeotia, “Περὶ Μουσικῆς”, circa 50 a. C. n.)

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“Μέτρον ἄριστον.” L’excellence (l’équilibre) réside dans la juste mesure.

DÉ D I C A C E S :

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