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Il vous arrive de faire des trous dans vos murs avec une perceuse à percussions, mais que se

passe-t-il si vous sectionnez un câble électrique noyé dans la maçonnerie ? C'est la catastrophe sur le plan financier ! Maçon + électricien

+ tapissier.

'où ce stéthoscope 50 Hz qui détectera la présence d'un câble dans le mur avant

per-LE PRINCIPE 100 W) est généralement suffisante pour « moucharder >> une gaine en-castrée.

çage ; un appareil peu onéreux et très facile à construire, que l'on rangera toujours à côté des mèches au carbure ...

Condition de base : il faut qu'un courant circule dans le câble à dé- · tecter, et ce afin qu'il rayonne un champ électromagnétique 50 Hz.

Par exemple, une intensité de 500 mA (= une ampoule de

Ce champ est reçu par un << capteur téléphonique >> à ventouse, prévu pour les amplis de téléphone. Ce signal est amplifié, puis redressé,

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~ Câble encastré per-turbateurs, cette électronique a une bande passante étroite, située entre 50 et 100Hz.

Sur le schéma de principe de la figure 1, nO!JS distinguons le cap-teur, le préampli micro (type passe-bas), un filtre passe-bande calculé pour 50 à 100 Hz, un << ampli de puissance "• Fedressement monoal-ternance avec filtrage {d'où une tension continue proportionnelle au signal), et enfin un détecteur de

re-dressé afin d'éclairer une LED.

LE CIRCUIT

ELECTRONIQUE (fiJ!. 21 Pas de transistors, seulement trois 741, mais alimentés <<comme il se

doit", c'est-à-dire en tensions

sy-métriques

+

9 et -9 V, d'où deux piles miniatures pour alimenter le circuit.

Le capteur téléphonique n'est autre qu'un bobinage sur un noyau de ferrite. Cet accessoire est toujours vendu équipé d'un câble blindé

<<hautes, fréquences (trace large et

floue).

Le filtre passe-bande, constitué par R4/C1 et Rs/Cz, arrange cela. Le signal est pur, mais affaibli.

Il est donc amplifié par Ch. Le gain est de J'ordre de 67 (= R1/R6). Notre photo d'oscilloscope repré-sente son signal de sortie ( 1 division

=

5 ms). Sa forme bizarre phéno-mène de<< battement"·

filtflllll

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Photo 2. - Forme du signal à la sortie de

Ch

Le détecteur de seuil CJ3 a sa ten-sion de référence fixée à

=

0,3 V

·par R11 et R10. Rappelons que, lors- Photo .J. Le câble du capteur est ligaturé au module.

que la tension sur c3 va atteindre ou dépasser ce 0,3 V, la tension de sortie de Ch va passer brutalement de - 8 V à + 8 V. Cela explique la diode 02 qui protège la LED, car certaines LED n'aiment pas du tout être soumises à une tension inverse de plus de 6 V ...

L'alimentation est banale ; c'est par la pile pour le - 9 V que l'on ali-mente la LED témoin 04.

II n'y a donc aucun réglage prévu.

LE CIRCUIT IMPRIME dïg .. \,

Facile à reproduire, ses particulari-tés sont les suivantes.

- Les trois CI ont la même orienta-tion.

- Un seul strap, pour le -9 V de CI,.

- Toutes les cosses d'entrées sont sur un même côté.

- Deux trous 0 1 ,5 mm (sur ce même côté) sont prévus pour liga-turer le câble blindé par un fil mé-tallique (facultatif).

- Attention au piège de la LED témoin verte

o .. :

son méplat n'est pas côté masse (puisque alimentée par une tension négative).

- Le trou de fixation 0 3,5 mm situé près des cosses E+ et E- a une plage de cuivre, afin de relier la masse au boîtier métallique par une entretoise métallique (obliga-toire!).

- Soudez les deux LED ( 0 5 mm) de telle sorte qu'il y ait 10 mm entre l'époxy et la base du bulbe (pour la mise en coffret).

- Respectez bien notre largeur de 42 mm maxi.

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lo

Jl{l!J.

Implantation des éléments et tracé du circuit imprimé à Fig. 3 l'échelle.

Photo 3. - Un circuit imprimé simple à reproduire.

SPARKOMATIC

s'implante en France. • •

près son implantation successive en Allema-gne, puis en Angle-terre et en Italie, Sparkomatic s'implante en France grâce à la ferveur de Michel Jau-bert, directeur de la société France-wood depuis plus de douze ans dans notre pays.

La société Sparkomatic apporte avec elle une connaissance très ap-profondie de la fabrication et de la distribution de l'autoradio.

Son marché et les quantités fabri-quées dans les différentes usines qu'elle dirige lui permettent des études qui offrent au public en gé-néral une qualité irréprochable de

<<design » et de qualité de

fabrica-tion.

Les modèles qui ont été choisis pour notre pays sont au nombre de neuf.

La particularité principale de cette présentation provient du fait que,

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contrairement à la coutume de notre pays, les puissances indiquées sur les appareils ou sur les haut-parleurs sont en RMS, d'où une surprise en général des acheteurs qui trouvent naturellement ces ap-pareils extrêmement puissants par rapport à leurs indications.

La plupart des modèles Sparkoma-tic choisis pour notre pays sont ,, nat nose ''• mis à part le SR 300.

La présentation des appareils est gris foncé mat, les appareils sont montés dans un <<clip>> de fixation, ce qui permet éventuellement de les démonter en quelques secondes avec deux clefs fournies. Tous les appareils Sparkomatic possèdent un lAC (ce qui permet une réception des stations sans bruit ou parasite).

SK 501 : H.P. portière type Slim-line, c'est-à-dire d'une épaisseur de 32 mm ; H.P. bicône, culasse haute fréquence en strontium de cobalt, diamètre 1 50 mm.

ASK 3010: spécialement étudié pour montage sur lunette arrière (dimensions 256 x 122 x 70) ; ré-gulateur désamplificateur pour graves et aigus.

ASK 3030: boîtier double puis-sance

+

de 50 W RMS, dimensions 256 x 116 x 70.

DALLAS

Lecteur dit Flatnose, PO-GO-FM monté en mesure DIN << E >>, Snap in, puissance 9 W par canal RMS, soit près de 25 à 30

w

musicales.

complète illumination de nuit.

Contrôle de tonalité de grave, indi-cateur stéréo et de fonctionnement de la cassette, avance rapide avec éject. Sélecteur de bande FM-PO-GO séparé. Contrôles de volume et de balance.·

Francewood

B.P. 23,92420 Vaucresson Tél.: 47.01.06.74

UNE

VOITURE

TELEGUIDEE

La télécommande a toujours fait partie d'un