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ANNEXE 1 : grille de tri

Catégorie Sous-catégorie Exemples de produits

Viande/Poisson

Œufs et produits à base

d'œufs œuf sans coquille, œuf entier, omelettes

Bœuf

Veau, vache laitière, taurillon pas forcément identifiés à l'étape du tri (à voir), car

l'information sera présente sur le tableau de bord du foyer

Poulet

restes de filets de poulet, cuisses, abats de poulets (foie) pas forcément identifiés à l'étape du tri (à voir), car l'information sera présente sur le tableau de bord du foyer

Viande "brute" (Pas

d'identification précise du type de viande, l'info° sera présente sur le tableau de bord du foyer sauf si on imagine qu'il peut y avoir plusieurs types de viande brute dans chaque repas) congelé mais non travaillé) et pas les coquilles

Porc, Lapin, Agneau, Mouton, Veau, vache laitière, taurillon, restes de filets de poulet, cuisses, Chair de crevette, gambas… Corps du mollusque

Produits à base de viande ou de poisson manufacturés, charcuterie

cordon bleu jambon, grignottes… plats à base de poulet comme les nuggets et "grignottes", wings, autres produits manufacturés à base de poulet y compris ceux avec un peu de fromage ou sauce dedans (type cordon bleu hallal, saucisses hallal) Poisson panés, surimi, poisson fumé, tarama, oeufs de lompe ou de saumon, anchois à l'huile, rollmops… Jambon, saucisson, boudin, pâté ou rillettes, lardons Poisson (produits frais ou

congelé mais non travaillé)

tout type de poisson, élevage ou pêché en pleine mer

Légumes Légumes et herbes aromatiques

Avocats, carottes, poireaux, potimarron, brocolis, chou-fleur, haricots verts, petits pois, concombres, salade, persil, coriandre,

ciboulette, gingembre frais…

Catégorie Sous-catégorie Exemples de produits

Tomates

Tomate entière, tomate en sauce (difficile à identifier…), si tomate mélangée à un plat, estimation sur le terrain d'une part du plat, sauce à base de tomate (ketchup, bolo) Pommes de terre Pommes de terre, frites, purée

Fruits

Fruits autres que pommes Poires, kiwis...

Pommes

pommes entières, quartiers, épluchures de pommes, mais pas restes de compote de pommes si manufacturés ou restes de tarte aux pommes

Fruits exotiques ou hors saison et fruits secs (hors oléagineux)

mangue, papaye, banane, ananas

framboise, clémentine, orange, fraise (c'est vraiment le tout début, celles qui sortent sont cultivées en serre), dattes et abricots secs

Riz/Pâtes/Céréales/

Légumineuses

Riz riz thaï, riz basmati…

Céréales de petit déjeuner grain de riz soufflés, corn flakes, céréales type miel pops, ou chocopops

Autres féculents et légumineuses

Pâtes, semoule, blé, boulgour, lentilles, pois chiches, haricots blancs, haricots rouges, pois cassés, fèves, flageolets, restes de pâte à tarte à base de farine, quinoa, farines de blé, de maïs, de riz…

Plats préparés avec mélange d'ingrédients

Produits traiteurs avec base de pâte à base de blé, plats préparés avec viande, poissons, ou légumes

pizzas, tartes salées, croques monsieur, burger, lasagnes, moussaka, beignet (type accras), pas forcément identifiés à l'étape du tri, car l'information sera présente sur le tableau de bord du foyer.

Crèmerie

Beurre et corps gras animaux Beurre, crème fraîche, saindoux, graisse de canard

Produits laitiers frais

yaourt au fruits, yaourts, fromage blanc,

semoule au lait, riz au lait, crème chocolat (plus ou moins identifiable si emballages)

Fromage Fromage y compris les croûtes

Produits sucrés (hors liquides)

Gâteaux / Pâtisseries faits

maison Tarte aux fruits, tarte au chocolat, Gâteaux Gâteaux / Pâtisseries

industriels ou artisanaux

Tarte aux fruits, tarte au chocolat, Gâteaux (fraisier, forêt noire…), éclairs au chocolat, viennoiseries…

Chocolat, confiseries et grignotage de goûter

tablette de chocolat, chocolat, bonbon, guimauve, pâtes à tartiner, chocolat en poudre… restes de barres de céréales, de barres sucrées, biscuits type petit écolier, petits beurre…

Autres produits conditionnés à

base de fruits compote, confiture, gelée de fruits

Pain Pain Baguette ou pain

Catégorie Sous-catégorie Exemples de produits

Pain industriel ou brioches, substitut de pain du petit déjeuner

Pain de mie, brioche, toasts… Biscottes, cracottes, triscottes, krisprolls… y compris tartine avec beurre ou confiture dessus

Liquides

Boissons alcoolisées vin, bière, alcool fort, cidre, cocktails…

Liquides non alcoolisés

Jus de fruit ou de légumes, smoothies, eau pétillante ou minérale, sirops à l'eau, thé ou café… restes de pâte à crêpes, soupe, sauces, gaspacho, restes de vinaigrettes, reste de sauce béchamel, de crème anglaise et autres laits (soja, chèvre, amande, riz, coco)

Lait de vache Lait de vache infantile, entier, écrémé, demi-écrémé, chocolat au lait du petit déjeuner Autres cornichons, pickles, oignons, bouillons cubes, levure, épices variés

produits potentiellement

évitables

Epluchures de légumes

épluchures de carottes, vert du chou-fleur, fanes de radis, fanes de carottes, vert du poireau, trognon du brocolis, cosse de petit pois... Toute épluchure de légumes

Epluchures de fruits consommables

épluchures de poires, kaki, prune, pêche, brugnons, abricots...

Restes de repas non consommables

Restes de repas non consommables

os, carcasse de poulet, couenne, gras de viande, peau de poisson, arêtes, têtes de poissons, coquille saint jacques, coquille d'huîtres, de moules, carapaces de crustacés…

coquilles d'œuf noyaux d'olives, de fruits, d'avocats, épluchures non consommables de fruits (ananas, kiwis, bananes, oranges, noix de coco, fruits de la passion, mangues), cosses de haricots, épluchures d'avocats, marc de café, thé

ANNEXE 2 : Méthode de calcul des GES

1ère étape : les résultats obtenus dans le cadre de l’étude DuALIne sur la base de données INCA2 (cf fichier % catégories aliments impact carbone) précisent la contribution en pourcentage des catégories d'aliments à l'impact carbone journalier de l'alimentation des adultes de sexe masculin (rapport complet duALIne, chapitre 3 sur l’impact carbone de l’alimentation, page 50/254, tableau 3.2).

A partir de cela, la contribution des 10 familles de produits choisies pour l’analyse a été estimée.

La colonne « estimation couverture » a pour but d’estimer la part des produits appartenant à la catégorie que analysée dans notre échantillon ; par exemple, pour la catégorie fruits et légumes, en étudiant les pommes, les pommes de terre et les tomates, 30% de cette catégorie ont été couverts.

Cette estimation est évidemment très subjective mais la règle a le mérite d’être explicite.

Au total, sur la base des estimations de couverture retenues, on aboutit au fait que les 10 familles analysées contribuent à 52% des émissions totales.

2ème étape : il s’agit d’extrapoler les émissions liées à la transformation et aux déchets sur la base de l'étude IFEN. On reconstitue donc dans un 1er temps, la totalité des GES à partir des émissions de la production corrigée à l’étape 1, du transport et de la préparation puis on en déduit les émissions de la transformation et des déchets sur la base des % de la méthode IFEN.

1er quintile 2e quintile 3e quintile 4e quintile 5e quintile Moyenne Pris en compte dans échantillon

Contribution en pourcentage des catégories d'aliments à l'impact carbone journalier de l'alimentation des adultes de sexe masculin dans l'étude INCA2, classé par quintiles d'impact carbone

Rapport complet duALIne, Chapitre 3, page 50/254, tableau 3.2

A chaque poste d’émission on normalise le poste d’émission que cela se rapproche du graphique IFEN : - Transport (déplacements en voiture pour effectuer les courses) : transport

- stockage et préparation sont groupés pour se rapproche de l’ensemble préparation des aliments chez soi et réfrigération des aliments chez soi

- Déchets : ce sont les émissions de GES produites par la production des aliments gaspillés : ils se retrouvent donc en production.

Mesuré lors de l’étude

Achat Stockage Préparation Déchets TOTAL

Normalisation du nom du poste/IFEN

Transport Stockage Préparation Production Transfor-mation

La transformation représente 20% dans le graphique IFEN, et les déchets 7%. On estime que cette part est fixe.

Les valeurs manquantes représentent 27% (voir le graphique IFEN au-dessus) :

-20 % pour la transformation : 7% de transformation alimentaire, 2% pour les emballages, 6% pour le transport de marchandises par la route, 5% pour le commerce de biens alimentaires ;

-7% pour les déchets : 1% pour l’incinération et 6% pour la mise en décharge.

On peut donc calculer les émissions totales : Emissions totales = Total corrigé = Total/(1-27%)

Il suffit ensuite de combler les données manquantes à partir du total : - Transformation = 20% du total

- Déchets = 7% du total.

ANNEXE 3 : questionnaire auprès des familles témoins

Questionnaire post-opération des ménages témoins

4 familles ont répondu à ce questionnaire en ligne adressé dans le mois suivant la fin de l’opération.

1. Pour quelles raisons avez-vous accepté/souhaité participer au départ ?

J'ai souhaité participer à cette étude parce que je fais déjà très attention à ce que je consomme et à ce que je jette, mais que j'étais consciente qu'il y avait encore certaines choses à améliorer.

Pour voir quels progrès, quelles habitudes je pouvais améliorer au quotidien pour moins gaspiller.

Mieux connaitre notre production de déchets alimentaires.

Le thème me semble intéressant et aller dans le sens de notre époque.

2. Comment les membres de votre famille (s'il y a lieu) ont-ils vécu ce choix ?

Je les ai interrogés avant d'accepter de participer à l'étude. Ils étaient d'accord donc tout le monde a joué le jeu très volontiers.

/

Bien vécu.

Toute la famille est intéressée par les possibilités de réduire notre impact sur l'environnement, notamment sur les aspects concernant la prévention et la gestion des déchets

Pas très facilement

3. Au départ, quelle est la quantité de déchets alimentaires que vous pensiez produire ?

50.0% 50.0%

0.0% 0.0%

Très peu Peu Moyenne Beaucoup

0%

4. Pour quelles raisons pensiez-vous produire ces volumes de déchets ?

Notamment parce que je jette rarement de la nourriture. Les restes de repas sont systématiquement utilisés ou transformés dans les repas suivants. Parfois, certains fruits se gâtent avant consommation, mais je n'achète que ce dont nous avons besoin donc ça reste très rare.

J'ai toujours été habituée à faire attention et à gaspiller le moins possible, jeter des aliments est pour moi un geste qui n'est pas anodin.

Nous sommes déjà bien sensibilisé à la prévention des déchets et faisons attention à gaspiller le moins d'aliments possible pour des raisons économiques et éthiques.

Produits de l’élaboration de la nourriture

Je n'ai pas compris que l'analyse ne comporte pas d’intérêts sur l'emballage, car la déduction est que plus on mange industriel mois il y a de déchets de préparation.

5. Comment avez-vous trouvé l’opération au quotidien entre sa facilité de mise en œuvre et l’intérêt pour vous ?

6. Facile à mettre en œuvre :

7. Intéressant :

8. Pouvez-vous préciser l'intérêt de cette opération pour vous ?

Mon intérêt pour cette étude était d'éventuellement balayer des certitudes quant à notre comportement vis à vis des déchets, et aussi apprendre à moins en produire.

C'est intéressant de voir ce qui est considéré comme du gaspillage alimentaire, le fait de mettre ces déchets à part donne une idée de la quantité de ce qui est gaspillé

Pour mieux connaitre notre production de déchets alimentaire.

Mieux connaitre la méthodologie pour ce type de mesures.

-

0.0%

0.0%

25.0%

50.0%

25.0%

1

2

3

4

5

100%

80%

60%

40%

20%

0%

Pourcentage

9. Il était difficile de ne rien omettre parmi les déchets alimentaires, en particulier les liquides ou les produits mis à la poubelle par réflexe : quelle part de l’ensemble de vos déchets alimentaires estimez-vous n’avoir pas remis (cela nous permettra de réajuster les moyennes et projections nationales) ?

Légende Nom

10. Vous attendiez-vous à ces résultats ? Avez-vous été surpris dans un sens ou l’autre ?

J'ai été plus surprise par les chiffres concernant les émissions de gaz à effet de serre que par le volume de déchet qui me paraissait difficilement compressible. D'autant plus que la distance entre le magasin dans lequel nous allons et notre maison a été prise en compte dans sa totalité, alors que ce magasin est sur la route du retour du travail pour mon mari. Il n'y a donc pas de dépense d'essence en plus pour aller faire des courses par rapport aux dépenses journalières obligatoires pour aller travailler.

Oui je m'attendais à ces résultats, cependant j'ai été surprise sur le fait que les épluchures étaient considérées comme du gaspillage alimentaire.

Ce n'est pas la vision que j'avais du vrai gaspillage alimentaire.

Les résultats ont été plus importants (production de déchets, gaspillage économique) qu'attendus.

Nous pensions être déjà assez vertueux, et les résultats ont montré que nous avions encore une grosse marge de manœuvre.

-

11. Quels sont par ordre croissant les 3 chiffres de votre bilan individuel qui vous ont marqué ? 187 kg/an de déchets alimentaire

146 km pour faire les courses

10 h à table par semaine alors que la moyenne INSEE est de 16h20

Le nombre de kg d'épluchures potentiellement évitables, le peu de temps passé lié à l'alimentation et le montant du gaspillage alimentaire par an.

Le coût du gaspillage

La production (en kg) de déchets La quantité de déchets encore évitable .

12. Comment analysez-vous le fonctionnement de votre foyer autour de vos pratiques alimentaires et des déchets qu’elles génèrent ?

Je pense que j'ai peu de déchets alimentaires par rapport aux aliments que j'achète. Il est vrai que je pourrai cuisiné plus les légumes sans les éplucher, mais pour cela, il faudrait consommer bio tout le temps. Or financièrement, ce n’est pas toujours possible. Enlever les épluchures permet tout de même d'enlever une partie des pesticides de contact.

Et,

Nous mangeons trop vite !

Je fais attention à ce que j'ai dans mon frigo et à ce que j'achète, comme je suis seule c'est plus facile à gérer que lorsqu'on est dans un foyer avec par exemple plusieurs enfants.

Nous faisons attention, cela fait partie de nos principe.

par contre, nous ne sommes pas monomaniaque sur ces gestes.

Nous aimons nous faire plaisir et souhaitons-nous laisser une liberté dans le choix de nos menus et pouvoir changer d'avis au dernier moment.

.

13. Vous avez bien voulu essayer la mise en place de nouveaux gestes. Pourriez-vous les rappeler et donner votre sentiment sur sa facilité de mise en œuvre ?

Geste 3 : Mieux consommer en fonction en distinguant bien la date limite de

consommation (DLC) de la date limite d’utilisation optimale (DLUO) 33,3% 0,0% 0,0% 66,7% 3

Geste 4 : Mieux ranger son frigo 33,3% 0,0% 33,3% 33,3% 3

Gestes 10 : Cuisiner les restes / Accommoder différemment les plats 25,0% 25,0% 25,0% 25,0% 4

24. Qu’est-ce qui vous a particulièrement marqué dans la mise en place de ces gestes ? Tous les gestes que j'ai cochés "très facile" sont ceux que je pratique quotidiennement depuis toujours.

En ce qui concerne les épluchures : voir ma réponse précédente.

Difficile de congeler lorsqu'on n'a pas de congélateur à disposition ! La cuisine/consommation des épluchures n'est pas très attirante et demande du temps et des équipements à disposition (ex : un four).

Certains gestes demandent que nous changions radicalement nos habitudes (recettes, façon de cuisiner) et même notre culture vis à vis des produits (les fanes par exemple) qui ne nous semblent pas toujours des parties consommables.

.

25. Durant l’opération avez-vous changé d’autres habitudes en dehors de ces gestes (manière de faire les courses, déroulement des repas, etc) ?

On essaie de manger plus lentement...

Oui je suis allée acheter des légumes dans une biocoop.

La manière de préparer les menus en fonctions des parties des légumes que nous achetons.

Lors des achats, nous réfléchissons à la manière d'accommoder la totalité des produits.

.

26. Quels sont les 3 principaux résultats qui vous ont marqués ?

Néant (j'ai l'impression d'avoir déjà répondu à la question dans les paragraphes précédents)

Lors de la deuxième phase je me suis retrouvée à cuisiner pour deux pendant quelques jours, les quantités d'épluchures ont augmenté ce qui fait qu'entre la phase 1 et la phase 2 les résultats globaux étaient moins bons.

La baisse de production de déchets

La baisse des déchets (épluchures notamment) potentiellement évitables.

.

27. Avez-vous été surpris par vos résultats après la mise en place des gestes ?

Découverte des résultats phase 2. Avant de répondre merci de parcourir votre fiche individuelle "bilan phase 2".

Légende Nom

1 Pas du tout

2 Un peu

3 Beaucoup

4 Enormément

28. Pour quelles raisons avez-vous été surpris(e) ?

Rien qu'en réduisant les épluchures, on a diminué notre gaspillage de 64 kg.

/

29. Pensez-vous continuer à appliquer certains de ces gestes ?

30. Si oui, quels gestes pensez-vous appliquer et pour quelles raisons ?

Tant qu'il est possible d'acheter des produits bio ou au moins cultivé en France à des prix correcte, je continuerai à limiter les épluchures. Pour le reste, il n’y a pas grand-chose à améliorer... je n'aime pas gaspiller !

Manger les épluchures pour certains légumes.

Le dosage des féculents car très simple, il suffit de peser ou mesurer.

.

31. Si non, pour quelles raisons ne souhaitez-vous pas appliquer de gestes par la suite ?

La cuisine des fanes : geste qui sera appliqué occasionnellement car cela demande de changer notre perception vis à vis des parties habituellement jetées.

Pourtant certaines recettes expérimentées sont très simples et seront reproduites.

.

L’ADEME EN BREF

L'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie (ADEME) participe à la mise en œuvre des politiques publiques dans les domaines de l'environnement, de l'énergie et du développement durable. Afin de leur permettre de progresser dans leur démarche environnementale, l'agence met à disposition des entreprises, des collectivités locales, des pouvoirs publics et du grand public, ses capacités d'expertise et de conseil. Elle aide en outre au financement de projets, de la recherche à la mise en œuvre et ce, dans les domaines suivants : la gestion des déchets, la préservation des sols, l'efficacité énergétique et les énergies renouvelables, la qualité de l'air et la lutte contre le bruit.

L’ADEME est un établissement public sous la tutelle conjointe du ministère de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie et du ministère de l’Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche.

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