CHAPITRE 01 : GENERALITE SUR LES TOITURES VEGETALISEE
7. Comment améliorer le confort thermique et diminuer sa facture
énergétique ?
Il est possible de diviser par 2 ou plus sa facture
énergétique et d’améliorer son confort grâce à une rénovation thermique globale, efficace
et avec un recours aux énergies renouvelables.
À travers solutions de sobriété, l’efficacité énergétiques.
Voici quelques conseils pour améliorer le confort thermique de votre logement en été et en hiver :
7.1. Comment améliorer le confort thermique de son habitation en hiver ?
1. Chauffer par rayonnement si possible (planchers chauffants, radiateurs/panneaux rayonnants) permet d’obtenir une température opérative agréable.
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2. Bien isoler son habitation notamment les combles, mais aussi les murs, les surfaces vitrées, les sols et plafonds, ce qui permet :
D’éviter l’effet de paroi froide (rayonnement froid des murs).
De conserver une température constante et uniforme à l’intérieur et ainsi limiter les mouvements d’air.
3. Contrôler les mouvements d’air :
Avoir une maison bien étanche à l’air pour éviter les courants d’air et les entrées d’air froid par jours venteux.
Avoir un système d’aération générale (entrée d’air dans le séjour ou la chambre et sortie au niveau de la cuisine, salle de bain ou WC) bien conçu pour éviter les désagréments.
4. Évacuer l’humidité : il est impératif d’évacuer la vapeur d’eau due à l’activité des occupants, car une humidité supérieure à 70% provoque un inconfort thermique important. Pour évacuer l’humidité sans perdre trop de chaleur, il est important d’utiliser une VMC possible double flux bien réglé.
7.2. Comment améliorer le confort thermique de son logement en été ?
En été, nous voulons rafraichir le logement au maximum. Nous pouvons pour cela :
1. Limiter les apports solaires (rayonnement solaire dans la maison) sa concerne Surface vitrée ; choix du vitrage ; protections solaires.
2. Sur ventilé la nuit pour amener de l’air.
3. Utiliser des matériaux ayant un déphasage adapté pour éviter une montée en température insoutenable dans l’après-midi.
4. Apporter de l’inertie à votre habitation : vous pouvez limiter l’influence des variations de température extérieure sur la température intérieure de votre maison – c’est-à-dire que votre maison peut emmagasiner de la fraicheur la nuit pour limiter l’élévation de température dans la journée.
5. En dernier ressort, à éviter, car c’est très énergivore, il est possible de climatiser ou de rafraichir son logement.19
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DARMOUCHI Lwiza, confort thermique intérieur des constructions par les procèdes passif :option architecture et technologie. Université de Jijel. 2015. P 20.
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Conclusion
L’ambiance thermique est un facteur de conditions de travail jouant un rôle important sur la Santé, la sécurité et le confort des travailleurs. Cela concerne aussi bien les situations de chaleur que de froid. La Neutralité thermique elle correspond à une zone d’ambiance thermique pour laquelle on ne mobilise aucun Mécanisme de lutte contre le froid ou le chaud.
Le confort thermique peut être atteint par une combinaison de paramètres qu’il faut intégrer dans la conception du bâtiment projeté. L’amélioration de la performance thermique peut se faire par l’utilisation de matériau de bonne isolation thermique.
Il existe plusieurs facteurs variables qui interviennent dans la notion de confort. Il y a ceux qui sont relatifs à l’individu et d’autres qui sont relatifs à l’ambiance climatique environnementale.
L'intégration de la végétation dans l'architecture contemporaine représente une occasion de conception pour les concepteurs et les architectes. Par ailleurs, dans une perspective de végétalisation de l’espace urbain, plusieurs procédés offrent maintenant la possibilité de verdir les surfaces urbaines telles que les toitures et les parois verticales des constructions. La conception de ces dernières peut être plus intéressante et plus bénéfique, si elle est conçue et réalisée correctement. Ce qui fait l’objet du chapitre suivant.
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Introduction :
Le confort thermique intérieur et le rafraichissement passif du bâtiment dus à l’installation d’une toiture végétalisée ont été largement traités à travers le monde pour différent climat et selon différentes méthodes.
Afin de considérer l’action thermique de ce développement écologique, justes maitres a étudié son impact direct par l’analyse des températures de l’air intérieur. Alors que la plupart d’entre eux, ont analysé les températures surfaciques intérieures et extérieures de la toiture et les balancements thermiques diurnes des surfaces des toits, les gains et pertes de chaleur ainsi que les flux de chaleurs à travers le toit pouvant effectue le confort thermique intérieur, mais aussi les besoins pour la climatisation.
Les paramètres inclinés se restituant au rafraichissement passif intérieur ont été sujet à d’autre instruction telle que le rafraîchissement de l’air extérieur qui a un impact non uniquement sur l’effet d’ilot de chaleur urbain, mais aussi sur les mouvements thermique da la surface externe de la toiture. D’autres par, la température et l’humidité relative de l’air dans la formation de végétation ainsi l’évapotranspiration pourvue par la toiture végétalisée n’a pas été économisées des recherches, puisqu’elles procédassent sur le rafraichissement intérieur
Cette histoire a pour but, l’analyse de divergentes conséquences de recherches examine le rafraichissement passif des bâtiments par les toitures végétalisées. La composition de ce chapitre permet de classifier les éléments nets à ces toitures ainsi que les conditions externes les plus influents sur leur efficacité thermique et sur le confort thermique intérieur. En plus de déterminer une épistémologie pour la régulière information.