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Ajustement aux stratégies d’investissement du HLTF

Dans le document Investir dans la santé pour l Afrique (Page 64-72)

La documentation

du HLTF a présenté des valeurs d’investissement de 2009 à 2015, une période de cinq ans. L’argumentation en faveur de l’investissement en Afrique envisage une période quinquennale allant de 2011 à 2015. Pour cette raison, un ajustement a dû être porté aux données initiales.

Ramener une période de sept ans à cinq ans

La documentation

du HLTF a fourni des informations sur les niveaux d’investissement requis sur une période de sept ans allant de 2009 à 2015 (Tableau A4.1). Les valeurs des deux scénarios utilisés dans l’argumentation en faveur de l’investissement en Afrique ont été surlignées.

Tableau A4.1 : Scénario d’investissement originel du HLTF : 2009 à 2015

En ramenant la période de sept ans à une période d’investissement de cinq ans, les équipes de budgétisation (MBB et OMS) font des ajustements qui prennent en compte les fl ux d’APD en 2009 et 2010 (Tableau A4.2).

2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 Total Total (en milliards de dollars US)

Approche normative de l’OMS 11,14 16,05 21,01 24,72 24,11 25,82 27,96 150,81

Immobilisations 6,79 9,53 12,59 12,90 7,75 4,81 1,50 55,89

Dépenses courantes 4,35 6,52 8,41 11,82 16,36 21,00 26,46 94,93

Scénario global MBB 9,96 13,25 18,99 18,71 21,06 47,03 43,47 172,47

Immobilisations 7,84 8,91 11,64 9,28 9,05 32,31 26,47 105,51

Dépenses courantes 2,11 4,34 7,35 9,43 12,00 14,72 17,00 66,96

Scénario moyen MBB 3,19 4,07 5,15 9,96 15,27 21,40 30,15 89,19

Immobilisations 1,88 1,80 1,93 4,78 7,32 10,98 17,07 45,75

Dépenses courantes 1,31 2,27 3,22 5,18 7,95 10,42 13,09 43,44

Scénario minimal MBB 2,00 3,10 4,79 6,01 7,67 11,27 13,44 48,29

Immobilisations 1,29 1,49 1,90 2,00 2,07 4,60 5,69 19,05

Dépenses courantes 0,71 1,61 2,89 4,02 5,60 6,66 7,75 29,24

Par habitant (en $US)

Approche normative de l’OMS 15,84 22,25 28,41 32,61 31,05 32,45 34,32 196,92

Immobilisations 9,66 13,21 17,03 17,02 9,98 6,05 1,84 74,79

Dépenses courantes 6,18 9,03 11,38 15,6 21,06 26,4 32,48 122,13

Scénario global MBB 13,38 17,8 25,51 24,05 27,07 58,11 53,71 219,63

Immobilisations 10,54 11,97 15,64 11,93 11,64 39,92 32,71 134,35

Dépenses courantes 2,84 5,83 9,87 12,13 15,43 18,19 21 85,29

Scénario moyen MBB 4,28 5,47 6,92 12,81 19,63 26,44 37,26 112,81

Immobilisations 2,52 2,42 2,59 6,15 9,4 13,57 21,09 57,74

Dépenses courantes 1,76 3,05 4,33 6,66 10,22 12,87 16,17 55,06

Scénario minimal MBB 2,69 4,17 6,44 7,69 9,82 13,78 16,44 61,03

Immobilisations 1,74 2 2,56 2,55 2,65 5,63 6,96 24,09

Dépenses courantes 0,95 2,17 3,89 5,14 7,16 8,15 9,48 36,94

Tableau A4.2 : Scénarios d’investissement HLTF mis à l’échelle : 2011 à 2015

Les valeurs moyennes de l’investissement par habitant sur la période de cinq ans étaient des moyennes arithmétiques des valeurs appropriées présentées dans le Tableau A4.2 ci-dessus.

Facteurs de mise à l’échelle des améliorations des infrastructures sanitaires

La documentation

du HLTF a fourni des informations sur les améliorations des infrastructures sanitaires au plan mondial lorsque les différentes stratégies sont mises en œuvre. Etant donné la focalisation de l’argumentation en faveur de l’investissement en Afrique sur l’Afrique subsaharienne, un facteur de mise à l’échelle, basé sur le nombre total de vies sauvées, a été utilisé pour estimer le nombre d’établissements sanitaires et d’agents de santé supplémentaires qui pourraient résulter de tels investissements sur le continent. Les hypothèses et les facteurs de mise à l’échelle sont notés ci-dessous.

Tableau A4.3 : Stratégie d’investissement normatif de l’OMS

* Valeurs calculées en utilisant le ratio/facteur de mise à l’échelle constant de 80 % du total de vies sauvées en Afrique subsaharienne.

Tableau A4.4 : Stratégie d’investissement moyen MBB

* Valeurs calculées en utilisant le ratio/facteur de mise à l’échelle constant de79 % du total de vies sauvées en Afrique subsaharienne.

Afrique subsaharienne Au niveau mondial Ratio/Echelle

Vies sauvées 3 750 000 4 710 000 80 %

Etablissements de santé 77 100* 96 838 80 %

Agents de santé 2 767 969* 3 476 569 80 %

2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 Total Total (en milliards de dollars US)

Approche normative de l’OMS 26,17 29,95 27,27 27,76 28,47 139,63

Immobilisations 15,68 15,63 8,77 5,17 1,53 46,78

Dépenses courantes 10,48 14,32 18,51 22,58 26,94 92,83

Scénario moyen MBB 4,91 9,01 16,04 23,66 30,15 83,77

Immobilisations 1,84 4,32 7,69 12,14 17,07 43,06

Dépenses courantes 3,07 4,69 8,35 11,52 13,09 40,72

Par habitant (en $US)

Approche normative de l’OMS 35,38 39,51 35,11 34,88 34,94 179,82

Immobilisations 21,21 20,62 11,29 6,50 1,87 61,49

Dépenses courantes 14,17 18,89 23,83 28,38 33,07 118,33

Scénario moyen MBB 6,64 11,89 20,65 29,74 37,02 105,93

Immobilisations 2,49 5,70 9.90 15,26 20,95 54,30

Dépenses courantes 4,15 6,18 10,75 14,48 16,07 51,63

Afrique subsaharienne Au niveau mondial Ratio/Echelle

Vies sauvées 3 890 333 4 920 353 79 %

Etablissements de santé 58 268* 73 695 79 %

Agents de santé 2 044 566* 2 585 894 79 %

n

oTes de fin de documenT

1. Eds Kinney MV, Lawn JE, Kerber KJ, Science in Action – Saving the lives of Africa’s mothers, newborns and children, ASADI, 2009.

2. OMS. The World Health Report 2010 - Health systems financing: the path to universal coverage, Genève, Organisation mondiale de la santé, 2010.

3. Membres de l’Harmonisation pour la santé en Afrique : Banque africaine de développement (BAD), Agence de Coopération internationale du Japon (JICA), Programme commun des Nations Unies sur le VIH/Sida (ONUSIDA), Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA), Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF), Agence américaine pour le développement international (USAID), Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Banque mondiale.

4. Les références à l’Afrique dans le document, dans ce contexte, renvoient à ces pays compris comme étant géographiquement situés en Afrique subsaharienne. Les termes Afrique et Afrique subsaharienne sont utilisés de manière interchangeable.

5. L’Equipe spéciale de haut niveau sur le Financement international novateur pour les systèmes de santé. L’Equipe spéciale a été lancée en septembre 2008 pour aider à renforcer les systèmes de santé dans les 49 pays les plus pauvres du monde. Présidée par l’ancien Premier Ministre britannique Gordon Brown et le Président de la Banque mondiale, Robert Zoellick, l’Equipe spéciale a publié ses Recommandations en mai 2009, identifiant un menu de mécanismes de financement novateurs pour compléter l’aide traditionnelle et combler les déficits financiers qui compromettent l’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) liés à la santé. L’Equipe spéciale a achevé son travail en septembre 2009 et, au cours de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York, a lancé de nouvelles initiatives pour mobiliser plus d’argent et utiliser l’argent de manière plus efficace afin d’améliorer les soins de santé pour les femmes et les enfants à travers le monde. Tous les rapports correspondants peuvent être retrouvés à cette adresse : www.internationalhealthpartnership.net/en/taskforce/

taskforce_reports. Les chiffres des investissements issus du HLTF et ajustés pour l’Afrique subsaharienne reflètent les moyennes des pays suivants : Bénin, Burkina Faso, Burundi, République centrafricaine, Tchad, Comores, République démocratique du Congo, Côte d’Ivoire, Erythrée, Ethiopie, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Kenya, Liberia, Madagascar, Malawi, Mali, Mauritanie, Mozambique, Niger, Nigeria, Rwanda, São Tomé et Principe, Sénégal, Sierra Leone, Somalie, Tanzanie, Togo, Ouganda, Zambie, Zimbabwe.

6. La Déclaration de Paris, adoptée le 2 mars 2005, est un accord international auquel plus de 100 ministres, chefs d’agences et autres responsables principaux ont adhéré et par rapport auquel ils ont engagé leurs pays et leurs organisations à continuer à accroître les efforts d’harmonisation, d’alignement et de gestion de l’aide en vue de résultats avec une série d’actions et d’indicateurs susceptibles d’être suivis. La Déclaration appelle, en particulier, à des progrès conjoints vers une efficacité renforcée de l’aide à travers les éléments suivants : i) Appropriation – les pays en développement établissent leurs propres stratégies pour la réduction de la pauvreté, améliorent leurs institutions et combattent la corruption ; ii) Alignement – les pays donateurs s’alignent derrières ces objectifs et utilisent les systèmes locaux ; iii) Harmonisation – les pays donateurs coordonnent, simplifient les procédures et partagent les informations afin d’éviter une duplication ; iv) Résultats – les pays en développement et les donateurs changent d’axe en se focalisant sur les résultats du développement et les résultats sont mesurés et, v) Responsabilisation mutuelle – les donateurs et les partenaires sont comptables des résultats de développement. Le Programme d’action d’Accra (AAA) a été élaboré en 2008 et s’appuie sur les engagements arrêtés dans le cadre de la Déclaration de Paris. C’est, en particulier, un programme visant à accélérer les progrès grâce aux éléments suivants : i) Prévisibilité – les donateurs fourniront des informations 3 à 5 ans à l’avance sur leur aide programmée pour les pays partenaires ; ii) Systèmes des pays – les systèmes des pays partenaires seront utilisés pour fournir l’aide en première option, plutôt que les systèmes des donateurs

; iii) Conditionnalité – les donateurs passeront de l’appui reposant sur des conditions prescriptives concernant la façon dont l’argent de l’aide devra être dépensé et le moment où il devra être dépensé aux conditions basées sur les propres objectifs de développement du pays en développement ; iv) Déliement – les donateurs relâcheront les restrictions qui empêchent les pays en développement d’acheter les biens et services dont ils ont besoin auprès des personnes et des lieux où ils peuvent obtenir la meilleure qualité au prix le plus bas.

7. OMS. The World Health Report 2010 - Health systems financing: the path to universal coverage, Genève, Organisation mondiale de la santé, 2010.

8. Généralement parlant, les OMD 4 (Réduire la mortalité infantile), 5 (Améliorer la santé maternelle) et 6 (Lutter contre le VIH/sida, le paludisme et d’autres maladies) sont désignés comme les OMD de la santé. Mais il est clair que l’atteinte d’autres OMD à côté de ceux-ci aura un impact positif important sur la santé des populations en Afrique.

9. OMS, The World Health Report 2008 - primary Health Care (Now More Than Ever), Genève, Organisation mondiale de la santé, 2008.

10. L’Union africaine a appuyé les questions de santé dans le cadre du développement d’initiatives comme le Plan d’action de Maputo (également connu comme le Plan d’action sur les droits de santé sexuelle et reproductive) et la Campagne sur l’accélération de la réduction de la mortalité maternelle en Afrique (CARMMA), entre autres.

11. En 2007, la moitié des pays africains ont réservé au moins 5 % de leur revenu national aux soins de santé. Source : Le Fonds mondial de la lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme, Trends in Development Assistance and Domestic Financing for Health in Implementing Countries, troisième réapprovisionnement (2011-2013). Les engagements existants des chefs d’Etat africains ont cherché à affecter au moins 15 % du budget annuel national à l’amélioration du secteur de la santé.

12. Signalé dans le Rapport sur la santé dans le monde (OMS) – www.who.int/mediacentre/news/releases/pr84/en/index.html 13. Eds Kinney MV, Lawn JE, Kerber KJ, Science in Action – Saving the lives of Africa’s mothers, newborns and children, ASADI, 2009.

14. OMS, The world health report 2005 – Make every mother and child count. Genève, Organisation mondiale de la santé (2005).

15. Le seuil du niveau où les coûts des soins dépassent la capacité de paiement d’un ménage est arbitraire ; un seuil souvent utilisé est celui de 40 % des dépenses non alimentaires annuelles.

16. Le Fonds mondial de la lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme, Trends in Development Assistance and Domestic Financing for Health in Implementing Countries, Troisième réapprovisionnement (2011-2013).

17. Pour de plus amples informations, veuillez vous référer à : www.who.int/pmnch/media/press_materials/pr/2009/20090922_

worldleadersconsensus/en/index.html

18. Nations Unies. (2010). Every Woman, Every Child: Summary of commitments for women's and children's health.

19. Le Fonds mondial de la lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme, Trends in Development Assistance and Domestic Financing for Health in Implementing Countries, Troisième réapprovisionnement (2011-2013).

20. Ibid.

21. Le Fonds mondial de la lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme, Trends in Development Assistance and Domestic Financing for Health in Implementing Countries, Troisième réapprovisionnement (2011-2013).

22. Banque mondiale, Africa Development Indicators, Banque mondiale, 2007.

23. Le travail récemment publié dans le journal the Lancet (avril 2010 – Murray C. et al.) suggère qu’il est possible que les taux de mortalité aient en réalité baissé plus vite que ce qu’il est convenu à ce jour.

24. Countdown to 2015, Tracking progress in Maternal, Newborn and Child Health – The 2010 Report, UNICEF, 2010.

25. Countdown to 2015, Tracking progress in Maternal, Newborn and Child Health – The 2010 Report, UNICEF, 2010.

26. Ibid. Taux de réduction annuel moyen observé en (%). Seuls les pays présentant une réduction de la mortalité de plus de 1 % sont indiqués.

27. Ibid.

28. Ibid.

29. Ibid.

30. BAD / UNICEF / UNFPA/ ONUSIDA / OMS / Banque mondiale. Ouagadougou declaration on primary health care and health systems in Africa: achieving better health for Africa in the new millennium. Brazzaville; BAD / UNICEF / UNFPA / ONUSIDA / OMS / Banque mondiale, 2008.

31. OMS. Framework for the implementation of the Ouagadougou Declaration on primary health care and health systems in Africa:

achieving better health for Africa in the new millennium. AFR/RC59/4. Cinquante- neuvième Session du Comité régional de l’OMS pour l’Afrique. Brazzaville, 2009.

32. OMS, The World Health Report 2008 - primary Health Care (Now More Than Ever), Genève, Organisation mondiale de la santé, 2008.

33. Sachs, J.D. et al, Macroeconomics and Health: Investing in Health for Economic Development, Report of the Commission on Macroeconomics and Health, présidé par Jeffrey D. Sachs et présenté à Gro Harlem Brundtland, Directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, 2001. Ce rapport ainsi que quelques autres publications ont été utilisés comme source pour une partie du matériel du présent document et dans d’autres sections de l’Argumentation en faveur de l’investissement en Afrique.

34. D. E. Bloom, D. Canning et D. T. Jamison. Health, Wealth and Welfare, Finance and Development 41: 1 10 – 15, 2004.

35. Borghi J et al., Mobilising Financial Resources for Maternal Health, Lancet, 368: 1457-1465, 2006.

36. Editorial du Lancet, Gender equity is the key to maternal and child health, The Lancet, Volume 375, numéro 9730, page 1939, 5 juin 2010.

37. D. E. Bloom, D. Canning et D. T. Jamison. Health, Wealth and Welfare Finance and Development, 41: 1 10 – 15, 2004.

38. Sachs, J.D. et al (2001).

39. William Jack et Maureen Lewis, Health Investments and Economic Growth: Macroeconomic Evidence and Microeconomic Foundation, In Commission on Growth and Development, Health and Growth, ed Michael Spence et Maureen Lewis, 2009.

40. D. E. Bloom, D. Canning et J. Sevilla, The Effect of Health on Economic Growth: A Production Function Approach, World Development 32: 1 – 13, 2004.

41. Jamison, D. T., L. J. Lau et J. Wang., Health’s Contribution to Economic Growth in an Environment of Partially Endogenous Technical Progress, In Health and Economic Growth: Findings and Policy Implications, ed. G. Lopez-Casasnovas, B. Rivera et L.

Currais, 67-91. Cambridge, MA: MIT Press. 2005. Dans leur document, les auteurs notent que le taux moyen de survie des adultes a augmenté de 707 pour 1000 en 1965 à 796 en 1990. La hausse estimée qui en résulte au niveau des revenus de 1990 implique alors, en moyenne, une contribution de la bonne santé au taux de croissance des revenus de l’ordre de 0,23 % par an pendant cette période. Ce qui donne, en tout, 11 % de croissance.

42. Sachs, J.D. et al (2001).

43. Gallup, John Luke et Jeffrey D. Sachs. 2001, “The Economic Burden of Malaria.” American Journal of Tropical Medicine and Hygiene 64 (1 supplément, janvier) : 85–96.

44. Moreland S, Talbird S., Achieving the Millennium Development Goals: The Contribution of Fulfilling Unmet Need for Family Planning. Futures Group, POLICY Project: Washington DC. 2006.

45. OMS. The World Health Report 2010 - Health systems financing: the path to universal coverage, Genève, Organisation mondiale de la santé, 2010.

46. OMS, The world health report 2000 – Health Systems, improving performance, Genève, Organisation mondiale de la santé (2000).

47. Unicef, Narrowing the Gaps to Meet the Goals, 7 septembre 2010.

48. Kirigia, J. et Soucat, A., Health Financing in Africa: Where Are We and What Has Been Committed?, HHA, OMS AFRO et Banque mondiale, 2009.

49. Gottret, P et Schiebe, G., Health financing revisited: A practitioner’s guide. Banque mondiale, Washington DC, 2006.

50. Xu, K., et al., Household catastrophic health expenditure: a multicountry analysis. The Lancet, 362(9378): p. 111-7. 2003.

51. Le domaine des attentes des populations et de leur perception de la prestation de services est un domaine qui nécessitera et méritera une recherche plus approfondie dans la mesure où les questions de faible niveau de demande effective des services de santé au sein de nombreuses communautés d’Afrique subsaharienne demeurent un défi que nous devons relever.

52. OMS, The world health report 2006 – Working together for health. Genève, Organisation mondiale de la santé (2006).

53. OMS, The global shortage of health workers and its impact, Fiche technique numéro 302. Organisation mondiale de la santé : Genève, 2006.

54. Anand, S. et Bärnighausen, T., Human resources and health outcomes: cross-country econometric study, The Lancet, Volume 364, numéro 9445, 2004.

55. Lawn, JE, Kinney MV, et Kerber KJ, eds., 2009. Science in action: Saving the lives of Africa’s mothers, newborns, and children.

Cape Town, Afrique du Sud. Rapport pour l’Initiative de l’Académie du développement des sciences.

56. OMS. The World Health Report 2010 - Health systems financing: the path to universal coverage, Genève, Organisation mondiale de la santé, 2010.

57. Ibid.

58. OMS, WHO Policy Perspectives on Medicines – Equitable access to essential medicines: a framework for collective action, Organisation mondiale de la santé : Genève, 2004.

59. OMS, WHO Policy Perspectives on Medicines — Equitable access to essential medicines: a framework for collective action, Organisation mondiale de la santé : Genève, 2004.

60. OMS. The World Health Report 2010 - Health systems financing: the path to universal coverage, Genève, Organisation mondiale de la santé, 2010.

61. Ibid.

62. ONUSIDA, Ambitious project brings key countries in eastern and southern Africa closer to ‘knowing their epidemics’, 25 mai 2009.

63. OMS. The World Health Report 2010 - Health systems financing: the path to universal coverage, Genève, Organisation mondiale de la santé, 2010.

64. Le champ de la m-santé a émergé comme un sous-segment de la e-santé, l’utilisation de la technologie de l’information et de la communication (TIC) telle que les ordinateurs, les téléphones cellulaires, les satellites de communication et les moniteurs des patients, pour les services de santé et l’information. Les applications de m-santé incluent l’utilisation de dispositifs mobiles dans la collecte des données de santé communautaire et clinique, la fourniture d’informations de soins de santé aux praticiens, aux chercheurs et aux patients, le suivi en temps réel des signes vitaux du patient et la fourniture directe de soins (grâce à la télémédecine mobile).

65. Fournier P, Itaj NK, Haddad S., Quality of health services in Africa : example of dystocia prenatal screening in Nioki (Zaïre), mars-avril ; 6(2) : 107-14. 1996.

66. Countdown to 2015, Tracking progress in Maternal, Newborn and Child Health – The 2008 Report, UNICEF, 2008.

67. Source : www:http//ps4h.org/country_data_files/SSAfrica.pdf

68. UNICEF et OMS, Progress on Drinking Water and Sanitation: Special Focus on Sanitation, 2008.

69. Fewtrell, L et Colford, J. 2004. Water, Sanitation and Hygiene: Interventions and Diarrhoea - A Systematic Review and Meta-analysis. Health, Nutrition and Population Discussion Paper. La Banque mondiale. Washington D.C.

70. UNICEF et OMS, Progress on Drinking Water and Sanitation: Special Focus on Sanitation, 2008.

71. Progress on sanitation and drinking water - 2010 update, Programme commun OMS/UNICEF de suivi de la distribution d’eau et de l’assainissement, 2010.

72. Progress on sanitation and drinking water - 2010 update, Programme commun OMS/UNICEF de suivi de la distribution d’eau et de l’assainissement, 2010.

73. UNICEF, Progress for Children, 2007.

74. Institut des statistiques de l’UNESCO, Children Out of School: Measuring Exclusion from Primary Education, 2005.

75. L’on peut trouver la liste complète des interventions envisagées dans le cadre de chacune des deux stratégies dans le Rapport du Groupe de travail 1 HLTF, Constraints to Scaling Up and Costs, Annexe 1 et Annexe 2.

76. Toutes les valeurs sont présentées en dollar US constant, comme dans la documentation de l’Equipe spéciale de haut niveau.

77. Deux sources : Pour les valeurs de l’approche du scénario moyen MBB, avant-projet zéro HHA de l’Argumentation en faveur de l’investissement en Afrique (non publié), voir l’Annexe 3 pour les détails ; et ii) pour les chiffres de l’approche normative OMS, voir le document de référence pour le Groupe de travail 1 du HLTF, Constraints to Scaling up Health Related MDGs: Costing and Financial Gap analysis, version finale, 23 septembre 2009, pages 37 et 38.

78. Sachs, J.D. et al, Macroeconomics and Health: Investing in Health for Economic Development, Report of the Commission on Macroeconomics and Health, présidé par Jeffrey D. Sachs et présenté à Gro Harlem Brundtland, Directeur général de l’Organisation mondiale de la santé, 2001.

79. L’étude a présumé que sauver 8 millions de vie équivaudrait à 330 millions de DALY, avec un revenu moyen par habitant dans les pays à faible revenu censé se situer autour de 500 à 600 dollars US en 2015.

80. Il y a manifestement d’importantes incertitudes associées à ces estimations. Il s’agit, notamment, des éléments suivants : i) des points de départ potentiellement différents pour les hypothèses de mortalité qui pourraient apparaître au fur et à mesure qu’une recherche plus élaborée dans ce domaine serait faite (notamment Murray et al, Lancet, avril 2010) ; ii) des incertitudes sur les multiplicateurs possibles des avantages ; iii) des incertitudes sur les impacts des avantages dus aux populations relativement jeunes en Afrique (et donc pas encore productives), etc. Toutefois, l’ordre de grandeur des avantages est probablement correct.

81. Voir l’Annexe 3 pour l’explication des facteurs de mise à l’échelle utilisés.

82. Ibid.

83. Les valeurs pour l’Afrique subsaharienne ont été tirées du travail entrepris et présenté par les membres du groupe HHA à la réunion de Tunis en décembre 2009. Voir l’Annexe 3 pour plus de détails.

84. Document de référence pour le Groupe de travail 1 du HLTF, Constraints to Scaling up Health Related MDGs: Costing and Financial Gap analysis, version finale, 23 septembre 2009.

85. Kirigia, J. et Soucat, A., Health Financing in Africa: Where Are We and What Has Been Committed?, HHA, OMS AFRO et Banque mondiale, 2009.

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emerciemenTs

Le Rapport

Investir dans la santé pour l’Afrique : L’argumentation en faveur du renforcement des systèmes pour de meilleurs résultats sanitaires a été produite sous la direction du groupe de pilotage d’Harmonisation pour la Santé en Afrique. Une équipe technique composée de tous les organismes HHA dirigé par W. Netsanet Workie a produit le rapport. Ci-dessous la liste des personnes qui ont contribué.

Agences HHA :

AfDB : Agnes Soucat, Fabrice Sergent JICA : Eiichi Shimizu

UNAIDS : Meskerem Grunitzky-Bekele, Dirk Van Hove, et Faith Mamba

UNFPA : Jacqueline Mahon, Akinyele Dairo, Chinwe Ogbonna, Howard Friedman, Alain Prual, et Stephen Wanyee

UNICEF : Barbara Bentein, Tesfaye Shifraw, Guy Clarysse, Susie Villeneuve, et Rudolf Knippenberg USAID : Akua Kwateng-Addo, Ishrat Husain, et Hope Sukin

WB : Chris Lovelace, Netsanet W. Workie, Moulay Driss Zine Eddine El Idrissi, Francio Diop, et Gandham Ramana

WHO : Chris Mwkisia, Patrick Kadama, Eyob Asbu, Joses Kirigia, et Laurent Musango

WHO : Chris Mwkisia, Patrick Kadama, Eyob Asbu, Joses Kirigia, et Laurent Musango

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