La séroprévalence de l’infection à herpes simplex virus 1 et 2 est de 60 à 90 % dans la population générale [65].
Les uvéites herpétiques sont fréquentes et provoquent une inflammation intraoculaire bruyante. On distingue la kérato-uvéite herpétique ou la kératite disciforme profonde qui correspond à une atteinte primitivement cornéenne, et l’uvéite antérieure herpétique qui touche l’uvée antérieure avec atteinte de l’iris, qui prend au début la forme d’une iritis sectoriel fréquemment associée à des suffusions hémorragiques et à une paralysie de la zone touchée et qui évolue par la suite vers l’atrophie irienne [75] (Figure 27,28).
Année : 2015
Mots clefs : maladie de Biermer, anémie, vitamine B12, anticorps anti facteur intrinsèque.
Introduction : La morbidité accrue de la maladie de Biermer, son risque néoplasique et sa co- existence avec des pathologies auto-immunes comme le diabète de type 1, ont motivé l’étude de son profilépidémiologique en Guadeloupe. L’objectif principal de ce travail a été de décrire le profilépidémiologique de la maladie de Biermer en Guadeloupe. Les objectifs secondaires ont été d’identifier les facteurs discriminants selon l’âge, ainsi que les facteurs prédictifs de sévérité. Méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective menée dans 5 services du CHU de Pointe-à-Pitre, de 2009 à 2014 avec les critères d’inclusion suivants : une carence en vitamine B12 et/ou une anémie macrocytaire arégénérative, une positivité des anticorps anti facteur intrinsèque (Ac antiFI) et/ou anticellules pariétales gastriques (Ac anti CPG) et/ou une atrophie fundique à l’histologie. Des données sociodémographiques, cliniques, biologiques, endoscopiques, histologiques,
Ce travail s’inscrit dans cet optique, et se propose d’étudier le profil épidémiologique et démographique, ainsi que les connaissances sur la transplantation rénale auprès des malade[r]
Résumé :
La cicatrice faciale est le fruit de plusieurs facteurs dont certains dépendent du patient; d’autres du chirurgien. Le but de notre travail est d’étudier e profilépidémiologique de la cicatrice faciale dans la région de Marrakech; expliquer sa fréquence évaluer le traitement et élaborer un schéma de prise en charge adapté à notre contexte. L’étude a porté sur 100 dossiers de patients vus en consultation de chirurgie maxillo-faciale du CHU Mohamed VI de Marrakech durant une période de 10 mois allant de Mai 2007 à Février 2008. L’age moyen des patients est de 27ans, le sexe ratio est de S. es circonstances de survenue sont dominées par l’agression (65%) qui est due le plus souvent à l’amie blanche. La localisation jugale gauche est prédominante, le défaut d’orientation la dyschromie l’élargissement et la dystrophie sont les défauts tes plus fréquents. La réparation primaire a été réalisée le plus souvent par un infirmier (67,6%) la reprise chirurgicale a concerné 68% des cicatrices. Le profilépidémiologique de la cicatrice faciale a plusieurs particularités dans notre contexte l’âge jeune; l’exclusion sociale conséquente; la survenue sur une peau mate, La localisation jugale gauche secondaire le plus souvent à l’agression qui rosie l’étiologie la plus fréquente. La réparation chirurgicale réservée pour les cicatrices anciennes et disgracieuses signifie la réinsertion sociale de nos patients. Seule l’amélioration de la qualité de fa réparation primaire des traumatismes maxillo-faciaux permettra d’éviter le vécu psychologique de la disgrâce et de la défiguration.
Sténoses intestinales au cours de la maladie de Crohn : aspect épidémiologique, profil évolutif et prise en charge
non plastique). Quand les examens morphologiques (guidés par la clinique et la biologie notamment la CRP) ont montré qu’il n’existe pas d’abcès associé, le traitement est habituellement médical, adapté à la sévérité des symptômes (indice CDAI) et prenant en compte la réponse/tolérance aux traitements dans les poussées antérieures. Le traitement le plus employé (et recommandé) de première intention pour une poussée minime ou modérée est le budésonide à libération iléale et en cas d’échec la corticothérapie systémique [39,48]. La durée du traitement dit d’attaque est habituellement limitée à quelques jours ou semaines et il faut diminuer les stéroïdes selon les schémas conseillés dès la rémission clinique obtenue [39,48]. Les amino-salicylés sont possibles, plus efficaces que le placebo, mais moins que le budésonide et les corticoïdes à effet systémiques [39,48]. Les analogues des purines (azathioprine, 6- mercaptopurine) ou le méthotrexate sont indiqués pour maintenir la rémission en cas de corticodépendance [39,48]. Les anti-TNF sont proposés en cas de résistance ou d’intolérance aux corticoïdes (les analogues des purines et le méthotrexate ayant une action en général trop lente pour être tentés seuls dans cette situation). Un traitement nutritionnel (le plus souvent oral) n’est indiqué chez l’adulte qu’en cas de dénutrition mais l’est plus largement chez l’enfant ou l’adolescent chez lesquels on redoute les troubles de croissance [91].
Résumé français
L’’hypotension orthostatique est un facteur de risque de chute intrinsèque dont la préva- lence augmente avec l’âge, intéressante à dépister car elle n’est pas toujours symptoma- tique. L’objectif de l’étude était de définir le profilépidémiologique des patients atteints d’hypotension orthostatique en excluant les causes aigues pour déterminer les facteurs les plus souvent retrouvés et ainsi permettre un dépistage ciblé en ambulatoire en pré- vention primaire.
Nous rapportons l’expérience de notre service, à propos d’une série de 60 cas collectée sur une période de 8 ans, dont le but est d’analyser le profil épidémiologique détaillé des tume[r]
L’étude réalisée au service d’Hématologie du CHU Mohammed VI à Marrakech à
propos de 60 cas de MDH, nous a permis de dégager le profilépidémiologique de
la MDH similaire à celui retrouvé dans les pays en voie de développement. C’est
une maladie rare avant l’âge de 4 ans, elle plus fréquente chez l’homme (sex ratio
Sont inclus dans notre étude tous les patients âgés de plus de 18 ans, de sexe féminin et masculin, hospitalisés au service de pneumologie à l’hôpital Ibn Nafis, CHU Mohammed VI de Mar[r]
L’objectif de notre travail est de mettre le point sur les difficultés diagnostiques et thérapeutiques de ces tumeurs et analyser et de comparer les différents a[r]
L’objectif de cette étude était d’analyser la survenue d’HPP sévère dans les 10 maternités du réseau MYPA, et de déterminer de potentiels facteurs de risque tant[r]
DEMARLE Ingrid
e) Autres facteurs étudiés non statistiquement significatifs
Les données de description épidémiologique ainsi que le décès à 3 mois, la présence du manipulateur IRM et le délai entre l’arrivée au CHV et la réalisation de l’IRM ont été étudiées dans une analyse bivariée afin de chercher à mettre en évidence un lien entre ces données et la réalisation de la thrombectomie. Aucune des données étudiées n’est liée de façon statistique à la réalisation de la
Parmi ces 7 patientes ayant présenté un antécédent du cancer du sein ,deux patientes ont été suivies pour carcinome lobulaire infiltrant ,et ont bénéficié d’un traitement [r]
En pratique, il faut privilégier une monothérapie, et le choix du traitement initial sera guidé par son profil d’efficacité et de tolérance, mais également de ses éventuelles propriétés d’induction enzymatique du système des cytochromes P450. En effet, certains antiépileptiques comme le phénobarbital, la phénytoine et la carbamazépine sont fortement inducteurs enzymatiques et peuvent interagir avec les autres médicaments prescris, notamment la chimiothérapie, qui risque d’être moins efficace (2). Ainsi, les médicaments les plus utilisés en première intention sont le valproate de sodium, la gabapentine et l’oxcarbamazépine.
Nous avons inclus dans cette étude tous les patients âgés de plus de 15 ans, admis pour une péritonite aigue généralisée diagnostiquée sur un ensemble d’éléments clinique[r]
Dans notre série, on a utilisé 5 protocoles différents mais la plus part des nos malades 59,22% soit 61 patients ont été traités par le CHOP ce qui s’accorde avec la littérature, puisq[r]
3.3.7 Le profil sanitaire 3.3.7.1 Refus de soins
Environ 10% des migrants consultant déclarent avoir subi un refus de soins de la part d’un spécialiste. Dans les données réceptionnées pour cette étude, les motifs de refus ne figuraient pas. Les items étant déjà considérables dans cette thèse, je ne les ai pas récupérés. Loin d’être anodine, ce sont ces valeurs qui ont poussé au décret du 21 juillet 2016 issu de la loi de modernisation de notre santé. Il charge chaque conseil départemental des ordres des professionnels de santé d’évaluer les pratiques de refus de soins et de proposer des solutions pour y mettre fin.
Dans l’éventualité d’une urgence de santé publique de portée internationale ou de flambées de maladies à déclaration obligatoire au titre du Règlement sanitaire international dans n’imp[r]
Cet engorgement des urgences présente de nombreux effets délétères pour les patients et les soignants tels qu’une diminution de la qualité de prise en charge et des délais d’attente parfois très longs remettant en question le principe même de l’accueil d’urgence.
Sous l’hypothèse que les patients scorés 4 selon l’échelle de tri utilisée aux urgences pédiatriques du CHU de Rouen sont des patients dits « consultants » i.e. consultant pour des pathologies non graves et relevant donc de la médecine générale, nous réalisons une étude épidémiologique descriptive, en évaluant d’une part des données socio-économiques de ces patients et d’autre part le circuit lors de leur passage aux urgences.
A côté de ces PCA à transmission autosomique récessive, il existe deux formes à transmission dominante autosomique.
1) Syndrome de Char :
Il associe une PCA, un faciès particulier (front haut et large, fentes palpébrales orientées en bas et en dehors, hypertélorisme, ptosis, strabisme, nez court avec une pointe large et aplatie, philtrum court, lèvre épaisse, profil plat du visage, oreilles bas implantées), des anomalies des doigts et orteils (clinodactylie, hypoplasie du cinquième doigt et notamment de la deuxième phalange qui peut être absente). D’autres cardiopathies congénitales peuvent être associées (CIV musculaire, par exemple).