Patients et méthodes : il s’agit d’une étude prospective concernant un échantillon de 276 cas, l’étude s’est déroulé entre Mars et Septembre 2012, et comporte un questionnaire destiné aux médecins internes et urgentistes de garde.
Résultats et discussion : dans notre étude 9.7% sont âgés de 65 ans et plus, la population constituée de 40.9% de femmes et de 59.1% d’hommes avait un âge moyen de 82.5 ans, la pathologie de l’appareil locomoteur (15.7%) occupe la 1ère place suivie de l’urologie (14.5%), la pneumologie (11.5%), la cardiologie (11.3%), la chirurgie générale (9.1%), la neurologie (8.4%), la chirurgie cardiovasculaire (5.2%), la gastro-entérologie (3.8%), l’hématologie, l’endocrinologie, la néphrologie, la neurochirurgie (3.5%). Dans notre étude 44.1% des patients âgés ont regagnés leur domicile alors plus de la moitié ont resté dans l’hôpital, 53.5 % ont été hospitalisés dont 11.9% en déchoquage-réanimation, 1.7% sont décédés. Ceci est dû à l’absence d’une structure gérontologique permettant de recevoir dans les meilleures conditions les personnes âgées, de les prendre en charge sur le plan médical et social. A ces problèmes s’ajoute le manque de réseau gérontologique extra hospitalier dont la vocation principale, est l’hébergement et le soin des patients âgés présentant des pathologies chroniques ou des problèmes sociaux incompatibles avec leur retour à domicile.
Des programmes d'usage rationnel des médicaments ont été mis en place dans plusieurs pays. Au Maroc, nous disposons de peu de données concernant les caractéristiques de la prescription des antibiotiques, son volume, sa pertinence et son impact économique.
C'est dans ce contexte que s'inscrit ce travail qui vise à décrire et évaluer les attitudes des médecins en matière d’antibiothérapie. Nous avons procédé à une enquête au niveau du service d’accueil des urgences adulte du CHU Mohamed VI de Marrakech dont les principaux objectifs étaient d’évaluer:
+ Les luxations : l’articulation de l’épaule était la plus touchée : 29,1%.
+ Les plaies ou nous avons noté une prédominance des lésions tendineuses, soit un pourcentage de 36,4%.
- L’attitude thérapeutique était plus chirurgicale qu’orthopédique dans notre étude. Plusieurs contraintes entravant le bon fonctionnement du service ont été repérées et à plusieurs niveaux de la prise en charge, des contraintes auxquelles nous avons proposé des solutions adéquates.
La tumeur maligne la plus fréquente était le carcinome adénoïde kystique avec un taux de 72% de l’ensemble des tumeurs malignes alors que l’adénome pléomorphe était la tumeu[r]
We included in the series all the patients operated for an ovarian mass and whose diagnosed of one of the ovarian epithelial tumours within the Anatomy Pathology department of the MohammedVI University Hospital of Marrakech.
The results were collected from the admission records of the operative specimens as well as histopathological reports. The age of our patients ranged from 18 to 78 with an average of 46 years. Peak EOT (30.5%) between 40-49 years was observed. More than half of the patients were menopausal (54%) and multiparous (56%). Pelvic pain (64%) followed by abdominal distension (42%) were the most common clinical signs. Cystic tumours represent the majority of cases (78%) against solid-appearance tumours which constitute only 12% and tumours of solid-cystic aspects which constitute 10%. Benign tumours were the most common (71%) followed by malignant tumours (16.94%) and borderline tumours (11.86%). Serous tumours are the most common, accounting for 67.80%. Mucinous tumours, endometrioid, transitional cell carcinomas and undifferentiated carcinomas accounted for 23.73%, 5.08%, 1.69% and 1.69% of cases, respectively. Complementary biopsies are performed in 32.20% of cases, of which 47.37% of all cases are positive. The cytological study is performed in 35.59% of cases: positive in 15% of cases.
Sur une période de 2 ans (Octobre 2014 à Octobre 2016), nous avons rapporté une étude prospective de 143 cas d’enfants admis au service des urgences pédiatriques et qui ont eu leurs prise en charge à ce niveau. L’âge moyen de nos malades était de 4,4 ans avec un sex ratio de 1,1. 98% des cas n’avaient pas d’antécédents pathologiques alors que 2% avaient une notion d’ingestion de corps étranger et de fausse route à répétition. La pharyngoscopie a permis l’extraction du corps étranger chez 125 enfants (87%), alors que la fibroscopie a permis le retrait de l’objet ingéré chez 3 cas (2%). La surveillance clinico-radiologique a été le cas de 14 enfants avec l’élimination spontanée dans les selles qui a eu lieu entre 2 à 5 jours, alors que le recours à la chirurgie n’a été nécessaire que dans un seul cas (1%) après échec de la pharyngoscopie. Les corps étrangers étaient dominés par les pièces de monnaie (73%). Une localisation préférentielle au niveau de l’œsophage notamment le tiers supérieur dans 82%. Nos malades ont été mis sous surveillance pendant une courte durée ne dépassant pas 12 heures, avec une durée moyenne de séjour de 44 heures. L’évolution a été marquée par l’absence de survenue de complications dans la majorité des cas (86%), sans n’avoir noté aucun cas de décès.
pédiatriques, et elle doit s’inscrire dans une approche globale. En effet, face à une insuffisance de moyens nécessaires pour une prise en charge correcte, le drame que représente un enfant en détresse vitale nous interpelle tous et justifie cette étude.
La mort d’un enfant au service des urgences est l'un des problèmes les plus difficiles auxquels sont confrontés les cliniciens des services des urgences, et est très pénible à la fois pour la famille et la communauté. Il est donc obligatoire pour les responsables des politiques de santé de connaître les causes déterminantes et les facteurs de risque qui augmentent la mortalité pédiatrique. D’autre part, il n’existe aucune étude publiée au Maroc, à la limite de notre recherche, pour traiter les causes et les facteurs associés à la mortalité pédiatrique dans les unités des urgences pédiatriques, par conséquent, cette étude fournira de meilleures informations sur les causes et les facteurs de risque associés à la mortalité pédiatrique au service des urgences. Ainsi les objectifs de notre travail sont :
médical et paramédical augmentent le risque des complications iatrogènes et diminuent la qualité des soins délivrés aux patients [33].
II. Provenance des patients :
Dans notre série d’étude, la plupart des patients décédés étaient admis par le biais du service des urgences pédiatriques : 58 patients, soient 89%et 7 patients étaient transféré du bloc opératoire à notre service, ce qui concordent avec les résultats de Siddiqui NU et al [15]qui rapportent que la majorité des patients décédés (57,7%) provenaient du service des urgences pédiatriques, alors que les admissions du bloc opératoire ne représentaient que 5,2%.
États-Unis, ce délai peut être court, trois jours en moyenne, tandis qu’en France, celui-ci est de sept jours [75].
Selon El Halal MG et al [15], la majorité des patients admis en réanimation pédiatrique (52%) ont séjournés moins de 3 jours en réanimation, la mortalité était plus élevée chez les patients dont la durée d’hospitalisation était moins de 7 jours et la durée d’hospitalisation en unité de soins intensif était significativement associée à la source d’admission des patients (une médiane de 2 jours pour les patients provenant du bloc opératoire, 3 jours pour ceux en provenance du service des urgences pédiatriques et d’un autre service du même hôpital et 4 jours pour ceux référés d’un autre hôpital).
3. SLA et pathologie néoplasique :
L’origine paranéoplasique de l’atteinte de la corne antérieure est possible bien que rare. L’atteinte peut être isolée ou s’associer à un autre tableau neurologique.
Des études de séries de cas cliniques et des études de cas ont suggéré une association positive entre SLA et cancer [105]. Mais la plupart des études épidémiologiques ont réfuté l’existence de ce lien [106,107]. Il existerait, cependant un risque élevé de SLA au cours de la première année après un diagnostic de leucémie [108]. Le mélanome aurait également une implication dans la survenue d’une SLA [107,109), mais, cela a été contredit par de récentes études longitudinales [110; 108]. Des tableaux d’atteinte du motoneurone périphérique ont été rapportés avec des lymphomes [111].
Aucun de nos patients n’avait besoin d’une embolisation.
XI. PREVENTION :
L’aspergillome pulmonaire se développe dans une cavité préexistante le plus souvent d’origine tuberculeuse, ce qui explique l’incidence élevée de cette pathologie dans les pays où la tuberculose sévit encore sous un mode endémique. De ce fait toute mesure préventive impose une stratégie codifiée de lutte contre la tuberculose qui constitue jusqu’au moment un vrai problème de santé publique.
Plusieurs études ont montré que le risque global d’IBS dans les FAI varie de 6 à 20% [18,35,84]. Deux études sur les FAI ont été menées consécutivement dans le service des urgences pédiatriques des hôpitaux universitaires de Genève. La première [91], effectuée sur une période d’un an, a révélé que sur 19400 consultations, tous âges confondus (0- 16 ans), 1800 enfants de moins de deux ans se sont présentés avec comme motif majeur de consultation un état fébrile. Parmi ces enfants, 364 (20.2%) avaient une FAI et dans cette sous population, 63 (17.3%) présentaient une infection bactérienne sévère, dont 9 (2.5%) bactériémies occultes, 37 pyélonéphrites, 9 méningites bactériennes, 4 pneumonies lobaires, 1 appendicite, 1ostéomyélite,1 gastroentérite bactérienne et 1 épiglottite. Dans la seconde étude [4], 124 enfants (0 à 36 mois) présentant une FAI ont été étudié : 28(22.5%) présentaient une IBS dont une bactériémie occulte dans 4 cas (3.2%).
V. Différentes uropathies malformatives :
1. Syndrome de jonction pyélo-urétérale :
Il s’agit d’une anomalie congénitale, anatomique ou fonctionnelle, de la jonction pyélo- urétérale, responsable d’un défaut d’écoulement du flux urinaire du bassinet vers l’uretère. Le progrès des connaissances concernant la pathogénie, les conséquences de l’obstruction sur la structure du parenchyme rénal et l’évolution naturelle de cette pathologie, ont fait modifier la terminologie utilisée : on parle de dilatation pyélocalicielle et non plus d’hydronéphrose, et de défaut d’écoulement des urines plutôt que d’obstruction [22].
2-Proposer une association anti-infectieuse ayant le spectre le plus étroit possible, en optimisant le mode d'administration [8] , Langhendries et coll [85] propose la notion de « pari raisonné », en visant les types de bactéries les plus souvent rencontrées comme agents causaux des infections néonatales précoces au sein de la littérature mais aussi de la maternité locale ; une association d'au moins deux antibiotiques, une bêtalactamine , dont la bactéricidie est temps-dépendante, active sur les bactéries à Gram positif mais possédant le spectre le plus étroit possible en l'absence de facteurs de risque majeurs (antibiothérapie maternelle à large spectre, absence de signes cliniques très évocateurs d'infection chez le nouveau-né) , et un aminoside, dont la bactéricidie est concentration-dépendante ; il propose l'association pénicilline G et aminoside qui se révèle intéressante dans sa capacité de diminuer l'émergence de germes multi-résistants, tout en améliorant la sensibilité des entérobactéries à la majorité des antibiotiques, sans augmenter la morbidité et la mortalité néonatales ; prise en compte de données pharmacocinétiques : administration séparée des deux molécules, en rinçant la
Résumé
Le cancer de la vulve est une affection néoplasique peu fréquente, représentant moins de 5% des cancers gynécologiques. Il survient le plus souvent chez des femmes âgées. Notre objectif de cette étude analytique rétrospective, portant sur une série de 53 patientes porteuses du cancer vulvaire colligés au service de gynéco-obstétrique CHU MED 6 de MARRAKECH durant la période allant de janvier 2011 au décembre 2018 ,et à travers une revue de la littérature : est d’évaluer le profil épidémiologique, clinique, histologique, et de discuter la prise en charge Thérapeutique et le pronostic de ces patientes.
Traitement, Surveillance et Pronostic I. Thérapie moléculaire ciblée……….. Tumeurs non infiltrantes………... Carcinome canalaire in situ……….. Carcinome lobulaire in situ……….. Surveillance e[r]
Dans notre enquête, les résultats étaient différents, ce sont les bactériémies et les infections du site opératoire qui occupent la première et la deuxième place respectivement.
La prépondérance de l’infection de la plaie opératoire a été retrouvée au CHU Sahloul de Sousse (Tunisie) où elle représentait 32,15% [47] , aux hôpitaux universitaires du Congo[25] où l’infection du site opératoire était la plus fréquente (27,1%) , au CHU Blida en Algérie en 2004[21] et encore une fois en Egypte (avec une fréquence de 36%)[48].
28 g/dl, élimination de 50 à 95 % des leucocytes, de 75 à 90 % des plaquettes, de 79 à 90 % des protéines et de 71 à 84 % de l’hémoglobine. [48,49]
Il existe des anomalies morphologiques mineures des hématies après concentration lavage, qui disparaissent après microfiltration [50]. La durée de vie des hématies lavées est comparable à celle du sang conservé. Le 2-3 DPG est normal ou plus élevé que pour le sang conservé, l’hémoglobine plasmatique est abaissée par le lavage. [51,52] Les protéines et les facteurs activés de la coagulation sont éliminés au cours du recyclage. L’héparine est éliminée en quasi-totalité. Pour de nombreux auteurs, les perturbations de l’hémostase après RSPO avec lavage sont absentes ou mineures, transitoires, et sans conséquences cliniques néfastes. Le lavage élimine les micro- agrégats cellulaires ainsi que la quasi-totalité des substances récupérées avec le sang épanché. [53, 54, 55,56]
Etude du lymphome de Burkitt au service d’hématologie et d’oncologie pédiatrique du CHUMohammedVI de Marrakech
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Sur 24 mois, nous avons constaté que 81% des cas de LNH pris en charge au SHOP, étaient des LB, ce qui est important pour une moyenne d’hospitalisation de 100 nouveaux cas par an. La moyenne d’âge était de 5 ans 5 mois avec une prédominance masculine. La couverture sociale n’était noté que dans 12%, ce qui entrave une bonne prise en charge vu le manque de certains médicaments et la charge de travail dans les services de laboratoire et histologie qui retentit sur le délai de réponse et de là le démarrage de la thérapeutique.